samedi 20 septembre 2008
Exclusif: le maire, la CRC et les 40.000 euros....
Cette photo montre les bâtiments de la Chambre Régionale des Comptes d'Ile de France sise à Noisiel (77). Son Président depuis juillet 2007, Monsieur Jean Yves Bertucci, a envoyé le 4 avril 2008 une lettre officielle d'une clarté limpide au maire d'Asnières, Sébastien Pietrasanta, afin de dire le droit en matière de divulgation par la Ville d'Asnières du Rapport de la Chambre sur la gestion de la Ville sous ManuelAeschlimann. La loi rappelée avec netteté par ce magistrat a été enfreinte le 21 mars 2008 par un envoi de ce Rapport avec des « commentaires »illégaux aussi de Manuel Aeschlimann dont le coût est de 40.000 euros. Cet argent doit être rendu aux Asnièrois!
Quand le Président de la CRC avait écrit au maire d'Asnières....
C'est donc un scoop de l'information citoyenne que publie ce jour Asnières Nouvelles Citoyennes!
Il s'agit de la lettre adressée le 4 avril 2008 par le Président de la Chambre Régionale des Comptes à Sébastien Pietrasanta et que celui-ci avait donc lue avant la réunion du Conseil Municipal du 15 avril 2008, réunion au cours de laquelle fut débattu le fameux Rapport concernant la gestion de la Ville sous la mandature des époux Aeschlimann.
Lien direct vers la lettre et le Rapport complet de la CRC:
http://lin.heather7.googlepages.com/IFR200743.pdf
Cette lettre n'a curieusement jamais été citée par le maire, par aucun élu de la majorité, par aucun blog ou site s'occupant d'Asnières. Le silence la concernant est donc assourdissant.
Asnières Nouvelles Citoyennes se l'est procurée et la publie intégralement..
Et pourtant, cette lettre méritait d'être connue et diffusée largement:
son contenu est d'une clarté juridique totale sur la question de la parfaite ILLEGALITE de l'envoi antérieur, le 21mars 2008, du Rapport de ladite Chambre Régionale des Comptes, assorti de plus, ce qui est prohibé par les textes, de « commentaires » de l'ancien édile dont la gestion avait été passée au crible par les magistrats financiers!!!
Rappelons que, malgré qu'il avait en mains ce courrier d'une limpidité indiscutable sur l'illégalité avérée de l'envoi de l'ancien maire, au coût de 40.000 euros pour les finances de la commune, lors de cette séance du Conseil Municipal, Sébastien Pietrasanta avait décidé, sans vote du Conseil Municipal (sic!!!), de ne pas réclamer la somme de 40.000 euros pris indument à la Ville dont il est le maire.
Les élus auraient pu et dû voter sur ces faits en démocratie, selon notre avis citoyen!
Plus ennuyeux encore, et cela crée un malaise croissant au sein de ses élus, il avait fait adresser par un de ses maires-adjoints un courriel à un des animateurs d'Asnières Nouvelles Citoyennes, courriel que nous avons gardé au cas où il serait nié par son auteur ou le maire, selon lequel la mairie aurait saisi le Procureur de la République de Nanterre sur la...légalité de l'envoi fait par Manuel Aeschlimann le 21 mars 2008!!!
Question naïve et citoyenne:
comment la mairie aurait-elle pu saisir pour « information » le Procureur de la République alors qu'elle disposait d'une lettre du Président de la Chambre Régionale des Comptes affirmant clairement que la COMMUNICATION PUBLIQUE DU RAPPORT PAR LA VILLE NE POUVAIT AVOIR LIEU QU'APRES DEBAT ET VOTE SUR CELUI-CI?
Le maire et/ou certains de ses adjoints prennent-ils les citoyens asnièrois pour des benêts?
Voici donc, afin que les citoyens puissent juger, ce que le Président de la Chambre Régionale des Comptes écrit à Sébastien Pietrasanta le 4 avril 2008, soit 11 jours avant le Conseil Municipal:
« C’est donc à vous qu’il appartient de transmettre ce rapport au conseil municipal.
Conformément à l’article L. 241-11 précité, ce document doit :
1- faire l’objet d’une inscription à l’ordre du jour ;
2- être joint à la convocation adressée à chacun de ses membres ;
3- donner lieu à débat.
Dès la réunion de l’assemblée, le document final sera considéré comme un document administratif communicable à toute personne en faisant la demande, dans les conditions fixées par la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978.
Vous voudrez bien informer le greffe de la Chambre de la date à laquelle le rapport d’observations aura été porté à la connaissance de l’assemblée délibérante »
L'explication fournie au maire n'est-elle pas d'une netteté absolue?
De ce texte, force est de conclure que le maire et les élus informés (nous ignorons à ce jour si tous ou non ont été informés de cette lettre) savaient parfaitement que l'ancien maire avait donc violé la loi et dépensé de manière prohibée par elle 40.000 euros de fonds publics!
Il découle de cette lettre officielle, soigneusement cachée jusqu'ici aux citoyens de la ville, que le maire était fondé à poursuivre l'ancien édile, Manuel Aeschlimann, en communiquant, au nom des dispositions de l'article 40 du Code de Procédure Pénale, au Parquet de Nanterre les faits constatés (ENVOI ALOURDI de commentaires interdits d'un Rapport qui ne pouvait pas, le 21 mars 2008, être envoyé aux habitants par la Ville et à ses frais), en joignant à cette relation des évènements la lettre du Magistrat Président la Chambre Régionale des Comptes afin d'attester la valeur juridique de la position de la Ville!!!
Or, tel n'a pas été le cas: le maire n'a pas agi pour défendre avec tous ces moyens juridiques incontestables les intérêts de la Ville!
Il a préféré priver la Ville de 40.000 euros dont elle a un besoin urgent pour satisfaire les besoins nombreux et croissants des habitants.
Pire encore si les faits étaient avérés: il a fait informer Asnières Nouvelles Citoyennes qu'il aurait demandé par lettre – dont il n'existe pour l'heure aucune trace nulle part- sa position éventuelle au Procureur de la République, ce qui, outre le caractère incroyable de la démarche faite, signifierait qu'il aurait donc caché au Procureur la lettre du Président de la CRC!!! Tout en manifestant, si cela est vrai, une méfiance inexcusable envers le Président de la CRC au passage....
En effet, si Sébastien Pietrasanta fait dire par son maire-adjoint la vérité sur cette saisine du Procureur pour avis, nous tombons alors dans l'invraisemblable et l'ubuesque le plus total:
le maire a en mains une lettre du Président de la CRC affirmant le droit et il aurait été sollicité le Procureur de Nanterre, en taisant cette lettre, pour se faire redire le droit....Dans quels buts? Pour quelles raisons?
C'est inconcevable et illogique! Cela n'a pas de sens commun!
Essayerait-on en mairie de mentir aux citoyens, et surtout de leur mentir pour protéger de l'application stricte et claire de la loi Manuel Aeschlimann et ne pas exiger de lui les 40.000 euros de fonds publics indument et illégalement dépensés par son initiative du 21 mars 2008?
Cette hypothèse est la seule plausible à l'étude des faits avérés et des courriels du maire-adjoint sur la saisine surréaliste- à vérifier- du Procureur après avoir reçu et lu une telle lettre limpide en tous points du magistrat Président de la CRC.
Avec les citoyens asnièrois étonnés, voire choqués par la découverte de cette lettre qui leur a été cachée et par cette insouciance des fonds publics que cela trahit de la part du maire, la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes demande que le maire s'explique publiquement sur ses actes et positions, et notamment les raisons du refus de saisir la Justice directement afin de récupérer, la lettre du Président de la CRC à l'appui, les 40.000 euros soustraits aux Asnièrois.
Rappelons que son slogan était: « tout euro dépensé le sera pour les Asnièrois ». Cela est bien et bon.
Là, nous avons 40.000 euros dépensés par Manuel Aeschlimann et pour lui, puisque cet argent a payé de plus ses « commentaires » sur un Rapport qui ne pouvait pas être diffusé par la Ville, donc 40.000 euros utilisés en toute illégalité, 40.000 euros qui doivent revenir aux Asnièrois et être affectés à leurs besoins.
Et nous avons une lettre officielle maintenant publique qui dit le droit sans discussion possible pour tout élu sincèrement attaché à l'état de droit et aux intérêts des Asnièrois.
Nous publierons bien sûr avec plaisir la réponse de Sébastien Pietrasanta dans le cadre de ce débat citoyen libre sur ses actes de maire.
Marylise Dipusu
Chapitre 35 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
Tribune libre de Nicolas Marié
Note de la rédaction
La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a reçu cette lettre ouverte de Nicolas Marié et la publie avec plaisir sous forme de tribune libre.
Nous le faisons avec d'autant plus de plaisir que nous partageons les étonnements et interrogations légitimes de Nicolas Marié.
Pour les lecteurs qui voudraient se remémorer l'historique du long dossier des attaques contre la Fondation Ostad Elahi et ses administrateurs, nous leur conseillons, eu égard à la multiplicité des articles parus sur ce sujet, de simplement taper « Elahi » sur le moteur de recherche de Google afin de satisfaire leur saine curiosité citoyenne.
Nous espérons avec Nicolas Marié que les demandes qu'il fait sur ce blog recevront les réponses adéquates.
Chers amis,
Comme beaucoup d’Asniérois j’ai été intrigué ces dernières années par la redoutable campagne de dénigrement que la précédente municipalité d’Asnières avait orchestrée autour de la Fondation Ostad Elahi*.
Chacun se souvient des articles de presse et tracts divers relayant les propos de Manuel Aeschlimann et consorts, qui pointaient du doigt la prétendue « nébuleuse Elahi » accusée de « dérive sectaire ». Des noms avaient été « jetés en pâture aux chiens » et le lecteur lambda dont je faisais partie ne pouvait qu’en conclure que cette Fondation était aussi peu fréquentable que la secte du Temple du soleil, le Mouvement Raélien français, l’Eglise de scientologie de Paris voire les Témoins de Jéhovah...
Aussi, je ne résiste pas au plaisir de vous rappeler Beaumarchais dans le Barbier de Séville lorsqu’il fait dire au sinistre Basile :
« La calomnie, Monsieur ! vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien : et nous avons ici des gens d'une adresse !... D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et, rinforzando de bouche en bouche, il va le diable ; puis tout à coup, on ne sait comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'oeil. Elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ? »
Et oui… qui diable aurait résisté à l’incroyable déferlement de haine et de calomnies dont ont été victimes la Fondation Elahi et ses administrateurs sur notre bonne ville d’Asnières ? …
La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a reçu cette lettre ouverte de Nicolas Marié et la publie avec plaisir sous forme de tribune libre.
Nous le faisons avec d'autant plus de plaisir que nous partageons les étonnements et interrogations légitimes de Nicolas Marié.
Pour les lecteurs qui voudraient se remémorer l'historique du long dossier des attaques contre la Fondation Ostad Elahi et ses administrateurs, nous leur conseillons, eu égard à la multiplicité des articles parus sur ce sujet, de simplement taper « Elahi » sur le moteur de recherche de Google afin de satisfaire leur saine curiosité citoyenne.
Nous espérons avec Nicolas Marié que les demandes qu'il fait sur ce blog recevront les réponses adéquates.
Chers amis,
Comme beaucoup d’Asniérois j’ai été intrigué ces dernières années par la redoutable campagne de dénigrement que la précédente municipalité d’Asnières avait orchestrée autour de la Fondation Ostad Elahi*.
Chacun se souvient des articles de presse et tracts divers relayant les propos de Manuel Aeschlimann et consorts, qui pointaient du doigt la prétendue « nébuleuse Elahi » accusée de « dérive sectaire ». Des noms avaient été « jetés en pâture aux chiens » et le lecteur lambda dont je faisais partie ne pouvait qu’en conclure que cette Fondation était aussi peu fréquentable que la secte du Temple du soleil, le Mouvement Raélien français, l’Eglise de scientologie de Paris voire les Témoins de Jéhovah...
Aussi, je ne résiste pas au plaisir de vous rappeler Beaumarchais dans le Barbier de Séville lorsqu’il fait dire au sinistre Basile :
« La calomnie, Monsieur ! vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien : et nous avons ici des gens d'une adresse !... D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et, rinforzando de bouche en bouche, il va le diable ; puis tout à coup, on ne sait comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'oeil. Elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ? »
Et oui… qui diable aurait résisté à l’incroyable déferlement de haine et de calomnies dont ont été victimes la Fondation Elahi et ses administrateurs sur notre bonne ville d’Asnières ? …
Et bien justement, il semble que la Fondation et ses administrateurs, traînés dans la boue par des Basile-calomniateurs du même tonneau, aient, eux, bien résisté.
Et j'en veux pour preuve l’invitation qui m’a été faite la semaine dernière de me rendre au Sénat (excusez du peu !!!) pour assister à un colloque que précisément la Fondation Elahi y organisait sur le thème suivant : « Comment la littérature change l’homme »…
J’ai bien évidemment répondu positivement à cette invitation et me suis rendu benoîtement dans ce haut lieu du pouvoir, impatient de découvrir enfin ces spécimens, que j’imaginais aux oreilles pointues, la queue en trident, avides de m’enrôler dans leur redoutable organisation sectaire !!!…
Quelle n’a pas été ma surprise d’y rencontrer, tant du côté des intervenants (avec entre autres : un directeur adjoint de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, une normalienne, agrégée et docteur ès lettres, maître de conférence en langue et littérature persanes à l’INALCO, un philosophe, psychanalyste, professeur émérite de littérature comparée à l’Université de Paris VII- Jussieu), que des organisateurs ou des spectateurs (il y avait là un public très éclectique : ambassadeurs, universitaires, professeurs, chirurgiens, artistes, chefs d’entreprises, etc), des gens charmants, tout à fait normaux et apparemment tout à fait fréquentables…
Aussi, très vite, au bonheur de me laisser emporter par ces intervenants dans les œuvres de Rûmî, Dante, Montaigne et quelques autres… a succédé une interrogation qui n’a pas cessé de parasiter mon plaisir : « mais si cette Fondation était bien ce que Manuel Aeschlimann et consorts ont bien voulu nous faire croire, comment les responsables de la Chambre haute avaient-ils pu accepter de laisser une organisation un tant soit peu entachée d’un doute quand à sa légitimité et à sa parfaite virginité, souiller son enceinte ???…» .
Tous les invités que nous étions, et nous étions nombreux croyez-moi, avaient été contraints de montrer patte blanche pour accéder à ce temple du pouvoir. Les invitations étaient nominatives et chacun devait à l’entrée présenter sa carte d’identité. Un badge nous était fourni et le passage au détecteur de métaux était incontournable…
Toutes les précautions donc, en matière de sécurité, avaient été prises. A l’évidence toutes les précautions quant à la légitimité de l’organisateur de l’évènement, à savoir la Fondation Elahi, avaient aussi été prises…
Alors ?…
Alors, l’asniérois lambda que je suis ne comprend plus !!!...
De deux choses l’une :
ou le Sénat invite n’importe qui et nous avons du mouron à nous faire quant au sérieux de ceux qui le composent, et bien entendu de ceux qui nous gouvernent… et vous en conviendrez nous frôlons le scandale!!!… On imagine tout de suite les prochaines manchettes des journaux : « le Sénat infiltré par une secte », « le Sénat des gourous »… « la DST sur la sellette : un des plus hauts lieux du pouvoir marabouté …!!! »
ou, comme pour le rapport de la Chambre Régionale des Comptes, Manuel Aeschlimann et consorts nous ont menti et les responsables du Sénat lui envoient un camouflet cinglant en invitant la Fondation Elahi à organiser (je l’ai appris par la suite) pour la sixième année ( !!!), un colloque dans ses murs…
Et dans cette seconde hypothèse, qui vous l’avez compris ne fait aucun doute, on peut s’interroger sur la crédibilité de la Miviludes (mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires ) qui, à son tour, avait pris la peine de pointer du doigt les activités de la Fondation, pour en fin de compte tout de même, conclure qu’on n’est pas en présence d’une « secte »…
Soulignons au passage que la Miviludes avait diligenté une enquête sur la Fondation qui là aussi avait, parait-il, abouti à un RAPPORT... Prétendu RAPPORT de la Miviludes que Manuel Aeschlimann et consorts avaient mentionné pour mettre en cause la Fondation Elahi et quelques uns de ses administrateurs ... Prétendu RAPPORT qu’aucun Asniérois n’est parvenu à se procurer jusqu’à ce jour malgré les multiples demandes adressées à la Miviludes elle-même (en Recommandé avec AR) et qui sont demeurées sans réponse…
Alors qu’en est-il exactement ?
J’aimerais bien comprendre et avec moi les Asniérois qui ont suivi ce pâle feuilleton de série Z qui a abouti à un certain nombre de procès contre Manuel Aeschlimann et consorts pour diffamation. Qui a abouti au dépôt de bilan d’une entreprise dont on a bien voulu nous faire croire qu’elle était un bras armé de la « secte Elahi » et qu’elle avait infiltré les plus hautes instances du pouvoir !!!… Alors la Fondation Ostad Elahi est-elle fréquentable, oui ou non ?
Si elle est invitée au Sénat, dans le sein des seins du pouvoir, pour y organiser des colloques, on peut penser que oui !!! …
Alors qu’en est-il aujourd’hui des attaques extrêmement graves proférées par l’ancienne municipalité à son encontre ?
Qu’en est-il de la Miviludes qui a laissé Manuel Aeschlimann et consorts tirer à boulets rouges sur cette Fondation sans réagir ?
Quelle crédibilité a-t-elle encore si le Sénat accueille sous ses lambris la Fondation Elahi qu’elle n’a pas su défendre lorsqu’elle était calomniée, à partir de documents que ses calomniateurs prétendaient tirer d’un RAPPORT qu’elle aurait émis et que personne n’a jamais été en mesure de se procurer ???…
Trop, c’est trop. Et si une nouvelle fois, Manuel Aeschlimann et consorts avaient menti ? Et si une nouvelle fois, les Asniérois avaient été manipulés ?
Les tribunaux se sont déjà prononcés. La Cour de Cassation, la plus haute instance judiciaire de notre pays, a condamné ces diffamations.
Aujourd'hui les Asniérois demandent des explications.
Ils demandent à la Miviludes d’informer enfin la population (une lettre lui est une nouvelle fois adressée à ce sujet ) et, ce faisant, de rétablir une vraie transparence quant à ses publications, notes et rapports. Transparence qui est seule garante de sa crédibilité, sérieusement écornée dans le cas qui nous occupe…
Ils demandent à Manuel Aeschlimann de se manifester à son tour pour nous donner une explication face à ce désaveu cinglant du Sénat à l’encontre d’un député de la République…
Bien cordialement à tous.
Nicolas Marié
*La Fondation Ostad Elahi-Ethique et Solidarité Humaine est une Fondation reconnue d’utilité publique créée par décret du Premier Ministre et du Ministre de l’Intérieur en date du 27 janvier 2000. Elle dispose également du statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et social des Nations-Unis. Sa vocation est d’œuvrer à l’approfondissement de ce que sont réellement l’éthique et sa pratique afin de favoriser l’esprit de tolérance et de solidarité entre les hommes.
« Plus le champ de la pensée s’élargit, plus la patience et la tolérance augmentent » : Ostad Elahi
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