Ci-dessus une photo prise lors d'une compétition d'arts martiaux dans les Hauts de Seine. Ce sont là des sports nobles et sains pour celles et ceux qui les pratiquent avec un véritable esprit sportif.
Toutefois, la Ville d'Asnières ayant des difficultés économiques croissantes, étant confrontée à des réductions de ressources fiscales et des hausses de dépenses urgentes et indispensables sur d'autres postes budgétaires, il apparaît nécessaire de revoir sereinement le dispositif des subventions publiques aux associations, notamment sportives, ainsi que de mieux s'assurer du bon usage des fonds publics distribués.
Ainsi, dans le cas de l'USSAC, il est légitime de se demander pour quelles raisons la Ville abonderait un budget très satisfaisan du fait des ressources propres de cette association, ressources tirées de ses biens et activités payantes, mais situées de plus loin d'Asnières....
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Deux "baux précaires" à l'école Descartes en 2007
On connaissait déjà sous le système Aeschlimann l'attribution de logements sociaux à l'ancien Directeur de Cabinet de Manuel Aeschlimann, Francis Raminé Pourbagher, ou aux membres de la famille de Marie-Dominique Aeschlimann, née Ristori, à sa maman et à son frère Luc Ristori, pourtant pas spécialement inscrits sur des listes d'attente connues de tous les élus comme demandeurs anciens et prioritaires!
On savait aussi que l'école Descartes avait accueilli dans un logement de fonction réservé à des enseignants la militante UMP, Marylin Dupuis, avec ses deux enfants, une militante qui, depuis, a montré à la France entière des talents en général relevant de la vie privée...., ce qui a ridiculisé au passage l'UMP d'Asnières, tendance des époux Aeschlimann.
Page 3, point 9 de ce Compte-rendu analytique très instructif du 29 mars 2007- consultable sur le site de la mairie-, on apprend qu'une autre jeune demoiselle, dont on ne sait si elle aussi était inscrite à l'UMP, avait eu la chance extraordinaire comme Marylin Dupuis, de recevoir un bail précaire pour un logement de fonction encore sis.... sur l'école Descartes!!!
Il s'agissait de Mademoiselle LOPEZ PISSEY-TEVY. Des recherches attentives n'ont pas permis d'expliquer les qualités spécifiques que cette personne aurait eues afin de recevoir cet avantage particulier de la part de l'ancien maire. Mais nos recherches continuent.....Si des lecteurs ont des lumières, qu'ils n'hésitent pas à éclairer notre lanterne citoyenne.
Ce que l'on sait est que cette demoiselle a eu moins de chance que Marylin Dupuis puisque le Conseil Municipal du 27 septembre 2007 a acté la fin du bail précaire accordée à l'école Descartes à cette personne!!! Son bail à elle a été vraiment précaire, à peine 6 mois: nous espérons qu'elle a pu trouver un logement adapté et qu'elle pourra expliquer bientôt les raisons de ce bail précaire si particulier et de sa rupture rapide.
En effet, de nombreuses familles asnièroises aimeraient connaître le secret de Mme Dupuis et Mlle Lopez-Pissey Tevy, un secret qui leur a permis d'obtenir ce que les langues asnièroises appellent.... des "passe-droits". Cela pourrait servir à d'autres habitants, en situation d'urgence, de notre ville.
La question qui se pose maintenant est de savoir si la mairie actuelle et sa commission pluraliste transparente d'accès aux logements sociaux et de fonction dans les écoles a commencé à s'interroger sur ces personnes disposant de baux précaires et de logements sociaux, tous en parfaite illégitimité et au détriment des demandeurs réguliers inscrits de longue date.
Evidemment, on souhaiterait que la mairie nous dise ce qu'elle a fait pour l'appartement HLM de Francis Pourbagher détenu illégalement, comme pour celui de Luc Ristori (même remarque) et de quelques autres personnes, qui sont, heureux hasard du sort, toutes proches de l'ancien maire d'Asnières.
La question qui se pose derrière celle-ci est simple: qu'est ce qui a changé en mieux concret en faveur des demandeurs réels de logements sociaux sur Asnières?
Une question, que nous posons au maire et dont nous espérons que des élus et habitants de la commune la relaieront afin qu'il aborde enfin ces sujets qui relèvent véritablement de la saine et honnête gestion des logements sociaux de la Ville.
Ces associations sportives si coûteuses au budget communal
Comme Monsieur Luc JEANNIN semble avoir une absence (momentanée?) de transparence sur les origines des biens dont son association USSAC est la bienheureuse propriétaire dans le département de la Vienne, Asnières Nouvelles Citoyennes s'est penchée avec intérêt sur les subventions municipales aux associations sportives asnièroises, dont certaines coûtent fort cher aux contribuables asnièrois.
Par exemple, la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a eu son attention attirée sur les montants très élevés des subventions municipales accordées- pour prendre un exemple précis- aux Arts martiaux, et ce depuis des années.
Il en est de même d'autres subventions à des associations sportives dont le rapport coût-effectifs présente un caractère générant des légitimes questions de gestion efficiente des deniers publics.
Asnières Nouvelles Citoyennes rappelle que le slogan du maire d'Asnières, Sébastien Pietrasanta, est que « chaque euro dépensé doit être un euro utilement dépensé ».
Nous sommes bien évidemment totalement d'accord avec cet objectif annoncé. Encore faut-il ensuite tout faire pour le tenir!
Aussi, en regardant les montants parfois considérables de subventions « sportives » accordées, donc certaines connaissent des hausses massives plus ou moins régulières depuis des années, il semblerait que le maire serait bien inspiré de diligenter un audit sur le bon fonctionnement de certaines des associations très fortement subventionnées et dont le poids financier, eu égard aux effectifs des sportifs considérés peut sembler inapproprié, voire excessif.
De manière générale, en temps de crise financière, il serait souhaitable que la politique de subventionnement publique soit revue avec clarté, objectivité et efficacité, en prenant les mesures nécessaires afin que le Conseil Municipal puisse s'assurer vraiment du bon et efficient usage des fonds publics.
Il en est ainsi peut-être aussi de l'USSAC dont on voit mal au nom de quelles difficultés financières récurrentes depuis des années elle a obtenu des fonds publics asnièrois.
La subvention accordée depuis des années paraît même impensable, voire surréaliste quand tout un chacun, au vu des photos publiées par Asnières Nouvelles Citoyennes, peut se faire une idée, fut-ce approximative, de la forte valeur immobilière et foncière du site qui lui appartient et des revenus importants qui en sont générés....en consultant le site de l'abbaye Notre Dame du Pin!
Nous souhaitons bien sûr que le maire et le Conseil Municipal soient saisis de cette situation et apportent les explications ou régularisations nécessaires.
Marylise Dipusu
Chapitre 127 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008