Notre iconographie du jour fait une large part aux talents désastreux pour le maire et son équipe de Madame Chantal Bitton-Cohen, qui rédige à l'évidence des lettres pyromanes contre les intérêts les plus évidents de l'équipe dont elle se dit membre.
D'abord, comme preuve de ses dérapages et errements incontrôlés, la copie de sa lettre à la CGT des personnels communaux où elle accuse ce syndicat, ni plus, ni moins, que de salir la mémoire des victimes du nazisme et d'être même négationniste, ce qui est par ailleurs une position quelque peu contradictoire!!! Car soit quelqu'un nie les crimes nazis, soit attaque ses victimes, mais comment comprendre que la même personne puisse salir la mémoire de victimes dont elle nierait l'existence? La logique de cette lettre est un brin schizophrène.
Ensuite, un dessin de Bécassine, personnage célèbre, qui n'a jamais été présentée comme stupide, mais qui faisait preuve d'une grande naïveté, voire de crédulité, dans une position instable, voire glissante. Un peu comme Madame Bitton-Cohen avec sa lettre vue plus haut.
Enfin, une photo peu connue de "Calamity Jane" quand elle commençait à boire et racontait des histoires de plus en plus invraisemblables afin de se faire connaître. Il est clair que celle que l'on surnomme la "Calamité de la mairie" ne verse pas dans les excès de boisson du personnage historique américain, mais qu'elle l'imite vaillamment par ses écrits ahurissants, stupides et incroyables. Ce qui est, sur le fond, encore plus inquiétant car le courrier de Madame Bitton-Cohen que nous publions pour information publique n'a aucune excuse d'aucune sorte et peut donc être poursuivi en justice, ce qui ferait du tort à toute la municipalité conduite par Sébastien Pietrasanta.
Asnières: jeux de vilains sans frontière
Pendant que nous nous rapprochons inexorablement de la case « départ définitif » de l'ancien maire et député en suris Manuel Aeschlimann, il règne dans certains milieux de notre ville une ambiance pour le moins survoltée, surtout dans les écuries politiques, ceci dans une indifférence citoyenne totale bien compréhensible.
Des tracts anonymes fleurissent ici et là, la plupart dénonçant des pratiques fort discutables des époux Aeschlimann. Certains observateurs y voient des luttes fratricides engagées entre des fractions ennemies de ce qui reste de l'UMP asnièroise, lesquelles, par ce moyen, se livrent à une véritable action d'auto-destruction, applaudie par tous les concurrents qui pensent souvent exclusivement aux échéances électorales.
Pour les rares analystes qui essaient encore de comprendre les poses et pensées du pitoyable microcosme politicien asnièrois, une conclusion se dégage:
l'impression de regarder un monde étrange, fou et toujours plus incapable de s'intéresser aux intérêts concrets des habitants tant ses membres sont absorbés intégralement par leurs luttes intestines ridicules et la course à l'échalote du mandat électif.
Ce qui étonne le plus dans l'étude de ce microcosme, ce sont les « rumeurs » que tous s'envoient, diffusent et répercutent, sans même appréhender que la population asnièroise n'a rien à faire de ce fatras stérile. L'abîme entre l'Asnières qui se croit d'en haut et l'Asnières qui certains voient en bas ne cesse de s'approfondir!
Il n'en reste pas moins que les informations sur les procès de Manuel Aeschlimann se répandent aussi dans cette atmosphère bizarre, tandis que notre blog indépendant a franchi avant-hier le cap horaire des 100 lectures en une heure ( exactement 102), ce qui propulse donc son lectorat vers de nouveaux sommets, ceux-là utiles à l'information libre des habitants et des élus.
Pendant que les époux Aeschlimann se préparent à une fin politique peu glorieuse, voire à un départ en Suisse, selon le très comique Jean-Claude Boutiffard, certains en mairie perdent raison et sang-froid.....
Madame Bitton-Cohen: l'élue qui évolue entre Bécassine et Calamity Jane!
Alors que les habitants du quartier Voltaire sont en colère, alors que ceux des quartiers nord de la ville estiment que la mairie parle beaucoup, mais n'agit pas du tout en leur faveur, alors que les problèmes sociaux s'aggravent tandis que le maire se concentre sur le scrutin cantonal de mars 2011 dans le secteur nord de la commune, Madame Chantal Bitton-Cohen, l'élue qui avait généré la plus forte grève du personnel communal de l'histoire d'Asnières, recommence ses errements et provocations.
Cette élue, qui est avocate de profession, n'est à coup sûr pas une fine psychologue, ni une spécialiste du dialogue sociale serein. Elle serait plutôt une sorte de très mauvais compromis entre un clone de « Calamity Jane » et celui d'une « Bécassine » pour le maire et son équipe municipale, tant elle est apparue depuis plus d'un an comme impulsive et sans esprit de conciliation, rigide et dénuée de sens social.
Les derniers coups d'éclat de cette élue membre du groupe municipal indéfini que d'aucuns surnomment « Asnières couchée » sont d'une rare intelligence politique. A moins qu'elle n'agisse ainsi que pour nuire au maire, ses sorties sont incompréhensibles: elle attaque le syndicat CGT de la mairie, essaie de dresser contre lui par la délation la direction départementale et nationale de ce syndicat et exige des censures sur le blog de cette organisation syndicale!!!
Manifestement, Madame Bitton-Cohen se déconnecte des réalités vivantes.
Liens vers ces faits bien réels:
Madame Bitton-Cohen se croit-elle en Chine ou en Iran, dans une dictature où les salariés, ici les personnels au service de la Ville, sont sans aucun droit et privés de toute liberté?
A t-elle oublié qu'elle affirme servir fidèlement un maire qui se revendique d'être « socialiste », et non partisan d'une forme, à moitié furieuse, à moitié sournoise, d'autocratie antisociale?
Quoi qu'il en soit, Madame Bitton-Cohen est devenue UN PROBLEME pour le maire et un poids dangereux pour Madame Caradec, dont elle piétine allègrement les plates-bandes de délégation municipale au stationnement en provoquant les ASVP, Agents de Surveillance de la Voie Publique..
Même ses collègues de groupe, pourtant d'une servilité politique remarquable autant qu'absolue, s'inquiètent de ses frasques, dérapages et réactions incontrôlées. C'est dire si cette élue éruptive est en voie de se créer de multiples ennemi(e)s, parmi ses collègues tenant à leurs chers postes comme parmi le personnel communal.
Toutefois, le maire doit encore une fois intervenir afin de calmer les outrances écrites et verbales de cette élue, à l'évidence de plus en plus encombrante pour toute l'équipe communale.
A tel point qu'un élu tenant à son anonymat commente pour Asnières Nouvelles Citoyennes la situation ainsi:
« Madame Bitton-Cohen avait, il est vrai, quitté le groupe de Josiane Fischer en vue de créer une équipe municipale plus homogène sur le plan politique, après la crise avec les élus de Christian Leblond. Mais, maintenant, on se demande si on a bien fait de prendre cette élue et de la garder à ce poste où elle accumule les bévues à la chaîne. A titre personnel, je pense que le maire devrait au plus vite, s'il veut éviter une crise sociale d'ampleur dommageable avant le scrutin de mars 2011, la changer de délégation, de préférence en la casant dans une délégation sans lien avec le personnel communal ».
Il n'en reste pas moins que la CGT du personnel communal de la mairie d'Asnières pose une excellente question de fond intéressant beaucoup les citoyens et contribuables asnièrois quand elle s'interroge sur l'existence d'objectifs de quotas de contraventions placées sur les voitures dans les zones de stationnement payant!!!
Il serait bon que le maire démente clairement, avec une Note de Service publique, que des objectifs de contraventions auraient été décidés afin de taxer plus et plus fortement les habitants de notre ville qui souffrent déjà du manque de places disponibles de stationnement.....
Etre « socialiste », cela devrait être antagonique avec des taxations cachées inavouées contre les citoyens-automobilistes. Sébastien Pietrasanta devrait donc intervenir pour « réaxer » Madame Bitton-Cohen avant qu'elle ne fasse plus de dégâts contre ses ambitions.
Quant à la lettre que nous publions en iconographie, dans laquelle Madame Bitton-Cohen part, à l'évidence, dans un délire écrit sur papier à en-tête de la Ville et...... dénonce la CGT locale à ses instances nationale et départementale (serait-ce là de la délation patronale?), elle est d'une insigne stupidité doublée de contradictions qu'un enfant de maternelle verrait au premier regard.
Notamment, nul ne voit, à l'exception de la signataire, le lien entre la phrase incriminée par l'élue et....le négationnisme des crimes nazis attribuée par la signataire, au nom de la commune, à la CGT, syndicat qui lutta aussi contre la barbarie nazie?
Par contre, il apparaît nettement que l'élue essaie à tout prix de s'attaquer à la liberté constitutionnelle d'expression et elle le fait avec des « arguments » nauséabonds, diffamatoires, injurieux et malhonnêtes.
Sur le plan juridique, cette élue qui se prétend avocate diffame en effet gravement la CGT du personnel communal d'Asnières en l'accusant d'être « négationniste »!Voir notre commentaire de l'iconographie du jour pour se faire une opinion fondée sur la pauvreté terrifiante et les contradictions évidentes de ce texte.
Si elle était poursuivie à ce titre par la CGT du personne communal pour dénonciation calomnieuse, cela ne serait que justice.....A ce niveau de stupidité manifeste emplie de mauvaise foi, il est indispensable de mettre des bornes précises aux dérives récurrentes de l'élue concernée depuis mai-juin 2010.
Marylise Dipusu
Chapitre 373 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008