Notre iconographie du jour sera consacré aux deux thèmes du danger et de la bêtise (pas de Cambrai, mais relative à Asnières sur Seine).
Notre première image sera donc un panneau indiquant un danger réel et proche, comme celui du communautarisme dénoncé avec raison par les ennemis du système Aeschlimann depuis 2001 et dont nous voyons aujourd'hui les ravages et les pressantes menaces.
Notre seconde image montre un âne essayant de lire et de comprendre ce qu'il lit, comme certains à Asnières dont des bêtises dites aussi âneries sans même s'en rendre bien compte.
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A trop vouloir diviser.....
La crise politique ne cesse de se développer et les récents sondages d'opinions démontrent que les choses sont en voie d'évoluer très vite, sur fond de scandales politico-financiers de plus en plus affirmés et dénoncés.
La panique commence à envahir les divers étages du pouvoir national, mais elle se répand aussi dans les collectivités territoriales comme dans les partis politiques qui se sont intégrés aux institutions obsolètes de la 5ème République qui n'en finit pas d'agoniser.
A Asnières, ces phénomènes nationaux trouvent leurs traductions locales originales.
Ainsi, notre dernier article sur les « candidats communautaristes » propulsés par Manuel Aeschlimann a provoqué une onde de choc qui a frappé les composantes de la galaxie structurée autour de ce dernier.
Les révélations des liens étroits entre Richard Prasquier, Président du CRIF, communautariste convaincu et grand amateur de censure politique, et le candidat asnièrois Ralph Bohbot ont été largement répercutées dans les rangs des partisans des candidats communautaristes Mohamed Bentebra et Zouhaïr Ech Chetouani où cela a légitimement choqué et indigné. Mais; l'indignation a été encore plus large dans la population car les liens donnés circulent beaucoup sur Internet.....
Pire encore, le rappel des subventions publiques pour la réfection du toit de la synagogue d'Asnières, accordées par Manuel Aeschlimann en application d'une loi pétainiste de 1942, a « frappé » fortement les citoyens de confession musulmane. Les traitements inégaux génèrent des sentiments de colère légitime.
Bref, le système Aeschlimann a usé et abusé du communautarisme à outrance de 2001 à 2008.
Aujourd'hui, il en reçoit le boomerang avec une force démultipliée.
Combien de fois, entre 2001 et 2008, les opposants au système Aeschlimann n'ont-ils pas dénoncé les tracts à caractère ethnique, les informations données aux uns et cachées aux autres afin de manipuler tout le monde en divisant les citoyens selon des critères nettement communautaristes?
Les pratiques passées du système Aeschlimann, centre d'essai des dérives sarkozystes, ont ainsi nourri la progression du Front National qui taille maintenant des croupières croissantes à l'UMP en voie d'explosion-implosion.
Le système Aeschlimann était un poison pour l'UMP. Le venin aeschlimannien a fait son œuvre: il a préparé lentement la défaite et l'explosion d'une UMP qui n'a plus ni programme, ni morale, alors qu'entourée par les scandales et les « affaires ».
Un ancien élu de Manuel Aeschlimann nous a envoyé ce commentaire qui résume bien les choses:
« Avec les révélations explosives d'Asnières Nouvelles Citoyennes sur les liens amicaux Prasquier-Bohbot, Manuel Aeschlimann va avoir du mal à garder la mainmise sur des électorats « communautaires » qui s'aperçoivent qu'ils ont été dupés depuis des années. Il va être très dur pour le système Aeschlimann d'expliquer par exemple qu'il soutient à la fois un chaud partisan du CRIF anti-démocratique ET les « débats nationaux » qui visent à stigmatiser les musulmans tandis que son représentant est aussi l'avocat bien payé des criminels de guerre en Afrique qui ont massacré, torturé et violé les populations africaines au compte des intérêts financiers des entreprises françaises sur le continent ».
Quant à nous, nous remercions chaleureusement le directeur de campagne du candidat Ralph Bohbot d'avoir, par ses déclarations ridicules, contribué à faire circuler et diffuser plus largement les informations que nous avons révélées, d'autant que son appel vain à une censure impossible n'a fait que renforcer les analogies de pensée anti-démocratique entre le candidat qu'il dit servir et Monsieur Richard Prasquier, le grand censeur des réunions publiques libres!
Avoir réussi à faire d'un petit candidat local à Asnières un sulfureux ennemi de la démocratie dans tout le pays, c'est un vrai succès.
Le mot de la fin est laissé à notre amie Julie, amatrice de blagues truculentes qui moquent les gros egos avec pétulance:
« Ce Bohbot, avec son côte chochotte de précieuse ridicule, nous devrions l'embaucher comme publiciste du blog ».
Marylise Dipusu
Chapitre 424 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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