Sur la photo ci-dessus, des timbres postaux similaires aux 60.000 timbres -pour la somme de 30.000 euros) dont Bernard Loth, ancien Directeur Général des Services de la Ville sous Manuel Aeschlimann, son ancien mandataire financier de campagne en mars 2008, englué dans DEUX affaires pénales.
Voici un ancien grand et très proche homme de confiance du système Aeschlimann qui est donc accusé, selon les affaires qui l'accablent maintenant, de vol et recel de vol de biens publics, de corruption passive ou de trafic d'influence.
Quel bilan de banqueroute morale complète pour le système Aeschlimann- donc les époux Aeschlimann- et quelle confiance des citoyens peuvent-ils encore apporter à des élus qui ont choisi et protégé à toute force un tel personnage?
La vérité sur la réalité sombre, opaque, peu ragoutante, que cachait le système Aeschlimann surgit devant le public, médusé par toutes ses pratiques aujourd'hui mises à jour.
Voilà les époux Aeschlimann- qui ont conservé contre les critiques avérées et fondées de certains de leurs élus (dont notamment Jean-Jacques Semoun) Monsieur Loth à son poste jusqu'à la défaite du 16 mars 2008- bien mouillés par leur aveuglement coupable et leur incapacité à choisir des collaborateurs sans tache.
De ces affaires ressort une autre vérité: Sébastien Pietrasanta va-t-il enfin cesser de taire, celer, cacher les faits publics concernant la gestion passée de la Ville sous les époux Aeschlimann? Va-t-il confirmer aux citoyens d'Asnières que la commune est bien partie civile dans ces dossiers explosifs?
Et les époux Aeschlimann vont-ils reconnaître que leur gestion passée a été fortement frappée et dévalorisée par le DOUBLE prévenu Bernard Loth? Vont-ils désavouer publiquement leur ancien bras droit?
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2 affaires pénales et un maire qui a caché des informations essentielles aux citoyens et aux élus d'Asnières.
Ce 18 septembre 2009 restera un jour sombre pour Bernard Loth, ancien Directeur Général des Services de la mairie d'Asnières sous Manuel Aeschlimann et un jour de vérité PUBLIQUE sur les cachotteries aux citoyens ( et à ses propres élus) de Sébastien Pietrasanta.
Car, étrangement, la responsable juridique de la Ville était présente dans la salle d'audience de la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre, ce qui prouve que le maire savait depuis « un certain temps » que ces DEUX affaires pénales concernant Bernard LOTH existaient.....
Revenons aux faits eux-mêmes, sources diverses à l'appui:
1ère affaire pénale pour Bernard LOTH
Monsieur Bernard LOTH est prévenu du délit de corruption passive et de trafic d'influence avec des sociétés privées prestataires à l'époque de la Ville, car 65.000 timbres-postes (valeur: 30.000 euros) avaient été retrouvés à son domicile personnel lors d'une perquisition de la Police Judiciaire en novembre 2007, dans le cadre de l'affaire Avenance.
La Justice estime que ces 60.000 timbres postaux auraient été donnés à Bernard Loth par la société DERICHEBOURG POLYURBAINE et auraient constitué une forme de corruption par celle-ci du haut fonctionnaire d'Asnières.
Il semblerait- selon des sources qui ont eu à connaître du dossier- que ces 60.000 timbres aient été stockés dans son domicile privé afin de préparer un envoi massif de courrier aux électeurs d'Asnières.
La Ville d'Asnières sur Seine SERAIT PARTIE CIVILE dans cette affaire, ce qui n'a JAMAIS été annoncé par le maire aux élus et aux citoyens AVANT ce 18 septembre 2009!
L'affaire sera jugée le 4 décembre 2009 par la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre à partir de 14 heures
Plus d'informations aussi sur ce lien:
http://asnierois.org/fw/html/modules.php?name=News&file=article&sid=991
Des faits plus précis et plus détaillés encore sur ce lien découvert par la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes où Sébastien Pietrasanta aurait dit au journaliste que la Ville était partie civile dans les DEUX AFFAIRES.
2ème affaire pénale pour Bernard LOTH
Monsieur Bernard Loth est prévenu de CORRUPTION PASSIVE dans le passage du contrat d'affermage entre le Ville d'Asnières et la société Avenance Enseignement en vue de fournir les cantines scolaires des écoles publiques de la Ville.
Ce dossier sera jugé le 3 décembre 2009 à partir de 14 heures par la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre. Un responsable de la société Avenance Enseignement est aussi prévenu dans cette affaire.
Bien que des sources proches du maire indiquent que la Ville se soit aussi constituée partie civile dans ce dossier très sensible, nous n'avons pu en avoir confirmation ni par la mairie, ni par le TGI de Nanterre.
Si tel était le cas, cela prouverait que Sébastien Pietrasanta a tenté de tout faire afin que ses élus et les citoyens de la commune ne soient ni informés de l'existence de ce scandale financier qui porte préjudice au budget de la Ville, ni de la constitution de partie civile de la commune.
Pourquoi ce silence incroyable qui frise la désinformation du public?
Plus d'information sur cette affaire via le site de l'AFP:
http://filinfo.france3.fr/popup_afp.php?nameRegion=idfcentre&id=090918164540.dmne2dgs
Une nouvelle fois, la preuve est apportée qu'Asnières Nouvelles Citoyennes avait raison et que ses informations étaient exactes.
Nous demandons à Sébastien Pietrasanta de confirmer ou infirmer sa connaissance antérieure de ces dossiers judiciaires et les constitutions de partie civile dans ces 2 dossiers par la Ville.
Nous demandons au député Manuel Aeschlimann de s'expliquer sur les raisons pour lesquelles, lui aussi, de son côté, a fait semblant de ne pas en être informé.
A Asnières Nouvelles Citoyennes, nous sommes fiers d'avoir dit la vérité et de voir maintenant nos informations originales confirmées publiquement par les médias nationaux.
Notre combat pour une véritable information citoyenne, libre et indépendante des intérêts des politiques et de leurs possibles arrangements, continue.
Marylise Dipusu
Chapitre 194 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008