Ci-dessus notre iconographie en relation avec le député UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, qui semble damné, bien qu'aussi condamné en Appel dans l'affaire du Festival International folklorique.
Tout d'abord, une image tiré d'un film de Visconti sur les damnés, avec des flammes qui ressemblent à une description imaginaire d'un enfer sur terre.
Ensuite, l'image de présentation du film "l'asile des damnés", le titre pouvant symboliser avec justesse les restes du système Aeschlimann où quelques personnes croient encore que l'impossible se réalisera par un miracle rêvé.
Enfin, comme Manuel Aeschlimann est un avocat qui a parsemé sa route de condamnés tout en se disant "innocent" de tout ce qui a été fait pour lui par ses anciens amis aujourd'hui sanctionnés par la Justice au cours des années, il est naturel de lui dédier en hommage respectueux, en leur nom à tous, de Charles Caillet à Francis Pourbagher, en passant par Bernard Loth, l'image d'annonce du film "l'avocat des damnés".
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Le député damné et condamné de l'UMP
On a peine à y croire tant la chose est énorme, mais elle est avérée par l'ancien candidat au scrutin cantonal de mars 2011 pour l'UMP, Thierry Le Gac: Manuel Aeschlimann a menacé par lettre recommandée avec AR son ancien militant Thierry le Gac de « poursuites judiciaires » s'il ne lui remettait pas les clefs techniques des comptes Facebook et Twitter que l'ex-candidat UMP avait créés à titre personnel.
« Manuel la menace » a donc encore frappé, alors que ses anciens amis de parti dénoncent ouvertement le sabotage manifeste, par le couple Aeschlimann, de la campagne de l'UMP asnièroise en faveur de son champion, Thierry le Gac.
« Manuel la menace » voulait donc faire taire Thierry le Gac et ses amis, très critiques envers les époux Aeschlimann, qui, battus et rebattus, essaient, en détruisant tout leur parti sur Asnières, de survivre encore quelques temps......
« Manuel la menace » a encore raté: les jeunes de son parti sortis de son emprise mortifère se libèrent et parlent publiquement. Le coup se retourne contre son auteur, plus isolé et abandonné encore aux yeux de tous et passant de plus en plus pour un « petit dictateur » aux yeux des habitants comme de ses anciens militants!
Comme en 1998 pour la victoire de Dominique Riera sur le canton nord, la vérité sur les pratiques destructrices de son propre parti par les époux Aeschlimann arrive au grand jour et est étalée en place publique.
Comme la génération RPR des années 1998 l'avait compris et intégré, notamment après l'affaire des deux listes aux élections municipales de mars 2011 et celle dite des « corbeaux », la génération UMP 2011 intègre que les époux Aeschlimann ne s'intéressent ni à leur parti, ni à son programme, ni à son existence ou à sa disparition, mais....uniquement à eux-mêmes!!!
L'UMP locale ne leur obéit plus, alors, pour eux, la solution est simple: il faut la détruire de fond en comble afin de constituer « un mini-parti », à la hauteur des « mini-ambitions »du couple: exister encore un peu, faire croire qu'il existe politiquement, essayer d'en convaincre un appareil qui les lâche de plus en plus ouvertement!!!
Le résultat de 15 ans de trahisons à répétition, de retournements permanents de veste et d'absence absolue de principes politiques clairs et cohérents est aujourd'hui éclatant pour toutes et tous, même dans son propre parti et parmi ses anciens électeurs.
Les époux Aeschlimann mènent bien leur propre parti aux pires défaites, en le divisant, en le morcelant pour satisfaire aux seuls idéaux de leur petit ego.
Nous l'avions dit et annoncé, mais la démonstration en est chaque jour plus éclatante tant cela est devenu une vérité incontournable: « tant que les époux Aeschlimann ne seront pas chassés de la scène politique asnièroise, l'UMP de cette ville ira de catastrophe en déroute, de divisions en explosions, le tout sur fond de haines vivaces et de rancunes tenaces ».
Que ce soit avec Rama Yade ou quiconque d'autre, l'UMP ne pourra se reconstruire, sur Asnières et même avoir tout simplement un avenir, qu'en rompant totalement avec les époux Aeschlimann, leurs pratiques délétères et leur égoïsme destructeur.
C'est un constat, mais un constat qui appelle des mesures. Et celles-ci ne devraient pas tarder à venir......
Pendant ce temps, Manuel Aeschlimann, seul, de plus en plus esseulé, essaie encore de bluffer: il annonce continuer son pourvoi en Cassation dans l'affaire du Festival Folklorique.
Fort bien, disent ses nombreux ennemis: si par un hasard miraculeux, la Cour de Cassation cassait en droit le jugement d'Appel, l'affaire repartirait à zéro, avec des années de procédure médiatiquement suivie!!!
C'est le droit français que le député-avocat Manuel Aeschlimann connaît visiblement très mal qui le dit.....Et les intérêts civils à payer par les condamnés en Appel resteront à débourser par eux.
Manuel Aeschlimann est vraiment devenu « le damné d'Asnières ».
Quand on écrira l'histoire publique de Manuel Aeschlimann, le récit risque de commencer ainsi, de manière quelque peu hugolienne:
« O combien de ses élus, combien de ses amis, combien de ses proches ont été pour lui et à cause de lui condamnés? »
Et la longue, très longue liste des damnés à cause de Manuel Aeschlimann risque encore de s'allonger avec Bernard Loth et Cyrille Dechenoix.....
Marylise Dipusu
Chapitre 445 des chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008