Notre iconographie du jour sera liée aux signes annonciateurs visibles de grands évènements météorologiques ou volcaniques, comme d'autres évènements sont les précurseurs, par exemple dans la vie publique d'une commune comme Asnières sur Seine, de graves crises que nul ne pourra éviter plus tard s'il ne prend pas les dispositions afin de ne pas être frappé par ces catastrophes pourtant bien prévisibles.
En premier lieu, un ciel annonçant un violent orage avec des pluies très abondantes.
En seconde image, une photo aérienne d'un volcan européen qui fume et crache une vapeur importante, signe qui permet de prévoir une éruption prochaine.
A Asnières, des signes de crises se multiplient, mais il semble que ceux qui devraient les voir et les apprécier objectivement veulent ne pas voir, ni comprendre....
Et pourtant, les dossiers lourds et menaçants s'accumulent pour la municipalité issue du vote populaire du 16 mars 2008 dont le maire se refuse à suivre les engagements pris devant les citoyens pour gérer la ville de manière transparente, pluraliste, ouverte et réellement au service des habitants.
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Dossier « VERITAS » et questions « pas anodines »: attention, danger!
En mars 2008, Sébastien Pietrasanta battait aux élections municipales Manuel Aeschlimann, envoyant son système indigne de la démocratie dans un passé aux effluves peu ragoutantes.
A cette époque, le nouvel édile promettait une ville apaisée, une pratique municipale transparente, des rapports de vérité avec les habitants de la commune d'Asnières.
Nous allons bientôt arriver aux 3 ans de mandat de Sébastien Pietrasanta.
Ce 3ème anniversaire risque bien de souligner, a contrario, que des engagements pris n'ont pas été tenus, que la Ville, comme le fait l'Etat sarkozyste, se désengage toujours plus de ses outils politiques propres (gestion municipale des logements sociaux par exemple) et continue à vendre les biens publics.
Sur le terrain de la transparence, le scandale en puissance DES RAPPORTS du groupe VERITAS remis à un maire qui les a tenus secrets durant 8 mois avant de permettre aux citoyens de constater que ces Rapports étaient incomplets menace gravement toute la municipalité d'une crise dévastatrice.
Sur ces faits et sur cette gestion, les époux Aeschlimann essaient avec l'acharnement du désespoir de se bâtir un terreau propice à des tentatives de déstabilisation- y compris par la voie judiciaire- de cette même municipalité.
La question, pas du tout « anodine » de Manuel Aeschlimann sur la gestion de la Régie de quartier, vise- nul ne peut en douter- à préparer une campagne massive de suspicions de possibles délits contre le maire et les élus de sa majorité, elle-même fortement secouée en interne, tout en démontrant que le maire actuel, qui soutint ANTICOR, ne parvient pas à assurer la transparence qu'il avait promise.
A la clé de cette initiative, une potentielle action en Justice visant le maire actuel de la commune pour d'éventuelles dérives dans la gestion de la Régie de quartier, car il est clair que Manuel Aeschlimann soupçonne cette Régie de quartier de servir des intérêts partisans, en clair ceux du PS....
Nous avons en effet à Asnières un député qui aime filmer, espionner, comme il l'avoue lui-même sur son blog en évoquant des militants PS collant des affichettes demandant la démission de son siège de député de Manuel Aeschlimann!!!
Plus menaçant encore est le potentiel explosif du dossier DES RAPPORTS VERITAS INCOMPLETS.
Certes, le groupe « VERITAS » est en première ligne dans ce dossier, mais Sébastien Pietrasanta est juste derrière cette ligne fragile et instable.
Visiblement, le maire ne mesure pas la gravité de la situation et les conséquences de cette dernière.
Sébastien Pietrasanta a cru qu'il pouvait naguère jouer « la montre » contre les riverains du stade Magenta.
Cette tactique anti-démocratique, absurde et indigne se retourne contre lui et tous ses élus, y compris son candidat aux élections cantonales.
Et voilà que contraint de donner LE rapport VERITAS demandé par les habitants, il leur offre DES RAPPORTS, de plus INCOMPLETS.
On hésite, pour définir la stratégie de Sébastien Pietrasanta dans ce dossier, entre les adjectifs : « stupide », « maladroite » ou « incompétente ».
Le maire, qu'on connut mieux inspiré, paraît avoir perdu contact avec la réalité et être incapable de réaliser, de manière démocratiquement collective, pluraliste et ouverte, les engagements de son programme initiale, ce qui est lourd de menaces pour la commune.
C'est pour cela que sa majorité est en crise ouverte latente, et que, comme pour Manuel Aeschlimann, les anciennes trahisons en interne qu'il a suscitées se retournent maintenant contre lui, tant au sein de la majorité que dans l'opinion publique citoyenne.
C'est aussi ce que constate Manuel Aeschlimann qui essaie dorénavant d'utiliser les dérives politiques, et gestionnaires dans certains dossiers, de Sébastien Pietrasanta, pour abattre politiquement, voire par la voie judiciaire, celui-ci
Comme disait un membre de notre rédaction en guise de synthèse: « Les « affaires » appellent les « affaires ».
La bêtise du jour: les époux Aeschlimann attaquent l'action de Brice Hortefeux, et pourtant, le 10 mars arrive......
Comme nul ne l'ignore, la sécurité des citoyens et des biens est une mission régalienne de l'Etat.
Ceci étant rappelé, il est intéressant que les époux Aeschlimann ne cessent de critiquer, sur le plan local asnièrois, le bilan sécuritaire...... du ministre Brice Hortefeux.
On ne sait si c'est là une preuve de folie politique ou d'inconscience caractérisée par le couple qui ressasse ce thème anti-gouvernemental sans se lasser.
Pour notre part, nous ne pointerons que le côté politiquement dangereux pour les époux Aeschlimann: car c'est bien à leur initiative que les époux Hortefeux ont dîné avec eux en 2004 lors d'un repas dont l'addition fut payée en toute infraction aux lois en vigueur par....le groupe AVENANCE!
Comme cette affaire est audiencée le 10 mars 2011, il peut sembler contre-indiqué pour le couple Aeschlimann de jeter sans arrêt l'opprobre sur le bilan de Brice Hortefeux.
Le ministre pourrait finir par ne pas apprécier, qu'après un diner qui le mêle involontairement à une scabreuse affaire judiciaire de marchés publics, qu'après les 10000 exemplaires du livre « A l'ombre du Coran » trouvés à Asnières, les deux époux Aeschlimann le chargent de tous les maux de la sécurité à Asnières en soulignant chaque fait délictuel comme la preuve de son échec ou de son incompétence.
Les graves fautes passées des époux Aeschlimann, qui croient qu'une mairie et un siège de député est une propriété privée de couple, se retournent contre eux de tous côtés.
Ce n'est pas Rama Yade qui s'en plaindra, elle qui prend ses marques dans la direction de l'UMP pour chasser de la vie politique asnièroise le couple Aeschlimann qui va d'échec en désastre depuis un certain 16 mars 2008.
Comme le commente un ancien élu de Manuel Aeschlimann:
" Les époux Aeschlimann me font de plus en plus penser dans leur comportement public aux époux Ceausescu, chassés de leurs palais par un peuple en colère, qui s'accrochaient encore devant les caméras de leurs juges à leur pouvoir perdu et leur hurlaient au visage qu'eux seuls étaient l'avenir du peuple roumain. Entendre Manuel Aeschlimann évoquer "mon siège de député" comme un monarque absolu qui croit que le siège en question est sa propriété privée ou indiquer que seule sa femme peut lui "succéder -sic!!!)" trahit un esprit petit, mesquin, anti-républicain, voire carrément incapable de reconnaître la réalité politique de sa situation pathétique et désespérée".
Un commentaire qui traduit une opinion assez répandue sur les époux Aeschlimann que les sorties contre les prétentions de Rama Yade rendent de plus en plus impopulaires tant leurs paroles méprisantes concourent à les faire rejeter par tout le monde, la population et les autres politiques....
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Stationnement à Asnières: la colère monte, monte......
Le candidat PS au scrutin cantonal parle de beaucoup de choses dans ses écrits, mais il se tait sur un sujet sensible, très sensible: le stationnement à Asnières.
Certes, ce n'est pas du ressort du Conseil Général des Hauts de Seine. Mais........
Comment convaincre les électeurs du canton nord qu'on peut être un élu attentif à leurs exigences et problèmes lorsqu'on a aussi mal géré deux dossiers locaux que les nuisances sonores générées par le stade Magenta et le stationnement dans la commune.
Sur le second dossier, quelle serait la réaction des électeurs vis à vis du candidat du PS asnièrois si partout est révélé que, non content de ne rien faire en mairie CONTRE LE MANQUE CROISSANT DE PLACES DISPONIBLES, cet élu et candidat soutient comme SOLUTION-BIDON aggravant l'ensemble de la situation l'EXTENSION DU STATIONNEMENT PAYANT?
Luc Bérard de Malavas sait ce que préconise son ami maire pour certains quartiers qui connaissent une montée de la colère contre LE MANQUE DE PLACES DISPONIBLES.: une nouvelle charge sur le dos des habitants au profit du groupe VINCI!!!
Pour allumer le feu d'un incendie citoyen légitime, cette idée est comme une allumette craquée près d'un lac empli d'essence inflammable.
Avec ce dossier et celui du scandale des rapports VERITAS, le candidat Luc Bérard de Malavs n'est réellement pas aidé par son ami maire à s'attirer la sympathie des électeurs, bien au contraire....
Posons pour cet élu asnièrois (et ses amis) le théorème suivant:
« dossiers locaux non-résolus et/ou non-traités à fond= échec garanti aux élections »
Marylise Dipusu
Chapitre 409 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008