La victoire de Valérie Pécresse aux élections internes de l'UMP pour désigner la tête de liste de ce parti au scrutin régional en Ile de France de 2010 est un terrible camouflet politique pour les époux Aeschlimann qui ont soutenu son concurrent Roger Karoutchi de toutes leurs faibles forces.
Dorénavant, ce sont les deux époux Aeschlimann qui sont menacés de perdre leurs mandats les plus importants: lui, le siège de député via une décision de Justice qui semble inévitable au vu du dossier pénal, elle, son poste de Conseillère régionale suite aux votes des militants de son parti, car elle sera certes sur la liste aux élections régionales, mais en position inéligible.
Où que se tournent désormais les époux Aeschlimann, les menaces s'accumulent, les échecs s'amoncellent et la descente dans l'enfer de la perte de crédibilité publique se poursuit sans cesse.
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Dorénavant, ce sont les deux époux Aeschlimann qui sont menacés de perdre leurs mandats les plus importants: lui, le siège de député via une décision de Justice qui semble inévitable au vu du dossier pénal, elle, son poste de Conseillère régionale suite aux votes des militants de son parti, car elle sera certes sur la liste aux élections régionales, mais en position inéligible.
Où que se tournent désormais les époux Aeschlimann, les menaces s'accumulent, les échecs s'amoncellent et la descente dans l'enfer de la perte de crédibilité publique se poursuit sans cesse.
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Heureusement qu'il y a les militants UMP pour donner des vrais coups de pied de l'âne politiques aux époux Aeschlimann.
On se rappelle que ceux-ci avaient fait campagne, de manière voyante- excessivement voyante selon certains- pour la candidature de Roger Karoutchi comme tête de liste UMP au scrutin régional Ile de France, contre Valérie Pécresse.
Laquelle était appuyée par l'Elysée....
Et bien, la nouvelle est tombée et atteint encore durement les époux Aeschlimann: Roger Karoutchi est battu à plate-couture par les militants UMP franciliens. Voilà qui sonne comme un désaveu aussi pour les choix communs affichés de manière ostentatoire des époux Aeschlimann!
C'est Valérie Pécresse qui sera donc tête de liste aux élections régionales de 2010!
http://www.lefigaro.fr/politique/2009/03/22/01002-20090322ARTFIG00100-pecresse-candidate-ump-aux-regionales-en-ile-de-france-.php
http://www.ump-asnieres.org/2009/03/22/resultat-des-primaires-en-ile-de-france/
Une question angoissante demeure: que va-t-on faire des éternels et répétitifs perdants que sont les époux Aeschlimann à l'UMP?
Certains -es évoquent la possibilité de les laisser à leur triste sort de perdants permanents, ce qui reviendrait à ne plus leur accorder aucune investiture du parti UMP. Quelle angoisse pour les époux précités!
Visiblement, d'une certaine façon, le couple Aeschlimann subit une crise politique et de confiance de plein fouet de la part de leur amis de parti (et de leurs militants).
Le camouflet est surtout pour le moment terrible pour Marie-Dominique Aeschlimann: elle risque de perdre sa place de Conseillère régionale car Valérie Pécresse et ses partisans veulent- chose naturelle et légitime- présenter aux places éligibles leurs propres amis-es.
L'ennui est que Marie-Dominique Aeschlimann a choisi le mauvais cheval dans ce scrutin et qu'elle pourrait en être « récompensée » par une place sur la liste UMP régionale, mais une place qui la rendrait, comme son mari bientôt probablement, aussi inéligible!
L'inéligibilité, par la Justice et/ou par leur parti, voici le danger commun; donc partagé, qui menace les époux Aeschlimann. Et comme leurs mandats sont leurs seuls gagne-pain, ils risquent bientôt de se retrouver sans ressources issues des fonds publics!
La descente aux enfers politiques se poursuit. Inexorablement!
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Sébastien Pietrasanta au secours du député UMP en détresse ou en voie de le déconsidérer de manière définitive?
Seule et maigre consolation dans cette mer de désolation et de nouvelles négatives pour les Aeschlimann: le maire d'Asnières semble vouloir aider à la survie politique du député Manuel Aeschlimann en l'associant à une initiative de demande de policiers nationaux supplémentaires à Asnières, demande faite au gouvernement dont Manuel Aeschlimann est censé être un des appuis parlementaires.
Il est vrai que des échauffourées- dont les époux Aeschlimann sont fort étrangement toujours très vite informés- ont lieu avec une certaine régularité à Asnières depuis quelques semaines.
Aussi, ceux-ci font campagne, cela tombe bien avec ces violences, sur le thème de l'insécurité.
Dans ce contexte, la manoeuvre de Sébastien Pietrasanta peut être analysée comme une manière de prendre les époux Aeschlimann, tous les deux élus UMP et ne cessant de parler d'insécurité, à leur propre jeu.
Car, de deux choses l'une:
- soit la demande commune est acceptée et chacun des deux élus pourra s'en féliciter et s'en attribuer les mérites;
- soit la requête faite ensemble est rejetée, alors, c'est le seul député UMP qui sera ridiculisé par son propre gouvernement et le maire pourra alors moquer son inefficacité en termes de sécurité, toute la responsabilité d'un échec étant rejetée exclusivement sur Manuel Aeschlimann.
Vu la précédente réponse négative de la Ministre de l'Intérieur, et eu égard aux effectifs policiers disponibles autant qu'aux potentialités budgétaires, les chances d'un échec sont assez importantes.
Ceci dit, du point de vue de la tactique électorale, pour le maire, quelle que soit la réponse, il joue gagnant: pour le député UMP, un refus signerait son échec sur son propre terrain sécuritaire alors qu'un succès serait à partager avec le maire.
Pour Manuel Aeschlimann, le choix est donc entre un demi-succès et un désastre total.
Le tout avec les finances du pays en plein désarroi et un gouvernement qui perd ses moyens budgétaires avec la récession économique.
Asnières Nouvelles Citoyennes communiquera bien évidemment la réponse ministérielle, qui sera sans nul doute mûrement pesée dans chaque mot utilisé, aux deux élus.
Ceci étant pointé, la mairie serait bien inspirée de demander aux services de police d'où proviennent précisément ces violences printanières subites et répétitives et qui en serait à l'origine.
Il est toujours utile de s'informer sur les auteurs de ces échauffourées....
Chapitre 121 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
Marylise Dipusu
On se rappelle que ceux-ci avaient fait campagne, de manière voyante- excessivement voyante selon certains- pour la candidature de Roger Karoutchi comme tête de liste UMP au scrutin régional Ile de France, contre Valérie Pécresse.
Laquelle était appuyée par l'Elysée....
Et bien, la nouvelle est tombée et atteint encore durement les époux Aeschlimann: Roger Karoutchi est battu à plate-couture par les militants UMP franciliens. Voilà qui sonne comme un désaveu aussi pour les choix communs affichés de manière ostentatoire des époux Aeschlimann!
C'est Valérie Pécresse qui sera donc tête de liste aux élections régionales de 2010!
http://www.lefigaro.fr/politique/2009/03/22/01002-20090322ARTFIG00100-pecresse-candidate-ump-aux-regionales-en-ile-de-france-.php
http://www.ump-asnieres.org/2009/03/22/resultat-des-primaires-en-ile-de-france/
Une question angoissante demeure: que va-t-on faire des éternels et répétitifs perdants que sont les époux Aeschlimann à l'UMP?
Certains -es évoquent la possibilité de les laisser à leur triste sort de perdants permanents, ce qui reviendrait à ne plus leur accorder aucune investiture du parti UMP. Quelle angoisse pour les époux précités!
Visiblement, d'une certaine façon, le couple Aeschlimann subit une crise politique et de confiance de plein fouet de la part de leur amis de parti (et de leurs militants).
Le camouflet est surtout pour le moment terrible pour Marie-Dominique Aeschlimann: elle risque de perdre sa place de Conseillère régionale car Valérie Pécresse et ses partisans veulent- chose naturelle et légitime- présenter aux places éligibles leurs propres amis-es.
L'ennui est que Marie-Dominique Aeschlimann a choisi le mauvais cheval dans ce scrutin et qu'elle pourrait en être « récompensée » par une place sur la liste UMP régionale, mais une place qui la rendrait, comme son mari bientôt probablement, aussi inéligible!
L'inéligibilité, par la Justice et/ou par leur parti, voici le danger commun; donc partagé, qui menace les époux Aeschlimann. Et comme leurs mandats sont leurs seuls gagne-pain, ils risquent bientôt de se retrouver sans ressources issues des fonds publics!
La descente aux enfers politiques se poursuit. Inexorablement!
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Sébastien Pietrasanta au secours du député UMP en détresse ou en voie de le déconsidérer de manière définitive?
Seule et maigre consolation dans cette mer de désolation et de nouvelles négatives pour les Aeschlimann: le maire d'Asnières semble vouloir aider à la survie politique du député Manuel Aeschlimann en l'associant à une initiative de demande de policiers nationaux supplémentaires à Asnières, demande faite au gouvernement dont Manuel Aeschlimann est censé être un des appuis parlementaires.
Il est vrai que des échauffourées- dont les époux Aeschlimann sont fort étrangement toujours très vite informés- ont lieu avec une certaine régularité à Asnières depuis quelques semaines.
Aussi, ceux-ci font campagne, cela tombe bien avec ces violences, sur le thème de l'insécurité.
Dans ce contexte, la manoeuvre de Sébastien Pietrasanta peut être analysée comme une manière de prendre les époux Aeschlimann, tous les deux élus UMP et ne cessant de parler d'insécurité, à leur propre jeu.
Car, de deux choses l'une:
- soit la demande commune est acceptée et chacun des deux élus pourra s'en féliciter et s'en attribuer les mérites;
- soit la requête faite ensemble est rejetée, alors, c'est le seul député UMP qui sera ridiculisé par son propre gouvernement et le maire pourra alors moquer son inefficacité en termes de sécurité, toute la responsabilité d'un échec étant rejetée exclusivement sur Manuel Aeschlimann.
Vu la précédente réponse négative de la Ministre de l'Intérieur, et eu égard aux effectifs policiers disponibles autant qu'aux potentialités budgétaires, les chances d'un échec sont assez importantes.
Ceci dit, du point de vue de la tactique électorale, pour le maire, quelle que soit la réponse, il joue gagnant: pour le député UMP, un refus signerait son échec sur son propre terrain sécuritaire alors qu'un succès serait à partager avec le maire.
Pour Manuel Aeschlimann, le choix est donc entre un demi-succès et un désastre total.
Le tout avec les finances du pays en plein désarroi et un gouvernement qui perd ses moyens budgétaires avec la récession économique.
Asnières Nouvelles Citoyennes communiquera bien évidemment la réponse ministérielle, qui sera sans nul doute mûrement pesée dans chaque mot utilisé, aux deux élus.
Ceci étant pointé, la mairie serait bien inspirée de demander aux services de police d'où proviennent précisément ces violences printanières subites et répétitives et qui en serait à l'origine.
Il est toujours utile de s'informer sur les auteurs de ces échauffourées....
Chapitre 121 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
Marylise Dipusu