Ci-dessus, un guide de la concertation que la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes offre volontiers à la Municipalité afin de comprendre qu'une concertation sincère se fait AVANT la réalisation technique d'un projet et non APRES que les habitants aient été mis en colère. Cela est valable pour le quartier Voltaire, mais aussi pour le quartier centre ville et LES PROJETS qui entourent le plan du parking public souterrain au nombre de places déjà notoirement insuffisantes.
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A Asnières, la concertation se fait après la décision: démonstration en réunion
La mairie d'Asnières avait produit la concertation en famille avec Madame Annie Lafaye. Elle a généré les CCQ qui ne représentent personne et sont de parfaites coquilles vides conçues pour donner un vernis démocratique apparent à des mesures prises dans le secret du bureau du maire.
Elle vient d'inventer un concept de concertation résolument avant-gardiste: la concertation qui succède à la décision!
Ainsi, la mairie, lectrice assidue d'Asnières Nouvelles Citoyennes, et sachant que le quartier Voltaire commençait à bouillir de colère contenue, essaie de reprendre l'initiative. Ce qui en soi est plutôt une bonne nouvelle si le mépris envers les riverains cesse et si cette réunion aboutit à prendre vraiment en compte les intérêts des citoyens concernés.
Elle invite donc, via son service « Commerce et Artisanat », les commerçants du quartier Voltaire à venir débattre des problèmes engendrés par les travaux de réaménagement du boulevard Voltaire, travaux commencés sans avis préalable le 1er juin 2010.
La réunion en question se tiendra le 23 JUIN 2010 à 20 heures, au Centre Administratif et Social, salle 2, 2ème étage.
Comme le thème de cette assemblée peut intéresser aussi tous les habitants automobilistes qui empruntent quotidiennement le boulevard Voltaire, nous donnons une large publicité à cette réunion en conseillant aux riverains et passants motorisés d'y venir en nombre aussi car cela touche à leur vie quotidienne.
Lettre publique d'une citoyenne du quartier centre à MM Martin Saint Léon et Massol
Notre rédaction a reçu une lettre d'une habitante du quartier centre ville qui réagit au contenu du tract du Collectif des riverains du centre ville en colère et à ses deux fondateurs identifiés.
Conformément à notre tradition de libre parole citoyenne, nous publions cette lettre comme une contribution au débat public nécessaire sur les faits passés et présents. Les passages en gras et soulignées le sont avec l'accord de l'auteur afin de mettre en valeur les points jugés essentiels:
La parole à notre lectrice:
« Lettre aux fondateurs du Collectif des riverains du centre ville en colère, messieurs Laurent Martin Saint-Léon et Henri Massol
Messieurs,
Défendre le droit à la concertation pour tout projet urbanistique ne peut que réjouir les citoyens asniérois qui, comme moi, sont authentiquement attachés aux principes de la démocratie locale reconnus et promus par la loi du 27 février 2008.
C'est un fait, depuis qu'ils ont été élus en mars 2008, ni Sébastien Pietrasanta, ni aucun des élus de son équipe, n'ont encore donné la preuve qu'ils avaient à coeur de rendre aux citoyens asniérois le pouvoir de participer à la gestion et au développement de leur quartier.
D'où la démobilisation croissante sur les dossiers de la ville par les Asniérois qui semblent n'attendre qu'une seule chose: que l'équipe actuelle passe son chemin une fois remplie sa tâche d'assainir la scène politique locale en la débarrassant définitivement de ce qui reste encore du système aeschlimannien.
Alors, permettez-moi de dire que l'appel nominatif de Monsieur Martin Saint Léon en amuse plus d'un ici!
Dîtes, Monsieur Martin Saint Léon, où étiez-vous dans les années 2004-2008 lorsque des citoyens démocrates se faisaient intimidés par les sbires du maire à force d'utiliser les caméras de surveillance que vous aviez installées et qui marchaient si bien comme vous l'affirmez vous-mêmes sur votre site?
Voyez-vous, ici, tout le monde n'est pas comme Henri Massol, qui, bien qu'ayant lui-même été victime de ces abus, ne semble pas vous tenir grief de vous être de nouveau rapproché de Manuel Aeschlimann au moment de l'élection municipales de mars 2008, en allant jusqu'à vous mettre en 19ème position sur la liste « Asnières en marche » dont il était lui-même le premier!
Au contraire nous, nous n'oublions pas et ne pardonnerons jamais votre persévérance à rester dans l'orbite de ce personnage politique déjà mis en examen sur plusieurs dossiers, qui fut aussi aisément le chantre du communautarisme qu'il devint l'hôte des mollahs représentants officiels de la République Islamique d'Iran.
Pouvez-vous nier que si, à cette époque, on vous a effectivement entendu publiquement, c'était essentiellement sur cette affaire de parking (encore que tout prouve que vous continuez à demeurer étrangement silencieux sur les années 2002-2004)?
Vos discours ont, un temps, pu en endormir certains.
Mais aujourd'hui, à travers une constante propension à exister politiquement coûte que coûte, apparaissent les fissures du discours illisible de l'ancien élu UMP, admirateur hors pair de Charles Pasqua!
Est-il nécessaire de rappeler qu'à Asnières, dans un contexte local pourtant très défavorable à l'UMP locale et à Marie-Dominique Aeschlimann, la liste « Debout La République », que vous défendiez en tant que membre militant, mais aussi en tant que délégué à la 2ème circonscription dans les Hauts-de-Seine, a significativement réalisé un score inférieur (4%) à celui de son score en Ile de France (4,15%) ?
Vous comprendrez, Monsieur Martin Saint-Léon, que nous ayons maintenant mieux à faire qu'à écouter vos appels sans cohérence idéologique, ni politique.
Et nul doute que que votre agitation procédurière éloignera de vous quelques Asnièrois de plus.
A l'inverse, Henri Massol, sort indemne de ce réquisitoire, non en raison d'opinions politiques que je partagerais avec lui, mais parce, d'une part, il demeure un militant sans liens avec l'ancien système aeschlimannien, et, d'autre part, parce qu'il faut bien reconnaître que par sa présence quotidienne sur le terrain et son militantisme dynamique et assidu, il a grandement contribué au renversement du monarque.
Ce en quoi tout honnête citoyen démocrate, quels que soient ses tendances, reconnaît l'action politique utile et efficace.
F L.
habitante du quartier Centre
Rions un peu: quand des liens Facebook ridiculisent les mensonges d'une élue municipale, maire-adjointe à Asnières.....venant de Clamart!
Marie-Christine Baillet est élue municipale- maire-adjointe- à Asnières au titre du Parti Socialiste. Elle vient de la mairie de Clamart (PS) où elle officiait déjà aux question de l'enfance.
Elle est aussi connue parmi ses collègues et par des citoyens asnièrois comme une personne au caractère parfois emporté, voire agressif lorsqu'on a le malheur de ne pas être d'accord avec ses positions souvent très tranchantes.
Apparemment, sa manière de gérer les relations humaines, même amicales, laisse des traces visibles sur Internet, des traces qui peuvent aussi faire rire les citoyens d'Asnières qui veulent mieux connaître les traits de caractère essentiels de leurs élus.
Afin de rire donc des défauts qui sont reprochés publiquement à Madame Baillet par ses anciens amis et relations, Asnières Nouvelles Citoyennes vous présente la découverte réalisée sur Facebok par un de ses fidèles lecteurs et qui vaut le détour comique.
Asnières est une ville rare, une ville où une élue se fait qualifier de « menteuse » en direct sur Facebook et où ce thème reçoit des appuis d'amis de ce réseau social:
Pour comprendre le reproche principal fait à Madame Marie-Christine Baillet, maire-adjointe à Asnières:
Pour apprécier les commentaires de ses anciens amis et relations sur cette élue asnièroise venue de Clamart, comme d'autres de Clichy:
Apparemment, mentir à ses amis n'est pas une idée salutaire pour des élus à l'heure d'Internet! Manuel Aeschlimann, avec ses 7 célèbres trahisons, en sait quelque chose....
Certains élus actuels sont en train d'en faire aussi la douloureuse expérience: Internet et les nouvelles technologies de l'information et de la communication aident les citoyens à vite distinguer les qualités et défauts des élus!
Marylise Dipusu
Chapitre 307 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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