L'histoire récente d'Asnières est connue depuis qu'Internet est devenue la source et les archives des faits publics, avérés et indéniables.
Ainsi en est-il des actes passés et positions anciennes de 3 anciens piliers du système Aeschlimann: Francis Raminé Pourbagher, Mohamed Bentebra et Zouhaïr Ech Chetouani.
Voilà qui rappellera à toutes et tous les vraies valeurs et les principes sociaux de ces trois personnages qui furent liés au système Aeschlimann dans ce qu'il avait de pire et de plus exécrable.
Deux- Bentebra et Ech Chetouani- se sont lancés dans le syndicalisme (!!!) alors qu'avant, ils servaient un député-maire sans réserve, allant jusqu'à surveiller des "opposants" au système Aeschlimann comme de vulgaires sbires d'une dictature bananière.
Le troisième- Pourbagher- est passé du service des époux Aeschlimann.... au service du sanguinaire régime iranien!!! Les esprits serviles se complaisent dans la veule servilité, y compris la plus abjecte.
Il est des trajectoires qui en disent long sur ceux qui en sont les acteurs.
Mais, ces trajectoires doivent être rappelées et soulignées afin que nul n'oublie leur passé commun, ni ne se laisse abuser dans le futur par leurs nouvelles orientations d'apparence.
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Ex-candidats du système Aeschlimann hier, syndicalistes communaux en 2009: au compte de qui en réalité?
Mohamed Bentebra et Zouhaïr Ech Chetouani furent-entre autres- de bons et loyaux serviteurs du système Aeschlimann durant des années, avec à la clé des postes rémunérateurs attribués en récompense de leurs services à l'ancien système qui opprima Asnières et ses habitants durant 7 ans.
Zouhaïr Ech Chetouani a dépassé largement Mohamed Bentebra et Francis Pourbagher, en ce sens qu'il sut viser plus haut que son maire-employeur et l'ex-Directeur de Cabinet de celui-ci. En effet, il dirigea l'association « ni proxos, ni machos », structure décrite comme proche de la politique communautariste de Nicolas Sarkozy avant 2007, lequel intégra Fadela Amara- ex-Présidente de l'association « Ni putes, ni soumises ».
Cette nomination signa l'échec politique patent, mais peut-être provisoire, de Zouhaïr Ech Chetouani à accéder au niveau politique national. Probablement, il lui a semblé avoir été utilisé et trahi par Nicolas Sarkozy qui a préféré Fadela Amara et Rachida Dati pour représenter la soi-disant version « maghrébine » de la « diversité ».
Des observateurs attentifs ont noté que Zouhaïr Ech Chetouani se trouve depuis 2007 dans la même situation vis à vis de l'UMP que les jeunes des banlieues des années 1984-2004 avec le PS, eux qui ont cru naguère à SOS-Racisme pour accéder à l'ascenseur social républicain. Les deux partis institutionnels se servent toujours de leurs faire-valoir « des banlieues » avant de les trahir en n'en gardant que fort peu, juste pour la décoration multi-ethnique de leur politique.
Zouhaïr Ech Chetouani revient donc au niveau local comme Président du CRAN (Comité Relais Asnières Nord), structure qui sert en apparence les intérêts des époux Aeschlimann, mais surtout dorénavant les siens propres.
Tous les deux- Ech Chetouani et Bentebra- furent aussi des amis proches de l'ancien Directeur de Cabinet de Manuel Aeschlimann, Francis Raminé Pourbagher, aujourd'hui reconverti..... en dévoué employé de l'Ambassade en France du sanglant régime de Téhéran!!!
Il fallait bien que le régime iranien récompense l'organisateur de la honteuse et infâme cérémonie du 21 janvier 2005 en mairie d'Asnières au cours de laquelle une "médaille d'honneur" de la Ville d'Asnières fut remise au représentant d'un régime sanguinaire et corrompu des mains de Manuel Aeschlimann.
Au passage, Sébastien Pietrasanta serait bien avisé de retirer cette « médaille » à son indigne récipiendaire, ou, à tout le moins, de désavouer publiquement, au nom de la Ville, cette ignominie, cette souillure sur le nom d'Asnières sur Seine, commise le 21 janvier 2005 par les époux Aeschlimann!
Il est donc utile de rappeler ici que Mohamed Bentebra- alors employé municipal-se présenta en 2004 dans le canton nord comme pseudo candidat « indépendant », puis appela à voter pour Patricia Chavinier au second tour, alors que surgissaient par miracle des listes électorales triées selon les origines ethniques et nationales de leurs destinataires!!!....Des listes qui n'ont pu être préparées que bien avant les élections!
Heureusement, l'appui électoral de cet employé municipal -modèle de soutien spontané à son employeur!- fut salué ensuite par un poste en mairie, poste lui permettant d'être souvent en promenade dans les rues de la ville avec son ami Francis Pourbagher et d'y traquer toute « opposition » au système Aeschlimann.
Manipuler les votes des citoyens des quartiers populaires pour son propre profit (et celui de son employeur public) est un art qui s'est développé avec force à Asnières de 2001 à 2008, avec des résultats inexistants pour les électeurs-principaux intéressés-, et peu durables pour les candidats à cette tâche peu reluisante!
Ces ballades rémunérées sur fonds publics au profit du système d'alors prirent fin quand Francis Pourbagher fut chassé de la mairie par...Manuel Aeschlimann en septembre 2006! Pire, ces activités illégales, dérogatoires au statut général des agents communaux- les vrais, ceux qui accomplissent un travail d'intérêt public- lui fut ensuite reproché et servit à légitimer son licenciement!!! Bien- ou poste- mal acquis ne profite jamais.....
Sous le système Aeschlimann, Zouhaïr Ech Chetouani et Francis Pourbagher, eux, s'installaient parfois illégalement dans la salle de surveillance par vidéo de la police municipale pour.... « surveiller » les activités de militants et élus de l'opposition en les suivant sur les écrans dédiés à la sécurité des citoyens!!!
Voilà des citoyens attachés aux libertés- dans sa version orwélienne de type « Big Brother »....qui ne peuvent que susciter les plus grands doutes légitimes sur leur amour sincère de la démocratie et des libertés, publiques comme privées.
Déjà à l'époque, c'est ainsi que le système Aeschlimann utilisait des matériels communaux censés protéger la sécurité des citoyens et de leurs biens. On voit ici comment la sécurité ( de leurs postes électifs) était une préoccupation (essentielle) des époux Aeschlimann!
A ces époques, ni Mohamed Bentebra, ni Zouhaïr Ech Chetouani, tous deux liés au système Aeschlimann par leurs postes spécifiques, n'avaient encore rencontré le syndicalisme, ni aperçu l'intérêt de la défense syndicale de leurs collègues agents communaux, d'autant que leurs promotions personnelles étaient- comme disaient des agents de la commune- « le fait du maire ».
Mohamed Bentebra découvrit le syndicalisme, en l'occurrence la CGT- comme Christophe Collomb les Amériques en 1492, c'est à dire par le hasard de son éviction du système Aeschlimann comme ami intime de Francis Pourbagher, fin 2006, éviction qui précéda son licenciement par.... Manuel Aeschlimann.
Zouhaïr Ech Chetouani lui survécut- un peu-sur le plan administratif.
Ce ne fut qu'après le chute du système Aeschlimann en mars 2008 que lui aussi se vit rétrogradé à son poste originel (statutaire) et perdit donc les avantages afférents accordés par Manuel Aeschlimann, à qui il vouait une amitié particulière, visiblement fondée sur des intérêts croisés solides.
Suite à cette rétrogradation brutale, cet ancien candidat politique en 2007- le système Aeschlimann généra 3 (sic!!!) candidatures politiques dans le personnel communal entre 2001 et 2007 (Pourbagher, Bentebra, Ech Chetouani)- se lança aussi dans le syndicalisme et choisit le syndicat FO.
Concernant Francis Pourbagher, embauché par la dictature iranienne pour sa constante fidélité au régime théocratique en Iran, il semble que lui n'ait pas songé à créer un syndicat à l'Ambassade iranienne à Paris, chose en effet interdite aussi par la Charia- loi religieuse archaïque- en vigueur en Perse actuelle.
Toujours est-il que le résultat de tout cela fait que les syndicats CGT, CFDT et FO des communaux d'Asnières sont des syndicats qui ont accueilli les anciens militants du système Aeschlimann et/ ou leurs clients. Ce qui se ressent fortement dans leurs tracts et blogs qui ne brillent pas, en règle générale, par leur expression syndicale, à la nette exception du syndicat CGT.
Les époux Aeschlimann sont assez satisfaits de la situation actuelle que nous pouvons résumer ainsi:
la CFDT des employés de mairie est dirigée par un de leurs redevables directs et militant UMP, de plus excellent colleur d'affiches de toutes sortes sous le système Aeschlimann.
FO communaux est dirigée pour l'heure par Zouhaïr Ech Chetouani, bien que son poste soit l'objet de vives contestations internes- selon nos correspondants- du fait de sa proximité plus que manifeste avec les débris du système Aeschlimann. La direction de FO ne veut pas d'un autre scandale touchant à Asnières le sigle du syndicat après les affaires pénales de Bernard Loth, qui se revendiquait aussi de FO.
La CGT des agents communaux a reçu comme adhérent Mohamed Bentebra qui essaie d'y défendre ses propres objectifs politiques. Ceci étant, la CGT locale garde- malgré certaines pressions- une ligne syndicale générale fidèle à sa fonction première.
Tout cela explique que des documents municipaux internes arrivent souvent très vite aux époux Aeschlimann et que des attaques ciblées visent, comme par hasard, la gestion du personnel communal par la majorité actuelle.
Apparemment, à Asnières, certains « syndicalistes »-anciens piliers du système Aeschlimann reconvertis- sont avant tout des moyens ou des instruments aux mains des miettes du système Aeschlimann servant à capter des notes internes et documents municipaux, au compte ultime d'intérêts politiciens.
Dans ces conditions, on comprend pourquoi les vrais intérêts légitimes des agents de la commune ne sont pas toujours représentés et défendus sur le plan syndical, surtout par des syndicats locaux dirigés par des militants UMP et/ou proches des époux Aeschlimann.
Comme disait le proverbe sumérien ancien: « on ne peut bien servir deux maîtres en même temps ».
La dette financière toxique d'Asnières et le cynisme des époux Aeschlimann
La médaille asnièroise du cynisme politicien le plus accablant pour son auteur est remise par la rédaction unanime d'Asnières Nouvelles Citoyennes à Manuel Aeschlimann pour sa phrase à graver dans les mémoires citoyennes, phrase qu'un Bernie Madoff aurait même hésité à prononcer tellement la stupidité intrinsèque en ressort avec une force stupéfiante:
« les emprunts actuels deviennent toxiques quand on ne sait pas les gérer »
Cette phrase est citée par le quotidien « le Parisien » en date du 10 octobre 2009.
Une médaille complémentaire de rang inférieur sera attribuée à Marie-Dominique Aeschlimann qui a dû réfléchir longtemps avant de sortir cette énormité qui démontre sa totale ignorance en finance et son inculture totale sur l'économie:
« la dette est certes structurée et complexe, mais elle ne fait pas courir un risque systémique à la Ville ».
Les dirigeants des états nationaux en faillite, le gouverneur de Californie en cessation de paiement aux Etats-Unis, les dirigeants des banques internationales qui ont fait banqueroute, devraient apprécier ces remarques- fines et intelligentes- des époux Aeschlimann.
Il est vrai que la crise mondiale a démontré que les emprunts toxiques avaient provoqué une catastrophe systémique, mais Marie-Dominique Aeschlimann est une économiste plus qualifié que tous ces Prix Nobel d'économie qui l'ont contredite, comme les faits d'ailleurs, avec une inquiétante impertinence.
Quant à Manuel Aeschlimann qui n'a pas su « gérer » les 88% de la dette municipale TOXIQUE qui est son oeuvre personnelle, il est bien évident qu'il est parfaitement qualifié pour parler de la gestion de la dette publique d'Asnières!!!....
Les époux Aeschlimann ont fait la démonstration, par la bêtise et l'absurdité de leurs propos, du fameux principe de Peter appliqué aux élus: " tous les élus d'un système donné atteignent un jour leur niveau maximum d'incompétence" .
Il faut dire que leur incompétence gestionnaire est depuis longtemps totalement avérée.
Les époux Aeschlimann sont maintenant en passe de théoriser leurs incapacités manifestes.
Marylise Dipusu
Chapitre 201 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008