vendredi 5 novembre 2010

Asnières sur Seine: le député UMP qui diffame la police nationale

  
 



























Notre iconographie de ce jour sera quelque peu satirique et symbolique.

D'abord, nous vous présentons la couverture d'une bande dessinée montrant un prisonnier et un chien, tous deux célèbres pour tous les amateurs d'humour, qui jouent aux échecs. Sachant que des amis des Dechenoix surnomment Francis Pourbagher "le Rantanplan persan" et que des procès à venir pourraient envoyer Manuel Aeschlimann en prison, le sursis sur un dossier pouvant être annulé par une autre condamnation, nous avons pensé symboliser ici Manuel Aeschlimann en prison jouant à son jeu préféré, les échecs, avec son ami le plus proche et fidèle, Francis Pourbagher, ici représenté à la manière humoristique donnée par les partisans de Cyrille Dechenoix. 

Le titre du livre "les cerveaux" souligne symboliquement et ironiquement leur intelligence commune et leur puissance dans l'élaboration de plans géniaux qui échouent à chaque fois pour tenter de s'évader de leur situation actuelle qui est de plus en plus désespérée.

La seconde image tend à magnifier une facette connue maintenant de Manuel Aeschlimann : être égoïste. Son récent tract, couplé d'une lettre à Brice Hortefeux, mais sans les statistiques inventées données dans son papier, souligne avec force un côté fort du personnage: la capacité à frapper même des amis, y compris politiques et ministres, si cela arrange ses seuls intérêts.

La troisième photo présente la couverture d'un roman intitulé "les falsificateurs". 

Beaucoup à Asnières risquent de penser que ce titre pourrait viser Manuel Aeschlimann et son ami si soumis Francis Pourbagher. Nous ne leur donnerons pas tort, surtout vu les falsifications récentes de chiffres officiels sur la sécurité à Asnières publiés par le député en sursis, qui sont de plus une insulte gratuite et une diffamation cynique contre le travail quotidien, harassant, dur et inlassable, des fonctionnaires de la police nationale sur la commune.

Manuel Aeschlimann attaque leur travail, et partant leur intégrité sur leurs résultats, nous  souhaitons que justice soit rendue à ces femmes et ces hommes qui dévouent leur vie, parfois en mettant en danger la leur, alors qu'un politicien sans scrupule dénigre, pour de bas motifs personnels, leurs efforts et ce qui en est le produit pour une ville plus sûre et plus paisible.

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Temps de crise et grosse brise


Pendant que les conseillers du Ministre de l'Intérieur- dont certains sont lecteurs assidus de ce blog- s'interrogent sur l'origine inconnue des chiffres donnés par le député Manuel Aeschlimann à la population dans un tract, Brice Hortefeux, lui, ne rit pas des mensonges incessants du député asnièrois en sursis.

Certes, il n'apprécie pas vraiment qu'un député, de plus UMP, pour se mettre vainement en avant alors qu'il chute, trafique les statistiques de ses services afin de présenter son action ministérielle à Asnières comme une vraie catastrophe, à la manière du vrai bilan comme maire de Manuel Aeschlimann.

Il n'est pas le seul: simples policiers nationaux, gradés et syndicats de la profession n'ont pas apprécié- et le mot est faible- que le député-avocat Manuel Aeschlimann méprise ainsi leur travail difficile et dangereux sur le terrain, uniquement pour se faire valoir, et ceci sur leur dos en annihilant dans son tract indigne leurs résultats concrets.

Concernant Brice Hortefeux, le dossier du repas payé par Avenance est aussi resté en travers de la gorge de ce dernier et cela n'est pas un jeu de mots, mais une réalité. Si les fonctionnaires sous son autorité s'indignent des tracts scandaleux du député UMP d'Asnières, il est probable qu'il sera attentif à leurs souhaits sur ce dossier.

De plus, Brice Hortefeux, Ministre de l'Intérieur, a un autre motif d'ire personnel envers Manuel Aeschlimann, qui se rajoute à ceux cités ci-dessus: il ne goûte guère que Manuel Aeschlimann et ses derniers vrais partisans s'attaquent à sa parente asnièroise, Elsa Hortefeux, épouse de Cyrille Dechenoix, conseiller général UMP du canton sud d'Asnières et mère de famille.

En effet, en faisant surveiller par son fidèle Francis Pourbagher- surnommé par certains amis des Dechenoix « le Rantanplan persan »- cette famille et ses actes quotidiens, Manuel Aeschlimann cause bien du souci au Ministre de l'Intérieur qui a de la sympathie pour sa parente asnièroise et son jeune enfant.

Sa colère pourrait devenir une forte brise qui viendrait alors secouer Manuel Aeschlimann et achever de lui arracher ses racines électives locales.....

Pendant que Manuel Aeschlimann discourt avec ses énormes mensonges sur la délinquance à Asnières, lui qui est accusé et poursuivi en Justice pour de graves délits qui ont coûté fort cher à la collectivité, la crise mondiale connaît un développement qui était prévisible depuis longtemps: 
la guerre des monnaies a éclaté avec la nouvelle que les Etats-Unis, via la Banque Fédérale, allait imprimer pour 600 milliards de dollars, afin de financer un plan de relance interne aux Etats-Unis!

Bref, pendant que Manuel Aeschlimann ment sur tout, invente des statistiques inexistantes, s'attaque aux parents d'un Ministre du gouvernement qu'il affirme soutenir tout en en détruisant le bilan de ce Ministre,  diffame le travail des policiers nationaux dans notre cité, la crise mondiale repart de plus belle.

De cela, le député, centré sur lui-même et ses seuls petits intérêts, n'a cure. 

Que la France et l'Europe soient entrés dans un moment de fortes turbulences financières, sociales, budgétaires, économiques, politiques, cet élu déjà battu pour son mépris absolu de l'intérêt public s'en moque!

Cependant, pour les citoyens de France et d'Asnières, cette guerre des monnaies, qui porte en elle le développement à court terme de politiques protectionnistes impitoyables, donc les annonces de luttes acharnées au sein du commerce mondial, signifie plus de chômage, de misère, de précarité et de pauvreté.

Une nouvelle fois se vérifie le fossé immense qui sépare Manuel Aeschlimann, ses mensonges égoïstes, ses absurdes réflexions sans vrai fond, sa petite vision sans large horizon, ses hideuses pratiques sans véritable éthique, de la population asnièroise, de la majorité immense des habitants qui refusent toujours plus nombreux un tel personnage à l'évidence nuisible à la collectivité.

Il reste que, dans 10 jours, commencera pour cet élu aux abois la série des procès qui va montrer de nouveau à toutes et tous son véritable visage: celui d'un élu délinquant récidiviste sans aucune morale sociale.

C'est cette image qui restera dans l'histoire de Manuel Aeschlimann car le reste de sa vie publique n'aura été que de la poudre aux yeux, que de la fumée sans feu et des mensonges insensés.



Marylise Dipusu


Chapitre 368 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008