dimanche 30 août 2009

Asnières: scandale Avenance, la concertation « en famille » et d'étranges actions!






Ci-dessus, la photo tout sourire du Président d'Avenance Entreprises, appartenant au groupe ELIOR, Pierre Von Essen, dont le nom d'origine allemande peut signifier, ceci soit dit en passant pour le rire citoyen, " de manger".


Pierre von Essen risque de voir encore le nom de l'entreprise qu'il préside cité en Justice dans une affaire de passage de marché public d'affermage, cette fois avec la Ville d'Asnières sur Seine.


Si un procès devait avoir lieu comme nos sources semblent l'indiquer, on souhaite que les avocats d'Avenance Entreprises apportent toute la lumière nécessaire sur la passation de contrat avec la mairie d'Asnières de l'époque, car il semble tant à la Justice qu'aux élus actuels de la majorité municipale, dans l'opposition au moment des faits, que ce contrat recelait quelques opacités, voire des irrégularités fort ennuyeuses au regard du Code Pénal.


D'ici peu, Asnières Nouvelles Citoyennes informera les citoyens d'Asnières des suites de ce dossier qui pourrait faire beaucoup de bruit....


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Scandale Avenance: l'instruction serait terminée, à quand le procès?



Selon des sources convergentes, pour le moment orales, l'instruction judiciaire sur le dossier d'un contrat d'affermage peu clair passé entre la Ville et le groupe privé « Avenance » sous le mandat de maire de Manuel Aeschlimann serait close.


Une date d'audience publique pour le procès devrait être très prochainement décidée- le 4 septembre 2009 selon ce qui nous a été communiqué. Selon nos informations, un des principaux accusés serait Bernard LOTH, ancien Directeur Général des Services de la Ville sous la mandature de Manuel Aeschlimann, déjà placé en garde à vue 36 heures, son domicile ayant été aussi perquisitionné, dans le cadre de ce dossier, en novembre 2007.


Nous ignorons, à l'heure où cet article est rédigé, les identités des éventuels autres prévenus qui seraient avec Bernard LOTH sur le banc des accusés, mais le nom du député UMP Manuel Aeschlimann est cité par nos sources, dont certaines sont proches de l'UMP asnièroise.


La mise en examen de Manuel Aeschlimann dans ce dossier serait une démarche judiciaire logique puisque c'est lui qui, en qualité de maire à l'époque- et malgré les critiques justifiées de ses opposants, y compris Sébastien Pietrasanta- a décidé SEUL d'engager les finances de la commune dans ce contrat d'affermage avec le groupe Avenance.


Ceci dit, nous espérons que, dans cette nouvelle affaire judiciaire, si nos informations sont confirmées, d'abord la VILLE VA SE PORTER PARTIE CIVILE et que la défense de Bernard Loth ne SERA PAS ASSUMEE par la Ville, s'agissant de délits pénaux qui sont directement- si les faits sont avérés- de sa seule responsabilité personnelle, éventuellement avec l'ancien maire d'Asnières et ses élus qui ont voté unanimement ledit contrat.


Par ailleurs, nous osons croire- pour ses propres intérêts- que Bernard LOTH ne sera pas défendue, si l'affaire est jugée, par le mauvais juriste qu'est le piètre avocat appelé Manuel Aeschlimann, lequel n'arrive pas à se faire reconnaître comme tel par ses pairs.....


Sa défense en serait, selon nous, terriblement affaiblie et mise en péril!



CCQ: concertation « en famille ».



Nous corrigeons d'entrée, en abordant de nouveau la question des CCQ, une erreur de notre part: Monsieur Mathieu HENTZIEN n'était pas le Président du CCQ (Comité Consultatif de Quartier Bac-Bécon-Flachat, il était « seulement » Président de sa commission « stationnement ». Dont acte suite à un commentaire lisible dans la suite de notre dernier article -voir plus bas.


En effet, sous le mandat de Sébastien Pietrasanta et selon sa conception de la concertation avec la population, les Présidents des CCQ sont. exclusivement...des élus municipaux!


De cette manière particulière, chacun comprendra que la participation des citoyens est vraiment très fortement encouragée, mais sous la houlette vigilante de Présidents qui sont élus et proches du maire.


Mieux encore maintenant, après la concertation gérée entièrement par des élus proches du maire (gage évident d'indépendance absolue de pensée et de réflexion !!!), nous avons découvert la concertation « en famille ».


Ainsi, le CCQ Bac-Bécon-Flachat est présidée par l'élue PS Annie Lafaye, dont le moins qu'on puisse dire est que sa popularité dans les quartiers dont elle est « la déléguée » (sic!!!) est plus que discutable, pour ne pas dire très contestée.


Présidente donc du CCQ en question, elle a dû remplacer le citoyen Mathieu Hentzien, qui, visiblement, n'avait pas rendu un rapport de sa commission conforme à la ligne décidée en haut lieu (comprendre au cabinet du maire), par....son mari!!!


Ainsi apparaît à Asnières une concertation d'un type nouveau: la concertation « en famille », ce qui a un petit côté-un très léger parfum- monarchique. Un esprit ironique nous déclarait:

« la mairie va nous rejouer une version 2009 du célèbre film de 1956 de Robert Lamoureux: « Papa, Maman, ma femme et moi ».


Visiblement, le PS asnièrois, à travers Mme Annie Lafaye, applique à sa manière la phrase satirique de Bertolt Brecht: « Si le peuple n'est pas d'accord avec le gouvernement, dissolvons le peuple ».


Mme Annie Lafaye y rajoute un plus, une touche toute personnelle, que nous résumerons ainsi: « et appelons mon mari pour remplacer le peuple »!



CCQ: proche du maire, loin des habitants, la preuve par le stade Magenta



Parlons encore du CCQ de Mme Annie Lafaye, élue municipale. Selon un commentaire reçu, ce CCQ a remis au maire des recommandations sur un problème lié au stade Magenta.


Après vérification rapide, il s'agissait- après 7 mois d'études- de recommandations portant exclusivement sur l'éclairage ou non du stade Magenta la nuit!


Mais, Mme Lafaye semble avoir oublié- si on en croit ce commentaire et nos sources- de parler au maire des exigences de dialogue des habitants du quartier en vue d'une solution sereine concertée sur l'usage exclusivement SCOLAIRE du stade Magenta, afin d'assurer aux riverains des moments de calme, dû à tous les citoyens.


Nous souhaitons donc savoir ce que pense le CCQ présidée par Mme Lafaye des légitimes et naturelles demandes, transmises aussi au maire par les résidents par voie de pétition. Elle doit bien avoir une opinion personnelle sur ce dossier connu d'elle......


Va-t-elle déposer et si oui, à quelle date, des recommandations précises dont l'origine sera réellement et exclusivement citoyenne? Voilà des questions relatives à la concertation qui sont intéressantes pour tous les citoyens car, pour l'heure, le maire ne semble pas pressé de répondre positivement aux habitants du quartier Bac-Magenta, lesquels sont plutôt en colère.


Notre suggestion est simple: avant d'imposer le bruit, voire le vacarme quotidien aux résidents proches du stade Magenta, la mairie et Mme Lafaye ont-ils consulté les citoyens concernés? La réponse est non.


Il serait donc urgent que Mme Lafaye s'attelle à la résolution des problèmes dont elle ne porte pas la responsabilité, mais dont elle doit assumer la recherche CONCERTEE des solutions viables, pérennes et concrètes en tant qu'élue.


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Dossiers du parking de l'Hôtel de Ville: suspicions de faux en écriture publique!



Selon des sources citoyennes concordantes, il apparaîtrait donc que des documents administratifs publics relatifs aux dossiers du parking de l'Hôtel de Ville sous la mandature de Manuel Aeschlimann auraient bien été falsifiés, et pas très finement de plus!....


Des citoyens indépendants enquêtent sur ces possibles délits et cherchent à identifier les auteurs présumés de ce que le Code Pénal qualifie de « faux en écriture publique ».


Cette découverte aurait été faite lors de la comparaison de divers documents relatifs à un même projet où apparaissaient des données chiffrées différentes et des informations contradictoires.On attend la réaction de la mairie qui, selon nos correspondants, a été dûment informée par des citoyens de ces découvertes.


Rappelons que l'ADECA avait demandé, et obtenu, communication d'un lourd dossier sur le sujet que le maire, Sébastien Pietrasanta, dans sa grande générosité envers une association libre qui défend les intérêts des contribuables asnièrois, avait facturé.....55 euros!


La chose avait fait sourire le Président de l'ADECA, le comédien asnièrois Nicolas Marié, qui avait jugé que Sébastien Pietrasanta avait ainsi manifesté une curieuse et toute nouvelle conception de son attention aux associations citoyennes: l'attention payante!


Faire payer à des défenseurs actifs et efficaces des contribuables asnièrois des dossiers qui peuvent servir à défendre l'argent des habitants d'Asnières, il fallait oser: Sébastien Pietrasanta l'a fait, avec ces 55 euros bien mesquins et aussi, plus grave, avec ses 17% de hausse moyenne des impôts locaux.



Etrangeté: qui essaie de s'opposer aux actions de la mairie pour redynamiser l'économie asnièroise?



Il se passe depuis quelques temps des choses bizarres à Asnières en ce qui concerne les projets municipaux de développement économique liés au Parc d'activités que la Ville veut créer dans la ZAC Bords de Seine.


Selon des sources patronales qui nous ont alertés, des personnes, se présentant comme représentant le député d'Asnières, Manuel Aeschlimann, auraient démarché des chefs d'entreprises intéressés par les propositions de la mairie en vue d'une installation dans ce Parc d'activités.


On n'ose croire que le député d'Asnières puisse couvrir, et encore moins organiser, ce type d'actions si étranges et contradictoires avec les intérêts les plus vitaux de ses électeurs potentiels. Il s'agit donc probablement de gens malintentionnés.


Qui donc accomplit ces démarches inadmissibles? Et pour quels intérêts?


Selon nos sources, une enquête discrète a été lancée afin d'identifier les personnes qui voudraient nuire ainsi aux emplois futurs des habitants d'Asnières et déterminer les motifs de leurs actes indignes.


Dossier à suivre....



NOTA BENE



Suivant la rédaction du blog vers lequel ce lien mène:

http://mon-asnieres.over-blog.com/article-35397670.html


les contribuables de tout le département ont payé la majeure partie du repas de militants UMP asnièrois au restaurant du Conseil Général de Nanterre « le Ruban Bleu », sous la houlette de Mme Patricia Chavinier. Par contre, on ignore si le dossier des fichiers électoraux établis sur des bases ethniques et d'origine nationale a été abordé entre la poire et le fromage par Patricia Chavinier et Thierry le Gac, les organisateurs de ce déjeuner aux frais des citoyens!


On ne savait pas, par ailleurs, que les finances du Conseil Général étaient celles de l'UMP d'Asnières. L'UMP d'Asnières ne peut-elle plus payer les onéreuses agapes de ses militants?


Rappelons que plusieurs affaires judiciaires sont en cours qui concernent la gestion passée du Conseil Général des Hauts de Seine, gestion passée qui avait généré cette formule célèbre de son actuel Président, Patrick Devedjian: « il faut nettoyer les écuries d'Augias ».


La chose est maintenant connue de Patrick Devedjian dont on attend avec impatience la réaction de bon sens. Une lettre au Procureur de la République serait ici bienvenue de sa part, afin de ne pas voir sa responsabilité engagée dans cette sombre histoire de repas UMP payés par tous les contribuables du département.


A suivre....


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Marylise Dipusu


Chapitre 185 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008



jeudi 27 août 2009

Asnières: les époux Aeschlimann délaissés et la concertation en crise.



Sur la photo ci-dessus, bras dessus, bras dessous, à gauche, l'avocat d'affaires Olivier Schnerb et à droite, le condamné définitif pour corruption, Pierre Bédier, ancien Président du Conseil Général des Yvelines, devenu inéligible, à moins que ce ne soit Jean-Christophe Mitterrand, dans l'affaire de trafic d'armes dite "Angolagate"..


Cette photo est aujourd'hui fort rare, car l'employeur actuel- ancien employé avant le 16 mars 2008- de Manuel Aeschlimann, n'aime plus trop être photographié. Il est vrai que son portrait a été souvent assorti de figures d'une grande honorabilité et d'une moralité élevée, comme Pierre Bédier, Jean Tibéri, le Dr Jean-Pierre Allain (scandale du sang contaminé par le virus HIV), etc...


Mais l'important demeure quand même sa mansuétude qui l'a conduit à embaucher le député Manuel Aeschlimann, son ancien employeur en mairie d'Asnières, malgré la grande méconnaissance du droit que celui-ci a prouvé depuis des années et dont nous apportons la preuve renouvelée ici. Y aurait-il au cabinet de Me Olivier Schnerb un parfum sulfureux d'emploi fictif d'un député de la République?


La question taraude nombre de personnes, à Asnières et en France. Au Barreau aussi, on commence à s'inquiéter et, à l'UMP, certains émettent plus que des doutes sur le sujet. Il est vrai que l'avenir de Manuel Aeschliman intéresse beaucoup celles et ceux qui lorgnent son siège de député fort menacé....

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Les mandats des époux Aeschlimann convoités de tous côtés!



Les nouvelles de la rentrée 2009 sont mauvaises pour les mandats électifs des deux époux Aeschlimann.


Pour Marie-Dominique, son siège au Conseil Régional est déjà publiquement menacée car désirée par deux femmes influentes au sein de son parti, l'UMP: Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'écologie et Rama Yade, toutes les deux briguant la direction, de plus, de la liste UMP sur les Hauts de Seine pour le scrutin régional.


Dire que les deux possibles chefs de file sur le département de la liste UMP apprécient Marie-Dominique Aeschlimann serait quelque peu osé, voire carrément comique. On sait que la parité imposée par la loi aboutit, mécaniquement, à réduire les chances de candidature de Marie-Dominique Aeschlimann, victime aussi de ses échecs patents dans les DOM-TOM et de la réputation très sulfureuse de son époux.


En résumé, Marie-Dominique Aeschlimann pourrait bien ne se retrouver bientôt que simple conseillère municipale, même si elle lutte avec l'énergie du désespoir pour tenter de conserver son siège menacé.


Quant à Manuel Aeschlimann, son siège de député est aussi considéré, de plus en plus publiquement, comme bientôt vacant par....inéligibilité. Ce qui aussi intéresse fortement, par exemple, Rama Yade qui se cache de moins en moins de son intérêt pour la circonscription législative d'Asnières-Colombes sud.


Ce lien dit bien les choses, même si l'article vise plus que nettement le siège de Manuel Aeschlimann, mais chacun aura compris que les anciens amis très proches de Roger Karoutchi- ce qu'étaient les époux Aeschlimann- ont du souci à se faire pour leur avenir public.


http://fr.news.yahoo.com/76/20090826/tpl-duel-de-secrtaires-d-etat-dans-les-h-894f5eb.html


Comme aurait pu le dire Manuel Aeschlimann, spécialiste renommé en trahisons à répétition: « les promesses passées de Nicolas Sarkozy à Roger Karoutchi n'engagent que ceux qui les ont entendues et crues »



Mairie: la concertation en crise avec une démission publique et motivée


Sébastien Pietrasanta évoquait jadis la concertation comme un de ses chantiers prioritaires pour restaurer la démocratie dans la ville.


Les CCQ (Comités Consultatifs de Quartier) étaient ses moyens afin de réaliser, selon lui, une vraie concertation, alors que curieusement, le principe légal de référendum local ne semblait pas être inscrit dans le plan annoncé, malgré que, de ce point de vue, Asnières souffre d'un retard démocratique accablant.


Ces CCQ, squelettiques, non-représentatifs, envahis de personnes très impliquées dans les partis politiques dits « officiels », où la démocratie est loin de trouver une réalisation concrète autant qu'exemplaire, sont en crise PUBLIQUE, et cela était depuis longtemps inévitable.


Ainsi, alors que la colère des résidents du stade Magenta croissait et s'exprimait contre la situation de plus en plus insupportable qui leur est faite, le CCQ Bac-Bécon-Flachat n'avait pas été saisi par le maire, ni par l'élue le représentant dans cet organisme.


Par ailleurs, la concertation, version Sébastien Pietrasanta, interroge de nombreux citoyens, tant sur ses finalités que sur son contenu.


Plus généralement se pose clairement la question de savoir si les CCQ ont une légitimité quelconque, que ce soit sur le plan de la représentativité des opinions des habitants des quartiers concernés ou sur celui de la compétence réelle des personnes choisies à traiter parfois de dossiers très complexes, très difficiles et nécessitant des connaissances, techniques, administratives ou juridiques particulières.


De tout cela découle donc une insatisfaction générale par rapport à ces CCQ, et ce mécontentement nous revient en écho de plusieurs d'entre eux, en fait presque tous, et depuis leur création.


Pour autant, la démission spectaculaire, motivée, mais très naturelle, du Président du CCQ Bac-Bécon-Flachat- un des quartiers pourtant où le maire fait de grands efforts pour être accepté comme tel par les habitants- est un signal d'alarme fort.


Mathieu Hentzien a donc démissionné de son poste de Président de ce CCQ, et selon nos sources ( concordantes, qu'elles proviennent de la mairie ou de ses oppositions), ce citoyen a bien souligné par écrit, au maire et aux personnes intéressées du CCQ cité, les problématiques qui rendent les CCQ ambigus, voire des vecteurs de possibles dérives.


Pour notre part, nous considérons que la concertation dans une commune urbaine aux problèmes complexes multiples n'est pas chose aisée, mais que, pour les décisions qui touchent la vie quotidienne collective des habitants, le référendum local est la solution démocratique la plus adaptée.


Encore une fois, ce qui est essentiel est de redonner la parole, sincèrement, aux citoyens d'Asnières, y compris par des votes consultatifs publics et/ou des référendums locaux clairs.


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Avocat de la mairie en 2005, patron du député Manuel Aeschlimann en 2009: Olivier Schnerb ridiculisé par ses pairs.....


Les contribuables asnièrois se rappellent des dépenses très excessives- selon les normes habituelles comparatives retenues par la Chambre Régionale des Comptes- qui revenaient en chiffres d'affaires aux avocats de la Ville sous le mandat de Manuel Aeschlimann.


Ils n'ont pas oublié les procès incessants, payés avec l'argent public, pour interdire la démocratie et empêcher la vie citoyenne et associative libre à Asnières.


Parmi les avocats qui, eux, recevaient la manne financière de la mairie à cette époque, il y a l'actuel employeur de Manuel Aeschlimann, l'avocat Olivier Schnerb, un homme très occupé qui donne aussi des cours d'art oratoire aux jeunes membres de l'UMP - mais la forme sans le fond est-elle souhaitable? Aller en bas de page pour apprécier le don de son ( gratuit ou payant?) du "grand" avocat:


Lien: http://www.jeunesump.fr/jeunes/ecole-de-formation/


ou croit, en toute modestie, former des tribuns au lieu et place d'avocats, pensant probablement que nous sommes au temps da la Rome antique:


http://209.85.229.132/search?q=cache:O6Yi1hx09hMJ:www.efb-formation-continue.com/details_formations/6011.doc+Olivier+Schnerb+et+l%27%C3%A9cole+des+tribuns&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&client=firefox-a

(le document arrive en format HTML lisible et il vaut le coup d'oeil pour rire un peu).


Celui-ci était utilisé comme bélier de l'intolérance contre les citoyens libres en sa qualité auto-proclamée de spécialiste du droit de la presse, et surtout de la diffamation en cette matière.


Aussi, les citoyens d'Asnières liront avec un sourire amusé ce lien juridique qui évoque, au passage, une affaire asnièroise où le maire et son avocat eurent tort, totalement tort en droit, mais cela visait à interdire, il est vrai, la libre expression d'élus de l'opposition.


http://www.eurojuris.fr/fre/collectivites/contentieux/responsabilite-de-l-elu/articles/a8038.html


Voici le passage à déguster, encore plus suavement depuis que les époux Aeschlimann parlent de démocratie et de leurs droits d'opposants municipaux:



« Le contrôle du contenu de l’espace d’opposition.

Tout peut y être dit, sans que le directeur de publication qu’est le maire puisse y faire obstacle, sauf bien sur si le contenu est injurieux ou diffamatoire.

Mais si ce qui est avancé est vrai, le maire ne peut pas s’opposer à la publication.

L’exemple de l’arrêt rendu par la Cour Administrative d'Appel de Versailles sous le numéro 06VE02569 le 27 septembre 2007 est particulièrement éclairant à cet égard.

En voici un extrait :

" Considérant que par une décision en date du 23 août 2005 le premier adjoint de la COMMUNE D'ASNIERES-SUR-SEINE a refusé de publier la tribune du groupe Décidons ensemble pour Asnières dans le numéro de septembre 2005 d' Asnières Infos, dont il est le directeur de publication, en faisant valoir que le contenu diffamatoire de cette tribune était de nature à engager sa propre responsabilité pénale ; que M. X, conseiller municipal, a obtenu l'annulation de cette décision par le Tribunal administratif de Versailles ;


Considérant qu'aux termes de l'article L. 2121-27-1 du code général des collectivités territoriales : Dans les communes de 3 500 habitants et plus, lorsque la commune diffuse, sous quelque forme que ce soit, un bulletin d'information générale sur les réalisations et la gestion du conseil municipal, un espace est réservé à l'expression des conseillers n'appartenant pas à la majorité municipale. Les modalités d'application de cette disposition sont définies par le règlement intérieur et qu'aux termes de l'article 42 de la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse : « Seront passibles, comme auteurs principaux des peines qui constituent la répression des crimes et délits commis par voie de presse, dans l'ordre ci-après, savoir : 1° les directeurs de publications ou éditeurs, quelques que soient leurs professions ou leurs dénominations (…) "
;


" Considérant en premier lieu qu'il résulte des pièces du dossier que le projet de tribune, s'il faisait en effet état des condamnations pénales prononcées contre certains élus et contre le directeur de cabinet du maire, ne présentait toutefois pas un caractère outrageant de nature à porter atteinte à l'honneur ou à la considération des personnes publiques dont le comportement était ainsi dénoncé, la réalité desdites condamnations n'étant pas contestée ; que dès lors, et sans qu'il y ait lieu de poser une question préjudicielle à la juridiction judiciaire sur cette question, le contenu des écrits en cause n'avait pas un caractère diffamatoire ou injurieux qui aurait été de nature à faire obstacle au droit d'expression des élus d'opposition consacré par les dispositions de l'article L. 2121-27-1 précitées ; que le directeur de publication ne pouvait pas plus faire valoir l'éventuelle mise en jeu de sa propre responsabilité pénale sur le fondement de l'article 42 de la loi du 29 juillet 1881 pour justifier un tel refus."


L'auteur conclut sur cette belle phrase que nous ne pouvons qu'approuver en tous temps: "la jurisprudence administrative est vigilante sur l’ouverture de cet espace d’expression des élus d’opposition".


Elle en limite aussi l’accès, et rappelle de temps à autre que ce droit n’est pas absolu ».



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NOTA BENE:



Nous reviendrons bientôt justement sur des questions de droit et de Justice, concernant précisément Manuel Aeschlimann, le « toujours » député dont le siège est, déjà, si convoité.....



D'ailleurs, nous reviendrons aussi sur le passé qui tend à s'effacer partout de Me Olivier Schnerb, employeur de Manuel Aeschlimann après avoir été son employé au forfait, au frais de la Ville.



Nous étudierons comment son travail pour l'ancien maire d'Asnières et son initiative d'un parcours républicain pour jeunes habitants défavorisés d'Asnières tendent curieusement à disparaître des sources d'information, comme ses photos.....Y aurait-il une magie de l'effacement du passé?



Marylise Dipusu



Chapitre 184 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008




mardi 25 août 2009

Asnières: "crise mondiale, élus et droit, le grand désarroi



Ci-dessus, la flèche rouge censée être portée sur un diagramme statistique représente la chute sans fin de l'économie réelle, de l'emploi et des revenus des citoyens du monde. Les traits rouges sur le globe terrestre indiquent de leur côté que la crise se répand partout dans le monde et que cette crise est bien internationale, qu'elle disloque le système dans son ensemble.


Dans ce contexte, les élus d'Asnières sont confrontés à des choix fondamentaux qu'ils doivent affronter comme tels. Leur objectif primordial devrait être la sauvegarde, la protection et la défense des intérêts des habitants d'Asnières.


Asnières Nouvelles Citoyennes demande aux élus que l'ordre du jour du prochain Conseil Municipal intègre une discussion et des décisions en faveur des citoyens d'Asnières les plus frappés par les effets destructeurs de cette crise: les jeunes de moins de 30 ans, les chômeurs, les salariés précaires, les retraités ayant de faibles pensions, etc.....


Ce devrait être l'objectif spontané de tout élu républicain sincèrement attaché à l'intérêt public et au contrat social qui fonde la société française. C'est en tout cas ce qu'Asnières Nouvelles Citoyennes appelle les élus municipaux d'Asnières à décider et à faire.


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La crise s'approfondit, l'inflation menace: que vont faire les élus d'Asnières?



Deux des plus grands économistes du monde, Paul Krugman et Nouriel Roubini, annoncent- en se basant sur des faits incontestables- que la crise va s'accentuer, que le pire est devant nous et que les deux prochaines années risquent d'être terribles pour l'humanité.


Ce type d'informations essentielles pour la vie quotidienne des citoyens est peu diffusé en France. Quant à Asnières, toutes couleurs politiques confondues, l'impression donnée par leurs écrits et leurs discours est que les élus ne savent même pas que la plus grave crise mondiale systémique est en cours.


Le député Manuel Aeschlimann n'a pas évoqué cette crise dans ses textes. Mieux, il n'exige nulle part aucune mesure d'urgence sociale et économique pour les habitants et l'économie d'Asnières.


Le maire, Sébastien Pietrasanta, de son côté, a vaguement indiqué qu'il avait entendu parler de cette crise mondiale, mais son budget et ses décisions pour 2010 n'en tiennent pas le plus petit compte. A l'évidence, la situation de plus en plus intolérable que vit la majorité des citoyens ne paraît pas l'émouvoir. Il est vrai qu'il a passé plus de temps, dans ses déclarations orales, à manifester sa confiance dans....l'innocence de Julien Dray et ses amis de SOS-Racisme, de la FIDL et de l'UNEF!!! A chacun ses urgences....


Peut-être serait-il temps pour les élus d'Asnières de sortir de leur monde particulier si éloigné de la réalité vivante pour discuter et débattre avec les habitants des mesures urgentes à mettre en œuvre?


Asnières Nouvelles Citoyennes, devant le silence assourdissant des blogs et sites asnièrois sur ce sujet essentiel pour la population, propose publiquement que le prochain Conseil Municipal inscrive à son ordre du jour une discussion ouverte sur la crise et son impact sur la vie des habitants et l'économie d'Asnières, le tout avec des propositions de mesures urgentes.


Ce serait là la moindre des choses, avant que les choses empirent encore!....



Mairie: priorité à la communication et aux apparences, loin des réalités vécues



Le chômage explose, les problèmes s'aggravent, les angoisses s'accumulent, mais la mairie d'Asnières a des priorités et des joies bien à elle en cette période de crise mondiale: elle se félicite du changement d'apparence du site Internet de la Ville.


Le changement d'aspect du site internet de la Ville, voilà en effet qui améliore l'ordinaire des familles en difficulté sociale, apporte une aide concrète aux jeunes lycéens et étudiants en recherche de soutien, remonte le moral des personnes âgées qui ont des pensions insuffisantes et va permettre de créer des emplois en masse sur la commune!


Nous disons cela sans ironie aucune bien sûr, car l'auto-satisfaction qui n'intéresse personne- sauf quelques personnes qui, d'ailleurs, ont fait là un travail sérieux et bien réel- n'est d'aucun apport, malheureusement, aux solutions que les citoyens attendent à Asnières, comme dans le pays.


Par contre, si de vraies et rapides mesures sociales et économiques étaient prises en faveur des citoyens mentionnés ci-dessus, voilà qui serait bien plus en prise sur la vie réelle des habitants que de se vanter de la rénovation d'un site internet municipal.


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Manuel Aeschlimann: encore député, mais juriste peu réputé



Fin mai 2009, le député Manuel Aeschlimann envoyait aux frais de l'Assemblée Nationale une lettre aux électeurs de la circonscription dont il est encore l'élu.


Cette lettre, NON-DATEE, est dans nos archives et notre rédaction pourra l'envoyer en copie numérisée à quiconque en fera la demande.


Dans ce courrier, il tentait d'expliquer que le Jugement de première instance qui l'a frappé le 13 mars 2009 – il a fait Appel- était une chose bien malheureuse et que lui était innocent de tout. Les lecteurs qui veulent lire l'intégralité du jugement pour se forger une libre opinion peuvent suivre ce lien:

http://asnieroislibere.blogspot.com/2009_03_19_archive.html


Le député condamné pour favoritisme dans l'attribution d'un marché public- devenu par un miracle à ce jour inexpliqué avocat (sic!!!)- se tortille beaucoup dans son envoi postal pour ne pas évoquer le Jugement qui le touche directement.


Le plus amusant dans sa lettre est qu'il s'estime innocenté- dans ce dossier- de faits que personne ne lui a reprochés!


Sa seule défense tient en un point unique: le caractère culturel du Festival Folklorique de 1998; et cet avocat bien particulier de citer un document qui n'a aucun rapport avec son dossier et concernant la ville de Caen.


L'avocat que se réclame être Manuel Aeschlimann souffre visiblement de confusions ennuyeuses, voire graves pour un professionnel du droit: il mélange un contrat pour un spectacle exclusif ou l'acquisition d'objets culturels, précis et définis, avec un contrat qui confie à une société l'organisation de spectacles, donc le soin de produire ceux-ci pour un tiers, par exemple une ville.


Pour un juriste ou prétendu tel, voilà des confusions très dangereuses...


Ainsi, un théâtre qui produit une pièce de théâtre unique, de son répertoire, avec ses propres comédiens, permet effectivement de parler d'un événement culturel UNIQUE et SPECIFIQUE.


Mais, en quoi le travail, en 1998, de la société CDA Productions pouvait-il se confondre avec celui d'un théâtre, d'un groupe artistique ou d'un ensemble musical unique et spécifique? En rien, en absolument rien, et Manuel Aeschlimann le sait bien, qui essaie de faire croire à des points communs là où n'en existe aucun!


CDA Productions n'a eu comme mission, si l'on peut dire ainsi, que de déterminer l'emploi du temps et les horaires de passage devant le public de groupes et structures très divers pour DES animations dans les rues et dans certains endroits de la commune.


CDA Productions n'était pas, de plus, une structure artistique ou culturelle UNIQUE ou SPECIFIQUE, mais un prestataire de service parmi des milliers d'autres, ceci pour la mairie d'Asnières, cachée à cette époque derrière une association para-municipale tenue en sous-main par...Manuel Aeschlimann!!!


Une fois de plus, mais avec encore de l'argent public, Manuel Aeschlimann ment ouvertement et essaie de tromper sciemment les citoyens à qui il a adressé ce courrier.


Ce faisant, il insulte vraiment leur intelligence car tout individu sensé fait sans effort la différence entre une troupe de théâtre montant son propre spectacle unique autant que spécifique ET une entreprise privée de services produisant des animations, comme des bals populaires, des soirées folkloriques ou des spectacles de style cabaret, toutes activités d'un commun très reproductible.


Tout ceci est très instructif sur un Manuel Aeschlimann qui a tellement peur de la colère des habitants-électeurs qu'il n'ose même pas, de lui-même, citer l'intégralité du jugement, comme preuve de sa bonne foi ou mettre un lien vers un site le publiant aux fins de permettre une information complète, objective et honnête des personnes à qui il a écrit.


L'absence de liens vers les sources qu'il évoque signe clairement la piteuse tentative de manipulation- ratée- entreprise par le signataire aux abois.


Le seul mot sincère, réaliste et vrai de son courrier est contenu dans la conclusion quand il signe sa missive « Manuel Aeschlimann, votre (toujours) député »! Effectivement, député, il l'est toujours, mais, pour combien de temps?


L'usage de cet adverbe trahit la tension de l'auteur et fait transpirer sa peur démesurée de la vérité ainsi que de sa future inéligibilité. De fait, sa « sérénité » affichée signifie en réalité qu'il vit avec une immense anxiété.



Marylise Dipusu



Chapitre 183 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008



vendredi 21 août 2009

Asnières: Jean-Baptiste BELLEY, le député oublié!



Ci-dessus, le portrait du premier député noir de la République française, Jean-Baptiste BELLEY, portrait signé par le peintre Girodet.

Jean-Baptiste BELLEY devrait être très connu de toute la population de France et donc d'Asnières, mais curieusement, pour des raisons inconnues de nous, son nom et son visage sont passés sous silence ou dans l'oubli par les historiens, les politiques et les médias, de tous bords politiques ( à quelques rares exceptions près).

Ce député natif de l'île de Saint Domingue mérite, par ses combats, sa vie, sa mort même, de sortir d'un ostracisme honteux et indigne en cette année 2009.

Puisque tous nos élus évoquent leur affection pour les luttes des populations des DOM-TOM, pour leurs droits républicains et contre les discriminations qui les frappent encore, Asnières Nouvelles Citoyennes met en pleine lumière Jean-Baptiste BELLEY, un grand homme, un citoyen véritable, un démocrate convaincu, un être de conviction.

Et notre rédaction souhaite ainsi que la Ville d'Asnières sur Seine s'honore de mettre son nom à l'honneur en rappelant ce que fit un vrai homme libre, un homme libre qui n'a pas craint d'affronter les pires dangers pour promouvoir les principes de la République: Liberté, Egalité, Fraternité!

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La République doit honorer ses vrais fondateurs sans discrimination aucune



Il existe à Asnières des élus- de diverses couleurs politiques- qui ont besoin, parfois, de petits rappels historiques afin de ne pas apparaître trop ignorants lorsqu'ils évoquent dans leurs discours l'égalité, la liberté et la fraternité républicaines, la lutte des peuples noirs contre l'esclavage, le droit des minorités à être représentées ou encore le combat contre le racisme et les discriminations en tous genres.


Marie-Dominique Aeschlimann, élue UMP se targue- par exemple- de son combat pour les populations des DOM-TOM, notamment de la Guadeloupe.


Or, l'UMP, dans les DOM-TOM, est le parti par excellence des anciens colons blancs, des békés et de leurs alliés. D'où son rejet massif qui se développe depuis des mois de la part des populations noires et associées de la Guadeloupe à la Réunion, en passant par la Martinique.


Sébastien Pietrasanta,élu PS, et ses amis politiques- dont Julien Dray- se vantent d'être des militants déterminés et efficaces de la lutte contre, notamment, les discriminations racistes.


Mais, quand ont-ils mis en avant réellement à Asnières le combat multi-séculaire- pour l'émancipation et la République- des populations noires de la République, notamment dans les DOM-TOM?


Alors, face à ces élus qui font assaut de tant de bons sentiments apparents en paroles, Asnières Nouvelles Citoyennes a décidé de parler d'un homme connu, mais apparemment pas de nos élus asnièrois UMP et PS.


La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a fait un test pratique très simple du travail réel de mémoire républicaine des élus asnièrois de tous bords: nous avons cherché sur Asnières une rue, une école, un bâtiment public, une plaque, une statue qui porterait le nom du député Jean-Baptiste BELLEY (1746- 1805). Et nous n'avons rien trouvé!!!......


Mais, qui est donc ce député dont vous entretient soudain Asnières Nouvelles Citoyennes et pour quelles raisons citoyennes essentielles des élus de la commune auraient donné son nom à un espace public ou fait édifier une statue commémorative de cet élu du peuple?


D'autant que nous fétons en 2009 le 220ème anniversaire de l'évènement déclencheur de la Révolution française le 14 juillet 1789, la prise de la prison de la Bastille par le peuple de Paris insurgé contre la tyrannie et le 215ème anniversaire de la premièe abolition de l'esclavage!


Voici la réponse et les explications d'Asnières Nouvelles Citoyennes qui se veulent éducatives pour tous nos élus qui vantent les valeurs de la République, la richesse de sa diversité et n'ont jamais célébré publiquement un de ses plus éminents fondateurs, un véritable Martin Luther King français.


Jean-Baptiste BELLEY, esclave contraint au travail par des colons venus de France à l'âge de 2 ans à Saint Domingue, à l'époque territoire français, fut le premier CITOYEN FRANCAIS NOIR à devenir DEPUTE DE LA REPUBLIQUE, en qualité d'élu de Saint Domingue le 24 septembre 1793.


Et cela s'est passé naturellement SANS « discrimination positive », SANS SOS-Racisme, SANS HALDE et SANS Conseil Communal des Communautés!!!


C'est la première République- issue de la Révolution de 1789- qui a permis cela, avec un soutien total et massif des populations noires des actuels DOM-TOM et l'appui du peuple français tout entier.


Arrivé à Paris avec deux autres élus de la population de Saint Domingue, Louis-Pierre DUFAY- un citoyen d'origine européenne- et Jean-Baptiste MILLS- citoyen d'origine mulâtre- le 3 février 1794, Jean-Baptiste BELLEY participe au vote historique du 4 février 1794, par l'Assemblée Conventionnelle, de l'abolition officielle de l'esclavage- pratique horrible et inhumaine rétablie, ceci soit dit au passage, par Napoléon Bonaparte en 1802 et définitivement abrogée par la Révolution de 1848!.


Cette abolition de 1794 avait été précédée par une campagne intense- bien que fort peu étudiée et encore moins rappélée dans les manuels d'Histoire et par nos élus- de la « Société des citoyens de couleur », qui avait vu le jour en août 1792.


En bref, Jean-Baptiste BELLEY est un exemple de combat incessant pour les valeurs d'égalité, de liberté et de fraternité de la République autant qu'un symbole formidable de la lutte permanente contre les discriminations et l'exploitation des populations noires dans ce qui est aujourd'hui appelé les DOM-TOM.


La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes aurait pu penser qu'un tel homme, un vrai républicain, abolitionniste de l'esclavage et combattant des droits civiques en France, aurait pu être honoré tant par les amis de Sébastien Pietrasanta qui se vante de son passage à SOS-Racisme que par les derniers partisans de Marie-Dominique Aeschlimann, qui se targue de ses origines guadeloupéennes.


Chacun constatera qu'il n'en est rien: le premier député noir de la République n'a été ni honoré, ni mentionné, ni même cité par les uns et par les autres, et aucun lieu à Asnières ne porte son nom.


Un « oubli » que, peut-être, nos élus asnièrois devraient commencer à réparer.......au nom des principes fondateurs de la République auxquels ils ne cessent de proclamer leur si sincère attachement par de si jolis discours!


PS: les citoyens qui veulent en savoir plus sur la vie et les combats du député Jean-Baptiste BELLEY peuvent suivre ce lien, qui malgré quelques erreurs ou imprécisions historiques, relate l'essentiel à savoir sur cet élu du peuple

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_Belley



Marylise Dipusu


Chapitre 182 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008


jeudi 20 août 2009

Asnières: Marie-Do, la nouvelle écolo vélo et auto


Ci-dessus, une photo de Marie-Dominique Aeschlimann un peu tendue et peu souriante, malheureusement sans sa grosse cylindrée Citroën C5 de fonction illégale d'avant le 16 mars 2008.


Heureusement, Marie-Do Aeschlimann est toujours prête à s'exprimer sur tous les sujets, dont ce délit qui lui a été clairement reproché par le rapport de la Chambre Régionale des Comptes en page 6 dudit document daté de 2008 -voir ci-dessous.


Depuis le 16 mars 2008, ses excuses publiques pour cet usage ILLEGAL d'un véhicule municipal, avec essence et chauffeur, sont toujours attendues, par les élus et les citoyens d'Asnières sur Seine.


Comme est toujours attendu son remboursement spontané, elle qui aime tant défendre en paroles les intérêts publics, des sommes qu'elle a donc ILLEGALEMENT fait dépenser à la commune d'Asnières sur Seine.


Comme le disait un habitant amusé et hilare qu'une de nos correspondantes a rencontré: " au moins, Marie-Do est depuis le 16 mars 2008 obligée de défendre le vélo contre l'auto. C'est déjà bon pour la planète".


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Marie-Do écologiste d'un jour là, pollueuse longue durée dans l'illégalité ici



Marie-Dominique Aeschlimann, qui sent sa place de Conseillère Régionale lui échapper, est revenue de vacances, toute gaie et pleine de verve auto-destructrice.


On en jugera par ses déclarations fort à-propos tenus au Conseil Régional Ile de France où elle affirmait- ce qui est nouveau pour elle- qu'elle était devenue, surtout depuis le 16 mars 2008- une défenseuse intraitable de l'environnement propre, et particulièrement du vélo comme moyen de déplacement! C'est elle qui met tout cela sur son propre blog:

http://www.mdaeschlimann.com/2009/08/quand-velo-ne-rime-pas-avec-ecolo/


Sur ce blog de l'élue en perdition, Marie-Do Aeschlimann indique qu'il est bon que la jeunesse des lycées apprenne très tôt les gestes écologiques et se forme aux pratiques qui économisent l'énergie, voire ont un bilan carbone 0.


C'est beau, c'est grand, c'est pour la jeunesse, c'est pour les autres donc! Et pour Marie-Do?


Car Marie-Dominique Aeschlimann est une ardente- mais toute récente- partisane du respect de l'environnement et du bilan carbone 0.


Exactement depuis le jour où, son mari ayant été chassé par les électeurs de la mairie d'Asnières, elle n'a plus eu le droit d'être véhiculée comme une princesse d'antan en carrosse à moteur luxueux, puissant et polluant, le tout aux frais des contribuables et EN TOUTE ILLEGALITE.


Car Marie-Dominique Aeschlimann, dans son zèle de nouvelle convertie à l'écologie, a oublié de rappeler aux citoyens et à ses collègues élus au Conseil Régional Ile de France qu'elle roulait, AVANT le 16 mars 2008, en GROSSE VOITURE de fonction luxueuse autant qu'ILLEGALE, polluant donc beaucoup l'Ile de France et dépensant ILLEGALEMENT l'argent public qui ne lui appartenait pas!


A l'évidence, son passé d'utilisatrice ILLEGALE de grosse cylindrée municipale rappelé permet de mieux apprécier la sincérité réelle de sa position annoncée en août 2009 sur son petit blog.


Ceci étant pointé, on ne sait pas si, par ses déclarations publiques sur SON blog, Marie-Dominique Aeschlimann ne cherche pas à obliger le maire actuel, la Justice et la Chambre Régionale des Comptes à lui demander de rembourser les dépenses ILLEGALES faites à son profit avec LA COMPLICITE DE SON EPOUX quand il était maire.


Mais, cela ressemble bien à une tentative discrète, indirecte, involontaire, mais républicaine , de purger ENFIN ses fautes et dérives passées. Sébastien Pietrasanta devrait en tirer toutes les conclusions et faire délivrer à Marie-Dominique Aeschlimann- pour lui être agréable et manifester sa compréhension de ses écrits écologiques très récents- un ORDRE DE REVERSEMENT des sommes indument perçues que Marie-Do veut apparemment rembourser à la ville, par amour nouveau du vélo.


Pour s'informer sur les reproches faites à Marie-Dominique Aeschlimann sur l'usage illégale d'une voiture de fonction, suivre ce lien avec téléchargement immédiat du rapport de la Chambre Régionale des Comptes sur la gestion d'Asnières et bien s'imprégner du contenu de la page 6 qui parle de la C5 Citroën que Marie-Dominique Aeschlimann utilisait- avec chauffeur- avant le 16 mars 2008:


http://lin.heather7.googlepages.com/rapportdelacrc (téléchargement automatique)


D'ailleurs, au passage, le maire d'Asnières et Conseiller Régional Sébastien Pietrasanta pourrait indiquer aux élus et aux citoyens de la commune les réponses faites aux demandes adressées à l'ancien maire- Manuel Aeschlimann- et à son ancien directeur de cabinet- Francis Raminé Pourbagher- sur les DEPENSES EXCESSIVES D'ESSENCE pointées par la Chambre Régionale des Comptes à leur endroit.


La transparence, c'est aussi et avant tout l'INFORMATION PUBLIQUE, surtout s'agissant d'ARGENT PUBLIC! Et Marie-Do, adoratrice du vélo, condamnera donc aussi ces pratiques polluantes de son époux et de son ex-directeur de cabinet qui avaient un bilan carbone désastreux pour la planète.......


Par ailleurs, avec 2600 litres d'essence dépensés en 2005 par Manuel Aeschlimann et 3266 litres consommés par Francis Raminé Pourbagher la même année ( et on ne parle ici que de la SEULE ANNES 2005), citoyens, élus d'Asnières sur Seine, Justice et Chambre Régionale des Comptes devraient s'intéresser au plus haut point aux réponses faites par les intéressés et en tirer d'instructives conclusions.


Il convient donc de remercier ici Marie-Dominique Aeschlimann de ses envolées lyriques à tendance écologique décalées dans le temps. Elle a eu bien raison de parler vélo et auto.


La conclusion sera donnée par un ancien élu des époux Aeschlimann, rieur et persifleur: « Marie-Do, maso pour elle, sado contre son mari, c'est très nouveau, très rigolo et très écolo ».




Marylise Dipusu


Chapitre 181 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008


lundi 17 août 2009

Asnières: une rentrée qui s'annonce très mouvante



Ci-dessus, la photo de Dominique de Villepin, qui, bien que devant se défendre devant la Justice de la République le 21 septembre 2009 dans l'affaire CLEARSTREAM 2, est un des hommes politiques montants de cette rentrée sociale, marquée avant tout par le flot grandissant de la révolte sociale des citoyens, laquelle gronde de tous côtés.


Le fait est qu'au sein de l'UMP et de ses satellites, Jean-François Copé et Dominique De Villepin soient présentés comme des alliés potentiels pour remplacer le cas échéant un Président vu comme malade, fatigué-et donc affaibli par ses malaises répétés- est indicatif de l'orientation essentielle en cours au sein du parti dit présidentiel.


A l'évidence, sur Asnières, ces informations- soulignant des processus en cours de cristallisation- auront aussi quelques échos et conséquences. Il en est de même sur les Hauts de Seine où beaucoup à l'UMP se démarquent dorénavant avec une douce prudence d'une excessive soumission politique passée à l'actuel occupant de l'Elysée....


Pour les époux Aeschlimann, décidément, les mauvais coups du sort ne cessent de pleuvoir! Mais, cela ne protège pas pour autant le maire actuel d'Asnières qui est lui aussi mal engagé en cette rentrée 2009.


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A l'ombre du Conseil Général, la température est en hausse



Ce n'est rien de dire que le système Aeschlimann a commencé à exploser-imploser dès le soir du 16 mars 2008, quand les époux Aeschlimann constatèrent, atterrés, leur défaite électorale sortie des urnes.


Ce système Aeschlimann, SANS la propriété de la mairie d'Asnières sur Seine, était naturellement promis à vite mourir, dès que la mairie, ses postes, ses avantages, ses prébendes, lui auraient échappé.


Ce qui était à ce moment imprévu est la crise qui ravage maintenait en interne le parti des époux Aeschlimann, aux niveau national et départemental, ce qui achève de détruire tout espoir aux anciens dirigeants de la ville.


Nul n'ignore le conflit de plus en plus ouvert entre Jean Sarkozy et Patrick Devedjian pour la possession du Conseil Général du département le plus riche de France, le dernier ayant indiqué vouloir y nettoyer les « écuries d'Augias », en clair les pratiques répréhensibles du passé!


Jusque récemment, Jean Sarkozy semblait en ascension irrésistible, mais voilà que les ennuis de santé de son père, connus du Tout-Paris politique et médiatique, rendent son avenir moins certain.


D'autant qu'au sein du parti du Président fatigué et sujet à des malaises répétés, les candidats à son éventuel remplacement sont plus actifs et plus déterminés à s'ouvrir une route vers un avenir plus brillant pour eux. Il en est ainsi de Jean-François Copé et de Dominique De Villepin, qui, tous deux, voient grossir leurs troupes de partisans.


En résumé, tous ces processus en cours sont aussi très destructeurs pour les époux Aeschlimann qui ont tout misé sur Nicolas Sarkozy, malade, en perte d'influence et menacé par une crise sociale et économique d'une ampleur inégalée. Même les deux Conseillers Généraux UMP d'Asnières ne sont plus « alignés » sur leur souhait, de plus en plus vain, de tenter de reprendre la mairie.


Par contre, beaucoup, à l'UMP et autour, attendent avec une joie non dissimulée un Jugement d'inéligibilité de Manuel Aeschlimann pour manifester plus ouvertement leurs ambitions propres. Pour certains d'entre ces prétendants à la mairie d'Asnières sur Seine, on ne cache pas la satisfaction qu'apporterait en parallèle des poursuites judiciaires aussi contre Marie-Dominique Aeschlimann et une décision judiciaire de même nature que contre son mari.


Tout cela montre que, à l'UMP d'Asnières et autour, le sort malheureux qui assaille les époux Aeschlimann n'attriste pas trop, mais fait luire des promesses de lendemains plus beaux......



Pour Sébastien Pietrasanta, l'avenir vient du passé de Julien Dray



Du côté de Sébastien Pietrasanta et de son cabinet, la situation en cette veille de rentrée sociale 2009 n'est pas non plus des plus agréables.


D'abord, le PS, son parti, est entré en crise de dislocation lente et sa crédibilité dans l'opinion continue à s'effondrer.


A cela se rajoute la crise sociale et économique auquel le PS n'a absolument pas de réponse claire, cohérente, juste et nécessaire pour son électorat populaire, frappé de plein fouet par le chômage massif, les vagues incessantes de licenciements, les hausses de tarifs et d'impôts -comme à Asnières. En accroissant taxes et impôts sur le dos de leurs électeurs potentiels au plus mauvais moment, les élus PS à tous les niveaux ont augmenté aussi leur propre rejet public!


A tous ces ennuis qui s'accumulent au-dessus de leurs têtes, Sébastien Pietrasanta et son cabinet rajoutent les problèmes judiciaires publics qui assaillent leur courant politique au sein du PS,en la personne de leur mentor le plus célèbre: Julien Dray.


Sur l'état d'esprit des cadres et militants PS de la ville, nous avons quelques lumières instructives.


Asnières Nouvelles Citoyennes a ainsi interrogé, via un de ses correspondants, un militant PS connu sur Asnières. Son opinion se résume ainsi:

« C'est un miracle déjà qu'un maire PS dirige Asnières, mais Sébastien- Pietrasanta: NDLR- et son cabinet accumulent les erreurs et les bêtises à une telle vitesse que c'est un miracle qu'il soit encore maire. Si le PS perd la mairie en y laissant comme trace la plus visible ses 17% d'augmentation des impôts locaux, nous serons balayés du champ politique asnièrois pour 30 ans . Rajoutez à cela l'affaire Dray et la proximité revendiquée entre Dray et Sébastien, et chacun comprendra que nous allons droit au désastre! D'autant que Sébastien ne comprend même pas le sens et l'importance du grand rassemblement dont il est, pour notre malheur, la figure de proue » .


Ainsi se termine l'été 2009 et se prépare la rentrée sociale en France et à Asnières.


Heureusement, toute ressemblance avec des traits de la situation générale du pays en 1789 -voici 220 ans- et 2009, est absolument indépendante de notre volonté.




Marylise Dipusu



Chapitre 180 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008