Du fait des positions de Sébastien Pietrasanta qui se refuse avec un acharnement de plus en plus inexplicable de faire poursuivre et sanctionner les anomalies de la gestion des époux Aeschlimann afin de récupérer les millions d'euros disparus de 2001 à 2008 dans divers dossiers qui n'ont pas brillé par leur limpidité et leur utilité publique réelle, c'est toute la majorité de grand rassemblement qui risque dorénavant de GRAVES ENNUIS JURIDIQUES ET POLITIQUES.
Ce qu'ils veulent, c'est que leur argent disparu dasn des pratiques dénoncées par les divers rapports et/ou audits revienne dans les caisses municipales afin de ne pas payer plus d'impôts locaux ou des places en crèches plus onéreuses.
Et pour cela, ils ont besoin que Sébastien Pietrasanta agisse au nom de la Ville pour que toutes les dérives que tous connaissent soient poursuivies et sanctionnées par la Justice....Sinon, d'autres le feront et ceux qui n'auront rien fait auparavant auprès du Parquet risquent de se voir reprocher leur silence, qui pourrait apparaître comme une complicité....
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« Plan de relance » par l'appauvrissement des citoyens et la désertification économique
L'article paru dans le Parisien en date du 3 février 2009 est d'un intérêt certain pour les citoyens asnièrois.
On y lit les propos, vagues et généraux, d'un maire apeuré par les mécontentements légitimes que sa politique suscite dans la population.
On y voit aussi la rédaction du journal donner en lien le site internet de Marie-Dominique Aeschlimann sans même citer le blog du maire interviewé (ne fut-ce que par souci d'équilibre des sources du débat).
On y note que Marie-Dominique Aeschlimann dit clairement ce qui génére la colère des habitants qui ont bien compris la manoeuvre, à savoir que la hausse de 17% des impôts locaux maintenant est effectivement une hausse pour les 5 années à venir (sauf changement de cap complet imposé à cette majorité par les citoyens) et non une hausse de 17% étalée sur 6 ans !!!
Le maire évoque un « plan de relance par l'investissement», copiant les erreurs du gouvernement en la matière, plan qui commence à Asnières, non par un endettement plus élevé source de possibles revenus ultérieurs comme l'Etat l'envisage (probablement à tort sans relance de la consommation d'abord), mais par l'appauvrissement accéléré des citoyens de la commune et l'accélération de sa désertification économique!
En un mot, Sébastien Pietrasanta s'enferme de lui-même (et entraîne ce faisant sa majorité) dans un processus qualifié par des gens pourtant proches de lui comme « suicidaire ».
Il est vrai qu'un « plan de relance » qui débute par l'appauvrissement de citoyens appauvris, dans un contexte de reculs prévisibles de revenus fiscaux divers (notamment ceux issus de l'immobilier, du BTP et des entreprises locales), est de facto marqué d'avance par un échec cinglant prévisible.
Cette attitude « droit dans ses bottes » devient pathétique, surtout à Asnières.
De nouveau, Sébastien Pietrasanta donne des verges pour se faire battre et attaquer par les époux Aeschlimann à qui il offre des arguments en or massif contre lui-même. Et nul ne saurait ignorer avec quelle hargne virulente les époux Aeschlimann veulent détruire la majorité actuelle, dont son dirigeant Sébastien Pietrasanta, contre lequel ils mènent une lutte politique à mort, sans pardon possible.
C'est à se demander si le déjeuner pris avec Manuel Aeschlimann n'a pas engendré en Sébastien Pietrasanta un côté masochiste, voire carrément auto-destructeur au profit des époux Aeschlimann....
Le mari avec Valérie, l'épouse avec Roger ou l'art de la duplicité
Si on comprend bien les annonces de Manuel Aeschlimann, l'UMP d'Asnières et ses élus locaux soutiennent la candidature de Roger Karoutchi, mais, les chances électorales de ce dernier tendant vers zéro, le député UMP d'Asnières en sursis de condamnation pénale entend soutenir, lui, Valérie Pécresse comme candidate de l'UMP aux élections régionales en Ile de France.
Ainsi, ce 4 février 2009, Manuel Aeschlimann veut accueillir Valérie Pécresse, pour l'heure et dorénavant en difficulté grave avec la jeunesse étudiante du pays et ses enseignants des universités et IUT.
Soyons très lucides: Valérie Pécresse, en polutique avertie, sait très bien ce que les époux Aeschlimann ont commis et ce qui les menace au niveau judiciaire. Mais, ce qui lui importe pour le moment, à part sa carrière de ministre que les grèves menacent, ce sont ses ambitions régionales en Ile de France.
Manuel Aeschlimann agit ainsi pendant que son épouse continue, mais à voix plus discrète, de soutenir encore- mais pour combien de temps?- Roger Karoutchi.
Chez les époux Aeschlimann, la duplicité est élevé au rang d'un art supérieur.
A toutes fins utiles, rappelons aux époux Aeschlimann cette réflexion d'un ancien socialiste:
« la duplicité en politique est comme le grand écart en danse. Il faut s'y entraîner longtemps pour éviter de forts et douloureux désagréments physiques. De plus, en politique, soutenir deux personnalités concurrentes en même temps peut amener à se brouiller à la fin avec les deux et ainsi perdre sur les deux tableaux ».
Cela, c'est une chose que les époux Aeschlimann savent par contre bien réussir.....
Antennes de téléphonie mobile: la jurisprudence française change de direction et prend enfin en compte les risques sanitaires possibles.
La nouvelle vient de tomber: la Justice considère enfin que le principe de précaution sanitaire doit primer face à la multiplication des antennes de téléphonie mobile sur le territoire.
A Asnières aussi, ce principe devrait prévaloir car des antennes de téléphonie mobile puissantes sont de plus installées à proximité d'écoles et de crèches:
Il serait bon que la mairie d'Asnières s'occupe enfin de ce dossier sanitaire sur Asnières, notamment pour les enfants des écoles et crèches.
Asnières Nouvelles Citoyennes suivra ce dossier avec attention, toujours dans l'intérêt public.
Marylise Dipusu
Chapitre 96 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008