mardi 29 mai 2012

Asnières : les citoyens, la peau de l'ours et le rejet de Manuel Aeschlimann





















MANUEL AESCHLIMANN


























Ci-dessus une iconographie en rapport avec le processus de rejet massif qui se prépare, de la part des électeurs, contre Manuel Aeschlimann, député à la réputation sulfureuse et avocat de riches clients africains très particuliers, mais aussi avec les attitudes quelque peu trop rapides du candidat PS à Asnières-Colombes-Sud, Sébastien Pietrasanta.

Pour ce dernier qui, depuis 2008, bénéficie de toutes les dérives, fautes et erreurs de l'ancien maire et député-sortant, nous avons pensé au symbole de la peau de l'ours qu'on peut vendre honnêtement qu'après que l'animal soit mort et dépecé.

A Manuel Aeschlimann, nous offrons un panneau signalant "la rue du rejet" et une affiche de contrôle de la qualité (ici du travail du député) qui indique: rejeté.

Nos lecteurs comprendront aisément les liens entre cette iconographie et les informations de notre article du jour.

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Le fameux débat entre Rama Yade et Sébastien Pietrasanta a bien eu lieu sur la chaîne LCP et le candidat-caméléon asnièrois (Laurent Martin Saint Léon) qui avait menacé la rédaction de ce médium de ses foudres terrifiantes n'a pas insisté sur le sujet.

D'autant que le débat publié sur Internet ne laissera pas un souvenir impérissable par le niveau des échanges entre les deux candidats, et leur commune distance avec les réalités vécues par la majorité de la population, telles que ce sondage en fait part, avec les préoccupations essentielles des électeurs :


Plus intéressant à notre avis est le processus en cours, constitué par des mouvements brusques de l'électorat et les erreurs arrogantes du PS vis à vis de quelques-uns de ses propres candidats, qui risque bien de faire manquer à ce parti la majorité absolue voulue par lui à l'Assemblée Nationale au soir du 17 juin 2012 :


Divers paramètres semblent jouer sur le nombre final de députés PS qui seront élus : l'un est indicatif d'un mouvement électoral à l'échelle européenne, à savoir la montée en force des votes radicaux, à gauche comme à droite. A cela s'ajoute une forte indécision dans l'électorat.

Cependant, les fautes politiques du PS qui « parachutent » ici et là des candidats issus ou non de ses rangs, sans tenir compte des élus locaux implantés, pourraient valoir à ce parti des échecs retentissants, voire l'élection de députés « humiliés » ou « exclus », qui ne seraient alors pas enclins à suivre de façon moutonnière les choix du gouvernement et du nouvel hôte de l'Elysée!

Par ailleurs, selon diverses études locales, le Front National, via son rassemblement législatif, pourrait obtenir entre 1 et 3 sièges, du fait de situations locales très particulières. 

Nul ne doute que des députés de ce parti pimenteraient, avec en sens opposé des parlementaires du Front de Gauche bien regonflé, les ternes et consensuels débats habituels du Palais Bourbon.

Si le PS n'obtient pas de majorité absolue fidèle aux orientations de François Hollande, le risque d'une crise politique et de choix gouvernementaux définis par des arrangements parlementaires type 4ème République, se préciserait alors, augurant d'un quinquennat en déséquilibre menaçant permanent.

Bref, le PS, avec son mépris dénoncé comme arrogant, des électeurs- selon des élus locaux exclus ou menacés de perdre aussi leurs sièges- vend la peau de l'ours législatif en croyant rééditer juin 1981 en juin 2012, mais sans voir que le contexte de méfiance populaire envers l'appareil du PS est très prégnant dans l'électorat!

Le cas de la 2ème circonscription des Hauts de Seine est très particulier. 

Objectivement, la situation dans son ensemble favorise le candidat du PS, sans égard à ses qualités ou défauts, mais du seul fait du rejet massif des époux Aeschlimann et de la division électorale entre Rama Yade et Manuel Aeschlimann.

Dit autrement, le vainqueur potentiel du 17 juin 2012 devrait être Sébastien Pietrasanta, mais en quelque sorte par défaut, sans adhésion à son programme, ni à la personnalité du candidat, comme ce fut le cas du vote populaire de rejet CONTRE Nicolas Sarkozy le 6 mai 2012 ou CONTRE Manuel Aeschlimann le 16 mars 2008.

Cette victoire par défaut du candidat PS, probable, mais pas certaine, devrait avoir une autre conséquence : la chute définitive de Manuel Aeschlimann ouvrirait alors une période de rénovation AU SEIN et A L'EXTERIEUR de l'UMP, dans les droites pour l'heure divisées, plaçant Rama Yade en situation de s'implanter localement, ceci à une seule condition, tant politique que conforme au Code électoral pour les élections municipales : habiter vraiment et en permanence Asnières !

Pour Rama Yade, en effet, rafler le mandat de député serait emporter de facto avec elle l'UMP locale dans son escarcelle. 

Mais, même sans ce succès, une défaite irrémédiable de Manuel Aeschlimann, trahi déjà tout en subtilité tant par Cyrille Dechenoix que par Thierry le Gac, qui ont des comptes à régler avec le sortant du palais Bourbon; est en soi une VICTOIRE pour la candidate radicale: elle pourra en effet espérer alors prendre la place d'opposante principale à Sébastien Pietrasanta, sur les ruines fumantes du système Aeschlimann!

Ces remarques fournissent, en plus du fossé de détestation entre les deux candidats du camp de l'ex-majorité présidentielle, des raisons objectives pour que Rama Yade et ses partisans souhaitent, avec beaucoup d'autres, la défaite de Manuel Aeschlimann et donc agissent en conséquence de ce constat.

Pour l'heure, tout en étudiant toutes les conséquences possibles de l'action des citoyens libres sur l'échiquier municipal asnièrois, notre premier objectif pratique est de poursuivre, avec le formidable et actif réseau de citoyens indépendants qui veulent la démocratie à Asnières, le combat pour défaire et chasser le candidat Manuel Aeschlimann.

Les citoyens libres d'Asnières ne vendent aucune peau d'ours électorale garantie.

Ils agissent, structurent, informent, créant patiemment les conditions les plus favorables à la défaite cinglante de Manuel Aeschlimann.

Ensuite, si cet objectif est atteint, il sera toujours temps d'aviser !



Marylise Dipusu


Chapitre 512 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008








vendredi 25 mai 2012

Une insulte à l'intelligence des citoyens





























Notre iconographie du jour aura trait à l'hypocrisie (qui pour certains est un mode de vie, de pensée et d'action) et aux corbeaux qui aiment à dénoncer ou faire dénoncer autrui en se cachant derrière des gens faciles à manipuler. l'histoire d'Asnières a connu des "Collectifs" sortis du néant en période électorale et dénonçant tel ou tel candidat, voire des opposants. Ces tristes méthodes indignes de cerveaux sains doivent être bannies et rejetées de la vie communale car elles sont une insulte à l'intelligence des citoyens et à l'esprit civique.

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Sébastien Pietrasanta devrait faire attention aux vidéos qui circulent au Congo car, dans l'une que nous présentons via ce lien, l'ancien maire chassé en mars 2008, Manuel Aeschlimann est présenté, apparemment avec son consentement, comme maire d'Asnières le 17 mai 2012 :


Le député sortant apparaît en avocat vieilli, visiblement pas à l'aise avec les développements concernant son client présumé violeur, Koffi Olomidé, entouré de ce qui semble être des gardes du corps africains.

On note ses réponses imprécises et fuyantes au journaliste qui l'interroge avec une caméra, le tout apparemment près de la mairie d'Asnières.

On observera que Manuel Aeschlimann a du mal à se concentrer sur ses réponses, dans cette interview, entre la défense de son siège et son métier d'avocat en Afrique.

Le lecteur en retirera l'impression nette que son client, Koffi Olomidé, se cache de la Justice de la République comme s'il était coupable alors que son conseil ne cesse de clamer son innocence.

En général, les innocents, sûrs de leur innocence, surtout dans une affaire de viols avec violences, sont pressés de démontrer leur totale absence de culpabilité en participant de leur plein gré à toute la procédure judiciaire afin de faire éclater la vérité.

Il faut reconnaître que Koffi Olomidé n'a pas ce comportement naturel autant que spontané, et que son avocat a du mal à expliquer qu'un innocent s'affichant comme tel continue à fuir la Justice au lieu de se précipiter pour lui faire admettre son innocence.

Cependant, on peut comprendre l'apparence vieilli, usé, quelque peu déprimé de Manuel Aeschlimann : son client ne facilite pas son travail et sa réélection comme député semble mal engagée.

Heureusement, un miracle est survenu en sa faveur indirecte, miracle qui a retenu notre attention citoyenne : un mystérieux Collectif Centriste et radical d'Asnières-Colombes-Sud, domiciliée 2 rue Gaston Bonnier à Asnières et doté d'un site internet introuvable (inexistant?) a vu le jour et a publié un tract bien préparé visant Rama Yadé.

Ce miracle inexplicable à première vue est à l'évidence favorable à Manuel Aeschlimann puisque le tract, aux relents nauséabonds de racisme, vise sa concurrente Rama Yade, y compris ses origines et dénonce ses supposés inaptitudes publiques, notamment ses absences dans les instances électives où elle siège, le Conseil Municipal de Colombes et le Conseil Régional Ile de France.

Il sautera aux yeux que ce Collectif sans responsable identifié est bien informé et a rassemblé, seul et spontanément (cela va sans dire) une documentation précise contre la candidate de sa sensibilité politique affichée, ce qui est quand même curieux car le document ne se conclut même pas par un appel à voter pour un autre candidat radical et centriste, ce qui aurait été logique et cohérent avec le texte.

La chance souriant par ce nouveau tract anonyme à Manuel Aeschlimann, ce Collectif n'a pas même pensé à comptabiliser les absences à l'Assemblée Nationale du député sortant, question de montrer qu'il était bien plus présent dans son mandat que Rama Yade.

Par ailleurs, ce Collectif à la naissance spontané qui réussit à imprimer et diffuser de si précises informations ou supposées telles s'inscrit dans la tradition politique que notre ville a connue depuis 1992.

Nos lecteurs se rappelleront que nous avions annoncé que le surgissement de tels Collectifs spontanés était possible dans cette campagne électorale, et nous avions même anticipé les faits en précisant que, selon nous, les cibles privilégiées de ces Collectifs soudains seraient Rama Yade et Sébastien Pietrasanta.

C'est un miracle aussi que ces Collectifs si nombreux depuis 20 ans à Asnières n'aient jamais visé Manuel Aeschlimann ou son épouse, mais la vérité des faits est là, imparable.

Citoyens, candidats, élus, tireront en toute liberté les conclusions logiques à leurs yeux de ces faits.

Ceci ne doit pas nous empêcher de donner librement notre avis de citoyens : ce dernier tract au vocabulaire inimitable (et pour beaucoup aisément reconnaissable tant il possède une « signature » limpide) nous pousse encore plus à appuyer le mouvement naturel des citoyens libres d'Asnières visant à chasser Manuel Aeschlimann de la vie publique de la commune.

Il est plus que temps de redonner à la population d'Asnières une vie démocratique assainie et apaisée, où le débat public se fait de manière sereine, ouverte, argumentée et transparente.

Nous souhaitons par ailleurs que la Justice identifie rapidement et avec précision les auteurs de ce tract anonyme qui fleure bon un système moribond.

En effet, nous sommes curieux de savoir qui a bien pu rédiger, imprimer, payer et faire diffuser ce tract contre Rama Yade, que l'on peut et doit critiquer en toute clarté, et en toute démocratie, mais sans ces pratiques infâmes et indignes, qui ne peuvent être le fruit avarié de conceptions pathologiques de la vie.



Marylise Dipusu

Chapitre 511 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008




lundi 21 mai 2012

La dure vie des caméléons politiques à Asnières







































Notre iconographie du jour sera satirique et citoyenne.

Tout d'abord, la couverture d'un livre sur le "marketing de l'égo", le titre accompagnant bien le texte que nous publions ce jour, rédigée par une de nos concitoyennes versée en humour satirique.

Ensuite, la photo d'un caméléon multicolore qui peut donc absorber toutes les couleurs de la vie politique locale sur un seul être. Un miracle de la nature que la vie politique asnièroise est parvenue à reproduire.

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Aujourd'hui, Asnières Nouvelles Citoyennes publie un texte satirique rédigé par une citoyenne asnièroise qui a bien voulu nous l'adresser pour quelques éclats de rire citoyens sur cette particularité politique locale : le caméléon politique qui parle au nom des autres, même quand les autres ne lui demandent rien....





     La droite, c'est moi , la droite républicaine, c'est encore moi !




« Vos lecteurs ne le savent peut-être pas, mais la vie des caméléons politiques à Asnières est d'une dureté impitoyable qui pourrait mériter la compassion attendrie d'une association de défense des caméléons politiques si elle existait.


Asnières avait déjà en Serge Danlos- l'élu qui transita du RPR au PS pour rejoindre le MoDem afin de servir fidèlement le PS asnièrois- un spécimen amusant, mais pas unique, de cette espèce politique particulière.


Mais, cet élu de la majorité municipale, ami de Dominique Strauss-Kahn, le héros des dames du Carlton et de Nicolas Sarkozy, le sorti du 6 mai dernier, n'arrive toutefois pas à concurrencer sérieusement le super-champion des caméléons politiques de la ville : Laurent Martin Saint Léon.


Cet ancien bras droit de Charles Pasqua, un homme que certains qualifient parfois avec quelque ironie « d'Arlequin des tribunaux », a cette capacité incroyable de pouvoir tout en même temps se déclarer comme le représentant de divers partis politiques, dont les programmes et orientations sont parfaitement opposés.


Outre cette caractéristique des plus amusantes, il est doté d'un sens de l'humour qui commence à disparaître à mesure qu'il sent bien son destin politique ne résider que dans son passé. C'est le syndrome bien connu en psychologie de «  l'angoisse du retour vers le néant » .


Prenons un exemple récent pour rire du personnage et de son côté caméléon politique inénarrable.


Apprenant que Rama Yade, ancien membre d'un gouvernement qu'il a soutenu, et Sébastien Pietrasanta, maire PS d'Asnières, devaient débattre sur la chaîne parlementaire LCP, il a fait connaître, seul parmi les candidats asnièrois aux élections législatives des 10 et 17 juin prochains, sa colère en signant un texte qui restera dans les annales de la vie locale comme un exemple fort de son « caméléonisme pluraliste et multicolore ».


Les caméléons politiques ne doivent surtout pas être confondus avec de sautillantes grenouilles légères voulant devenir de lourds et gros boeufs.


Ils peuvent toutefois simultanément être sur des positions politiques antagoniques entre elles!


La preuve, sur ce lien public 


Sous le titre désopilant, concis, mais un peu confus :


« Scandaleux : LCP  évince la droite du scrutin »


notre héros de la démocratie signe en toute modestie de son nom, suivi de ces mentions montrant sa multiplicité politique élastique :


« Candidat UMP/Droite républicaine/DLR aux élections législatives à Asnières / Colombes Sud ».


Sur sa profession de foi déposée en préfecture de Nanterre, notre homme est SEULEMENT signalé comme candidat exclusif de « Debout la République ».


A ce jour, officiellement, l'UMP a investi sous son logo Manuel Aeschlimann.


Quant à la droite républicaine, qui n'est pas une formation politique constituée, nul ne sait comment et pourquoi l'ancien maire-adjoint de Manuel Aeschlimann pourrait s'en prétendre LE représentant exclusif !!!


Au vu de ces informations, on conclura que notre caméléon politique paraît se prévaloir de titres qu'il n'a pas et semble donc mentir au public : il n'est pas, en effet, candidat ou représentant local de l'UMP, ni de la droite républicaine !


Il y a plus étrange encore. Notre ancien ami de Manuel Aeschlimann semble aussi avoir perdu le sens des mots en français: il accuse LCP d'évincer la droite du scrutin, rien que ça !!!


Diable, voilà LCP supposée capable de remplacer la préfecture de Nanterre, et les services municipaux en charge des élections dans un scrutin....


Probablement, notre caméléon politique aura mal relu son titre et son texte, poussé par une ire vengeresse sans justesse le conduisant à des excès de langage qui ont dépassé sa pensée.


Mais, au fait, la droite dont parle notre caméléon politique est-elle au moins « évincée » du débat prévu par LCP ?


Et là, encore un mensonge, probablement par confusion, à moins que ce ne soit un trait de jalousie mal placée.


Rama Yade a bien appelé à voter Nicolas Sarkozy, son parti se réclame « de la majorité actuelle parlementaire » dont l'UMP fait partie. On notera que DLR ne se revendique par contre pas de cette majorité.....Logique, quand tu tiens un caméléon!


On peut donc considérer Rama Yade comme pouvant valablement représenter ce que Laurent Martin Saint Léon appelle, un moment, la droite, avant de la restreindre à «  l'UMP, la droite républicaine et « Debout la République » !  


Pour cette dernière formation politique, son apparition aux côtés de l'UMP semble être une nouveauté locale spécifique.


Notre caméléon politique verse dans son texte beaucoup des confusions de sigles et de langage qui peuvent interroger, d'abord sur sa logique intellectuelle, sans parler de son « Moi »  toujours premier qui représente l'alpha et l'oméga de la droite et de la droite républicaine.


Qu'on en juge par ces lignes :


« En ne M’interrogeant pas et en ne ME conviant pas à ce débat, pas plus d’ailleurs que les autres candidats, LCP choisit purement et simplement d’évincer la droite républicaine du scrutin.


On se demande pourquoi aller voter puisque les petits marquis d’une certaine société médiatique ont déjà choisi sans même demander leur avis aux Asnièrois et aux Colombiens.


J’écrirai prochainement au CSA afin de lui demander de M’octroyer un temps de parole au nom de l’UMP, de la droite républicaine et de DLR. »


Analysons la prose de notre nouveau héros de la démocratie passant surtout, comme on le voit, par lui-même puisque représentant politique multi-cartes.


Du premier paragraphe, nous comprenons ceci : que LCP, en ne conviant pas SEULEMENT Laurent Martin Saint Léon, évincerait du scrutin la droite républicaine !!!


Commentaire : en laissant de côté l'aspect très égocentrique de la phrase, on se demande pourquoi et comment un démocrate doté de logique peut se déclarer SEUL PORTE-PAROLE d'un courant politique informel et à la définition subjective, sans demander pour les autres candidats d'autres courants politiques, qu'il évoque brièvement, les mêmes droits que pour lui-même.


Du deuxième paragraphe, on retient que Laurent Martin Saint Léon mélange débat possible sur LCP et scrutin libre autant que démocratique. Par ailleurs, on observe que le candidat multi-logos confond les règles pour les médias de l'élection présidentielle avec celles des scrutins législatifs, ce qui dénote une certaine ignorance sur le sujet.


Le troisième paragraphe est marqué de nouveau par un égocentrisme quelque peu inquiétant puisque Laurent Martin Saint Léon annonce vouloir demander un temps de parole sur LCP, non pas pour lui-même et le mouvement qui l'a investi, mais aussi pour l'UMP et la droite républicaine dont il se prévaut ici abusivement pour le moins !


Imaginons Laurent Martin Saint Léon parler seul au nom des autres candidats, l'exercice peut être réjouissant et drôle. Faisons donc preuve d'audace créative en rédigeant son discours :


« Chers Asnièrois, chers Colombiens,


Je suis donc ici le représentant unique de : Debout la République, de l'UMP, de toute la droite républicaine, du Front de Gauche, des Verts, de Lutte Ouvrière, du NPA, de Solidarité et Progrès, d'Alliance Ecologiste Indépendante, du Parti Libéral Démocrate et du Front National.


Personnellement, à titre personnel et pour moi-même, je déclare être en même temps le candidat de l'UMP, de DLR et de la droite républicaine.


Donc, les autres candidats ne parleront pas par ma voix uniquement singulière autant que silencieusement plurielle.


Etant moi seul l'unique et vrai candidat de la droite et de la droite républicaine sur la deuxième circonscription des Hauts de Seine, il est naturel que LCP, à ce constat d'évidence, m'ait invité à m'exprimer après le gauchiste Sébastien Pietrasanta et la crypto-gauchiste, Rama Yade, qui se dit d'ailleurs du Centre, dont tous savent que c'est encore un appendice du PS et de ses alliés.


Comme je dois représenter toute la droite, rien que la droite républicaine, donc moi-même, je serai bref et clair :


Comme partisan de DLR, je suis pour que la France sorte de la zone euro, que nous abrogions tous les traités scélérats qui avilissent et vassalisent notre nation, notamment ce M E S indigne, dangereux et mauvais pour notre peuple..


Comme partisan de l'UMP, je suis pour que la France demeure dans la zone euro, qu'elle respecte scrupuleusement tous les nécessaires traités européens démocratiquement validés sous la houlette de Nicolas Sarkozy et avalise définitivement ce prodigieux outil budgétaire qu'est le M E S.


Comme partisan de DLR, je me félicite de la défaite de Nicolas Sarkozy, ce président démagogue et ennemi de la souveraineté nationale qui s'est exprimée si fièrement et nettement lors du référendum du 27 mai 2005.


Comme partisan de l'UMP, je suis atterré par l'échec immérité de ce grand homme de la France qu'est Nicolas Sarkozy, lui qui avait tant fait pour que le vote inconsistant et odieux du 27 mai 2005 puisse être corrigé par nos députés et sénateurs en Congrès, contre la volonté du peuple qui ne sait jamais, de toutes façons, que ses dirigeants veulent son bien.


Comme partisan de DLR, je me présente pour que la France retrouve son indépendance totale, le peuple français sa pleine souveraineté, notre économie, sa complète autonomie assise sur une monnaie nationale, notre nation, sa grandeur ancienne et afin de mettre un terme définitif à l'austérité voulue par les technocrates hideux de Bruxelles.


Comme partisan de l'UMP, je me présente pour que notre pays soit plus complètement et fortement inféodé à la BCE et aux exigences indispensables de la Commission européenne, conseillée par notre amie Christine Lagarde au FMI, notamment la nécessité d'une drastique austérité pour le peuple, demandée avec raison par nos courageux et travailleurs responsables bruxellois.


Votez pour moi car vous êtes sûrs avec moi d'avoir raison en toute hypothèse à 100%, puisque je suis l'unique candidat de la droite ainsi que de la droite républicaine sur la circonscription, les autres candidats étant des traîtres ou des menteurs qui vous cachent la vérité sur leurs convictions sans cesse changeantes.


Avec moi, vous ne vous tromperez pas: je suis le seul qui ai toutes les solutions possibles entre mes mains. Je ne suis pas de ces girouettes qui tournent avec le vent électoral du moment, car mes convictions antagoniques peuvent être unies ensemble sans aucun esprit formel de contradiction pratique.


Ainsi, que vous soyez :


pour ou contre l'euro, pour ou contre la France dans  la zone euro, pour ou contre les traités européens, pour ou contre l'austérité, pour ou contre la relance, pour ou contre le M E S, pour ou contre tout et son contraire, un seul vote possible : MOI




pcc de satire citoyenne,


TT -pour le candidat-caméléon de la deuxième circonscription des Hauts de Seine,


Candidat non investi par l'UMP bien que son seul vrai représentant auto-proclamé
Candidat de la droite et de la droite républicaine unies (sans mandat aucun de personne)
Candidat de « Debout la République » -qui ne s'inscrit ni à gauche, ni à droite


Mon slogan pour vous : « Comprenne qui pourra, advienne ce que devra »




Chapitre 510 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008 






samedi 19 mai 2012

attention, citoyens, danger ! stratégie électorale en vue





























Notre iconographie du jour aura trait à la manipulation et aux valses que certains candidats-es peuvent faire dans leurs options et opinions afin de duper les électeurs sur leurs vraies convictions (quand encore ils en ont vraiment). Il est non moins vrai que certaines élections sont parfois vues par des citoyens comme le titre de ce célèbre film où Robert de Niro jouait à la perfection et intitulé "la valse des pantins". Parfois, en politique, la réalité vraie dépasse les scénarios les plus inventifs.

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La liste des candidats(es) aux élections législatives de juin 2012 est donc officielle. Sur la deuxième circonscription qui inclut Asnières et Colombes-Sud, en apparence, l'éventail des choix offerts aux citoyens-électeurs semble large.

Cependant, une analyse plus affinée des noms et une étude rapide de leur passé asnièrois peut laisser penser que, des ruines du système Aeschlimann, il est né- pas toujours spontanément- divers sous-courants bien inquiétants quant à leur véracité politique.

Il est vrai que le système Aeschlimann, dans le passé, a habitué les citoyens à faire surgir du néant des candidatures très diverses, qui, au second tour d'une élection, appelaient, par un miracle incroyable, à voter pour le député ou le maire d'avant mars 2008, ou son candidat officiel!

Les mêmes méthodes éculées et peu républicaines vont-elles être encore utilisées en juin 2012 ?

Pour connaître la réponse, Asnières Nouvelles Citoyennes nomme avec précision les candidatures pour le scrutin législatif qui ont collaboré, peu ou prou, au système Aeschlimann, afin que tous les électeurs sachent que, sous l'arbre de l'apparente et souriante diversité se cache peut-être la forêt de l'unicité.

Ont donc été membres actifs et connus publiquement du système Aeschlimann les candidats(es) suivants(es) :

Laurent Martin Saint Léon et Corinne Prévitali (logo officiel 2012 : « Debout la République »)

Mohamed Bentebra (suppléante inconnue de nous : Aurélie Lefebvre) : logo 2012 « Alliance Ecologique Indépendante »

Francis Pourbagher (suppléante inconnue de nous: Elisabeth Le Galle) : logo 2012 « Parti Libéral Démocrate »

On rajoutera à cette liste à la Prévert, car les appendices politiques croupions de l'UMP sont à rattacher au corps maternel originel, les deux candidats sous le logo CNIP : Alix Maleyre et Sarah Alland. 

Bien que les deux candidats n'aient pas, à notre connaissance, été partie prenante du système Aeschlimann, il n'en reste pas moins que le CNIP local roule à l'évidence pour l'UMP locale.

Ce constat fait, la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes prend de nouveau, comme avant le 6 mai 2012, ses responsabilités citoyennes :

Nous appelons tous les électeurs d'Asnières à voter pour qui bon leur semble, sauf pour le député sortant et les candidatures issues de son ancien système sur Asnières.

La raison principale de cet appel est simple et transparente :

il est manifeste que les candidatures citées plus haut n'ont qu'un objectif commun: 
 
créer pour le second tour une apparence de dynamique unitaire factice en faveur de Manuel Aeschlimann, avec comme but final d'essayer de sauver le siège du député sortant.

En effet, en essayant de couvrir un spectre politique large au sein de ce qu'on appelle, à tort ou à raison, la droite républicaine, il est évident que ces candidatures n'ont comme fonction objective que de tenter de récolter des voix que les candidats cités essaieraient ensuite de faire transiter vers le nom de Manuel Aeschlimann, au nom de l'unité de leur camp politique.

Aussi, face à cette stratégie simpliste déjà utilisée, mais ici démultipliée afin de donner de fausses impressions de large rassemblement ultérieur autour du député sortant, il importe :

1- de tout faire pour que le vote populaire démocratique élimine la candidature de Manuel Aeschlimann dès le 10 juin au soir,

2- de sanctionner sévèrement, en toute hypothèse, tous les partisans passés et actuels du système Aeschlimann, quels que soient les logos politiques officiels qu'ils affichent en 2012 en leur refusant les suffrages des citoyens-électeurs.

Soyons très nets dans ce scrutin :

à gauche, si on excepte les candidats du NPA et de LO, les autres listes se rallieront au second tour au PS, ce qui est logique au vu des positions des partis en question au niveau national.

À droite, il reste la candidature de Rama Yade et celle du Front National, qui sont toutes deux clairement indépendantes du système Aeschlimann.

Aussi, nous sollicitons les citoyens afin de faire, dès le 10 juin 2012, des choix électoraux conscients, réfléchis et calculés  visant à débarrasser définitivement Asnières du système Aeschlimann ::

à gauche, votez pour qui vous semble le plus proche de vos opinions personnelles, le contexte général final est déjà acquis par le résultat du 6 mai 2012;

à droite : ne votez pas pour Manuel Aeschlimann et ses anciens partisans désignés plus haut.

Selon des sources diverses, Rama Yade serait bien partie afin d'arriver en seconde position au soir du 10 juin 2012. Si cela se vérifie dans les urnes, voilà qui sera pour les habitants d'Asnières une victoire et une libération.

Quoi qu'il en soit, il convient que tous puissent voter en connaissant les paramètres exactes de la situation afin d'éviter que les votes légitimes de citoyens honnêtes soient ensuite dévoyés par ceux qui les auraient captés.

Comme disait un ancien élu de Manuel Aeschlimann, imitant une phrase ancienne célèbre sur le sort de la ville de Carthage :

«  le système Aeschlimann doit être entièrement détruit »

Le 10 juin 2012,  les électeurs ont entre leurs mains cette possibilité bienfaisante.



Marylise Dipusu

Chapitre 509 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008





mardi 15 mai 2012

"Sortie ordonnée de l'euro " et élections à Asnières
























Notre iconographie du jour traitera des ces cas fameux en France, mais aussi à Asnières de pseudo-politiques qui, selon les cas, apparaissent comme des derviches tourneurs permanents, des savonneurs de planche de chute pour leurs anciens amis et des spécialistes en vestes rertournées
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Ce qui était, selon les uns ou les autres, « impensable », inacceptable », « impossible », « insupportable », « inimaginable », à savoir la sortie d'un pays de la zone euro est en voie de se réaliser, et même selon Christine Lagarde, directrice en sursis du FMI, une « sortie ordonnée » :


Les faits sont plus têtus que les têtes bornés des politiques dogmatiques. Et ils finissent toujours par triompher.

Ce qui est en voie de s'écrouler- et les réactions du monde financier en font foi- est le dogme indigent d'une zone euro éternelle, bienfaisante et panacée à tous les problèmes.

Derrière cela, comme le rappellent avec une certaine délectation ironique des analystes des médias internationaux, ce qui s'effondre est l'aberrant second dogme qui veut que 27 peuples obéissent au doigt et à l'oeil à une « Troïka de la misère » (FMI, UE, BCE), troïka appuyée sur une Commission européenne jamais élue PAR PERSONNE.

Enfin, les observateurs notent que la zone euro n'attire plus aucune pays et qu'elle ne recrute plus aucun Etat qui en ferait la folle demande !!! 

La chute de ladite zone par dislocation rampante est ainsi annoncée, dès lors que la confiance externe en l'euro a disparu. Le cas de la Pologne est ici exemplaire.

Parallèlement, la plus puissante zone de libre échange du monde est en discussion entre la Chine, le Japon et la Corée du Sud, avec, derrière ces 3 Etats, les pays qui ont des accords similaires avec les 3 membres fondateurs. 

La mondialisation telle que vue par ses promoteurs est mourante, et les zones régionales de libre échange qui se multiplient signent cet arrêt de mort. Comme le note un expert économique:
 " les zones de libre échange régionales sonnent le glas de la mondialisation telle que nous la concevions. Ces zones régionales de libre échange (UE, Mercosur, Asean, Nafta,...) sont bien en réalité des zones de protectionnisme collectif".

Cela, c'est donc le contexte FONDAMENTAL dans lequel ont lieu en France les élections législatives des 10 et 17 juin 2012.

Les candidats déclarés, pour l'heure, semblent être dans un univers irréel en ne parlant pas de ces changements réels et de ces bouleversements véritables en cours.

Certes, le conflit Manuel Aeschlimann-Rama Yade semble avoir perdu en apparente virulence, mais sous les cendres brûlantes des brûlots diffusés voici quelques semaines, une reprise violente des hostilités est inévitable à l'approche des dates électorales décisives.

La seule nouvelle, désopilante, digne d'un comique de comédie, de cette campagne qui ignore superbement les problèmes concrets du monde et stagne dans des discours aussi creux que vagues, sans intérêt aucun, est l'annonce de la candidature de Laurent Martin Saint Léon, qui prend ses références de Nicolas Dupont-Aignan à Nicolas Sarkozy, en passant par Charles Pasqua, comme si ce rappel d'hommes du passé sans futur projetait une lumière d'avenir pour quiconque dans la circonscription.

Cette candidature, outre son côté pathétique et risible, sert ouvertement, et objectivement, à diviser encore plus le camp politique dont l'intéressé se réclame. C'est d'ailleurs son seul intérêt objectif pour les analystes. Elle vient de feu le système Aeschlimann et pave la voie à sa fin ultime.

Quant aux positions de fond que le candidat entend défendre lors de ce scrutin, nul ne les connaît par son texte de candidature, terne, vide et sans saveur.

On en tirera comme seule conclusion possible que le seul objectif compréhensible, après réflexion, de cette candidature est de savonner la planche de sortie, non pas de la France pour la zone euro, mais de son ancien ami Manuel Aeschlimann de l'Assemblée Nationale.

Finalement, le PS asnièrois a bien de la chance avec ses adversaires qui se divisent, s'attaquent et se subdivisent toujours plus. 

Son bonheur serait totale si d'autres candidatures opportunes arrivaient encore à droite de l'échiquier politique, par exemple avec une candidature de Francis Raminé Pourbagher ou celle de Monsieur Belayadi, l'homme qui avait rêvé de "tenir Manuel Aeschlimann"

La section asnièroise du PS devrait remercier sincèrement Manuel Aeschlimann qui a réussi le double exploit remarquable d'atomiser son camp politique et de le ridiculiser totalement dans la ville, sans oublier ses attaques virulentes contre Rama Yade.

Son candidat, Sébastien Pietrasanta, fait donc campagne dans des conditions politiques apparentes de rêve, même si la crise mondiale rattrapera vite les paroles et les écrits afin de les soumettre tous au jugement impitoyable des faits.

A Asnières Nouvelles Citoyennes, nous restons encore et toujours du seul côté des citoyens, fidèles à nos paroles et attentifs à notre continuité d'action.

Indépendance ne signifie pas neutralité. Notre action, comme nos positions, ont le double mérite de la continuité logique et de la cohésion d'ensemble.




Marylise Dipusu

Chapitre 508 des chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008














 

dimanche 13 mai 2012

Les affaires d'Asnières, de France, de l'Europe et du monde



























Ci-dessus, deux images relatives au contexte des élections législatives qui se dessine, un contexte qui est à la fois national, européen et mondial.

Tout d'abord, la crise de l"euro qui s'approfondit sans cesse avec la menace de sortie de la zone monétaire de la Grèce, l'Espagne et l'Italie étant en situation de suivre le chemin de l'Etat héllène assez vite. Les étoiles commencent à avancer pour sortir du cercle formé par le drapeau de l'UE.

Pendant ce temps, les Etats les plus puissants d'Asie jettent les bases d'une zone de libre échange sous laa direction de la Chine, zone de libre échange asiatique visant à clairement protéger les économies de cette région du monde de la crise de l'euro et de ses conséquences. 

La crise de l'euro, l'échec économique et politique de l'Union européenne va donc s'inviter dans les élections législatives. Comme en Grèce, la ligne de démarcation politique réelle sera entre partisans de l'austérité suicidaire au profit des spéculateurs et les partisans de la démocratie vraie, de la souveraineté des peuples et d'une économie libérée du carcan mortifère de l'euro.

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En Italie, la colère populaire contre la politique d'austérité monte contre le gouvernement Monti, directement mis en place et inféodé à la « Troïka de la misère », comme la nomme les citoyens grecs ( UE, BCE, FMI) :


Curieusement, les premiers à se suicider du fait des décisions gouvernementales sont ceux qui avaient accueilli ce gouvernement avec joie : petits et moyens patrons, commerçants, artisans, professions libérales. 

Ces suicides de la crise italienne, un écho terrible de ceux notés en Grèce, exaspèrent de plus en plus l'opinion publique italienne, avec quelque juste légitimité.

En France, on apprend que Béchir Saleh, l'homme des secrets de Nicolas Sarkozy avec Khadafi, devait être arrêté sur le territoire national, selon l'ancien Président français. 

Par un miracle encore inexpliqué à cette heure, l'intéressé qui était ouvertement en visite dans des brasseries de luxe à Paris avant le 6 mai 2012, a pu franchir les frontières de la France, sans être arrêté, ni inquiété, malgré la demande d'arrestation délivrée par Interpol :


Espérons que cet homme chanceux avec nos frontières n'aura pas l'idée de financer la campagne de Claude Guéant à Boulogne-Billancourt.....comme l'en soupçonnent ironiquement des humoristes sénégalais !

Parfois, il arrive qu'un ancien partisan des époux Aeschlimann trouve la voie de la liberté, des valeurs humanistes et républicaines, à travers son métier.

Un ancien proche de Manuel Aeschliman, avocat, Me Nicolas Cellupica, semble en effet choisir des combats judiciaires bien plus honorables et salutaires pour l'intérêt public que ceux du député sortant en Afrique.

En effet, on apprend que Nicolas Cellupica est l'avocat combatif qui défend le pompier ayant été violé dans un bus sous les regards présumés complices de 12 de ses collègues.

Ce faisant, Me Cellupica défend les victimes d'actes de violences physiques, alors que Me Manuel Aeschlimann, de son côté, est le conseil d'un présumé violeur avec violences, Koffi Olomidé, riche chanteur qui chante les louanges des dictatures africaines, et ce dans une affaire ayant eu lieu à Asnières et dont nous avons déjà parlé.

Voilà une position et des choix de Me Cellupica qui méritent d'être dits et honorés publiquement tant ils tranchent avec ceux de Manuel Aeschlimann :


Nous conclurons sur une information intéressante, qui est par ailleurs la conséquence de la crise de dislocation rapide de la zone euro, et qui manifeste l'impasse de cette crise qui ne peut finir qu'avec la sortie des pays, un après l'autre, ou bien collectivement, de l'euro :


En clair, les 2ème et 3ème économies du monde s'unissent au géant industriel sud-coréen afin de créer une zone libre échange, dont la première victime sera, à l'évidence, la zone euro en crise !

Voilà une information, qui, si elle aboutit à une réalité économique, va changer beaucoup de choses pour le monde, l'UE et la France.

Le marché mondial se disloque et se recompose sur de nouvelles bases:  il reste à voir si les candidats- députés en tireront toutes les conséquences pratiques ou s'ils continueront à chanter l'hymne aux sacrifices pour les autres.....



Marylise Dipusu

Chapitre 507 des chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

mercredi 9 mai 2012

Opération «  effacement du sarkozysme dans le 92 »





























Ci-dessus, deux symboles de la chute du sarkozysme, ce système centré sur un homme et une absence totale de principes républicains.

Tout d'abord, le drapeau français symboliquement souillé par la tache sombre de ce qu'a été le système sarkozyste pendant 5 ans et avant: scandales, affaires judiciaires bloquées, écoutes téléphoniques illégales de journalistes, coups tordus, guerres et interventions en tous genres à l'extérieur, enrichissements des plus riches et appauvrissement de la majorité, attaques des valeurs de la République.

Il était plus que temps que le peuple mette à bas ce système inique, injuste et dangereux.

Ensuite, la couverture du livre de Serge Portelli qui établit un bilan du sarkozysme et trace des perspectives après la chute de ce système indigne. 

Dans les Hauts de Seine, deux dossiers vont concentrer l'attention publique citoyenne: la chute des derniers sarkozystes déclarés ( Patrick Balkany, Claude Guéant, Manuel Aeschlimann)  ET le destin de Philippe Courroye, ce magistrat accusé de faire écouter au profit de l'ancien système des journalistes comme dans une vulgaire dictature.

Il importe maintenant de détruire de fond en comble TOUT LE SYSTEME ANTI-REPUBLICAIN DU SARKOZYSME dans les Hauts de Seine et dans le pays.  

A Asnières, nous nous y emploierons avec l'énergie populaire en action et l'aide des citoyens libres. 

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Nos lecteurs le savent : les Hauts de Seine sont un univers impitoyable aux vaincus ou aux futurs vaincus.

A l'évidence, le département dont les élus firent monter Nicolas Sarkozy à l'Elysée a très vite été un centre de la résistance, par ses citoyens libres, au sarkozysme, notamment face au fils de Nicolas Sarkozy (affaire de l'EPAD) et avec la victoire à Neuilly de Jean-Christophe Fromentin, maire non-UMP et surtout pas sarkozyste.

A Asnières, notamment, des élus de la droite dite républicaine se sont très tôt opposés aux dérives sarkozystes, traçant un chemin aujourd'hui suivi par beaucoup d'autres, plus connus, de Dominique de Villepin à François Bayrou.

En ce mois de mai 2012, les Hauts de Seine se préparent à vivre une opération « effacement du sarkozysme dans le 92 ».

Sont particulièrement concernés par cette opération, pour l'heure, menée tout en douceur : Claude Guéant à Boulogne-Billancourt, Patrick Balkany à Levallois-Perret et Manuel Aeschlimann à Asnières.

Mme Ceccaldi-Raynaud, de son côté, ne se représentant pas, son cas est considéré comme réglé : son siège de député devrait revenir par un vote massif au maire actuel de Neuilly.

Et les faits confirment notre analyse, qui ne date pas d'hier, mais du 16 mars 2008.

Sur ce lien,


un élu de l'UMP du 92, et pas des moindres, évoque, nous citons, «  le bordel entre Manuel Aeschlimann et Rama Yade à Asnières ».

Qu'en termes pesés et galants le combat fratricide engagé à Asnières entre le député sortant et l'ancienne secrétaire d'Etat est ainsi résumé.

A l'évidence, les élus et candidats de droite, non-UMP et/ou surtout non-sarkozystes, ont le vent en poupe dans le 92 pour les élections législatives.

A Asnières, le candidat du PS pourrait, par contre, ravir la circonscription à l'UMP, à moins que Rama Yade puisse la sauver pour......le parti radical !!!

Il est vrai que ce parti navigue en ce moment à la boussole et attend l'éclatement de l'UMP pour se trouver une place politique viable, au moins selon les calculs de ses chefs.

Pendant ce temps, les citoyens et associations libres d'Asnières travaillent sur le passé, les faits et les bilans, notamment celui de Manuel Aeschlimann.

Ainsi, ce lien, aboutissant à des textes et des vidéos fort instructives, donne un bon résumé des dérives du système Aeschlimann à Asnières.

Nous le recommandons donc à nos lecteurs afin qu'ils le fassent largement circuler via leurs réseaux personnels et/ou sociaux :


Les candidats opposés à Manuel Aeschlimann y trouveront textes de référence et vidéos passionnantes propres à enrichir leur communication électorale pendant le mois qui vient et à informer les électeurs sur la base de fait avérés et de reportages audiovisuels instructifs.

D'ailleurs, à ce sujet, nous demandons très officiellement, tant à Rama Yade qu'à Sébastien Pietrasanta, de saisir IMMEDIATEMENT le Procureur de la République près du TGI de Nanterre, Philippe Courroye, mis en examen dans une affaire d'écoutes téléphoniques illégales de journalistes, au sujet du devenir de l'affaire des « FICHIERS ETHNIQUES ELECTORAUX D'ASNIERES ».

Où en est cette affaire ? Quelle décision le Parquet de Nanterre compte-t-il prendre ? Qui est en charge du dossier en 2012 ? Si le dossier a été « classé » par Philippe Courroye, il importe que les deux candidats, qui se réclament de la République et de ses principes intangibles, EXIGENT la réouverture du dossier, éventuellement via leurs avocats et en se constituant parties civiles si cela est nécessaire.

Le sarkozysme est tombé, place à la Justice indépendante !

D'ailleurs, en parlant de Justice et de Nicolas Sarkozy, ce lien va permettre de vérifier que le sujet est du plus grand intérêt public :


On dirait vraiment que le scénario de l'après mars 2008 avec les ennuis judiciaires de Manuel Aeschlimann à Asnières se répète au niveau national contre son mentor, Nicolas Sarkozy.

L'histoire aime parfois se répéter ou  bégayer.....



Marylise Dipusu


Chapitre 506 des chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008