En-dessous, la photo du maire Sébastien Pietrasanta, peut-être souriant à l'idée qu'Asnières Nouvelles Citoyennes lui souffle de passer un accord de remboursement avec les époux Aeschlimann et Francis Raminé Pourbagher pour leurs dépenses indues et/ou excessives constatées par le Rapport de la Chambre Régionale des Comptes. Un tel sourire s'expliquerait par la satisfaction naturelle de prendre enfin une décision concrète, sociale, juste et populaire.
En dernier lieu, la photo de Bertrand Delanoé, maire de Paris, qui a eu l'idée d'un accord de remboursement par l'UMP et Jacques Chirac de sommes d'argent public municipal parisien pour des emplois fictifs de l'ex-RPR. Une idée qui ne peut que réjouir Sébastien Pietrasanta, partisan d'une ville d'Asnières apaisée par la justice et le respect du droit.
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Quand le couple Bentebra- Pourbagher s'attaque au père de la secrétaire particulière de Nicolas Sarkozy
Il fallait au moins avoir le sens aiguisé de l'ironie déguisée du blog local de soutien au maire actuel
pour annoncer que Francis Pourbagher était « habituellement bien renseigné »!!! Un gag farceur qui fait rire les quelques habitants qui ont accès à ce blog si peu actif, mais ici rempli d'humour dont on ne sait s'il est volontaire ou inconscient.
Le couple Bentebra- Pourbagher ne possédait pas, en annonçant l'action de Monsieur Bentebra en Justice contre Jacques Maurice Dauphin, l'information très instructive selon laquelle la fille de cet ancien élu UMP d'Asnières était un membre du tout premier cercle de Nicolas Sarkozy..... car sa SECRETAIRE PARTICULIERE depuis fort longtemps!
Du coup, l'action lancée par Monsieur Mohamed Bentebra contre Jacques-Maurice Dauphin prend un aspect politique qui n'avait pas été anticipé par les deux compères, et surtout risque de faire des vagues en retour...... contre les deux anciens serviteurs zélés du système Aeschlimann en ruines!
A l'Elysée, où l'ambiance est plutôt maussade et orageuse ces derniers temps, certains pointent l'éventualité que Monsieur Bentebra n'aurait pas agi en Justice contre l'ancien élu UMP Dauphin sans, au minimum, l'aval des époux Aeschlimann, aval transmis via Monsieur Pourbagher.
D'ici à ce que l'initiative judiciaire de Monsieur Bentebra contre Monsieur Dauphin se retourne, non seulement contre ses auteurs, mais aussi contre le couple Aeschlimann, il n'y a pas loin, d'autant qu'un certain...... Jean Sarkozy pourrait se saisir du dossier afin de venir remettre de l'ordre dans l'UMP asnièroise en morceaux, CONTRE le député en sursis et son épouse à l'activité publique faite de vacuité.
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L'accord UMP-Chirac- Mairie de Paris: un exemple à suivre par la mairie d'Asnières et Sébastien Pietrasanta?
On se rappelle qu'en 2007-2008, Sébastien Pietrasanta, candidat à la mairie, puis maire élu, avait dénoncé avec ardeur les dérives financières au profit des époux Aeschlimann pointées par le Rapport 2007 de la Chambre Régionale des Comptes d'Ile de France sur la gestion de la Ville d'Asnières sur Seine.
A l'époque, Sébastien Pietrasanta avait évoqué des dépenses d'essence illicites ou franchement excessives (concernant les époux Aeschlimann ET Francis Raminé Pourbagher), l'usage de la carte bleue de la Ville pour des achats privés par le couple Aeschlimann, le fait pour Madame Marie-Dominique Aeschlimann de rouler avec une voiture luxueuse de fonction (C5), avec chauffeur, alors qu'elle n'y avait aucun droit, etc.......
Curieusement, depuis avril- mai 2008, le maire actuel n'est plus revenu sur ces ennuyeuses dérives qui ont grevé illégalement les finances de la Ville. Et pourtant, il y avait de quoi.
Sébastien Pietrasanta, dans ce contexte où il est maintenant en charge des finances communales, a devant lui l'accord UMP-Chirac-Mairie de Paris sur les emplois fictifs comme exemple sur la manière de faire restituer, par voie non-judiciaire, négociée, amiable, des sommes d'argent public détournées:
Aussi, inspiré par l'exemple donné avec force par son ami et collègue Bertrand DELANOE, Sébastien Pietrasanta devrait, au nom de la Ville, proposer aux époux Aeschlimann et à Francis Raminé Pourbagher de rembourser, de manière contractuelle, au Trésor Public les sommes qu'ils ont indûment utilisées.
Nul ne doute du bénéfice global, pour les finances communales, pour la municipalité liée à ANTICOR et à ses principes, pour la morale publique, pour l'avenir politique même de Sébastien Pietrasanta, d'une telle action, médiatisée avec soin et revendiquée clairement au nom de l'intérêt public.
En cette rentrée 2010 où les affaires financières soulèvent la colère des citoyens, où même un Ministre est menacé des foudres de la Cour de Justice de la République pour de possibles conflits d'intérêts:
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jnXtU9CZzqOrhGnD4oeMydLzDWHA
Il est agréable d'entendre Bertrand DELANOE parler de l'intérêt des Parisiens comme le souligne ce lien:
Sébastien Pietrasanta pourrait suivre cet exemple positif autant que sain et défendre, lui, l'intérêt.... des habitants d'Asnières! C'est son rôle et son mandat depuis le 16 mars 2008.....
Impôts locaux: Asnières Nouvelles Citoyennes informe
Alors que la situation sur les abattements relatifs aux taxes locales se clarifie lentement, Asnières Nouvelles Citoyennes fait le point sur quelques informations pertinentes, utiles et puisées à la meilleure source.
Pour la Taxe d'Habitation et la Taxe Foncière, les modalités et conditions d'exonération:
http://www.service-public.fr/actualites/00794.html
Rappel des échéances fiscales en 2010 telles que prévues par les services de l'Etat à ce jour (susceptibles de modification ultérieures):
http://www.calcul-impots.com/calendrier-fiscal-2010,5.html
Le mois de septembre est aussi celui de la rentrée fiscale, sans mauvais jeu de mots si on se place du point de vue du Trésor Public!
Parking de l'Hôtel de Ville: un Collectif de riverains et des impératifs cornéliens
Cela fait des mois que le Collectif des riverains Centre Ville diffuse, à doses variables selon les moments, des tracts sur « Asnières défigurée », un titre qui fait dans l'exagération publicitaire non assumée afin d'attirer l'attention du lecteur-citoyen.
Curieusement, ces tracts, qui se répètent en boucle, ne mentionnent toujours pas les vidéos citoyennes réalisées sur le fond financier du dossier et continuent inlassablement à citer une UNIQUE action en Justice administrative de deux personnes pour « excès de pouvoir » contre la SEULE décision de remboursement prise par la Municipalité actuelle (551000 euros!).
Certes, des citoyens à la mémoire vive et fidèle ont noté que l'un des signataires, ancien maire adjoint à la sécurité de Manuel Aeschlimann, avait engagé déjà en 2005-2006 des actions devant le Tribunal Administratif de Versailles, sur le premier projet quand il avait été « éjecté » de la majorité municipale. Actions abandonnées ensuite sans explication quand il avait obtenu de la Justice sa réintégration à son poste en mairie!!!
Pour l'heure, le même, devenu définitivement ancien élu, annonce qu'il a esté en Justice avec un de ses amis, mais omet soigneusement d'informer le public, voire le Collectif des riverains, des suites de son action (dates des audiences, numéro de l'affaire, contenu des mémoires déposés, noms des avocats, position du Commissaire du gouvernement, etc....).
Ce silence, ou cette rétention de l'information, ne plaident pas en faveur de son dévouement revendiqué à la beauté d'Asnières et des intérêts de ses habitants, ce qui motive un large mouvement de scepticisme parmi les riverains concernés qui ont mal digéré- et cela est doux euphémisme- les abandons (reniements ?) judiciaires passés pour cause de retour en poste au sein de l'exécutif municipal.
Si le projet actuel de parking de l'Hôtel de Ville est effectivement discutable, critiquable, dans son fond et dans sa forme, il pourrait être souhaitable, parfois, d'éviter des tracts aux titres très exagérés qui pourraient recouvrir, voire précéder des retournements possibles de vestes tout aussi excessifs que brutaux, mais toujours opportuns.
Ne dit-on pas de l'excès verbal qu'il n'est que le paravent apparent de l'insignifiance en souffrance?
Marylise Dipusu
Chapitre 330 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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