Sur cette photo, Sébastien Pietrasanta et ses deux principaux adjoints du "Grand Rassemblement pour Asnières".
Tous trois sont aussi Officiers de Police Judiciaire, comme 16 autres maires-adjoints, et ils savent, comme leurs 16 autres collègues, qu'il leur faut poursuivre maintenant et activement le délit de détournement de fonds publics dénoncé par le maire sur son blog.
Toute la lumière publique doit être faite sur ces frais d'avocats illégaux payés par les citoyens asnièrois et toutes les responsabilités doivent être établies par la Justice.
Manuel Aeschlimann pensait qu'il n'aurait à affronter que le dossier du Festival International jeudi et vendredi prochains. Erreur. Dorénavant, ce dossier commence à faire des "petits"....et encore contre lui!
Tous trois sont aussi Officiers de Police Judiciaire, comme 16 autres maires-adjoints, et ils savent, comme leurs 16 autres collègues, qu'il leur faut poursuivre maintenant et activement le délit de détournement de fonds publics dénoncé par le maire sur son blog.
Toute la lumière publique doit être faite sur ces frais d'avocats illégaux payés par les citoyens asnièrois et toutes les responsabilités doivent être établies par la Justice.
Manuel Aeschlimann pensait qu'il n'aurait à affronter que le dossier du Festival International jeudi et vendredi prochains. Erreur. Dorénavant, ce dossier commence à faire des "petits"....et encore contre lui!
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Asnières: le maire établit un délit de détournement de fonds publics sur son blog au profit de l'ancien maire et de ses avocats dans l'affaire du Festival International
Ainsi donc, Sébastien Pietrasanta, rompant avec un long silence, accuse PUBLIQUEMENT, comme maire d'Asnières sur Seine, sur son blog, Manuel Aeschlimann de détournement de fonds publics afin de payer ses avocats (et très probablement, selon diverses sources, ceux de Fabienne Van Aal) dans l'affaire pénal dite du « Festival International".
Lien: http://pietrasanta.over-blog.com/article-27147490.html
C'est en tout cas ce qu'élus et citoyens, comme tous les médias du pays, peuvent logiquement conclure de la seconde partie de la deuxième phrase, ici en gras, signée de Sébastien Pietrasanta, lequel est connu pour ne jamais avancer une accusation sans preuve et sans vérification.
«Lorsque j'étais chef de file de l'opposition, j'avais demandé à ce que la ville se constitue partie civile dans cette affaire. J'avais bien entendu reçu, alors, une fin de non recevoir...C'est normal, M. Aeschlimann était alors Maire et s'accordait des honoraires d'avocat payés par la ville pour se défendre dans la procédure ».
Effectivement, il semble bien avéré, selon le maire lui-même, que Manuel Aeschlimann a fait régler à ses avocats successifs ( selon nos sources, Me Olivier SCHNERB et Me Thierry HERZOG, aussi avocat de Nicolas Sarkozy) leurs honoraires par la Ville, donc par l'argent public, et ce en toute connaissance de la parfaite illégalité de cet acte.
Pire encore, les avocats sus-cités, et tous ceux qui auraient été engagés dans ce dossier à un titre quelconque, ne pouvaient ignorer que la Ville ne pouvait pas payer leurs honoraires sans devenir complices d'un véritable détournement de fonds publics, que Sébastien Pietrasanta révèle au grand jour par son blog.
La Ville, son Conseil Municipal, suite aux accusations écrites portées PUBLIQUEMENT par le maire, sont désormais contraints par la loi (article 40 du Code de Procédure Pénale) et leurs obligations d'OPJ pour l'édile et ses 18 adjoints, d'engager immédiatement des poursuites pénales avec constitution de partie civile contre l'ancien maire, son éventuelle complice et co-bénéficiaire de cette infraction grave (Fabienne Van Aal), ainsi que contre les avocats impliqués dans le dossier pour « recel de détournement de fonds publics ».
Par ailleurs, il est important que la mairie établisse avec netteté jusqu'à quelle date la Ville a payé les frais de défense de Manuel Aeschlimann ou d'autres prévenus dans le dossier du Festival International. Cela borde en montant financier et en dates les délits collectifs dénoncés par Sébastien Pietrasanta.
Si des paiements publics sont intervenus entre le 22 mars 2008 et aujourd'hui en faveur des avocats de Manuel Aeschlimann, le maire et sa majorité doivent encore plus vite porter l'affaire complète en Justice avec diligence afin de ne pas porter de responsabilité, même involontaire, dans ces actes délictueux!!!
Comme il est essentiel de déterminer avec la plus extrême précision la somme totale détournée au profit des avocats qui auraient accepté ces versements en sachant parfaitement qu'ils ne pouvaient les accepter, d'autant que cela se double pour eux d'une FAUTE PROFESSIONNELLE impardonnable appelée « manque à l'obligation de conseil « de leur(s) client (s).
Le scandale que cette affaire « asnièroise » peut faire naître est d'autant plus grand que tous savent que Me Thierry HERZOG est aussi l'avocat de Nicolas Sarkozy et Me Olivier SCHNERB un défenseur régulier d'élus UMP ou ex-RPR poursuivis par la Justice, tel Pierre Bédier dans les Yvelines!!!
Si ces avocats étaient impliqués comme éventuels complices dans une affaire de détournement de fonds publics, nul ne doute que les effets de ce dossier seront retentissants au niveau national, dans les médias, et, ce faisant, très dommageables pour Manuel Aeschlimann et ses proches.
Chacun connaît le dicton qui affirme : « malheur à celui par qui le scandale arrive ».
Aujourd'hui, avant d'autres dossiers judiciaires en gestation plus ou moins rapide, Manuel Aeschlimann est l'élu par qui l'avocat du Président de la République et celui de divers élus UMP pourraient être gravement mis en cause et en tout cas poursuivis pour un délit d'une exceptionnelle gravité.
Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que, dès lors que la Ville d'Asnières sur Seine aura déposé sa plainte maintenant inévitable auprès du Parquet avec constitution de partie civile, Manuel Aeschlimann deviendra vite celui par qui le scandale pourrait « asperger » l'entourage de Nicolas Sarkozy et ennuyer beaucoup d'autres élus UMP.
Tous comprendront donc qu'une telle action judiciaire, inévitable en soi, mais aussi avec des conséquences inexorables aussi, signe la fin du système Aeschlimann, son écroulement, sa désintégration totale.
Pour les 90.000 habitants de notre commune, cette plainte marquera la voie vers la vérité des faits depuis 2001 et impliquera la sanction des dérives constatées avec le remboursement au Trésor Public Municipal de toutes les sommes indûment détournées ou mal utilisées.
Pour la Municipalité, cela peut signifier un véritable appel d'air financier et générer une aura de bonne gestion, saine, digne, suivie, attentive et vraiment serrée, où l'on n'hésite pas à sanctionner sans pitié les dérives et fautes gestionnaires.
Asnières Nouvelles Citoyennes tiendra naturellement ses lecteurs informés du dépôt de la plainte de la Ville auprès du Procureur, chose qui devrait aller assez vite.
D'autant que si cela n'est pas fait avec une grande promptitude, Manuel Aeschlimann et ses avocats pourraient, eux, porter plainte en sens inverse, afin de se couvrir, contre Sébastien Pietrasanta pour « dénonciation calomnieuse ».
A dater de ce jour, quoi que chacun fasse, le dossier du Festival International, comme nous l'avions prévu à Asnières Nouvelles Citoyennes, fait apparaître une autre affaire, bien plus grave, bien plus importante, bien plus large pour ceux qui y sont impliqués de fait: un délit manifeste de détournement de fonds publics asnièrois.
Marylise Dipusu
Chapitre 88 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008