mardi 1 mars 2011

Asnières sur Seine: questions pour un champion perdant





































Notre iconographie du jour sera en relation avec notre étude préparatoire du procès des marchés publics truqués sous le système Aeschlimann dont la première audience est fixée de manière irrévocable le 10 mars 2011.

Notre première image ironisera sur le banc des prévenus lors de cette audience que nous pensons devoir être renommé "banc des menteurs", comme sur la photo qui nous vient de Provence.

Notre deuxième image montre l'entrée officielle du restaurant de luxe "le Jules Verne" où, en première déclaration, Manuel Aeschlimann indiquait aux enquêteurs qu'il y serait allé avec son avocat de l'époque, Me Tubiana, pour un "diner de travail" le soir de son anniversaire!!! L'avocat ayant démenti la chose, Manuel Aeschlimann va devoir révéler la mystérieuse identité de la seconde personne pour laquelle il a menti aux policiers afin de la protéger. Ne serait-ce pas Mme Marie-Dominique Aeschlimann, épouse du député, celle qui entend ne pas laisser de place politique à Rama Yade en voulant "succéder", sans préciser comment, à son mari à l'Assemblée Nationale?......

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L'ami asnièrois du régime dictatorial iranien réclamait la censure: il échoue!


L'ancien directeur de cabinet, licencié sur intervention directe de Nicolas Sarkozy en septembre 2006, Monsieur Francis Raminé Pourbagher, est un amoureux de la censure.

Comme cela est le cas quotidien avec le régime iranien théocratique qu'il adule et a loué sur un DVD célèbre à Asnières.

Ainsi, un lecteur signale que cet homme au passé plus que sulfureux, qui a organisé la réception, en mairie d'Asnières, le 21 janvier 2005, de l'ambassadeur d'une dictature sanguinaire et corrompue qui n'a rien à envier à celles qui tombent dans les pays arabes, avait osé demander à un politique blogueur asnièrois de couper son lien vers notre blog.

Ce blogueur, Laurent Martin Saint Léon, a eu face à cette demande de petit dictateur mesquin, une réponse digne et démocratique qui l'honore d'autant plus que nous le lui avons pas fait de cadeaux sur ses actes passés et présents: il a refusé toute censure de ses liens!

Encore une fois, Francis Raminé Pourbagher a fait la preuve de son esprit anti-républicain et anti-démocratique.

Mais, encore une fois, il a trouvé sur son chemin un citoyen, qui, quoi qu'on puisse penser de ses actes publics par ailleurs, a refusé de se plier devant ses diktats et de s'incliner devant le serviteur fidèle du régime iranien qui vacille déjà.

Nous avions agi de même en relatant publiquement le différend qui avait opposé en septembre 2006 Mme Patricia Chavinier et cet admirateur d'une dictature qui martyrise tout le peuple iranien.

Bien que nous ne partageons pas les opinions de Mme Chavinier, à l'instar de Laurent Martin Saint Léon, nous avons défendu l'honneur de l'élue qui est une démocrate et une républicaine contre les insultes minables et les attaques ignobles de l'ami dévoué de l'ambassade d'Iran.

Ce qu'en septembre 2006 Manuel Aeschlimann et son épouse n'ont pas fait spontanément!

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Questions de lecteurs attentifs pour le procès qui s'ouvre le 10 mars 2011


Nos lecteurs, contrairement à Francis Raminé Pourbagher, sont favorables à la plus totale liberté d'expression qu'ils trouvent d'ailleurs en permanence sur notre blog.

Aussi, deux lecteurs asnièrois nous ont transmis des questions qu'ils souhaitent vivement voir être posées par les avocats de la Ville, payés avec nos impôts, au nom de la commune partie civile, les 10 et 11 mars 2011.

Nous nous faisons un devoir de publier ces questions, qui, comme disait un humoriste célèbre, sont bonnes à poser, selon notre avis.

Les voici:

  1. Pourquoi Manuel Aeschlimann, qui dit être un brillant stratège, a-t-il accepté de mettre en difficulté sciemment Monsieur Brice Hortefeux et son épouse, Florence, en les invitant à un repas qu'il savait payé par un groupe privé, le groupe Avenance? Avenance savait-elle qu'elle payait un repas pris avec Brice Hortefeux et que cela pouvait le mettre en danger judiciaire à son insu? Le groupe Avenance a-t-il été informé par Manuel Aeschlimann de la possible conséquence nationale médiatique de ce délit aujourd'hui avéré?


  1. Question à Manuel Aeschlimann: ce repas avec les époux Hortefeux visait-il à piéger l'ami fidèle entre tous de Nicolas Sarkozy ou était-ce de la pure inconscience politique, sachant que les faits pouvaient être découverts comme ils le sont aujourd'hui et nuire alors fortement à un ami du Président de la République?


  1. Sachant que Monsieur Manuel Aeschlimann a déclaré dans ses auditions enregistrées sur procès-verbal qu'il ne fêtait jamais ses anniversaires, ce dernier peut-il expliquer pourquoi alors il avait fait réserver le 22 octobre 2004, jour de son 40ème anniversaire, deux places dans le restaurant de luxe « Jules Verne », au 2ème étage de la Tour Eiffel?


  1. Comme Me TUBIANA a précisé que jamais il n'avait pas mangé ce soir avec Monsieur Aeschlimann en ce lieu onéreux, démentant ainsi l'ancien maire encore député, Monsieur Aeschlimann peut-il NOMMER LA PERSONNE avec laquelle il a diné ce soir-là en tête à tête pour un prix si élevé? Ne serait-ce pas Mme Marie-Dominique Aeschlimann, son épouse, ce qui la rendrait complice involontaire du délit constaté pour ce repas payé aussi par le groupe Avenance?


  1. Ou est-ce, comme des anciens proches de l'ex-maire et encore député le suggèrent de manière acide, avec Mme Fabienne Van Aal, née Bary, sa chef de cabinet qu'il a aussi entraînée dans les ennuis du dossier du Festival International sans plus penser aux intérêts de cette mère de famille admirable et épouse respectable?


  1. Concernant les allégations de Manuel Aeschlimann indiquant qu'il n'a jamais fêté ses anniversaires, ni ceux des autres membres de sa famille, peut-on demander à ses anciens(nnes) élus(es) d'avant mars 2001 si cela est exact ou faux tant cela semble socialement incroyable? Si la réponse est oui, peut-on demander à Manuel Aeschlimann les raisons d'une telle attitude très anormale pour un homme public?

Telles sont les questions que nos lecteurs demandent à être posées par les avocats qui ont pour mandat du maire actuel, Sébastien Pietrasanta, de représenter et défendre les intérêts spoliés des habitants et de la commune d'Asnières.



Marylise Dipusu


Chapitre 421 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008