mercredi 19 mai 2010

Asnières sur Seine: Manuel Aeschlimann, un des députés les plus inactifs




Si Manuel Aeschlimann est un député oisif, inefficace et inutile dans les grands débats nationaux, par contre, comme le montre la photo placée en premier en haut de cet article-scoop, il est présent pour serrer la main aux représentants des dictatures les plus sanglantes de la planète (ici, l'Ambasadeur iranien le 21 janvier 2005 en mairie d'Asnières). Ce qui prouve que l'encore député Manuel Aeschlimann choisit en toute connaissance de cause ses priorités, en clair ses liens avec les dictatures odieuses pour compenser l'inexistence de son travail de député.


Pour cela, en seconde photo, nous lui décernons le bonnet d'âne des députés les plus inactifs et paresseux de l'Assemblée Nationale. Il l'a bien mérité par son désintérêt pour les lois de la République, la démocratie parlementaire à laquelle, il est vrai, il préfère les régimes cléricaux obscurantistes et anti-démocratiques.


A chacun ses choix, le député Manuel Aeschlimann a fait les siens! Que les électeurs asnièrois le sachent....

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Manuel Aeschlimann, un des députés français les plus oisifs



Le député UMP Manuel Aeschlimann touche chaque mois une pleine indemnité de député alors qu'il travaille aussi à mi-temps comme avocat pénaliste, ce qui en dit très long sur son sincère attachement et respect dus aux électeurs qui ont cru naguère devoir voter pour lui.


Non seulement, il est très absent de son siège, mais en plus, même quand il est présent, son travail parlementaire est un des plus réduits de toute l'Assemblée Nationale.


Les citoyens et élus pourront vérifier cela sur le lien suivant:


http://www.lesinfos.com/docs/classementdeputes2010.pdf


on trouve le nom de Manuel Aeschlimann en 436ème place sur 575 députés, le classement partant de ceux qui travaillent le plus vers ceux qui ne font presque rien ou rien du tout.


Ainsi, on apprend que Manuel Aeschlimann a au total, en une année, fait au total 22 interventions comme député et a été l'auteur d'une SEULE PROPOSITION DE LOI, celle sur les gardes à vue, qui l'intéressent pour les ennuis judiciaires qui le menacent, lui et son ami, Bernard LOTH.


Les électeurs asnièrois seront enchantés d'apprendre cette UNIQUE PROPOSITION DE LOI qui est en rapport exclusif avec son activité comme avocat militant pour la présence des avocats dès la première heure de garde à vue. Cela dit tout des priorités véritables, très privées, de Manuel Aeschlimann!!!


Le député UMP d'Asnières est donc intervenu 16 fois en séances plénières, 5 fois dans des commissions parlementaires, 4 fois lors de Rapports ou Avis..


Les amoureux des comparaisons utiles sauront que le député les plus actif, Patrick OLLIER, est intervenu 368 fois , soit 16, 5 fois plus que Manuel Aeschlimann.


Ainsi, la Cour d'Appel de Versailles saura que Manuel Aeschlimann ne manquera pas du tout à ses futurs ex-collègues comme aux électeurs quand il sera déclaré inéligible, eu égard à son peu d'intérêt manifeste et à sa désinvolture méprisante pour les électeurs en sa qualité de député.


En résumé, Manuel Aeschlimann reçoit ici un bonnet d'âne comme député paresseux et inefficace.


Une information qui peut être utile à diffuser largement à la population asnièroise avant l'audience du 9 juin 2010.



Marylise Dipusu



Chapitre 292 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008



Asnières sur Seine: quand le passé revient dans le présent....




Ci-dessus, des logements sociaux asnièrois dans le quartier des Grésillons, construits depuis fort longtemps. Pour l'heure, la population attend un bilan objectif des logements sociaux nouveaux mis à disposition des citoyens des couches populaires, fondé sur le différentiel réel entre logements construits et appartements détruits sur la ville.


Car un des moyens de résorber la crise du logement, très grave sur la commune, est de mettre en place un plan massif de constructions de logements sociaux à la hauteur des besoins identifiés.


La deuxième photo que nous présentons vise à rappeler que, curieusement, à l'époque actuelle, un parking public coûte très cher à construire pour l'ensemble des contribuables, mais qu'après, il n'a de public que le nom puisque les usagers, après l'avoir payé avec leurs impôts, devront régler leurs places avec ce qui restera de leurs revenus disponibles.....


Par ailleurs, rappelons encore et toujours que plusieurs citoyens asnièrois ont demandé des explications claires, précises et écrites sur ce dossier à Sébastien Pietrasanta, mais qu'ils n'ont pas encore reçu ses réponses (la secrétaire a son clavier de frappe en panne ou l'imprimante n'a plus d'encre), devraient être les raisons invoquées pour essayer de justifier ce silence étrange et si long.

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Parking Hôtel de Ville: l'étrange concertation estivale



Il est vrai que le climat printanier n'est pas assez chaud, cette année, afin qu'une véritable concertation, publique, contradictoire, transparente, en un mot honnête, s'engage sur le dossier global de projet de parking de l'Hôtel de Ville, prévu Place Aristide Briand.


Cela doit être la raison centrale, essentielle, sincère, pour laquelle Sébastien Pietrasanta a décidé lors du Conseil Municipal du 11 mai 2010 que la concertation sur l'aménagement urbain lié à cette opération urbanistique aurait lieu du 1er juin au 31 août 2010.


Les riverains en vacances ou préoccupés en juin par les festivités estivales auront donc la tête ailleurs qu'à cette concertation dont on se demande pourquoi le maire a choisi de la réaliser quand le quartier concerné sera vide ou absorbé par d'autres soucis.


Il est aussi vrai que la transparence publique de ce dossier nécessiterait plus de communication de la part du maire et de son cabinet. Mais, las, le maire et ses proches collaborateurs ne peuvent pas répondre aux questions des citoyens tant ils sont pris par leurs nombreuses activités.


Cela rappelle immanquablement.....les méthodes du système Aeschlimann qui avait eu aussi la brillante idée de réaliser une concertation qualifiée alors à juste titre de bidon par l'opposition (dont le PS) en plein été.


Il y a de la copie de mauvaises idées opposées à la transparence publique dans l'air!



Logements sociaux: le maire additionne, mais oublie de soustraire


Selon des sources municipales invérifiables car elles ne fournissent pas de données précises et contrôlables, depuis le début de la mandature de Sébastien Pietrasanta, plus de 200 logements sociaux auraient été livrés sur Asnières.


Si ces chiffres sont exacts, toute personne honnête ne pourrait que se féliciter d'un tel résultat, au profit de os concitoyens mal logés à ce jour.


Mais, les amis du maire, qui semblent additionner, même sans fournir les références, des succès en termes de logements sociaux, oublient de dire que leur présentation est quelque peu tronquée par un malencontreux oubli de leur part....


Ainsi, lors du Conseil Municipal du 11 mai 2010, la majorité encore fidèle au maire ( 28 élus sur 49 au total!) a voté la destruction de la barre de logements sociaux des Gentianes dans le canton nord de la ville.


Ainsi donc, si même on acceptait les données du cabinet de Sébastien Pietrasanta comme argent comptant et sans discussion aucune, il n'en resterait pas moins qu'il faudrait alors, afin de savoir combien de logements sociaux existent en plus dans la commune, soustraire ceux qui sont détruits de ceux qui sont réellement terminés.


Cela s'appelle en mathématique: le reste.


Sébastien Pietrasanta, maire se disant socialiste, va certainement publier très vite la balance exacte du nombre de logements sociaux finis et détruits, afin que tout un chacun, sur des bases vérifiables, puisse apprécier le VRAI BILAN de ses deux ans comme maire dans ce domaine qu'il affectionne tant.


Cela urge d'autant que les élections dans ce canton, qu'il voudrait faire revenir eu PS, nécessite de ne pas dresser les habitants contre lui et son parti.


Dure tâche.....



Pourquoi « victimiser » Manuel Aeschlimann via la Justice?



Le Compte-Rendu Administratif du Conseil Municipal du 11 mai 2010 mentionne, en son dernier point, que le maire a dépose plainte es-qualités contre Manuel Aeschlimann et d'éventuels commentateurs de son blog dont la lecture est quasi-confidentielle dans la ville, si on sort du petit microcosme politicien asnièrois en perdition.


Que Manuel Aeschlimann aime à manier l'invective, l'insulte, voire utilise la provocation verbale, est un fait acquis. Sa nature est ainsi faite. il a souvent diffamé, insulté, répandu sa mauvaise bile , ceci sans aucun état d'âme, avant et après le 16 mars 2008!


Par contre, que Sébastien Pietrasanta lui apporte sur un plateau un statut de « victime », de « martyr » avec ce procès inutile et onéreux que Manuel Aeschlimann va dénoncer comme du harcèlement politico-judiciaire est encore une fois une erreur du maire et de son cabinet, ce cabinet si « politique », selon les termes mêmes du maire actuel.


Les époux Aeschlimann sont depuis le 16 mars 2008 sur une pente déclinante irrévocable. Il n'est nul besoin, même électoraliste, de leur donner des forces pour essayer de se redresser, cela revient à faire exactement leur jeu machiavélique.


Certes, tout observateur attentif de la chose publique aura compris que Sébastien Pietrasanta ne se réveille pas le 11 mai 2010 par simple inadvertance soudaine afin de poursuivre des écrits publiés les 5 et 6 février 2010, soit 3 mois avant.


Il est aisé de décrypter son calcul « politique » avec ce procès qui, sans cela, n'aurait aucun sens, ni intérêt.


Il fonde son pari sur le fait que la Cour d'Appel ne peut que décider bientôt l'inéligibilité de Manuel Aeschlimann, après l'audience du 9 juin 2010 à Versailles.


Il a compris qu'il pouvait avoir une chance-limitée – de devenir député s'il parvient à « mouiller » suffisamment Manuel Aeschlimann, comme ex-député UMP, dans les filets de la Justice, afin que les électeurs associent UMP et député condamné, donc votent pour lui, habillé en Monsieur « Propre ».


En effet, tout candidat UMP à la députation serait alors obligé de dénoncer les dérives, sanctionnées par la Justice de Manuel Aeschlimann, alors regardé par l'UMP comme un « paria », ce qui créerait de facto de nouvelles divisions et rancunes au sein des restes déjà explosées de l'UMP locale et un halo de doute légitime sur tout candidat UMP.


Diviser pour régner, cet adage est d'une actualité toujours renouvelée!


Le pari est risqué, mais comme disent les amateurs de jeux de hasard, c'est jouable.....à condition que la Justice ne vienne pas s'occuper de dossiers problématiques dans la gestion municipale actuelle et depuis le 16 mars 2008!





Marylise Dipusu



Chapitre 291 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2010