vendredi 17 décembre 2010

Asnières sur Seine: l'ami sulfureux de Marie-Dominique Aeschlimann


















































Notre iconographie du jour sera quelque peu facétieuse, mais comme Mme Marie-Dominique Aeschlimann est connue pour son célèbre sens de l'humour, elle nous pardonnera de publier une image qui peut aujourd'hui faire rire largement.

Donc, en première photo, une image de Rama Yade et Marie-Dominique Aeschlimann du temps où la première ne visait pas encore trop nettement le siège du mari de son amie Marie-Do.... Depuis, les photos des deux femmes ensemble ne semblent plus à l'ordre du jour. L'amitié a disparu et les sourires de l'une aussi.

En deuxième lieu, une belle photo de Freddy Loyson, un ami proche de Marie-Dominique Aeschlimann qui a des difficultés avec la Justice et le Conseil Général de Nanterre (Hauts de Seine). Ce brave homme semble avoir géré la Maison de l'Outre-Mer d'une façon assez spéciale, sans bien respecter les règles de  comptabilité, ce qui a coûté cher aux finances du Conseil Général du 92. 

A tel point que ce dernier s'était constitué partie civile dans le dossier qui a abouti à la condamnation de Freddy Loyson, qui aurait abusé, selon le jugement rendu, comme naguère Mme M-D Aeschlimann selon la Chambre Régionale des Comptes pour la commune d'Asnières, de frais de voitures et d'essence. Pire encore, il aurait aussi retiré de fortes sommes en liquide, ce que les juges n'ont pas compris, et ont donc sanctionné en première instance.

Si Manuel Aeschlimann court au désastre de son côté et que sa femme commence aussi à sentir le soufre, que va t-il rester du prestige du couple qui remit la médaille d'honneur d'Asnières au représentant du régime dictatorial iranien en janvier 2005 et dont l'époux est l'avocat volontaire et militant des anciens dictateurs africains accusés de crimes contre l'humanité?

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L'étrange dossier judiciaire de la Maison d'Outre-Mer des Hauts de Seine et les amis des époux Aeschlimann


On ne sait si Mme Patricia Chavinier et son dauphin adoubé par elle, Thierry le Gac, lisent la presse et s'intéressent aux dépenses votées par les élus UMP du Conseil Général des Hauts de Seine, mais, à notre avis, ils le devraient. Tous comme les autres candidats qui aspirent à gérer l'argent public du Conseil Général.

Ainsi, l'affaire, ou plus exactement dit, le scandale des fonds publics dépensés de manière assez occulte et étrange par les anciens dirigeants de la Maison de l'Outre-Mer des Hauts de Seine peut interroger les citoyens d'Asnières, lesquels ont vu comment, dans l'affaire du Festival International de Folklore et dans certains dossiers de marchés publics, les choses se passaient et comment certains élus "géraient" les fonds publics.

Dans le dossier pénal de la Maison de l'Outre-Mer, des faits graves sont apparus, mais, bizarrement, le Procureur de la République près du TGI de Nanterre, le fameux Philippe Courroye, ne semblait pas avoir pris la mesure exacte et complète des faits délictueux apparus! Ce n'est pas la première fois que ce magistrat a des difficultés de vision juridique de délits caractérisés, mais cela est utile à souligner.

Rappelons que c'est Patrick Devedjian, actuel Président du Conseil Général, qui a donc pris l'initiative de saisir la Justice.

Le plus étrange est que, dans cette affaire, le Conseil Général des Hauts de Seine, partie civile, a eu comme avocat un certain Me Olivier SCHNERB, employeur actuel du député-avocat Manuel Aeschlimann!!!

Et pourtant, tout ce petit monde ne s'est pas toujours ignoré.

Ainsi, on notera que le condamné en premier instance- qui a fait Appel-, Freddy Loyson, était une excellente connaissance des époux Aeschlimann, et surtout un ami proche de Marie-Dominique Aeschlimann selon ce lien qui met en valeur les fêtes privées dans un espace public municipal:


Pour se faire une idée du dossier dans son ensemble et des activités coûteuses en argent public de Freddy Loyson, ami des époux Aeschlimann:


La fin par liquidation judiciaire de la Maison de l'Outre-Mer n'a pas trop retenu l'attention de Mme Marie-Dominique Aeschlimann (qui ne nous en a pas parlé), mais celle de la presse des DOM-TOM.

C'est d'autant plus inquiétant que Marie-Dominique Aeschlimann est une élue passionnée par les faits de délinquance, petite ou grande. Mais quand son ancien ami est poursuivi et condamné en première instance, elle se tait comme si un délit n'était pas un délit, selon le nom de son auteur et sa relation avec lui....

Mais, les faits sont les faits et ils sont publics:


Patrick Devedjian explique que ce dossier est un des 4 qui restent à juger de manière définitive après avoir expliqué qu'il fut un temps où les perquisitions étaient quotidiennes au Conseil Général de Nanterre:


Après sa condamnation en première instance par la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre (Présidente: Isabelle Prevost-Desprez), Freddy Loyson, trouvant le jugement « inique » (sic!!!), a interjeté Appel. C'est son droit, bien que les citoyens puissent estimer, eux, que les actes reprochés à Monsieur Freddy Loyson sont aussi "iniques", s'agissant de l'argent public.


On espère que le cabinet de Me Olivier SCHNERB ne déléguera pas, contre cet ancien ami des époux Aeschlimann à l'époque de leur splendeur, Me Manuel Aeschlimann, avocat à la réputation de plus en plus sulfureuse, même dans la presse africaine où notre blog connaît une audience croissante comme en atteste ce lien:

Les retrouvailles pourraient, en un tel cas, être amusantes et plutôt difficiles au niveau relationnel.

Il restait à préciser que Mme Marie-Dominique Aeschlimann et Freddy Loyson participaient en avril 2009, alors que l'affaire avait déjà éclaté, aux Etats Généraux des DOM-TOM ensemble.


Quant aux propositions – à part dépenser en vain l'argent public comme le faisait Monsieur Loyson, aux dépens du Conseil Général des Hauts de Seine, les voici sous l'autorité du Premier Ministre Fillon:


Comme le disait un opposant du LKP de Guadeloupe : « ces gens se réunissent pour réfléchir alors que le peuple gudeloupéen a dit clairement ce qu'il voulait et qu'ils refusent ».



Marylise Dipusu

Chapitre 387 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008