lundi 28 mars 2011

Asnières sur Seine: le jour d'après, les gens du passé












































Notre iconographie du jour va traiter des gens qui refusent d'assumer leurs propres responsabilités, poursuivent sans cesse des chimères imaginaires, reçoivent pour cela  en permanence des chiquenaudes de la réalité vivante et deviennent des personnages désespérés.

Donc, en premier lieu et en l'honneur du déni forcené des réalités des restes du système Aeschlimann et de Manuel Aeschlimann lui-même qui ne passe jamais ses actes passés et présents au crible de la critique sincère, nous offrons l'affiche du film : "c'est pas moi, c'est l'autre".

En dessous, nous proposons aux observateurs qui font exprès de se tromper dans leurs vues des faits une photo sur les mirages dans le désert. Cela les aidera peut-être à mesurer leurs illusions qui n'appartiennent qu'à eux-mêmes.

Enfin, pour montrer la fin qui attend les gens qui nient les réalités et se refusent même à les regarder en face, nous apportons la couverture d'un roman sur les "personnages désespérés".

Toute coïncidence avec des gens habitant Asnières et reflétant cette iconographie ne serait, selon les possibles intéressés, que fausse coïncidence.

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On », « Je », « Nous »: les gens du passé sont vraiment dépassés....


Aujourd'hui, il convient, au milieu des nouvelles de hausses des prix, de l'inflation, du gaz et de l'électricité, du chômage et de la précarité, de prendre quelques instants pour se ressourcer et ainsi comprendre ce faisant que les choses sont profondément en voie de changer, et plus vite que beaucoup ne le pensent.

Livrons à nos lecteurs quelques informations et analyses générales de commentateurs avisés de la vie politique en les replaçant dans le contexte d'Asnières et des Hauts de Seine:



Ici et là, l'implosion de l'UMP entre divers courants qui ne sont plus d'accord entre eux sur presque tous les sujets, est envisagée.... Tandis que les villepinistes qui veulent expulser Nicolas Sarkozy du champ politique national sont ravis de leurs succès électoraux ET au sein de l'UMP qui se « désarkozyse » progressivement car Nicolas Sarkozy n'est plus celui qui peut pérenniser ce parti dont les dirigeants ne vivent pour l'immense majorité que des postes publics électifs occupés!

Pendant que tous voient et commentent le signes avant-coureurs de l'implosion en cours de parti divisé et enfoncé dans les querelles de plus en plus voyantes, à Asnières, certains démontrent qu'ils sont bien des « gens du passé » en « déconnexion dépassée ».

Ainsi, l'ancien élu de Manuel Aeschlimann, Laurent Martin Saint Léon, qui a perdu toute boussole dans le flot tumultueux des évènements présents, rédige des textes incompréhensibles, félicite le vainqueur PS de son élection et le perdant UMP pour sa défaite, tout en essayant de ne pas être impliqué dans une manœuvre maladroite qui a échoué contre le champion du PS, et en évitant de se livrer à une analyse du scrutin qui puisse ne pas causer du tort aux époux Aeschlimann!!!

Si vous ne craignez pas le torticolis intellectuel, ni de piquer des fous rires devant une pensée tortueuse, voire torturée, qui a perdu tout fil directeur, nous vous conseillons la prose de l'ancien compagnon d'élection des époux Aeschlimann:


L'article de cet ex-élu est encore plus comique à lire après avoir lu le précédent- très drôle aussi- qui montrait une vraie culture de militant guévariste i( partisan de Che Guevara) nfiltré à l'UMP locale, probablement au compte, vu le titre, du PS et de son aile la plus radicale:


Mais, ces écrits ne sont rien, dans la puissance de l'analyse, comparés à la pensée lumineuse de « super grand Timonier » de toute l'UMP nationale, et même à l'étranger, déployée à la lumière aveuglante par Francis Raminé Pourbagher.

Là, on passe carrément de l'incompréhensible illogique au confus absolu dont le seul sens perceptible est la haine bileuse vomie contre Mme Patricia Chavinier, qui, dans cette élection fut d'une discrétion de violette quasi-invisible.

Nous conseillons pour une hilarité citoyenne jubilatrice cette phrase de l'ancien directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann d'une logique et d'une cohérence indicibles:

« ON (qui est ce « on »?) s’en félicite et JE me réjouis que "NOUS ( qui est exactement « nous »?) puissions garder la majorité au CG. »


A-t-on dit à l'auteur qu'il existe une crise au sein du Conseil Général et que l'UMP sarkozyste a été violemment bousculée par les électeurs de son bord politique à Neuilly et Levallois, mais aussi à Asnières?

Lui a t-on expliqué que l'UMP recule face au PS, mais aussi face aux divers droite non-UMP?

Avec ces deux partisans quelque peu déçus pour leur propre destin des époux Aeschlimann, nous avons le droit à deux explications différentes, voire très divergentes, du résultat du vote du 27 mars 2011 sur le canton nord d'Asnières:

Pour Laurent Martin Saint Léon, tout est de la faute exclusive de Josiane Fischer!
Pour l'ami fidèle du régime de Téhéran, tout est de la faute exclusive de Patricia Chavinier!

Ensemble, ainsi, ils proclament leur foi commune:
les époux Aeschlimann ne seraient pour rien dans ce désastre de 2011, comme ils n'auraient été pour rien aux résultats du 16 mars 2008!!!

Quel individu sensé peut croire un seul instant à leurs communes fadaises?

Voilà ce que les derniers avatars perdus du système Aeschlimann sont capables de dire.

Manuel Aeschlimann, de son côté, rejette ses propres responsabilités évidentes sur l'échec de son parti aussi sur....Josiane Fischer.!!! C'est là faire preuve d'un illogisme accablant face aux faits et surtout d'une lâcheté irresponsable sur ses propres actes.


Lui qui écrivait voici peu que des CENTAINES d'électeurs asnièrois avaient hâte de le voir revenir en mairie, -voir l'avant-dernier paragraphe qui touche au surréalisme:

voudrait maintenant faire croire que ce « désir formidable » aurait été empêché par une seule personne? On est là dans l'incohérence mentale absolue et le déni farouche des réalités.

Manuel Aeschlimann veut-il faire croire au public que la première adjointe divers droite du maire PS d'Asnières a des pouvoirs magiques, qu'elle est superwoman ou wonderwoman, voire une magicienne aux capacités si formidables qu"elle puisse, sans rien dire, ni faire, changer les opinions des citoyens qui avaient promis à l'ancien maire leur soutien dévoué et absolu? Le député en sursis prend-il ses rares lecteurs assidus pour de parfaits imbéciles?

Nier les évidences, refuser les réalités, tordre les faits, asséner des absurdités, tout cela amène à une seule conclusion: ces gens sont dans le passé et ils s'y enfoncent inexorablement.

Ils sont aussi TOTALEMENT extérieurs aux INTERETS DES CITOYENS!

Steven Spielberg avait conçu le film appelé « les aventuriers de l'arche perdue ». 
 
Laurent Martin Saint Léon et Francis Raminé Pourbagher sont, eux, les « gardiens abandonnés du temple perdu »!

De son côté, Manuel Aeschlimann ressemble dorénavant à une ancienne divinité  inutile oubliée dans un coin déserté.

Tous les trois reflètent, chacun à sa façon, la décomposition mortelle du système Aeschlimann et la marche au néant politique des époux Aeschlimann qui voient leurs rêves chimériques insensés sans cesse anéantis par les faits réels.

Pendant que ces personnes solitaires soliloquent dans le vide qui se fait autour d'eux, l'UMP, le parti qui leur est une bouée de sauvetage, implose et est promise à des crises de plus en plus dislocatrices.

Mais, gageons que ces héros de la déconnexion des faits voient à l'UMP un avenir d'unité, de cohésion et de victoires.

Comme disait un géographe célèbre, « on ne peut pas empêcher les mirages dans le désert, mais ce sont bien des mirages ».



Marylise Dipusu


Chapitre 438 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008