jeudi 29 mars 2012

SCOOP sur une « réunion d'appartement » des époux Aeschlimann




























Ci-dessus, une affiche de film marquant des années 1980 et qui peut se rattacher à ce que nous relatons plus bas. A Asnières, le titre aurait peut-être été plus clair: "venez nous voir, nous sommes chez vos amis et vous ne le savez pas".

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Comme tout un chacun le sait depuis longtemps, la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes appuie ses informations sur un réseau de citoyens bénévoles attachés, comme nous, à la démocratie, à la République et à ses principes fondateurs.

C'est donc avec intérêt que nous avons reçu de correspondants de notre réseau des informations très précises sur la manière dont a été organisée une réunion d'appartement dont se vantent les époux Aeschlimann.), sans donner de chiffres précis.

Récemment, un citoyen connu d'Asnières, profession libérale, appelons-le Monsieur M (comme la patronne du célèbre James Bond), ayant par ailleurs de légitimes ambitions politiques depuis longtemps sur la commune lance, avec son épouse, des invitations à venir dîner chez lui un soir de la semaine.

Ses relations amicales, charmées par cette invite sympathique, se rendent donc le soir dit au domicile du couple, et, là , surprise, découvrent que sont aussi présents les époux Aeschlimann, présence dont leur hôte ne les avait pas (tous) informés.

La soirée ne fut pas, disons-le franchement, un grand succès pour les époux Aeschlimann qui eurent à affronter des critiques virulentes et des remarques dures autant que méritées qui ne les ont pas rassurés sur le soutien des invités à leur cause.

Selon le récit qui nous a été fait de cette étrange soirée, on peut donc tirer comme première conclusion que, au moins dans ce cas précis, les personnes participantes étaient là pour autre chose qu'une réunion avec les époux Aeschlimann, et que cette manière de faire, assez cavalière, les a beaucoup choqués.

Mais, nous en tirons une autre conclusion, toute aussi édifiante : cette information sur cette réunion-piège, si on nous passe l'expression imagée, démontre bien que les époux Aeschlimann ne peuvent plus compter dans la ville sur un vrai réseau militant capable de mobiliser des citoyens volontairement pour écouter leur parole.

Nous ne savons pas si toutes les réunions dont ils parlent peu du contenu et du nombre de participants, autre signe indicatif de leur isolement croissant, ont toutes ou en partie été organisées de la même manière.

Mais, ce qui est sûr, est que le peu de sympathie populaire à l'égard des époux Aeschlimann les a obligés, dans ce cas, à jouer aux coucous qui s'invitent dans une soirée prévue et privée entre amis.

Morale de cette histoire: l'hôte invitant a pu vérifier que les époux Aeschlimann n'avaient plus beaucoup de partisans. Il ne lancera pas d'autres invitations de ce style. Encore un soutien en moins pour les époux Aeschlimann....

Les signes précurseurs de la chute finale sont ici bien nets.



Marylise Dipusu

Chapitre 493 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008





jeudi 22 mars 2012

L'arroseur qui arrose son propre parti et perd ses élus....





























Notre iconographie du jour traitera des couples vivant sur des illusions sociales et/ou politiques, comme Marie-Antoinette et Louis XVI avant 1789, suivant en cela Louis XV et ses innombrables maîtresses de la Cour -voir livre présenté ci-dessus

En-dessous, le dessin représentant les pauvres parents du Petit Poucet frappés par une misère horrible et un destin cruel.

Nos lecteurs comprendront par leur seule intelligence les rapports éventuels entre ces images et les faits décrits dans notre livraison du jour.

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Quand Manuel Aeschlimann vise Rama Yade.... et touche ses amis politiques


Asnières est une ville que certains présentent comme « atypique », quoiqu'elle s'inscrive à sa façon bien particulière dans des phénomènes nationaux reconnus.

Les tracts qui sortent d'un camp politique déterminé ne visent pas toujours, dans notre commune, le camp politique opposé, mais souvent des gens du même camp. Depuis la trahison par Manuel Aeschlimann de l'équipe Bokanowski-Cornic, c'est même devenu une sorte de tradition locale à laquelle le scrutin législatif de juin 2012 ne semble pas devoir échapper.

Ainsi, depuis plusieurs mois, le petit groupe en déclin numérique réuni autour des époux Aeschlimann concentre le feu, comme disaient les maoïstes durant la Révolution Culturelle, non sur le PS, mais sur Rama Yade!!!

La principale accusation, apparemment fondée selon la Justice, était que la candidate du Parti Radical ne résidait pas à Colombes, dans la commune où elle a été élue sur une liste présentée par l'UMP.

Donc, selon la Justice, Rama Yade n'habitait effectivement pas à Colombes depuis 2008, mais à Paris 18ème. Dont acte.

Ce que Rama Yade a fait à Colombes n'est pas très civique, il faut en convenir, ni politiquement acceptable. Mais, rappelons, par souci de justice et d'équité, que si Rama Yade a ainsi fauté et si elle devait être poursuivie pour ce motif, il est d'autres élus(es) de Colombes et d'Asnières qui pourraient aussi se retrouver ennuyés, tant à l'UMP qu'au PS  car ils n'habitent pas REELLEMENT à l'adresse indiquée sur les documents électifs!!!......

Cela n'excuse nullement Mme Yade qui aurait pu en effet se lier, avant mars 2008, à la commune dont elle était élue municipale par un logement permanent. Cela lui aurait aussi évité cette affaire quelque peu ennuyeuse pour sa cause et les principes qu'elle dit défendre.

Donc, nous posons la question à celle qui l'a accueillie en mars 2008 sur la liste UMP de la commune de Colombes, Madame Nicole Gouetta, aujourd'hui grande amie de Manuel Aeschlimann :

«  Madame, 

si, comme la Justice l'a constaté, Mme Rama Yade n'habitait pas Colombes en mars 2008 et depuis.nous devons vous poser des questions simples d'éthique politique : 
 
- qui a accepté la responsabilité de placer Mme Yade sur la liste UMP que vous dirigiez sur Colombes, et sur la foi de quels documents probants relatifs à une adresse inexistante dans cette commune ? 
 
- Comment expliquez-vous, que, alors que vous étiez maire de Colombes avant mars 2008, vous n'ayez pas pu vérifier, dans le cadre des procédures juridiques et administratives permettant de constituer votre liste aux élections municipales, que Mme Yade ne résidait effectivement pas dans la commune ? 
 
- Reconnaissez-vous alors un manquement, évident, pour le moins, aux obligations légales de vérification de la réalité de résidence colombienne de Mme Rama Yade, membre de votre liste  en mars 2008? »

Qu'on nous comprenne bien : Mme Rama Yade n'a pas été placée sur la liste municipale de l'UMP de Colombes par une force surnaturelle, mais bien par des élus de cette ville, lesquels ne pouvaient à l'époque ignorer que Mme Yade n'était pas habitante de la commune.

Donc, si, sur ce point, un délit était avéré, et éventuellement sanctionné, suite aux plaintes déposées auprès du Parquet de Nanterre, il ne pourrait échapper à la Justice que ce délit aurait été commis,  pour le moins, avec des complicités, administratives et politiques, d'élus et de gens placés sur sa liste, et éventuellement, au-dessus, de personnes membres des instances de l'UMP 92, qui a validé cette liste en mars 2008.

Conclusion : en attaquant Rama Yade sur son non-résidence à Colombes depuis avant mars 2008, Manuel Aeschlimann oblige le Parquet de Nanterre, dont tous savent la totale indépendance à l'égard du parti au pouvoir (l'UMP), à poursuivre, au moins pour complicité passive tacite de délit présumé, Mme Gouetta, tête de liste UMP, ses colistiers et les dirigeants de la Fédération UMP 92 de l'époque !!!

Bref, en pensant viser Rama Yade, Manuel Aeschlimann est en passe, si la plainte est suivie par le Parquet, de faire mettre en cause judiciairement ses amis politiques et son parti dans l'ancien fief du Président.

Mais, dans sa grande sagesse, le Parquet peut éviter à Manuel Aeschlimann les conséquences imprévues, mais fâcheuses pour son parti, de ses initiatives en classant sans suite la plainte contre Rama Yade, ce qui affaiblira au passage la campagne du député sortant contre sa meilleure ennemie.

C'était notre rubrique sur l'arroseur qui arrose son propre parti et jette sur ce dernier l'ombre de malsaines suspicions, ici fort logiques et légitimes.

La parole est maintenant au Parquet qui va dire si, oui ou non, il y a lieu de poursuivre Mme Rama Yade, dans les conditions rappelées plus haut.

Gageons sereinement que le Parquet va faire preuve, dans ce dossier, d'une clémence douce et d'une mansuétude salutaire.


Le député sortant est-il un Petit Poucet ?


Les citoyens et élus d'Asnières connaissent bien le conte du « Petit Poucet », qui, abandonné par ses parents pour cause de famine, jette des cailloux sur le chemin entre sa maison et la profonde forêt où son père le conduit, avec sa fratrie, pour l'y abandonner.

Ce conte, issu des légendes sur les famines médiévales, pourrait bien s'appliquer, sous une forme renouvelée, à Asnières avec le député sortant et ancien maire.

Cependant, dans son cas, ce sont les élus de son ancienne liste de 2008 qui l'abandonnent et tombent comme des cailloux, par leur propre volonté, de ses poches trouées d'élu dans la misère politique.

On apprend en effet par la voix de Thierry Le Gac que Catherine Esclattier et Caroline Delamarre ont quitté le « radeau de la Méduse » qu'est pour certains aujourd'hui le groupe municipal créé en 2008 par Manuel Aeschlimann et dirigé en 2012 par son épouse Marie-Dominique Aeschlimann.

Nous l'avons écrit ici récemment ; la trahison passée appelle la trahison toujours.

Dans le cas des deux élues citées, on parlera plus d'un abandon du bateau aeschlimannien qui coule, trouée de toutes parts, avant qu'il ne glisse dans l'abîme.

En tout cas, pour un couple qui ne cesse de répéter en boucle qu'ils sont l'avenir lumineux d'Asnières, voilà encore une preuve très concrète que leur temps politique, plutôt obscur, est terminé, y compris pour leurs anciens amis et partisans.

« Plus longue est la chute des illusions factices, plus dur est le choc brutal avec le sol des réalités ».



Marylise Dipusu

Chapitre 492 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008










lundi 19 mars 2012

De bien curieuses coïncidences!.....
























Cette image résume à la fois, avec un humour bon enfant, nos souhaits démocratiques dans la campagne électorale qui a commencé de facto sur Asnières et nos craintes que les vrais débats essentiels pour éclairer les choix des citoyens ne soient altérés par de petits coups bas auxquels Asnières a eu le droit depuis plus de 10 ans.

Asnières Nouvelles Citoyennes se situe clairement dans le camp de la démocratie, de l'honnêteté, de la transparence, du libre débat sur tous les sujets qui concernent les citoyens et sera en première ligne pour dénoncer, le cas échéant, les coups bas et/ou tordus que sont des agressions nuisibles à la démocratie.


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De l'USA contre Dominique RIERA à une plainte contre Rama Yade : y a-t-il une continuité de pensée et de méthodes ?


La fameuse plainte visant soudainement la candidate Rama Yade sur la 2ème circonscription des Hauts de Seine présente des particularités étonnantes que le magazine « Marianne » a débusquées et a publiées dans sa livraison du 18 février 2012.

On croyait naïvement jusqu'ici que cette plainte avait été téléguidée, plus ou moins, et en sous-main, par des gens du PS. Il semble que ceci soit, en partie ou en totalité, inexact.

En effet, le magazine révèle, sous le titre de thriller « qui veut la peau de Rama Yade ? », que l'avocat du plaignant, Me Oudin, est du même cabinet que Me Nicolas Cellupica, lequel s'est fait remarquer, de manière très discrète il est vrai, par la tenue d'un blog qui ne cesse d'encenser Manuel Aeschlimann dont il fut directeur de cabinet parlementaire !

Coïncidence ? Devrait-on donc croire que le plaignant que représente Me Oudin contre Madame Yade, est un membre ou sympathisant du PS, indigné légitimement par une situation qui concerne, en France, dans les Hauts de Seine, à Asnières et à Colombes, nombre d'autres candidats (es)  et élus(es)? Devrait-on alors imaginer qu'il a choisi le cabinet où officie aussi Nicolas Cellupica, fidèle de Manuel Aeschlimann, par un total hasard  malencontreux?

Ou devrait-on penser que le hasard a si bien fait les choses que tout ce beau monde s'est spontanément rencontré afin de lutter avec acharnement contre la candidature de Mme Rama Yade, évidemment au nom des plus hautes valeurs de la République et du respect scrupuleux du Code électoral ?

Nous ne pouvons à cette heure écarter aucune hypothèse a priori, mais il est évident que la proximité existant entre Nicolas Cellupica et Manuel Aeschlimann ne peut que jeter un trouble légitime sur la naissance de ce dossier et l'identité de ses véritables géniteurs.

Ce trouble peut être aussi fondé sur ces tracts qui envahirent Asnières à une certaine époque électorale, visant le candidat PS Dominique RIERA, tracts appelant à voter pour Manuel Aeschlimann et signés par une mystérieuse « Union des Socialistes Asnièrois », curieusement domiciliée dans le même immeuble que l'alors directeur de cabinet de l'alors maire d'Asnières, Manuel Aeschlimann !

Tout cela est en effet bien curieux et des analogies possibles pourraient apparaître entre les deux événements.

Une questions se pose : qui aurait eu recours deux fois à des méthodes similaires et déjà éventées ?

Plus clairement dit : qui donc aurait-pu être le géniteur de ces deux actions, celle contre Dominique RIERA naguère et celle visant Rama Yade en 2012?

La réponse ne devrait pas tarder à venir.....Une piste pourtant pourrait surgir du passé.

En effet, on sait depuis 2002 que les frais d'impression du tract de cette étrange « U.S.A » ont été imputés à l'époque sur les comptes de campagne de Manuel Aeschlimann !

Ce fait attesté ne présage pas à lui seul de l'origine réelle de la plainte visant Mme Yade, mais il peut cependant fournir une piste de réflexion.

Ainsi, on serait Rama Yade et son équipe, on se préparerait à l'hypothèse de tracts signés, selon les cas et les quartiers, par « l'Union radicale asnièroise (URA) » appelant de manière hautement dialectique à voter contre Rama Yade, ou bien à des libelles impitoyables émanant du « Comité citoyen indépendant contre la candidature de Rama Yade », ou encore du «  Collectif pour l'union de la droite et du centre à Asnières » affirmant qu'il ne faut surtout pas voter Rama Yade, ou encore du « Comité dégage, Rama », voire d'un « Comité d'habitants pour la probité morale absolue à Asnières » ou de « l'association asnièroise pour le strict respect du Code électoral »  éditant spontanément un tract sur la plainte visant Rama Yade!!!

Un membre de notre rédaction imagine même avec humour qu'une USA (Union Sénégalaise asnièroise) pourrait naître du néant afin de tenter de démontrer combien Rama Yade serait une « mauvaise candidate pour Asnières », ou bien «  la candidate de la défaite et de la division », ou bien qu'elle aurait de « terribles défauts cachés » que cette USA-là proposerait d'exposer, par amour désintéressé d'Asnières, au public asnièrois.

L'imagination créatrice se trouve en général chez les créateurs et inventeurs, mais aussi chez les gens que l'angoisse de la perte de leur pouvoir, prestige ou poste panique.

Aussi, la liste que nous donnons ici n'est nullement exhaustive et peut prêter à des variations diverses sur le thème central du « Surtout, ne votez pas Rama Yade », assorti de mensonges, de contre-vérités ou de simples accusations inventées et infondées.

On aura compris que notre blog veut concourir ainsi à un scrutin libre, honnête et transparent à Asnières. En tout cas, voilà Rama Yade, et les autres candidats (es) prévenus (es) de possibles surprises à venir, nées bien sûr de la seule volonté de citoyens spontanément indignés.....


Marylise Dipusu


Chapitre 491 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

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NOTA BENE


La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a appris les meurtres sauvages, préméditées et conscients, qui ont ensanglanté les villes de Montauban et Toulouse à quelques jours d'intervalle. Des citoyens et des enfants ont été assassinés d'une manière particulièrement lâche et cruelle. Nos pensées se tournent vers les familles et les amis des victimes de ces tragédies. A l'heure où nous mettons en ligne cet article, diverses hypothèses circulent sur ces meurtres visiblement bien préparés. Ce qui est essentiel maintenant est de mettre un terme définitif à ces actes barbares au plus vite en démasquant et arrêtant le ou les criminels, avant que ne s'installe en cette période pré-électorale un climat malsain de peur généralisée, propice à toutes les manipulations politiques contre la démocratie et les libertés civiques.


La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes



mercredi 14 mars 2012

Qui a trahi finira à son tour trahi !




























Ci-dessus une affiche de film qu'on croirait avoir été dessinée pour définir le mode de fonctionnement du système Aeschlimann depuis sa naissance jusqu'à sa chute pathétique. Il est vrai que le député sortant va avoir bientôt du temps libre afin de méditer l'immensité de ses erreurs de conception de la vie, des rapports sociaux, humains et politiques, sans parler de toutes ses fautes gestionnaires.

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Quand l'isolement appelle la panique et les trahisons


Quand, dans quelques années, un (e) étudiant (e) rédigera un Mémoire sur la carrière politique météorique, courte, mais vide, de Manuel Aeschlimann, elle ou il aura à étudier avec intérêt la fin de cette carrière en forme de trou noir.

Depuis mars 2008, l'ancien maire, sorti par les électeurs avec fracas de son bureau de maire, du fait d'un bilan sur tous les plans que le Rapport de la Chambre Régionale des Comptes, puis les emprunts toxiques et les affaires judiciaires, ont qualifié pour la médaille d'or de la gestion désastreuse, essaie de raconter partout qu'il va redevenir maire.

La méthode Coué a prouvé ici ses limites, puisque chaque scrutin démocratique depuis 2008 voit ce qui reste de l'UMP asnièroise toujours plus affaiblie et explosée ! Mais aucune loi n'empêche personne de rêver à voix haute.

Donc, cette chute, longue et douloureuse, du député Manuel Aeschlimann sera un jour un sujet de réflexion, voire générera un recueil d'enseignements féconds pour les politologues et les politiques eux-mêmes sur ce qu'il ne faut surtout pas faire quand ont veut vraiment garder un mandat avec le consentement éclairé des électeurs.

Le futur ex-député sortant est si isolé que ses derniers fidèles (un carré de plus en plus vide et pas bien assuré de sa cohésion) annoncent qu'il prendrait des contacts utiles à sa cause avec des personnalités locales. On mesure ici la force de la « panique du désespoir ».....

Piètre tentative pour paraître encore exister.

Qui à Asnières, fut-ce du camp politique général du député en fin de course, voudrait associer son nom à un député au passé sulfureux et à la chute inévitable, programmée par les événements passés et présents ?

La réponse est d'une simplicité limpide ? Personne, en tout cas, personne de sensé, de réfléchi, de raisonnable !

Nulle personne dotée de sens commun n'a envie de sombrer avec le député sortant que d'aucuns considèrent déjà comme un « homme fini », comme un « has been » de la politique asnièroise.

Ce sont donc bien ici les ultimes convulsions de l'agonie politique du système Aeschlimann qui, jusqu'au bout, va encore essayer de se ridiculiser dans la population, de croire et faire accroire en ses propres mirages, de prendre ses ternes vessies vides pour des lanternes magiques remplies.

Les citoyens d'Asnières ont prouvé largement depuis mars 2008 leur intelligence collective en ramenant à chaque fois Manuel Aeschlimann sur la terre des réalités vraies, celle de ses échecs répétés et successifs depuis cet heureux 16 mars 2008.

Que reste-t-il aujourd'hui de ce qui fut le noyau dur du système Aeschlimann ? Des poussières éparses auxquelles nul ne prête plus attention ou n'accorde la moindre crédibilité.

Son ancien bras droit, Bernard Loth, a été condamné en première instance (il a fait Appel) pour des délits commis au détriment de la commune d'Asnières, celle-ci étant partie civile (affaire des marchés publics avec le groupe AVENANCE) !

Fabienne Van Aal, née Bary, est partie loin, très loin de son ancien employeur qu'elle vénérait jusqu'à ce que cette admiration l'ait amenée à être condamnée aussi dans l'affaire du Festival Folklorique. Il est des vénérations bien vénéneuses pour certaines admiratrices !

Antoine Bary, son frère, ancien maire adjoint à l'urbanisme d'Asnières, est aussi parti d'Asnières, après avoir reçu aussi une condamnation en première instance (aussi en Appel) dans une affaire immobilière liée à Asnières !

Laurent Martin Saint Léon, surnommé le « caméléon», est devenu le silencieux du sérail asnièrois, L'ancien « Pasqua Boy » est devenu une sorte de Fantomas local, invisible et insaisissable. Un jour « souverainiste » derrière Nicolas Dupont-Aignan, un jour « sarkozyste », partisan de l'Union européenne, l'ancien élu a tant de fois retourné sa veste politique que nul ne sait plus ce qu'il pourrait penser sincèrement. Un de ses anciens collègues rajoute même avec ironie : «  Sait-il encore lui-même ce qu'il pense vraiment ? ».

Qui demanderait ou souhaiterait le retour d'un système producteur massif d'échecs gestionnaires, de condamnations multiples, de vies personnelles gâchées, de confusions politiques permanentes, avec ces informations publiques et avérées ?

Certes, il reste encore Francis Raminé Pourbagher, l'homme qui se vanta à la télévision du sanglant et sinistre régime iranien d'avoir fait honorer le représentant en France dudit régime par l'ancien maire d'Asnières....!!!

Son interview à cette télévision d'Etat iranienne sera apparemment le seul « titre de gloire » que la petite histoire d'Asnières retiendra de cet homme.

Mais, qui, à Asnières et ailleurs, écoute et/ou croit encore ce que dit ou écrit l'ancien directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann? Personne. Au temps du système ancien, il pouvait impressionner certains caractères faibles. Aujourd'hui, il ne fait plus que sourire.

Sa parole est inaudible, ses annonces incroyables, ses analyses vides de sens commun et surtout de tout intérêt public.

Mais, l'heure du naufrage ultime approche pour le système Aeschlimann, après avoir joué 3 ans au « Radeau de la Méduse » en perdition.

Quand ce système disparaîtra dans les abîmes de la mémoire collective asnièroise, nul citoyen sensé, républicain et démocrate, de quelque opinion politique, ne le regrettera.

Mais, son histoire ne sera pas oubliée, de sa naissance par la trahison à son effondrement par la trahison ! Là est l'essentiel pour le futur des citoyens de notre commune.

Il ne faudra pas oublier les « années de plomb » que ce système a générées, et surtout en tirer toutes les leçons civiques pour l'avenir de la commune et de ses habitants afin que, plus jamais, un système comparable ne se réinstalle.

Asnières Nouvelles Citoyennes veillera à cela.


Confirmation de candidature de Rama Yade au nom du Parti Radical


Encore un échec, cinglant celui-là, pour le député sortant : Rama Yade, contre laquelle il n'a pas ménagé ses coups, est officiellement investie par le Parti Radical comme candidate sur la circonscription Asnières-Colombes-Sud.

Pour bien comprendre la signification profonde de cette information, il sera rappelé que le Parti Radical fait partie de la majorité présidentielle, cornaquée, dominée par l'UMP.

En clair, cela signifie que l'Elysée a donné son accord politique pour en faire sa candidate sur la circonscription.

Voilà qui va fédérer à Asnières, dans le camp politique du Président sortant, toutes les forces voulant se débarrasser politiquement de façon définitive du sulfureux Manuel Aeschlimann et de ses pratiques peu reluisantes.

Si l'entrée en lice officielle de Rama Yade sous l'étiquette d'un parti totalement inféodé à l'UMP et soumis aux souhaits de l'Elysée n'est pas une trahison pour le député sortant, alors, la définition de la trahison devra être revue dans les dictionnaires.

Le message passé de l'Elysée aux électeurs asnièrois est clair :

« soutenir les Aeschlimann, le mari ou l'épouse, ne pouvait que nuire à l'UMP et à la campagne de Nicolas Sarkozy, alors, nous nous rangeons derrière Rama Yade, en unissant ainsi la raison politique et notre coeur  électoral».

Pour Manuel Aeschlimann, le coup est rude : lâché par celui qu'il présentait à tous, de l'Afrique à Asnières comme « son ami », le voilà seul, avec son bilan indéfendable et son odeur tenace de soufre, …..contre tous !

Comme le note un de ses anciens élus pour notre blog :

«  C'est l'hallali. Sans militants, sans appui réel de l'appareil UMP, sans moyens propres, sans la position de maire, sans vrais amis, voici Manuel Aeschlimann face à son dernier combat, perdu par avance. Une question cependant me taraude : va-t-il aller jusqu'au bout en sachant qu'il sera électoralement laminé de manière humiliante ou essaiera-t-il in extremis de sauver la face en se retirant avant l'estocade finale ? Le choix est en effet cornélien.

S'il se confronte aux urnes, son score risque d'être apocalyptique, une gifle d'anthologie politique pour un député sortant . S'il abandonne la course, l'UMP locale aura à se reconstruire sans lui, en réintégrant probablement beaucoup de celles et ceux qu'il a trahis et combattus, donc en tournant la page Aeschlimann de manière définitive. Quel que soit le choix fait, il aura tout perdu sur tous les plans.

Machiavel n'aurait pu imaginer piège aussi parfait, sans issue autre qu'une fin de carrière lamentable ou une lamentable fin de carrière. »



Marylise Dipusu


Chapitre 490 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008







lundi 5 mars 2012

Crises en série et réflexions citoyennes pertinentes

















































Notre iconographie du jour sera liée d'un côté aux réductions, pas toujours de têtes, mais aussi de carrières ou d'ambitions politiques, que peuvent susciter des amitiés pas toujours bienvenues en période électorale. Sauf à confondre notoriété médiatique, sympathie générale et, ce qui est très différent, soutien à des choix lors de scrutins réels avec de vrais électeurs.

De même, ces vents contraires aux ambitions des uns, ou à la sauvegarde des postes des autres, sont très dangereux. Ils peuvent provoquer des naufrages retentissants et imprévus, surtout pour celles et ceux qui croient que le soutien d'un homme connu, mais rejeté, peut aboutir à obtenir la faveur des électeurs dans les urnes.

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Nos lecteurs émettent des remarques fort pertinentes


Le grand avantage d'un blog citoyen libre et d'expression collective indépendante des politiques de toutes couleurs est d'offrir aux citoyens-lecteurs de ce dernier un espace propice à des réflexions empreintes de bon sens populaire, au sens élevé du mot.

Ainsi en est-il de ce lecteur ( voir commentaire en fin de l'article précédent), qui, entre autres choses, explique qu'il n'est pas sûr que la candidate Rama Yade profite d'un soutien, implicite ou explicite, de l'Elysée et de l'UMP.

En effet, notre lecteur attentif soulève un point important et que nous résumerons ainsi : la popularité médiatique de Rama Yade, voire ses ambitions parlementaires sur Asnières et Colombes-Sud, seraient-elles aidées ou au contraire diminuées par un appui de l'UMP et de Nicolas Sarkozy ?

C'est là une question très pertinente, surtout pour l'intéressée. Car il ne lui échappera pas qu'être aujourd'hui soutenue par l'UMP ET PAR NICOLAS SARKOZY s'apparente à la recherche du désastre assuré, en tout cas sur la 2ème circonscription des Hauts de Seine.

Pour développer l'idée de notre lecteur que nous remercions de sa contribution très constructive au débat public, n'exprime-t-il pas de manière fort claire la contradiction qui peut être fatale à la candidate Rama Yade en cette période de crise et de forts mouvements de l'opinion publique contre les pouvoirs en place ?

Dit autrement, Rama Yade est coincée entre deux postures contradictoires :

l'une consiste à se présenter avec le seul soutien de son parti, contre le candidat de l'UMP, même lâché en silence par ce parti, en jouant son va-tout sur sa notoriété et un affichage de positions médiatisées.

L'autre implique de recevoir un appui marqué, direct ou indirect, de l'UMP et du Président-candidat dont tous les sondages indiquent que cela est plutôt mauvais pour un (e) candidat (e), surtout dans le 92.

Quel que soit au final le choix tactique, et donc stratégique, de Rama Yade sur la ville, une chose est sûre : sa candidature assure la chute finale des époux Aeschlimann, sans certes garantir, comme le croit béatement un ami du maire actuel, le succès de Sébastien Pietrasanta, dont son soutien fidèle annonce qu'il « compte les points du duel Manuel Aeschlimann- Rama Yade ».

Le candidat PS n'aurait-il comme seul programme politique pour le peuple que de « compter les points entre ses adversaires potentiels » ? Si tel état le cas, voici qui serait bien léger pour un homme voulant devenir député.

Nous prendrons donc un point de vue résolument objectif en posant comme hypothèse que le scrutin législatif à Asnières risque très officiellement de voir se dégager 4 groupes importants de votants dont l'ordre d'arrivée arithmétique au soir du premier tour va être décisif pour le second tour :
le groupe Rama Yade, le groupe Manuel Aeschlimann, le groupe Sébastien Pietrasanta, le groupe Front National.

Comme nous le confiait un homme de sondages :

«  sur la 2ème circonscription où l'électorat UMP est en délitement et divisé, la probabilité d'un duel de second tour PS-FN, ou Rama Yade- FN  est très élevée. En un tel cas qui n'est pas à exclure tant le vote de mécontentement va être puissant, il risque d'y avoir des déceptions cinglantes. Tout va se jouer au premier tour sur cette circonscription ».


Pendant ce temps, les difficultés quotidiennes des citoyens s'aggravent


En quelques semaines, la BCE (Banque Centrale Européenne), en fait la banque qui émet les seuls euros pour la zone éponyme, a versé à 800 banques de ladite zone euro 1000 milliards d'euros, un record absolu qui souligne l'ampleur de la crise systémique en cours.

Et voilà que ces banques, loin de se servir de cet argent frais obtenu à bas prix afin de relancer des économies malades et financièrement exsangues, mettent cet argent en dépôt à....la BCE !!! 

Avec un taux de 3% en leur faveur alors que la BCE leur a prêté ces sommes au taux de 1%. 


Du côté de la Grèce, les non-dits (ou plutôt les choses non-écrites) permettent de savoir qu'un 3ème plan d'aide va être nécessaire, selon les dirigeants de l'Union européenne :


Mais, visiblement, austérité, licenciements massifs, précarité généralisée, pauvreté en expansion, tout cela n'inquiète pas Manuel Barroso. Ce qui lui fait peur est la possible sortie de la Grèce de la zone euro, que de plus en plus de personnes (économistes, politiques) envisagent comme solution, au moins temporaire, à ce qu'ils appellent « la crise grecque » :


Le peuple grec, qui voit la pauvreté la plus horrible exploser dans le pays, avec tous ses maux afférents, tout cela au nom de la sauvegarde de l'euro, jugera de la compassion bien particulière que ces propos traduisent.

Durant ce temps, la Chine annonce ouvertement qu'elle vas acheter plus d'entreprises européennes, moins chères du fait de la crise de l'euro :


En Espagne, pays que la récession frappe à coups redoublés, le gouvernement annonce ne pas pouvoir baisser le déficit de l'Etat en 2012 comme exigé par l'UE.

Alors, cette dernière menace le pays de sanctions qui aggraveront la situation, ce qui est carrément incohérent  et surtout contraire aux intérêts les plus concrets du peuple espagnol:


Ainsi va la totale et cynique destruction de toute démocratie en Europe, où la libre volonté exprimée des citoyens et des peuples est remplacée par le fouet et les menaces de fouet de politiques irresponsables et non-élus par personne.

En sens inverse, un petit pays, l'Islande, met en jugement son ancien Premier Ministre, considéré par le peuple islandais comme « responsable », par son incompétence et ses errements, de la crise de 2008 qui a frappé la population de ce pays :


En lieu et place de pères fouettards irresponsables qui aggravent la situation par leur dogmatisme borné qui ne veut reconnaître aucune réalité vivante, voilà un exemple à suivre pour les politiques à tous les niveaux, en France comme en Europe.



Marylise Dipusu


Chapitre 489 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008






samedi 3 mars 2012

Crise politique dans le 92 et à Asnières





























Ci-dessus, une image de déroute sauvage, en prédiction de ce qui attend en juin 2012 les époux  Aeschlimann trahis et abandonnés de tous côtés par leurs anciens amis, et un dessin sur des pieds nickelés dans une situation certes commune, mais peu agréable et pas vraiment engageante pour l'avenir.

Nos lecteurs jugeront de la réalité ironique de cette image en pensant à deux candidats actuels en lice qui pensaient être seuls à concourir, et à un troisième homme qui se voyait déjà député aussi par défaut, et qui, aujourd'hui, reste silencieux car tous ses espoirs vains sont anéantis.

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Un spectre hante le 92 : une crise politique qui touche l'UMP en priorité, mais commence à frapper aussi le PS!

Nul n'a besoin de confidences pour savoir que la circonscription-phare de l'UMP 92, celle de Neuilly-Puteaux devrait, en juin 2012 revenir au maire actuel de Neuilly, qui n'est pas encarté à l'UMP et en est d'ailleurs ravi sur le plan électoral.

A Levallois aussi, le siège de Patrick Balkany n'est plus assuré.

A Asnières, le député sortant Manuel Aeschlimann n'a pas un soutien ferme des instances de son parti, sa défaite étant pour la direction de son parti un fait inscrit dans l'avenir comme inéluctable.

Certes, on aura compris que l'UMP 92, comme nationale, se rapproche, sans crier le fait sur les toits, de la candidature Rama Yade, qui, comme à Neuilly, n'est pas sur la ligne de l'UMP, mais est fortement sollicitée par l'Elysée.

Il est évident que Manuel Aeschlimann va être victime, dans son ultime campagne perdue d'avance, de trahisons de la part de ses amis, lui qui avait assis sa montée en politique sur les trahisons de ses anciens amis. C'est une logique inévitable et inexorable.

Nul ne s'y trompe et le couple Aeschlimann a bien compris que, maintenant, le siège de Monsieur est déjà perdu et que, partant, celui de Madame au Conseil Régional risque bien de ne plus être reconduit avec sa titulaire aux prochaines échéances.

Du côté du PS, l'affaire Kaltenbach continue à faire des vagues, dans un PS qui a aussi ses problèmes internes, de Clichy au sud du département où certains de ses élus ont eu maille à partir avec la Justice.

Bien évidemment, une victoire de François Hollande conquérant l'Elysée rabibocherait tout le monde un certain temps, mais seulement un temps certain.....

A Asnières, la déroute de Manuel Aeschlimann dans sa famille politique a jeté la consternation dans l'entourage de Sébastien Pietrasanta, qui, du coup, est acculé à préparer, si cela est possible pour lui, une campagne sur des thèmes politiques de fond face à Rama Yade, lui qui avait tout planifié pour un duel entre Manuel Aeschlimann en chute libre et lui, sans personnalité nationale connue venant s'immiscer dans ce beau plan!

Pire pour lui, son mépris, assez ouvert depuis fin 2008, de la droite non-UMP sur la ville risque de lui coûter cher en juin 2012 face à Rama Yade, celle-ci fédérant sur son nom anciens alliés du maire en mars 2008 et nouveaux adversaires.

Reste évidemment, et c'est là une inconnue, l'ampleur du vote Front National, qui peut bouleverser la donne actuelle, surtout dans une situation de crise qui s'accentue chaque jour.

Un citoyen de notre commue livrait à notre blog ses commentaires de bon sens :

«  Manuel Aeschlimann, comme c'était prévisible, est en voie de finir sa carrière politique comme il l'avait commencé : par la trahison tout autour de lui. De plus, avec la candidature Rama Yade, toute sa construction communautariste antérieure se retourne contre lui avec fracas. Son bilan pour l'UMP est apocalyptique : une section en ruines, des élus explosés, un parti discrédité.

Quant à Sébastien Pietrasanta, qui espérait être élu « par défaut » député, le voilà obligé de monter en ligne, lui qui n'a pas de charisme, ni de talent oratoire, sans parler de ligne politique cohérente. Ainsi, en quelques mois, tant l'ancien maire désavoué que celui élu en mars 2008 sur un programme d'alliance qu'il a cru intelligent de trahir pour son seul profit politique, se retrouvent en situation, désespérée pour le premier, critique pour le second.

L'un a perdu sa carrière par ses propres fautes accumulées, l'autre, qui n'a fait que grimper par ces mêmes défauts et le combat des autres, sans avoir de grandes qualités propres, est confronté à lui-même, à ses carences d'homme public, à ses actes passés qui se retourneront aussi contre lui et, surtout, à son vide de programme politique clair. C'est pour ces raisons que les élections de juin 2012 signeront à coup sûr la fin politique des Aeschlimann, mais surtout le début des vraies difficultés pour le PS et le maire actuel  d'Asnières».

Nous reviendrons bientôt sur les conséquences de l'état de quasi-faillite de la Grèce pour l'ensemble de la population, ainsi que sur les développements significatifs de la crise de l'euro, entre inflation qui repart et pluie de 1000 milliards d'euros aux banques européennes via les coffres de la BCE.



Marylise Dipusu


Chapitre 488 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008