mercredi 20 mai 2009

Asnières: des histoires édifiantes!



Ci-dessus une photo montrant Bruno Casari et Jean-Jacques Semoun, anciens élus municipaux, contraints de défendre la démocratie au sein du Conseil Municipal avec un mégaphone lorsque les époux Aeschlimann dirigeaient la commune en limitant y compris le temps de parole des élus, mais aussi en lançant une multitude de procès aux frais des contribuables contre des élus, des associations, des citoyens.


Ce jour-là, la vidéo fit un fameux tour de France et même plus loin dans le monde.


En témoigne ce lien qui, en quelques lignes à peine, compare en sens opposé l'absence de démocratie locale à Asnières de 2001 à 2008 sous le règne des époux Aeschlimann et une démocratie active au quotidien (la mairie de Taipei, bien conseillée en termes de communication sur Internet).


http://www.lepost.fr/article/2009/05/18/1540611_oui-le-web-fait-du-bien-a-l-hemicycle.html


Par ailleurs, puisque nous parlons de démocratie, il est juste que tous les citoyens sachent que la requête en CONSEIL D'ETAT de Manuel Aeschlimann contre le scrutin du 16 mars 2008 a été sévèrement refusée par cette haute juridiction, en des termes clairs et francs, caractérisant bien les prétentions sans fondement de Manuel Aeschlimann, celui qui ne respectait pas comme maire la démocratie à Asnières.


Le Jugement du Tribunal Administratif de Versailles en première instance en sort renforcée et étayée. Pour l'avocat-député Manuel Aeschlimann, c'est un échec de plus et surtout, cet Arrêt résonne comme un terrible avertissement de ce qui l'attend en Cour d'Appel de Versailles pour le dossier du Festival Folklorique international qui, selon lui, naguère, le laissait "serein"!


Serein n'est plus le mot adapté aujourd'hui où Manuel Aeschlimann cherche désespérément un travail après sa pseudo-vie politique mise en échec et mat définitif. Il a semé le vent contre lui, il récolte la tempête!


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Un étrange dossier lié à la rénovation urbaine: Scoop d'Asnières Nouvelles Citoyennes


Des citoyens du quartier Voltaire ont alerté la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes sur des faits étranges qui se seraient déroulés selon eux, dans le cadre de la rénovation organisée par l'ANRU – Agence Nationale de Rénovation Urbaine.


D'après ces citoyens très remontés par les évènements- non avérés à ce jour- qu'ils dénoncent, lors de l'opération de rénovation urbaine menée sous l'ancienne municipalité dirigée par Manuel Aeschlimann, des sommes d'argent en liquide auraient été demandées, au nom de l'ancien maire, par une jeune femme se réclamant de la mairie, ceci afin d'avoir accès à des logements sur le quartier.


Selon ces habitants, une ou plusieurs plaintes auraient été déposées auprès du Procureur de la République quant à ces exigences de cette mystérieuse jeune femme. Celle-ci aurait en effet sollicité des demandeurs de logements pour ce quartier des sommes de 5000 euros, et plusieurs familles auraient accepté de régler cette somme en échange de promesses d'accession à des logements rénovés.


Or, chose remarquable: les citoyens ayant porté plainte n'ont reçu aucune information du Parquet de Nanterre et surtout, ceux qui ont versé les 5000 euros n'ont rien vu arriver, malgré que la jeune femme dont ils parlent est toujours spécifié qu'elle intervenait au nom de l'ancien maire, ce qui semble ici être un mensonge éhonté.


Ceci dit, des habitants d'Asnières ont été victimes de malversations survenues sous la mandature de l'ancien maire et il serait nécessaire que l'actuelle majorité municipale diligente une enquête sur les faits que ces citoyens nous ont dénoncés.



Nicolas Cellupica, le petit avatar vantard de Manuel Aeschlimann



Au moment où Manuel Aeschlimann sombre dans les ennuis judiciaires et politiques, il lance son dernier avatar, son quasi-double, son petit alter ego, son semi-double fictif, Nicolas Cellupica, qui se prépare, selon lui, à devenir avocat!


L'avatar Nicolas Cellupica est mal engagé dans sa vie publique. A l'UMP d'Asnières, le moins que l'on puisse dire, est que Nicolas Cellupica ne fait ni recette, ni grande impression.


Les plus gentils estiment que Nicolas Cellupica est un parachuté sans intérêt, d'autres, plus durs, indiquent qu'il est juste un petit envoyé de Manuel Aeschlimann, extérieur à Asnières et surtout sans aucun lien avec les adhérents de l'UMP sur la ville. Pour les partisans de Cyrille Dechenoix, l'impétrant fait sourire et rire, mais il n'inquiète pas.


L'un d'eux nous affirme, d'un air serein et amusé: « Cellupica est un vrai cas: il est le fils spirituel d'un politique qui a tout raté et finit condamné et avocat bidon. C'est là son problème ».


Pour un observateur avisé de la vie publique asnièroise, « Nicolas Cellupica est seulement un apprenti- avocat. Sans charisme, sans stature, sans attache réelle dans la ville pour l'instant, sans vision, il ressemble pour son mentor à une ancienne statuette inca. Manuel Aeschlimann parlerait par sa bouche aux habitants en utilisant son nom comme intermédiaire. Mais, cela est dangereux pour deux raisons: la première est que Manuel Aeschlimann a perdu toute crédibilité publique, la seconde est que Cellupica n'est pas une simple et inerte statuette inca, mais un être humain doté d'ambitions propres. »



Les policiers municipaux se révoltent contre leur chef et recherchent l'arbitrage du maire ou l'information contre la désinformation



L'information la plus simple et claire est parfois malmenée, surtout si les époux Aeschlimann l'accomodent à leurs fantasmes personnels.


Ainsi, les époux Aeschlimann essaient de faire croire que les policiers municipaux, ou au moins une grande partie d'entre eux au minimum, seraient en conflit avec le maire pour des motifs obscurs que, d'ailleurs, ils n'expliquent pas.


Pour les journalistes qui s'attachent aux faits avérés, de nombreux policiers municipaux d'Asnières, en ayant assez des relations difficiles qu'ils reprochent à leur chef, ont manifesté en mairie et rencontré le maire.


Leur objectif affirmé: s'assurer que Sébastien Pietrasanta intervienne afin de ramener la sérénité et l'efficacité au sein de police municipale, ce qui fait partie des tâches d'un maire.


S'il est vrai que, presque en même temps, le maire doit faire face à un procès en diffamation de la part de Zouhaïr Ech Chetouani, ancien médiateur municipal, qui fut souvent vu par de nombreux citoyens comme un proche de Manuel Aeschlimann, voire un militant dévoué de celui-ci pour certains.


Certes, l'opération politique des époux Aeschlimann derrière ce procès n'est pas neutre, ni sans intérêt. Mais, Manuel Aeschlimann a tort, une nouvelle fois, de parler de Justice, car, si Sébastien Pietrasanta répond de paroles et d'écrits devant des juges, l'ancien maire et toujours député, lui, va devoir, en Appel, s'expliquer sur son acharnement à favoriser ouvertement amis et anciens employeurs, comme l'a attesté par exemple Fabienne Van Aal, née Bary, lors du procès en première instance.


Quand d'ailleurs, on parle d'ancien employeur, cela pourrait mener à évoquer les anciens employés et/ou contractuels sous convention de la Ville sous Manuel Aeschlimann qui deviennent maintenant, parfois, employeurs de ce dernier, comme l'avocat Olivier SCHNERB.


Quand Manuel Aeschlimann parle de Justice, la Justice se rappelle vite à Manuel Aeschlimann!


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Dernière minute:


Sébastien Pietrasanta est l'objet d'un article admiratif, mais peut-être malvenu, dans le journal "Pote à Pote", qui appartient à l'association SOS-Racisme, aujourd'hui dans le collimateur de la Justice en lien avec l'affaire Julien Dray. A l'évidence, cet article tombe à pic pour servir les campagnes malodorantes des époux Aeschlimann contre la municipalité de grand rassemblement pour Asnières.


Les amis de Julien Dray voudraient aider les époux Aeschlimann en soulignant les relations amicales passées entre Sébastien Pietrasanta et "Juju" qu'ils ne s'y prendraient pas autrement, ou alors c'est vraiment un manque de finesse de plus remarquables....



Marylise Dipusu



Chapitre 151 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008