jeudi 30 juin 2011

Asnières sur Seine: la démocratie communale est la base de tout!
































Ci-dessus une iconographie qui est en rapport avec la première strate de la démocratie en République, la démocratie communale, celle qui se pratique au plus près des citoyens, à l'échelle de la commune. Notre objectif est de montrer qu'il existe un antagonisme absolu entre des élus communaux obéissant à l'Etat, et derrière lui, aux exigences anti-démocratiques de la Commission Européenne, et de l'autre, des élus du peuple ne rendant de comptes qu'aux citoyens, leurs électeurs.

Dans un cas, les élus ne sont que de simples courroies de transmission des directives européennes contre la démocratie et la volonté des habitants, dans l'autre, ils sont les défenseurs de la démocratie à son niveau le plus élémentaire et fondamental. Il n'existe pas ici de milieu: soit un élu est pour protéger la démocratie, soit il se prononce en faveur de son étouffement progressif.

C'est ce que résument nos images du jour avec les livres de référence sur le sujet, un sujet ESSENTIEL pour la démocratie par et pour le peuple.

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Intercommunalité: le vrai débat et l'enjeu démocratique de fond


Le débat sur l'inter-communalité imposée par l'Etat et menant à la suppression de milliers de communes en France fait rage entre élus et formations politiques sur le plan municipal.

Il importe donc de rappeler quelques vérités générales sur l'inter-communalité, telle que voulue et développée par le gouvernement actuel (et ceux d'avant aussi):

  • la décision d'IMPOSER L'INTER-COMMUNALITE a été prise dans les instances non-démocratiquement élues de la Commission Européenne en parallèle avec l'exigence de cette dernière envers les Etats-membres de l'Union Européenne de réduire drastiquement ces foyers de démocratie locale afin de favoriser à la fois une diminution des dépenses publiques et la politique dite « de subsidiarité » qui voie un centre non-élu (Bruxelles) faire appliquer par des structures locales élues ses décisions, le tout détruisant au passage toute forme de démocratie, puisqu'une seule politique d'ensemble est appliquée pour tout le monde dans les 27 pays.
  • Les gouvernements de toutes couleurs des 27 pays de l'UE suivent ces directives de Bruxelles, avec plus ou moins de résistance parmi les élus et la population. En France, l'objectif est de passer de 36800 communes de tailles diverses à quelques milliers, regroupées et dont l'exécutif sera éloigné des citoyens et surtout de tout contrôle démocratique. La subsidiarité a ses obligations que la raison ignore.

  • De ce fait, la question n'est pas de choisir entre une inter-communalité d'une couleur ou d'une autre, ces couleurs politiques étant toutes au service des mêmes objectifs politiques bruxellois. Le fond du débat est la survie ou la mort de toute démocratie à l'échelle humaine, donc communale, avec des élus en contact étroit et contrôlables par la population.

Ce qui est donc en cause avec l'inter-communalité imposée par l'Etat, ici vecteur de la politique édictée par la Commission Européenne, est la démocratie, la forme républicaine de cet Etat, le contrôle des élus par le peuple, la possibilité de décider vraiment pour les électeurs des orientations communales.

Il en résulte que nous avons d'un côté, des partisans multicolores des diktats de Bruxelles contre la République et la démocratie, de l'autre, la résistance à ces choix pétris de destruction de toute démocratie et de la République.

Liens pour éclairer le débat de fond, qui n'est pas seulement asnièrois:



Sur l'objectif de toujours plus diminuer les inter-communalités en agrandissant celles-ci, ces chiffres qui traduisent bien les objectifs finaux recherchés:


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Destin de Manuel Aeschlimann: la GLNF coule, mais son chef ne se rend pas!


Nul n'a besoin de longs développements pour comprendre que le député Manuel Aeschlimann agonise politiquement.

Certes, les langues ironiques s'amusent de savoir que le célèbre Georges Tron, grand amoureux des pieds féminins selon ces esprits quelque peu coquins, est défendu par le Cabinet Olivier Schnerb,, où Manuel Aeschlimann est avocat stagiaire.

Il est aussi vrai que les abandons continuent autour du député en sursis, qui ne réunit plus que quelques fidèles, les forces vives de l'UMP locale ayant déserté.

Un malheur n'arrive jamais seul: alors que les derniers proches de Manuel Aeschlimann annonçaient eux-mêmes la rupture de leur mentor d'avec les amis de Thierry le Gac, cela juste dans la foulée du procès qui a vu encore un ancien élu de l'ex-maire condamné, cette fois pour dénonciation calomnieuse, on apprend que l'obédience franc-maçonnique à laquelle Manuel Aeschlimann a indiqué, durant de nombreuses années, appartenir, la GLNF, est en crise grave, voire mortelle.

Son « Grand Maître », François Stifani, est en effet accusé de nombreuses dérives, et même par certains de ses ennemis internes, de « dérives de nature sectaire ».


Voilà des accusations que Manuel Aeschlimann ne saurait entendre sans réagir avec vigueur. Malgré les accusations et les échecs qui s'accumulent, il semble que, comme Manuel Aeschlimann à Asnières, François Stifani ne veuille pas abandonner son poste et se rendre à l'évidence. Selon ses ennemis, il « coule » ainsi la GLNF, isolée dans le monde franc-maçonnique, autant que Manuel Aeschlimann dans la population asnièroise.... Les grands destins croisés se ressemblent!

Pour les citoyens qui désirent suivre la crise terrible qui agite cette GLNF; avec aussi des accusations de dérives affairistes et des propos sur des « purges staliniennes »:



nous conseillons la lecture régulière de ce blog lié à l'Express qui concentre l'essentiel sur ce sujet:


Tout s'écroule donc autour de Manuel Aeschlimann, même l'obédience à laquelle il annonçait à beaucoup de ses anciens amis qu'il en était membre......

Nous le disions déjà voici des mois: « plus longue est la chute, plus elle est dure et impitoyable ».



Marylise Dipusu

Chapitre 450 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2011