Ci-dessus une photo d'une antenne-relais de téléphonie mobile installée en 2005 dans le quartier Flachat, sous le mandat de Manuel Aeschlimann, la troisième sur le même immeuble, à peu de distance d'une école.
Le bilan environnemental de Manuel Aeschlimann comme maire d'Asnières (1999-2008) est éloquent: la population de la ville est passéede 76000 à plus de 86000 habitants, les espaces verts ont chuté à 1,7m² par résident asnièrois, un square entier- poumon d'un quartier- le square Chanzy a été détruit entièrement, le stade Magenta a été diminué, le stade Pierre de Coubertin aussi (pour la prolongation de la ligne 13), le béton a submergé la commune avec des ZAC qui ont accru l'endettement de la Ville, la circulation est devenue chaotique et la pollution mesurée y a fortement cru.
Voilà des faits qui permettent aux époux Aeschlimann de jouer aux faux "Verts" ou plus exactement aux "Verts" d'apparence le temps d'un court évènement sans intérêt pour les citoyens.
Il est vrai qu'avec leur lourd et puissant 4x4 très polluant, les époux Aeschlimann sont vraiment qualifiés pour parler d'environnement, pardon, de la pollution dont ils sont de fervents partisans avec leur voiture vraiment si peu propre!
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« Qu'il est dur d'exister quand la vie vous fuit » (dicton paysan)
"Etre ou ne pas être", telle est aujourd'hui la question pour Manuel Aeschlimann et son épouse.
Après son bref engagement écologique sans que son passé ne puisse apporter la moindre preuve tangible de la profondeur et l'ancienneté de cette conviction toute neuve et de pure circonstance, Manuel Aeschlimann constate l'échec patent de ses efforts pour tenter d'exister sur le terrain public.
Son « Grenelle de l'environnement d'Asnières » a été encore un échec, mais l'important pour lui et son épouse demeure: la presse a parlé d'eux, un peu, et avec en arrière-plan des phrases assassines comme celle du maire actuel d'Asnières qui se réjouissait de noter qu'avec son gros 4x4 polluant, Manuel Aeschlimann allait devoir payer une taxe carbone élevée!
Le ridicule ne tue pas, il est vrai, mais pour les époux Aeschlimann, le problème est qu'ils sombrent dedans depuis quelques temps déjà.
Comme cette initiative sur l'écologie n'a pas porté les fruits espérés, Manuel Aeschlimann a eu encore une idée qui va le mener droit à un nouvel échec.
En pleine crise mondiale qui s'étend, alors que le chômage explose de plus belle en ce mois de septembre, alors que l'économie recule et que les déficits publics atteignent des records historiques, le toujours député annonce un débat qui a vraiment un caractère d'urgence pour les citoyens d'Asnières et de Colombes-sud (sa circonscription): « Grand Paris et Réforme des Collectivités Territoriales: évolution ou révolution »?
Voilà un sujet qui va apporter des milliers d'emplois sur la circonscription, stopper les pertes de postes, relancer l'économie locale et donc passionner le public.....
Essayant de montrer qu'il lui reste quelques « amis » dans son parti, Manuel Aeschlimann n'a trouvé qu'un sénateur de Seine Saint-Denis et un Rapporteur de Commission, le tout pour une réunion le 16 septembre 2009 animée par celui qui est maintenant appelé "le pion d'Aeschlimann", l'inénarrable Nicolas Cellupica.
Bref, le toujours député essaie derechef d'exister, en parlant de ce qui n'intéresse personne et n'a aucun rapport avec les problèmes qui touchent les citoyens, le tout sans AUCUN « ténor » de son parti qui souhaite associer son nom à celui du député condamné en première instance pour délit de favoritisme.
En quelque sorte, en essayant de se montrer et d'exister, Manuel Aeschlimann et son épouse ne font que prouver, un peu plus à chaque fois, qu'ils sont toujours plus seuls et abandonnés.
Ceci étant, les citoyens observeront que les époux Aeschlimann n'ont toujours pas eu un mot de soutien et/ou de solidarité en faveur de Bernard Loth qui sera devant ses juges le 18 septembre 2009.
Ce silence est inquiétant....surtout pour l'ancien Directeur Général des Services de la mairie sous Manuel Aeschlimann!
Marylise Dipusu
Chapitre 191 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008