dimanche 23 janvier 2011

Asnières sur Seine: Manuel Aeschlimann et « la trahison persane »





























Notre iconographie du jour est en relation avec le thème de la trahison qui, par les temps qui courent, entoure Manuel Aeschlimann, lequel fut souvent aussi traître à ses engagements et à ses proches amis avant de devenir ancien maire et député condamné en Appel pour délit de favoritisme.

Notre première image montrera la couleur rouge, donc violente pour les trahis, de l'acte de trahison. Manuel Aeschlimann en étant un spécialiste ayant bâti sa carrière, désormais finie, sur cette pratique envers les autres, ne pourra nier aujourd'hui le sentiment- légitime à ses seuls yeux- de colère et d'abandon qui l'accable. 

Notre deuxième image est en fait un dicton d'un écrivain lettré sur la trahison et les défauts psychologiques de vraie faiblesse et de manque de confiance en soi et en les autres que cette pratique atteste chez un individu. Cette citation éclaire ainsi des traits de caractère du député condamné en Appel qui nuisent à toute crédibilité minimale, maintenant, de ses paroles.

La troisième image est un symbole du sens traître, retors et particulièrement destructeur pour Manuel Aeschlimann d'un texte d'apparent, mais fourbe soutien de Francis Raminé Pourbagher aux mortes ambitions du député isolé et abandonné de tous côtés.

Certains appellent ce type de main symbolique chargé de barbelés "la symbolique de la trahison persane". Expliquons-en l'origine afin de nous faire bien comprendre.

Il est relaté dans un récit grec antique qu'en effet, durant les guerres entre Perses et Grecs, un officier grec de la ville de Thèbes avait trahi les Cités grecques fédérées au profit du roi des Perses.  Cet homme devint un des conseillers militaires du roi Xerxès.  Le roi, mécontent, suite à ses défaites à Platées et à Salamine, fit néanmoins renvoyer, sous un sourire apparemment jovial et des compliments flatteurs, le Thébain avec un sac de pièces d'or frappées à son effigie pour salaire de ses services contre son propre peuple.

L'officier traître revint dans sa cité pour essayer de profiter de son or perse. Un commerçant ayant constaté  que l'homme payait ses achats, fort nombreux, en pièces d'or perses, le dénonça à une garnison spartiate occupant Thèbes à cette époque et le renégat fut mis à mort après un bref procès. 

Depuis lors, dans certaines zones de Grèce, faire punir le traitre par ceux qu'il a trahis, en le renvoyant avec les preuves matérielles de sa trahison, se nomme "la trahison persane"

Il semblerait qu'à Asnières, cette méthode persane ait connu une renaissance inopinée récemment....D'où notre titre du jour.

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Le régime de Téhéran, dernier ami de Manuel Aeschlimann ou soutien fourbe?


Les coups de poignard dans le dos du député Manuel Aeschlimann, condamné en Appel pour délit de favoritisme au détriment de la Ville d'Asnières, n'ont pas tardé, comme cela était prévisible dans le monde impitoyable de la politique, notamment altoséquanaise.

Tandis qu'un élu PS demandait, en toute logique civique, que Manuel Aeschlimann démissionne de son mandat de député après cette condamnation et surtout les faits délictuels confirmés par la Justice une deuxième fois avec une netteté et une précision implacables, pendant que des milliers d'habitants de notre ville lisaient les informations sur les origines de la condamnation en Appel de l'ancien maire battu déjà en mars 2008 et surnommé à l'UMP « le looser d'Asnières », alors que déjà les jeunes requins UMP affûtent, ici et là, leurs longues dents ambitieuses pour réduire à néant tout espoir du député condamné devenu bien embarrassant avec ses casseroles qui tintent bien trop fort, Manuel Aeschlimann a été frappé dans le dos d'une manière atroce et retorse: sous la forme du soutien apparent apporté par celui qui a représenté à Asnières, depuis le 21 janvier 2005, le régime dictatorial iranien, Francis Raminé Pourbagher!

Alors que l'Elysée fait tout ce qu'il peut afin que nul ne reparle de la pose de la première pierre de la mosquée d'Asnières en octobre 2004 par Nicolas Sarkozy, tandis que ses « communicants » essaient d'empêcher qu'on ne rappelle les 10000 livres intitulés « A l'ombre du Coran » appelant à la haine et au meurtre entre citoyens découverts sur le site de cette pierre originelle, le tout alors que les affaires financières autour de ce lieu de culte sentent de plus en plus le soufre, voilà que celui qui fit honorer le 21 janvier 2005 en mairie d'Asnières l'ambassadeur de la dictature théocratique iranienne semble voler au secours de Manuel Aeschlimann avec un titre provocateur ahurissant:

« Manuel Aeschlimann se présentera en 2012 et 2014 »!!!.......

Pour celles et ceux qui penseraient à un gag de notre part, à une crise de folie de Monsieur Pourbagher ou une mauvaise blague des ennemis de Manuel Aeschlimann, voici le lien qui atteste les faits:


Pour quiconque de bonne foi douterait du coup de poignard dans le dos de Manuel Aeschlimann par son « ami » Francis Raminé Pourbagher, fidèle serviteur du régime de Téhéran en France, il suffit de lire l'article en-dessous du titre, article dans lequel l'auteur paraît se délecter de rappeler, avec un soin étrangement détaillé, les condamnations en première instance et en Appel de l'ancien maire......

A Téhéran, dans les couloirs sombres du régime truqueur d'élections, corrompu, théocratique et adorateur de pendaisons publiques, on sait bien qu'une corde soutient solidement un pendu.

A lire ce que met en ligne Monsieur Pourbagher, ancien directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann, il apparaît bien que cette théorie mortifère du régime iranien ait été appliquée sur le terrain politique à Manuel Aeschlimann en France ce 21 janvier 2011.

Ce dernier qui se vante, de manière pathétique et risible, de recevoir soutiens et encouragements (à ses délits?!!!) depuis le 21 janvier 2011, a donc reçu PUBLIQUEMENT un seul soutien public en apparence, mais d'un genre très particulier: 
celui d'un homme très en cour après du sulfureux gouvernement iranien, un homme, qui, passé un titre qui MOQUE à l'évidence les espoirs vains et déjà morts de Manuel Aeschlimann, SIGNALE à celui-ci que le REGIME DE TEHERAN L'ABANDONNE!

Décidément, les 21 janvier ne se ressemblent pas pour Manuel Aeschlimann.

Voilà la réalité de ce que Manuel Aeschlimann appelle, éperdu et angoissé devant le vide qui l'entoure et sa chute inévitable,....des soutiens!

Soyons même encore plus clairs afin que tous comprennent la signification double du message envoyé par Monsieur Pourbagher à son « ami » député en perdition:

SI Francis Raminé Pourbagher avait soutenu Manuel Aeschlimann dans son effondrement, cela n'aurait pu que manifester au grand jour que le régime de Téhéran était TOUJOURS l'AMI réel et fidèle du député Manuel Aeschlimann, ce qui aurait engendré une accélération foudroyante des abandons et trahisons du député condamné au sein de tout l'appareil de l'UMP.

En ridiculisant par le titre choisi Manuel Aeschlimann et en soulignant avec méticulosité les raisons de ses condamnations, Francis Raminé Pourbagher signifie que le régime de Téhéran rompt tout appui effectif au député UMP qui fait naufrage, DONC que Manuel Aeschlimann FUT EFFECTIVEMENT DEPUIS 2005 un AMI PROCHE de ce régime dictatorial!!!

La trahison venue de Perse est donc doublement tranchante pour le député lâché de tous côtés.

Par ailleurs, les observateurs attentifs, qui connaissent l'aisance naturelle avec laquelle Manuel Aeschlimann peut mentir sur tout à tout le monde, ont noté que, quand le député condamné a essayé de faire croire que des « gens » se ralliaient à sa cause qui sombre, il n'a pu citer AUCUN NOM, mais plus grave AUCUN COMMUNIQUE DE SOUTIEN DE L'UMP ET/OU DE L'ELYSEE!!!

On imagine d'ailleurs mal Nicolas Sarkozy ou Jean-François Copé être assez « stupides » ou suicidaires politiquement pour soutenir, même à voix basse, par un SMS ou d'une manière quelconque, un député condamné de cette manière avec autant de faits avérés, voire révélés par les condamnés eux-mêmes.

D'autant que Nicolas Sarkozy comme Jean-François Copé ont parfaitement compris que Manuel Aeschlimann est un député « fini politiquement », et qu'il « faut penser à l'avenir ». SANS donc Manuel Aeschlimann!

De plus, la popularité de l'UMP et du Président est telle dans le pays qu'un soutien de leur part à une personne signifie plus sa perte qu'une promesse de succès, tandis que ne rien dire marque bien l'abandon de l'ancien maire par la direction de son parti.

Les phrases grotesques et pathétiques de Manuel Aeschlimann sur 2012, 2014, ses partisans invisibles, anonymes et silencieux qui ne rêvent que de voter de nouveau pour lui ne trompent plus personne, même pas son épouse qui évite habilement le sujet et, ainsi, « OUBLIE » de défendre son propre mari condamné!

Elle imite en cela l'attitude des frères Guérini à Marseille: « lui, c'est lui, moi, c'est moi »

Comme dit le dicton populaire d'Asnières: « qui ne dit mot consent....au jugement »!



Marylise Dipusu


Chapitre 402 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008