samedi 19 décembre 2009

Asnières sur Seine: mensonges de Philippe Courroye et trahisons à l'UMP?



Ci-dessus les photos, en haut, de Nicolas Cellupica, le moqué, et, en bas, de Thierry Le Gac, le moqueur. S'il est vrai que les deux sont membres du même parti, l'UMP, il est évident que le directeur de publication du site de l'UMP asnièroise ne porte pas en grande estime le militant UMP pro-Aeschlimann Nicolas Cellupica. L'article plus bas vous explique tout sur ce duo pathétique.


Pendant ce temps, les efforts de Philippe Courroye afin de protéger de la Justice Manuel Aeschlimann, toujours député, échouent piteusement et se retournent en boomerang contre le Procureur de Nanterre, qui apparaît désormais comme un menteur qui a totalement affabulé sur des déclarations qu'il prêtait publiquement à Sébastien Pietrasanta, ceci dans le but de nuire à une éminente et respectée Juge de siège du TGI de Nanterre.


Décidément, soutenir, aider, protéger Manuel Aeschlimann, député UMP en sursis judiciaire, nécessite les mensonges, une arme bien dangereuse dans la vie publique et démocratique, qui se retourne contre leurs auteurs et leur protégé.


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Philippe Courroye a-t-il menti à la Justice afin de protéger Manuel Aeschlimann? Sébastien Pietrasanta dément les propos que lui prête devant la Justice Philippe Courroye


Finalement, avec 3 jours de retard, Sébastien Pietrasanta a fait connaître publiquement son démenti écrit, niant fermement les propos que Philippe Courroye, Procureur de la République près du TGI de Nanterre, lui attribuait dans une lettre publique adressée à la Présidente du TGI de Nanterre, Madame ARENS.


Lien: http://asnieroislibere.blogspot.com/2009/12/asnieres-sur-seine-de-lunicite-la.html

en fin d'article sous la rubrique « dernière minute ».


C'est un cinglant camouflet en forme de désaveu pour Philippe Courroye, ce Procureur qui semble atteint d'une brutale myopie quand des délits lui sont signalés sur la gestion passée de la Ville d'Asnières et qui ose, de plus, appeler le maire d'Asnières quand...il apprend par son Parquet que la commune a cité directement Manuel Aeschlimann à comparaître!!!.....


C'est aussi une défaite marquante pour les derniers appuis politico-judiciaires de Manuel Aeschlimann: pour essayer de protéger celui-ci de répondre de ses actes devant la Justice, il aura fallu à Philippe Courroye user de mensonges qui, maintenant, apparaissent en public! Tout un symbole.


Voilà qui fera plaisir à la défense de Bernard Loth, qui aura compris que les amis de son ancien patron ne le soutiennent pas ou plus, mais essaient seulement de sauver le « soldat Aeschlimann », en vain!!! D'autant que l'audience du 14 janvier 2009 se rapproche, audience qui risque fort de voir Manuel Aeschlimann rejoindre les accusés retenus par Philippe Courroye!


Rappelons que Manuel Aeschlimann s'appuyait le 2 décembre 2009, auprès de l'AFP, sur la position du parquet pour s'indigner d'être poursuivi: « Dans cette affaire, le parquet lui-même a considéré qu'aucune charge ne justifiait mon renvoi", a réagi l'élu UMP ».


En clair, Manuel Aeschlimann s'appuyait sur Philippe Courroye qui, lui, essayait d'éviter à Manuel Aeschlimann d'être poursuivi pour des délits prouvés qui s'accumulaient au Parquet de Nanterre!


En quoi en effet cette citation directe par la Ville d'Asnières sur Seine concernait-elle Philippe Courroye dès lors qu'il n'avait pas « cru bon » de poursuivre Manuel Aeschlimann, au nom du Parquet de Nanterre, dans les 3 dossiers Avenance, Derichebourg-Polyurbaine et GOM-Propreté?


En voilà une bonne question sur les actes de Philippe Courroye....



Quand Thierry Le Gac, UMP, trahit Manuel Aeschlimann et Nicolas Cellupica, ses anciens « compagnons ».....et les ridiculise.


Pendant que les composantes du Grand Rassemblement pour Asnières assument enfin leurs différences dans la diversité, l'UMP asnièroise continue à se déchirer à qui mieux mieux, mais en sourdine et en coulisses.


Récemment, plusieurs rédactions de blogs asnièrois, dont la nôtre, ont été destinataires de courriels électroniques signés par un certain Thierry Le Gac dénonçant et ironisant sur Nicolas Cellupica- dernier bras droit de Manuel Aeschlimann- qui avait utilisé les services d'un site de sondages locaux- www.sondage92.fr), site détenu par une société inconnue de tous..... sauf de la "Lettre du député" UMP Manuel Aeschlimann dans laquelle elle place des encarts publicitaires!!!


Voici un extrait de texte significatif:

«Je viens de recevoir ceci, amusant, non ?

''Parce qu'il faut oser ''prendre les Asniérois pour des imbéciles » ! Cellupica sur son facebook fait référence au site de sondage animé par Alban Miconnet (membre du shadow cabinet d'AESCHLIMANN et de CELLUPICA). Site en publicité dans le journal du député ! Encore une belle manipulation ? »


Il s'agit d'un pseudo-sondage, totalement bidon, réalisé par un ami de Nicolas Cellupica et Manuel Aeschlimann, Alban MICONNET -membre du soi-disant « shadow cabinet » de Manuel Aeschlimann, sondage bidon sur le mini et confidentiel événement appelé par Cellupica « le Grenelle de l'environnement à Asnières », chacun sachant que l'environnement sur et à Asnières est....indépendant de celui de la planète!!!


Au-delà de leur ironie mordante sur les derniers partisans des époux Aeschlimann (encore que Nicolas Cellupica ne soit pas du genre à attendre trop longtemps pour prendre son envol face à la chute des époux Aeschlimann), ces envois facétieux de Thierry Le Gac montrent que l'UMP d'Asnières est en plein éparpillement-morcellement entre diverses fractions qui se livrent une lutte, certes souterraine, mais acharnée.


On saura aussi par le responsable du site UMP d'Asnières que le député Aeschlimann fait payer ses « Lettres du député » par la publicité de sociétés qui, par une heureuse coïncidence, servent la soupe- pour faire rire le public- à des encore proches du député UMP sur le déclin.... L'UMP asnièroise est une famille solidaire où tous s'aiment d'un amour sincère!


La nébuleuse des époux Aeschlimann ressemble ainsi de plus en plus à un microcosme clos qui se réduit à vue d'œil.....



Marylise Dipusu



Chapitre 235 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008