lundi 14 février 2011

Asnières sur Seine: élections, trahisons et manipulations





















































Notre iconographie du jour traitera successivement des trahisons au sein de la droite (  asnièroise pour ce qui est notre sujet), des résultats de ces trahisons à répétition qui la transforment en miettes et de la honte du candidat PS asnièrois qui n'ose pas dire aux électeurs du canton nord ses merveilleux résultats concrets dans sa lutte contre les nuisances sonores ainsi que son projet d'extension du stationnement payant, informations qui devraient mobiliser en sa faveur les électeurs.

Notre première image est donc la couverture d'une bande dessinée sur les trahisons à droite (rassurons nos lecteurs: les mêmes pratiques existent aussi à gauche, même à Asnières). 

La seconde image montre des miettes de céréales sur une nappe de table, symbolisant l'état disloqué de la droite asnièroise après 10 ans de gestion des époux Aeschlimann. L'UMP locale est dans la même situation.

La troisième image est aussi une couverture de bande dessinée qui traite de la honte en public, par exemple ce sentiment que devrait ressentir normalement un candidat qui aurait pu résoudre vite et bien de graves problèmes citoyens, mais les a aggravés et fait perdurer. Le rouge de la honte peut aussi venir au visage d'un candidat qui voudrait faire payer aux habitants de certains quartiers les rares places de stationnement qui leur restent, mais qui n'ose pas se vanter du projet qu'il porte en tant qu'élu municipal. 

Ce candidat efficace et courageux se reconnaîtra.....

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Elections cantonales dans la ville des scandales


Plus approche la date des élections cantonales de mars 2011, le tout à Asnières dans un contexte de scandales judiciaires en macération, plus les citoyens s'en désintéressent alors que les « politiques » ne pensent plus qu'à ça.

Ainsi, nous avons reçu à la rédaction des communiqués et documents électoraux de divers candidats, de tous horizons, qui souhaitaient naturellement que l'on parle d'eux, démarche bien naturelle au demeurant.

Ainsi, nous avons pu lire des textes émanant des candidats du Front de Gauche, du Front National, du PRG écologiste, du PS et de l'UMP. A ces candidats appuyés par des structures nationales se rajoutent d'autres, plus « locaux » comme Mohamed Bentebra, Ralph Bohbot et Josiane Fischer.

C'est la richesse du débat démocratique qui s'exprime ainsi.

Bien évidemment, comme blog citoyen indépendant, nous n'avons pas à prendre parti, ou même à manifester des préférences, bien inutiles ici.

Par contre, nous pouvons souligner quelques problématiques intéressantes et les analyser.

Ainsi, nous nous interrogeons sur les axes de campagne de Luc Bérard de Malavas qui est empêtré depuis 1 an dans un simple dossier de nuisances sonores qu'il n'arrive pas à résoudre, mais dont il a réussi le tour de force d'en faire à la fois un handicap dangereux pour ses ambitions et un scandale judiciaire en gestation!!!

Se présenter avec un tel bilan dans un canton dont on a essayé de lanterner, duper, puis tromper les électeurs est-il bien sage?

Autre point qui fait mal là où on appuie: le projet, bloqué jusque fin mars 2011 par le plus pur des hasards, d'extension du stationnement payant en zones résidentielles du canton, le tout en diminuant depuis 3 ans les places disponibles de stationnement.

Nous attendons donc avec impatience le tract du candidat PS sur les nuisances sonores toujours en cours APRES UN AN de tergiversations laborieuses et indiquant aux habitants de Bécon-Flachat qu'ILS SOUHAITENT l'extension d'horodateurs pour le plus grand profit de la société privée GISPARC (groupe Vinci), alors que les emplacements sont notoirement insuffisants....

De l'autre côté, seuls les époux Aeschlimann ont tenu, bien qu'aucun d'eux ne soit candidat, à s'exprimer afin d'en faire en apparence le moins possible en faveur de la candidature de Thierry Le Gac, candidat qui leur a été imposé par la direction de l'UMP 92.

Dire qu'aujourd'hui, Thierry Le Gac et Patricia Chavinier sont des amis proches des époux Aeschlimann serait mentir. Tel n'est pas le cas.

C'est dire la sincérité douteuse du soutien des époux Aeschlimann au duo Le Gac-Chavinier!

N'est-ce pas Patricia Chavinier qui a relaté à diverses personnes qu'en septembre 2006, suite à une violente altercation avec Francis Pourbagher relatée par la presse de l'époque, elle a dû aller voir Nicolas Sarkozy, alors Président du Conseil Général dont elle était une élue, pour que celui-ci INTIME à Manuel Aeschlimann l'ordre de chasser son alors directeur de cabinet, déjà à l'époque fort sulfureux, mais dont l'ex-maire ne voulait pas se séparer malgré ses frasques connues et publiques?

Les époux Aeschlimann sont de plus en plus hypocrites dans cette campagne des cantonales et jouent aux Tartuffes de vaudeville quand ils crient partout que la droite à Asnières est divisée, ce qui est vrai.

Mais qui l'a divisée par des trahisons à répétition en 2001, en 2003, en 2005, en 2006 et en 2008? Et qui sabote en sous-main la campagne de Thierry Le Gac, candidat de l'UMP?

Aussi, quand les époux Aeschlimann accusent Josiane Fischer d'être la responsable UNIQUE de cet état de fait, ils tombent dans le déni total des réalités et de leurs responsabilités propres dans cet éclatement..

Pourquoi ne jettent-ils pas la même accusation- qui peut sembler justifiée- sur des candidats comme Ralph Bohbot et Mohamed Bentebra, dont l'un au moins est directement téléguidé par eux, et ce de notoriété publique CONTRE la candidature Le Gac-Chavinier, point sur lequel nous revenons plus bas?

Et si Francis Pourbagher se présente aussi, crieront-ils aussi à la division, puisque l'intéressé est la projection directe de Manuel Aeschlimann?

Que nous diront alors les fossoyeurs-saboteurs du candidat de leur parti, le RPR, en mars 1998?

En matière de facilitation de l'échec de son propre camp politique, Manuel Aeschlimann en connaît un rayon, lui qui a tout fait en mars 1998 pour faire battre Christian Leblond au profit du PS représenté à cette époque par Dominique Riera!!!

Que Manuel Aeschlimann veuille réitérer son acte-réussie-de 1998 est son droit; qu'il essaie de détourner l'attention pendant ce temps sur autrui n'est pas très courageux, ni bien honnête.

Mais, il est vrai que l'encore député ose beaucoup de choses, comme AFFIRMER à la presse que Nicolas Sarkozy lui aurait donné des « conseils » afin de garder son siège CONTRE les souhaits de Rama Yade, une femme que le Président veut pourtant pousser en avant.....

Est-il adroit, raisonnable et intelligent pour un député UMP condamné (et qui s'est pourvu en Cassation) de faire passer le Président de la République pour le « conseiller » d'élus condamnés pour favoritisme dans des dossiers de marchés publics ?

Une chose est sûre: Manuel Aeschlimann plastronne, mais Rama Yade continue, elle, son travail d'occupation du terrain, sans répondre au député en difficulté. 

Elle sait où elle va et comment elle y arrivera, d'où sa sereine discrétion.

Elle a compris que «le  terrain asnièrois et sud-colombien » sera encore plus facile à utiliser pour ses ambitions SI MANUEL AESCHLIMANN N'EST PLUS DEPUTE, NI AVOCAT PENDANT 1 AN, SURTOUT AVANT JUIN 2012!

Nous ne sommes pas conseillers de Manuel Aeschlimann, mais cette remarque est intéressante à noter.

Dans ce sens, Manuel Aeschlimann peut se rappeler des résultats des conseils de Nicolas Sarkozy à Charles Pasqua en mairie de Neuilly en 1983, à Edouard Balladur en 1995 et à Dominique de Villepin en 2005 lors de la crise du CPE.....Les conseils apportés ont-ils été suivis d'effets positifs pour les intéressés?

Si Manuel Aeschlimann suit les conseils dont il se vante de les avoir reçus de Nicolas Sarkozy, gageons que la première bénéficiaire ne sera pas l'épouse du député, mais la carrière de Rama Yade.....


Prête-moi ta plume pour écrire un mot.....


Non, ce n'est pas une entrée en matière pour évoquer une chanson enfantine très connue, mais un titre qui nous a été inspiré par la lecture du blog de Francis Pourbagher, dont certains textes ne peuvent pas avoir été rédigés par celui qui les signe.

Tous ceux qui connaissent Francis Pourbagher savent que ses capacités d'analyse de la situation politique, internationale, nationale et locale, ne permettent pas de rédiger d'aucuns des textes qu'il publie sous son nom sur son blog.

Quand il signe des articles où coule la saveur douce-acre des tentatives de déstabilisation-manipulation contre Thierry Le Gac et Patricia Chavinier, ceux qui ont fréquenté ce personnage comprennent bien que les phrases qu'il met en ligne ont été écrites par une autre plume.

Ceux qui ont eu l'occasion d'analyser les pratiques littéraires de Manuel Aeschlimann reconnaissent bien, dans ces écrits du blog de l'ancien directeur de cabinet qui regardait ILLEGALEMENT les écrans de la vidéo-surveillance municipale, la patte culturelle du député et ses penchants pour les opérations obscures contre ceux qu'il prétend soutenir, sans rien faire de concret d'ailleurs dans ce sens.

En résumé, si quelqu'un veut savoir ce que pense, fait et prépare Manuel Aeschlimann, il dispose de deux sources fiables à quand même décrypter: le blog de l'intéressé et celui au nom de Francis Pourbagher.

Pour saboter discrètement, en cachette- sans que le vrai responsable n'apparaisse au grand jour- la campagne du candidat UMP Thierry le Gac, le blog de Francis Pourbagher est l'arme fatale camouflée, une arme de sniper politique.

Julie, notre analyste politique, livre ainsi ses réflexions fondées sur les faits:

« Manuel Aeschlimann n'est ni aimé par les amis de Jean Sarkozy, ni par les partisans de Patrick Devedjian. Il souhaite à la fois frapper Josiane Fischer qu'il déteste depuis fort longtemps et provoquer un échec cuisant de l'UMP en mars 2011 afin de démontrer que sa femme et lui sont les seules cartes de ce parti à Asnières.

Il va donc mettre de l'huile sur le feu local entre les deux clans de l'UMP 92, le clan Sarkozy et le clan Devedjian, afin de faire échouer Thierry Le Gac.

Son calcul est habile, mais il oublie que Rama Yade est en embuscade et que l'Elysée, qui a un œil sur Asnières, aura vite tiré des conclusions sur une défaite de Thierry Le Gac, mais des conclusions.... sur l'impuissance complète des époux Aeschlimann à redresser l'UMP sur la commune.

Ce qui perd d'avance les époux Aeschlimann, ce n'est pas l'habileté du mari, mais la situation générale et son contexte local. Si Thierry Le Gac l'emporte, ce qui est peu probable, c'est un coup contre Manuel Aeschlimann. S'il perd, toute l'UMP, tous clans réunis, verra la source de l'échec dans les Aeschlimann ».



Marylise Dipusu


Chapitre 414 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008




Asnières sur Seine: le maire, le traquenard et les 3 Rapports




































Notre iconographie du jour, comme il est d'usage sur ce blog citoyen qui se préoccupe d'abord des problèmes réels et urgents des habitants, sera en rapport avec l'actualité de notre commune si agitée.

Pour ne pas tomber dans un traquenard que des gens avisés lui avaient montré bien avant qu'il ne daigne comprendre qu'il était tombé dedans avec ses amis et TOUT LE PS, nous offrons au maire aveugle et sourd aux réalités communes la couverture du Code des Marchés Publics, que visiblement, il n'a pas bien lu.

Dessous ce Code qui intéresse les maires honnêtes et compétents, nous lui présentons le titre et la couverture d'un livre de bandes dessinées sur les traquenards, qui, lorsque la victime est dedans, se referment sur elle à grande vitesse.

Enfin, puisque le maire d'Asnières ose donner à des habitants de la commune des Rapports incomplets, donc faux, mais sous le tampon de la Ville et du groupe VERITAS, l'affiche de ce film évoquant les FAUX RAPPORTS lui montrera peut-être la gravité de sa position juridique à ce jour: diffuser un faux administratif en toute connaissance de cause est un délit pénal, aggravé pour un élu.

A Sébastien Pietrasanta de réfléchir à la manière, saine, utile et féconde, de respecter les lois, les marchés publics....et les citoyens!

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Régie de quartier: Sébastien Pietrasanta dans un traquenard judiciaire


Ce n'est pas faute de l'avoir prévenu, mais un maire souvent n'écoute que lui-même.

On a là une des faces sombres du « syndrome des politiciens professionnels » qui croient tous, chacun de son côté, être les plus fins stratèges du monde, ce qui finit par les perdre tant ils sont convaincus chacun de leur génie propre invincible.

Sébastien Pietrasanta est donc entré dans des turbulences graves à VOCATION JUDICIAIRE PENALE que tout être pensant et connaissant un peu Manuel Aeschlimann pouvait lui annoncer depuis longtemps tant la chose était évidente.

Ce que nous avons fait avec d'autres, sans que le maire et son cabinet n'écoutent un instant.....

Patiemment, sur la question de l'absence fautive d'appels d'offres pour les marchés publics de la régie de quartier, Manuel Aeschlimann a tendu sa toile et préparé calmement son piège.

Refusant d'écouter la vérité et de voir la réalité, le maire issu du vote populaire du 16 mars 2008 contre le système Aeschlimann, un maire qui devient de plus en plus sourd et aveugle à qui ne l'encense pas ou ne loue pas ses qualités ainsi que sa gestion, vient de glisser dans un traquenard très habilement monté, un traquenard qui le met dorénavant à la merci judiciaire et politique du battu du 16 mars 2008!!!

Bien sûr, Manuel Aeschlimann, qui ne cesse, même entouré par les « affaires » et les trahisons, d'agir pour détruire cette municipalité, va s'empresser maintenant de soumettre au Préfet les actes illégaux de Sébastien Pietrasanta dans la gestion de la Régie de quartier, mais il entend aussi porter le dossier en Justice, tout en informant largement la population de ces actes pour le moins douteux puisque pénalement répréhensibles.

Sébastien Pietrasanta pourra certes expliquer que ces dépenses étaient pour l'aide à des populations défavorisées, ce qui est juste en soi, il n'en restera pas moins qu'il a commis UNE FAUTE PENALEMENT REPREHENSIBLE!

En arrière-plan de cette affaire est visé aussi l'élu PS Feliciano Gomez, qui risque donc aussi de se retrouver devant les juges pour sa gestion de cette Régie de quartier. Il faut dire que cet élu sympathique et cultivé, brillant et intelligent, s'enfonce depuis quelques temps dans un dangereux manichéisme, au point de ne pas comprendre que les habitants d'Asnières ont besoin urgemment de places de stationnement gratuites, et non d'une extension de stationnement payant qui ne résout rien en pénalisant financièrement les habitants.....

Le suivisme, en Régie de quartier comme dans les décisions stupides et contraires aux intérêts collectifs, peut mener vite au désastre. Mais y-a-t-il dans cette majorité au garde à vous devant les décisions déraisonnables du maire et de son cabinet un seul Cassandre capable de dire tout haut: « mais, ainsi, nous courons TOUS au désastre ».

En effet, le piège de Manuel Aeschlimann est encore plus dangereux que ces seules premières apparences peuvent le laisser penser: avec cette affaire, il enfonce un coin dislocateur dans la majorité de Sébastien Pietrasanta, en sachant qu'il est des élus dans cette majorité prêts à TOUS LES RENIEMENTS pour avoir et/ou garder un mandat public, ce que les langues populaires nomment aussi « fromages électifs ».

En laissant planer la menace manifeste de traîner le maire de la commune devant la Justice pénale pour non-respect des obligations d'ordre public concernant les appels d'offre en vue des marchés publics, Manuel Aeschlimann tient aussi une arme politique à double ressort:

  1. le scandale politique, cette fois-ci tourné contre Sébastien Pietrasanta et le Parti Socialiste.
  2. Et, à travers ce scandale et ses conséquences judiciaires possibles, il entend bien provoquer des rapprochements d'élus de la majorité actuelle dont les « convictions » sont essentiellement fondées sur l'attrait pour des postes rémunérés, sans oublier les commissions administratives diverses, les conseils d'administration, les syndicats de services publics délégués, et autres profitables fauteuils pour élus de l'exécutif municipal.

Le spectacle de cette municipalité qui ne sait pas où elle va, qui agit sans réflexion, parfois comme dans le cas de la Régie de quartier sans le moindre discernement juridique, est consternant.

On y retrouve, en grattant la surface lisse apparente et en laissant de côté les discours creux pour personnes crédules, les mêmes tares et les mêmes dérives que sous le système Aeschlimann!

Car, soyons clairs ici: seuls des naïfs niais peuvent ignorer que, dans le dossier des appels d'offre non-faits, en infraction au Code des marchés publics, de la Régie de quartier, Manuel Aeschlimann suspecte et va faire suspecter un délit de favoritisme caractérisé à but politique partisan.

En un mot, c'est le PS comme parti qui est ainsi visé.

Ainsi, Manuel Aeschliman, très habilement, il faut le dire avec objectivité, peut se faire apprécier de nouveau de la direction de l'UMP en créant un scandale qui pourra frapper TOUT LE PS à près d'un an des élections nationales, présidentielles et législatives!

C'est dire si le troisième anniversaire du 16 mars 2008 risque de tourner à la catastrophe pour Sébastien Pietrasanta qui fait ici preuve d'une perte ahurissante de sens commun politique.

Tandis que l'un de ses élus, que nous n'aurons pas la cruauté morale de nommer ici, a déjà pris attache avec Manuel Aeschlimann pour se garantir, à lui, une porte de sortie conforme à ses propres intérêts au cas où Sébastien Pietrasanta soit mis en examen et jugé, éventuellement en citation directe.....

A force d'accumuler fautes, dérives, mensonges et erreurs qui ne peuvent que surprendre pour un maire et dresser contre lui les habitants, voire l'opinion publique nationale que les pratiques illégales révoltent à juste titre, Sébastien Pietrasanta coupe lui-même la branche sur laquelle il est assis et se jette dans les ennuis sans les mesurer.


VERITAS et mairie d'Asnières: DE POSSIBLES FAUX en écriture administrative PUBLIQUE peuvent aussi faire très mal


Sébastien Pietrasanta est entré dans une période troublé qui peut lui apporter de nombreux ennuis. Il est inquiétant qu'il ne s'en rende pas compte....

Alors qu'il vient de se faire piéger de manière adroite par Manuel Aeschlimann sur l'affaire de la Régie de quartier qui ne passait pas d'appels d'offre pour les marchés publics, il accumule avec les habitants des bêtises dont on a peine à croire qu'un élu soit assez « léger » pour commettre de telles bévues.

Rappelons les faits, car la Justice devrait bientôt être saisi de ce dossier:

En juin 2010, le groupe VERITAS, assermenté et homologué par la Justice de la République, rend à la mairie d'Asnières AU MOINS TROIS RAPPORTS SUCCESSIFS INCOMPLETS et visiblement problématiques sur les nuisances sonores frappant les riverains du stade Magenta.

A ce jour, en effet, AU MOINS 3 Rapports successifs ont été avérés, tous incomplets!

Aucun de ces rapports ne répond entièrement aux demandes techniques de la mairie et aux obligations légales de VERITAS comme groupe assermenté!!

La mairie a accepté ces 3 Rapports incomplets sans discuter, bien qu'incomplets et ne répondant pas à toutes ses exigences!!!!!!

En novembre 2010, visiblement afin de se couvrir par une réponse gouvernementale, Sébastien Pietrasanta écrit une lettre au Ministère de l'Environnement (lettre dont la teneur n'a pas été communiquée) et reçoit la réponse en décembre 2010.

Le 31 janvier 2011, le maire donne UN DES RAPPORTS aux riverains excédés, lors d'une réunion à laquelle ne participe CURIEUSEMENT AUCUN technicien ou expert de VERITAS!

Aujourd'hui, avec la loi et la logique des faits en leur faveur, les riverains envisagent de porter plainte contre VERITAS pour CES 3 RAPPORTS INCOMPLETS car ils ne satisfont pas aux obligations LEGALES de VERITAS.

Si une telle action est engagée, les riverains entendent demander à la mairie de se constituer partie civile avec eux contre VERITAS puisque ces rapports ne répondent pas aux exigences contractuelles énoncées par la mairie.

Or, dans ce dossier, soit VERITAS a abusé la mairie, soit la mairie a accepté, voire a demandé ces 3 Rapports incomplets. Sinon, en effet, l'existence de ces 3 Rapports n'aurait aucun sens.

La plainte judiciaire permettrait de tirer au clair cette affaire où le maire ne semble pas avoir bien compris la gravité des faits, et surtout le bourbier dans lequel sa stratégie peu fine vient de l'enfermer.

Comme avec la Régie de quartier......., mais, là, il s'agit de son mépris ouvert des riverains de tout un quartier, habitants décidés à obtenir le respect des lois environnementales et de leur droit à vivre en paix chez eux.

A force de créer des foyers d'incendie, comme son prédécesseur, Sébastien Pietrasanta risque bien de connaître la même fin rapide de carrière politique.

Tout aujourd'hui concourt en ce sens. Et ce ne sont pas des élus serviles qui ne le mettent jamais en garde contre les dangers de ses actes, qui vont empêcher cette issue. Bien au contraire.....



Marylise Dipusu


Chapitre 413 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008