lundi 14 février 2011

Asnières sur Seine: le maire, le traquenard et les 3 Rapports




































Notre iconographie du jour, comme il est d'usage sur ce blog citoyen qui se préoccupe d'abord des problèmes réels et urgents des habitants, sera en rapport avec l'actualité de notre commune si agitée.

Pour ne pas tomber dans un traquenard que des gens avisés lui avaient montré bien avant qu'il ne daigne comprendre qu'il était tombé dedans avec ses amis et TOUT LE PS, nous offrons au maire aveugle et sourd aux réalités communes la couverture du Code des Marchés Publics, que visiblement, il n'a pas bien lu.

Dessous ce Code qui intéresse les maires honnêtes et compétents, nous lui présentons le titre et la couverture d'un livre de bandes dessinées sur les traquenards, qui, lorsque la victime est dedans, se referment sur elle à grande vitesse.

Enfin, puisque le maire d'Asnières ose donner à des habitants de la commune des Rapports incomplets, donc faux, mais sous le tampon de la Ville et du groupe VERITAS, l'affiche de ce film évoquant les FAUX RAPPORTS lui montrera peut-être la gravité de sa position juridique à ce jour: diffuser un faux administratif en toute connaissance de cause est un délit pénal, aggravé pour un élu.

A Sébastien Pietrasanta de réfléchir à la manière, saine, utile et féconde, de respecter les lois, les marchés publics....et les citoyens!

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Régie de quartier: Sébastien Pietrasanta dans un traquenard judiciaire


Ce n'est pas faute de l'avoir prévenu, mais un maire souvent n'écoute que lui-même.

On a là une des faces sombres du « syndrome des politiciens professionnels » qui croient tous, chacun de son côté, être les plus fins stratèges du monde, ce qui finit par les perdre tant ils sont convaincus chacun de leur génie propre invincible.

Sébastien Pietrasanta est donc entré dans des turbulences graves à VOCATION JUDICIAIRE PENALE que tout être pensant et connaissant un peu Manuel Aeschlimann pouvait lui annoncer depuis longtemps tant la chose était évidente.

Ce que nous avons fait avec d'autres, sans que le maire et son cabinet n'écoutent un instant.....

Patiemment, sur la question de l'absence fautive d'appels d'offres pour les marchés publics de la régie de quartier, Manuel Aeschlimann a tendu sa toile et préparé calmement son piège.

Refusant d'écouter la vérité et de voir la réalité, le maire issu du vote populaire du 16 mars 2008 contre le système Aeschlimann, un maire qui devient de plus en plus sourd et aveugle à qui ne l'encense pas ou ne loue pas ses qualités ainsi que sa gestion, vient de glisser dans un traquenard très habilement monté, un traquenard qui le met dorénavant à la merci judiciaire et politique du battu du 16 mars 2008!!!

Bien sûr, Manuel Aeschlimann, qui ne cesse, même entouré par les « affaires » et les trahisons, d'agir pour détruire cette municipalité, va s'empresser maintenant de soumettre au Préfet les actes illégaux de Sébastien Pietrasanta dans la gestion de la Régie de quartier, mais il entend aussi porter le dossier en Justice, tout en informant largement la population de ces actes pour le moins douteux puisque pénalement répréhensibles.

Sébastien Pietrasanta pourra certes expliquer que ces dépenses étaient pour l'aide à des populations défavorisées, ce qui est juste en soi, il n'en restera pas moins qu'il a commis UNE FAUTE PENALEMENT REPREHENSIBLE!

En arrière-plan de cette affaire est visé aussi l'élu PS Feliciano Gomez, qui risque donc aussi de se retrouver devant les juges pour sa gestion de cette Régie de quartier. Il faut dire que cet élu sympathique et cultivé, brillant et intelligent, s'enfonce depuis quelques temps dans un dangereux manichéisme, au point de ne pas comprendre que les habitants d'Asnières ont besoin urgemment de places de stationnement gratuites, et non d'une extension de stationnement payant qui ne résout rien en pénalisant financièrement les habitants.....

Le suivisme, en Régie de quartier comme dans les décisions stupides et contraires aux intérêts collectifs, peut mener vite au désastre. Mais y-a-t-il dans cette majorité au garde à vous devant les décisions déraisonnables du maire et de son cabinet un seul Cassandre capable de dire tout haut: « mais, ainsi, nous courons TOUS au désastre ».

En effet, le piège de Manuel Aeschlimann est encore plus dangereux que ces seules premières apparences peuvent le laisser penser: avec cette affaire, il enfonce un coin dislocateur dans la majorité de Sébastien Pietrasanta, en sachant qu'il est des élus dans cette majorité prêts à TOUS LES RENIEMENTS pour avoir et/ou garder un mandat public, ce que les langues populaires nomment aussi « fromages électifs ».

En laissant planer la menace manifeste de traîner le maire de la commune devant la Justice pénale pour non-respect des obligations d'ordre public concernant les appels d'offre en vue des marchés publics, Manuel Aeschlimann tient aussi une arme politique à double ressort:

  1. le scandale politique, cette fois-ci tourné contre Sébastien Pietrasanta et le Parti Socialiste.
  2. Et, à travers ce scandale et ses conséquences judiciaires possibles, il entend bien provoquer des rapprochements d'élus de la majorité actuelle dont les « convictions » sont essentiellement fondées sur l'attrait pour des postes rémunérés, sans oublier les commissions administratives diverses, les conseils d'administration, les syndicats de services publics délégués, et autres profitables fauteuils pour élus de l'exécutif municipal.

Le spectacle de cette municipalité qui ne sait pas où elle va, qui agit sans réflexion, parfois comme dans le cas de la Régie de quartier sans le moindre discernement juridique, est consternant.

On y retrouve, en grattant la surface lisse apparente et en laissant de côté les discours creux pour personnes crédules, les mêmes tares et les mêmes dérives que sous le système Aeschlimann!

Car, soyons clairs ici: seuls des naïfs niais peuvent ignorer que, dans le dossier des appels d'offre non-faits, en infraction au Code des marchés publics, de la Régie de quartier, Manuel Aeschlimann suspecte et va faire suspecter un délit de favoritisme caractérisé à but politique partisan.

En un mot, c'est le PS comme parti qui est ainsi visé.

Ainsi, Manuel Aeschliman, très habilement, il faut le dire avec objectivité, peut se faire apprécier de nouveau de la direction de l'UMP en créant un scandale qui pourra frapper TOUT LE PS à près d'un an des élections nationales, présidentielles et législatives!

C'est dire si le troisième anniversaire du 16 mars 2008 risque de tourner à la catastrophe pour Sébastien Pietrasanta qui fait ici preuve d'une perte ahurissante de sens commun politique.

Tandis que l'un de ses élus, que nous n'aurons pas la cruauté morale de nommer ici, a déjà pris attache avec Manuel Aeschlimann pour se garantir, à lui, une porte de sortie conforme à ses propres intérêts au cas où Sébastien Pietrasanta soit mis en examen et jugé, éventuellement en citation directe.....

A force d'accumuler fautes, dérives, mensonges et erreurs qui ne peuvent que surprendre pour un maire et dresser contre lui les habitants, voire l'opinion publique nationale que les pratiques illégales révoltent à juste titre, Sébastien Pietrasanta coupe lui-même la branche sur laquelle il est assis et se jette dans les ennuis sans les mesurer.


VERITAS et mairie d'Asnières: DE POSSIBLES FAUX en écriture administrative PUBLIQUE peuvent aussi faire très mal


Sébastien Pietrasanta est entré dans une période troublé qui peut lui apporter de nombreux ennuis. Il est inquiétant qu'il ne s'en rende pas compte....

Alors qu'il vient de se faire piéger de manière adroite par Manuel Aeschlimann sur l'affaire de la Régie de quartier qui ne passait pas d'appels d'offre pour les marchés publics, il accumule avec les habitants des bêtises dont on a peine à croire qu'un élu soit assez « léger » pour commettre de telles bévues.

Rappelons les faits, car la Justice devrait bientôt être saisi de ce dossier:

En juin 2010, le groupe VERITAS, assermenté et homologué par la Justice de la République, rend à la mairie d'Asnières AU MOINS TROIS RAPPORTS SUCCESSIFS INCOMPLETS et visiblement problématiques sur les nuisances sonores frappant les riverains du stade Magenta.

A ce jour, en effet, AU MOINS 3 Rapports successifs ont été avérés, tous incomplets!

Aucun de ces rapports ne répond entièrement aux demandes techniques de la mairie et aux obligations légales de VERITAS comme groupe assermenté!!

La mairie a accepté ces 3 Rapports incomplets sans discuter, bien qu'incomplets et ne répondant pas à toutes ses exigences!!!!!!

En novembre 2010, visiblement afin de se couvrir par une réponse gouvernementale, Sébastien Pietrasanta écrit une lettre au Ministère de l'Environnement (lettre dont la teneur n'a pas été communiquée) et reçoit la réponse en décembre 2010.

Le 31 janvier 2011, le maire donne UN DES RAPPORTS aux riverains excédés, lors d'une réunion à laquelle ne participe CURIEUSEMENT AUCUN technicien ou expert de VERITAS!

Aujourd'hui, avec la loi et la logique des faits en leur faveur, les riverains envisagent de porter plainte contre VERITAS pour CES 3 RAPPORTS INCOMPLETS car ils ne satisfont pas aux obligations LEGALES de VERITAS.

Si une telle action est engagée, les riverains entendent demander à la mairie de se constituer partie civile avec eux contre VERITAS puisque ces rapports ne répondent pas aux exigences contractuelles énoncées par la mairie.

Or, dans ce dossier, soit VERITAS a abusé la mairie, soit la mairie a accepté, voire a demandé ces 3 Rapports incomplets. Sinon, en effet, l'existence de ces 3 Rapports n'aurait aucun sens.

La plainte judiciaire permettrait de tirer au clair cette affaire où le maire ne semble pas avoir bien compris la gravité des faits, et surtout le bourbier dans lequel sa stratégie peu fine vient de l'enfermer.

Comme avec la Régie de quartier......., mais, là, il s'agit de son mépris ouvert des riverains de tout un quartier, habitants décidés à obtenir le respect des lois environnementales et de leur droit à vivre en paix chez eux.

A force de créer des foyers d'incendie, comme son prédécesseur, Sébastien Pietrasanta risque bien de connaître la même fin rapide de carrière politique.

Tout aujourd'hui concourt en ce sens. Et ce ne sont pas des élus serviles qui ne le mettent jamais en garde contre les dangers de ses actes, qui vont empêcher cette issue. Bien au contraire.....



Marylise Dipusu


Chapitre 413 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008





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