jeudi 27 mai 2010

Asnières sur Seine: Sébastien Pietrasanta face à ses dérives




Ci-dessus, la table qui, selon l'indication qu'on y lit, devrait être le lieu de réunion de Sébastien Pietrasanta et des membres de son cabinet, apparemment peu doués dans l'art de mentir aux citoyens et aux médias. Nous apportons ici la preuve IRREFUTABLE d'un mensonge incroyable du maire actuel d'Asnières sur la date de la jurisprudence administrative relative aux droits d'expression des élus d'opposition dans les villes de + de 3500 habitants.


En-dessous, la photo qui a symbolisé le caractère pluraliste et démocratique des élus issus du vote populaire du 16 mars 2008, caractère fondamental de la majorité actuelle que foulent aux pieds chaque jour Sébastien Pietrasanta et son cabinet incapables de respecter les principes démocratiques pour lesquels et sur lesquels ils ont été élus.


Il y a urgence à ce que cesse ce jeu auto-destructeur qui menace maintenant directement la stabilité de la vie publique municipale.

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L'image de démocrate de Sébastien Pietrasanta de plus en plus écornée



Une liste politique diverse et unie a été élue le 16 mars 2008 pour restaurer et revivifier la démocratie dans la commune d'Asnières sur Seine.


26 mois plus tard, Sébastien Pietrasanta, maire issu de la majorité municipale pluraliste à trois têtes, se retrouve avec une aura d'apprenti autocrate qui commence à coller fortement à son nom et une condamnation pour pratiques anti-démocratiques!


Celle qui est ainsi condamnée par la Justice n'est pas la seule qui peut lui être reprochée. Malheureusement....


Le 11 mai 2010, il avait organisé, avec son cabinet, le rejet, sous forme de purge politique anti-démocratique, de 3 maires-adjoints ayant voté contre un projet de budget en leur âme et conscience. Première atteinte inexcusable contre les principes démocratiques!


Le 27 mai 2010, le Tribunal Administratif de Versailles condamne la mairie d'Asnières sur Seine que Sébastien Pietrasanta DIRIGE depuis le 22 mars 2008 pour manquement au respect de l'expression des droits démocratiques des oppositions dans le Conseil Municipal. Deuxième atteinte inexcusable contre les principes démocratiques!


La dépêche AFP ci-dessous souligne le manque de démocratie de Sébastien Pietrasanta tout en rappelant AU PASSAGE les ennuis judiciaires de Manuel Aeschlimann.


http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jlfTU3WeO3KHdgS0cLaKcruW9TZQ


Cependant, dans sa réponse à l'AFP, Sébastien Pietrasanta commet un mensonge pathétique sur la date de la décision de la Cour d'Appel Administrative de Versailles qui a constitué la jurisprudence en matière de droit d'expression des élus municipaux d'opposition dans les communes de + de 3500 habitants.


Nous en apportons la preuve par ce lien juridique que tout le monde peut consulter pour constater le mensonge déraisonnable de Sébastien Pietrasanta sur le sujet:


http://carrefourlocal.senat.fr/vie_locale/cas_pratiques/droit_expression_conseillers_municipaux1/index.html


Dans ce texte officiel du Sénat, la date de la décision jurisprudentielle en question est donnée: c'est le 22 mars 2007!


Soit exactement un an jour pour jour avant l'élection de Sébastien Pietrasanta comme maire le 22 mars 2008!!!


Il ne pouvait donc ignorer, comme les avocats de la Ville, cette jurisprudence renforcée par le texte sénatorial précité: la défense de sa bonne foi présumée dans cette affaire tombe en miettes de ce fait.


Nous l'avions prédit sur ce blog après le 11 mai 2010: Sébastien Pietrasanta a cru intelligent de renier et détruire les bases de sa majorité municipale pluraliste et unie avec ses différences afin de s'assurer de son siège de maire. Nous avions dit que c'était un choix très dangereux.


Les évènements nous ont vite, malheureusement, donné logiquement raison.


Le résultat réel apparaît déjà: Sébastien Pietrasanta perd, comme maire, des procès qui n'auraient pas dû avoir lieu s'il avait été conscient du droit en vigueur et de ses devoirs républicains, il affaiblit sans cesse sa majorité, il perd sa crédibilité publique, il ridiculise de nouveau la ville, il aide objectivement Marie-Dominique Aeschlimann à se doter d'une aura imméritée de démocrate, il redore le blason ruinée de Manuel Aeschlimann et s'isole toujours plus des citoyens.


Croyant fortifier sa position de maire, il ne travaille ainsi qu'à la détruire avec une inquiétante ardeur et une grande inconscience que son mensonge ahurissant sur la date de la décision ayant fait jurisprudence démontre aux yeux de tous.


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Jean Sarkozy et Asnières: la presse confirme l'analyse d'Asnières Nouvelles Citoyennes



Le journal gratuit « 20 minutes » a publié un article sur le devenir politique de Jean Sarkozy qui se termine par ces mots: « Dans tous les cas, ce sera très difficile pour lui désormais»



http://www.20minutes.fr/article/407408/Politique-Apres-l-Epad-Jean-Sarkozy-sur-la-defensive.php


Nos lecteurs noteront avec intérêt que les analyses des observateurs et des politiques données sur l'avenir de Jean Sarkozy confirment totalement, au moins pour ses possibles vues sur le siège de député d'Asnières, notre article récent:



http://asnieroislibere.blogspot.com/2010/05/asnieres-sur-seine-elections-attention.html



Apparemment, Asnières Nouvelles Citoyennes est dans le vrai sur ce sujet aussi. Il est aussi exact que nos argumentations sont fondées sur des faits incontestables.





Marylise Dipusu



Chapitre 296 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008





Asnières sur Seine: brèves nouvelles citoyennes





Ci-dessus, un dessin humoristique qui montre bien que, pour certains, un blog ou un site internet est un concept tourné exclusivement vers eux-mêmes et non vers l'intérêt public. A Asnières sur Seine, cette dérive égotiste est très marquée chez les politiques ou ceux qui veulent entrer dans ce groupe d'un genre un peu particulier.


La règle sociale veut que plus un blog est centré sur un seul individu, plus il tourne le dos aux intérêts collectifs. Comme dit un dicton assyrien très ancien: " un homme ne peut servir deux maîtres à la fois". Dont acte.


En-dessous de ce dessin satirique, une image du plus ignoré des grands humoristes asnièrois, Francis Raminé Pourbagher, en train d'évoquer ses liens personnels forts avec le régime dictatorial iranien, en 2005. Maintenant, en 2010, il parle de ses relations avec Charles Pasqua.... Il n'est pas sûr que Charles Pasqua, qui a d'autres chats à fouetter, apprécie le soutien que notre drôle de concitoyen lui apporte!


Heureusement, pour le rire citoyen, nous avons trouvé un texte ahurissant du frère de Francis Raminé Pourbagher, François Babak Pourbagher, mais un texte que nous décommandons de mettre en application en médecine, même pour produire des vaccins. Dans l'humour excentrique et décalé, les deux frères vérifient bien leur fraternité.


Cela ne nous empêche pas d'évoquer aussi les éventuels projets du maire contre le personnel communal. Le maire a toute latitude pour rassurer les agents municipaux ou, au contraire, les dresser contre lui, ainsi que les commerçants du secteur habillement....

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Francis Raminé Pourbagher: clown ou clone?



Ex-UDF passé à l'UMP, ex-candidat balayé à Gennevilliers, ex-directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann chassé avec fracas, ex- héros d'une émission de ta télévision d'Etat iranienne à sa petite gloire, Francis Raminé Pourbagher est EX par définition et par ambition.


Voilà maintenant que, comme un Zorro arrivant en retard ou un carabinier italien qui se réveille d'une longue sieste, il vole, il court, il accourt au secours de Charles Pasqua qui sombre dans le néant politique et les condamnations pénales à répétition, ceci sur son blog qui n'est lu..... que par les amoureux de l'humour perçant et décapant de son auteur.


A ce niveau de tartufferie qui fait rire tous ceux qui suivent en souriant sa saga pitoyable et ridicule, le citoyen observateur hésite entre qualifier cet homme ex-tout de clown pathétique ou de clone hilarant.


Car l'ex-metteur en scène de l'affaire Irasnières est aussi un comique ignoré: il soutient Charles Pasqua quand celui-ci, qui ne lui demande rien, quitte la vie publique dans la honte et le rejet.


Plus ridicule encore, Francis Raminé Pourbagher suscite l'hilarité générale en indiquant qu'il entend....suivre le chemin du multi-condamné Pasqua!!!


Il est vrai que l'auteur de cette auto-dérisoire sortie porte sur ses épaules plusieurs condamnations successives, ce qui semble le rapprocher effectivement de Charles Pasqua.


Francis Raminé Pourbagher essaie-t-il de démontrer qu'il peut être à la fois un clown de la vie publique et le clone d'un homme public en perdition?


Si tel était son souhait, il gagne ici sur les deux tableaux: soutenir un passé unanimement et lourdement condamné en affirmant désirer l'imiter est une démonstration clairvoyante d'un talent clinquant de perdant permanent qui ironise ainsi sur ses propres déboires actuels et à venir.


PS: le frère de Francis Raminé Pourbagher, FRANCOIS BABAK POURBAGHER, est aussi un humoriste des sciences naturelles comme le démontre ce lien où on notera la précision des faits, le sérieux de la réflexion et la rigueur intellectuelle la plus stricte:


http://vaccin-islamique.blogspot.com/2009/11/vaccin-islamique-coutumes-et.html


Ce texte est une découverte de la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes qui peut faire rire beaucoup. Ici, l'excès d'âneries ne nuit pas à l'excès de rire.


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Sébastien Pietrasanta contre les acquis sociaux du personnel communal, mais pas contre ceux de son cabinet?



Les lectrices et lecteurs d'Asnières Nouvelles Citoyennes sont des citoyens attentifs aux choses qui intéressent la vie collective dans la commune.


Ainsi nous avons reçu un message, passé en commentaire transféré à la suite du chapitre précédent, qui tendrait à indiquer que le maire et son très coûteux autant que grand cabinet, voudraient supprimer des acquis sociaux du personnel communal.


Selon cette information que nous mettons pour l'heure au conditionnel, dans le silence complet de la mairie sur ce point, il serait question de revenir sur sur le temps et l'organisation du travail des agents municipaux ainsi que de supprimer des indemnités attribuées aux agents, appelées « bons vêtements », le tout lors d'un accord global proposé aux syndicats juste avant les congés d'été, comme la concertation sur le projet de parking public en centre ville!


Notre conclusion provisoire sur cette information qui nécessite d'être confirmée: si ces faits étaient avérés, nul doute que Sébastien Pietrasanta pourrait d'abord chercher des économies en réduisant son cabinet, donc le coût de ce dernier pour les finances communales, d'autant que son temps de travail effectif au service de la population n'a pas encore été évalué par une quelconque étude objective, sérieuse et indépendante.


A noter que les « bons-vêtements » du personnel communal sont de facto une aide directe au commerce asnièrois du secteur habillement. En réduisant ce poste de dépenses pour le personnel, le maire frapperait aussi les commerces concernés, donc l'économie locale.


Serait-ce bien raisonnable d'affaiblir plus l'économie de la ville?


Dossier à suivre.....




Marylise Dipusu



Chapitre 295 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008