jeudi 29 mars 2012

SCOOP sur une « réunion d'appartement » des époux Aeschlimann




























Ci-dessus, une affiche de film marquant des années 1980 et qui peut se rattacher à ce que nous relatons plus bas. A Asnières, le titre aurait peut-être été plus clair: "venez nous voir, nous sommes chez vos amis et vous ne le savez pas".

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Comme tout un chacun le sait depuis longtemps, la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes appuie ses informations sur un réseau de citoyens bénévoles attachés, comme nous, à la démocratie, à la République et à ses principes fondateurs.

C'est donc avec intérêt que nous avons reçu de correspondants de notre réseau des informations très précises sur la manière dont a été organisée une réunion d'appartement dont se vantent les époux Aeschlimann.), sans donner de chiffres précis.

Récemment, un citoyen connu d'Asnières, profession libérale, appelons-le Monsieur M (comme la patronne du célèbre James Bond), ayant par ailleurs de légitimes ambitions politiques depuis longtemps sur la commune lance, avec son épouse, des invitations à venir dîner chez lui un soir de la semaine.

Ses relations amicales, charmées par cette invite sympathique, se rendent donc le soir dit au domicile du couple, et, là , surprise, découvrent que sont aussi présents les époux Aeschlimann, présence dont leur hôte ne les avait pas (tous) informés.

La soirée ne fut pas, disons-le franchement, un grand succès pour les époux Aeschlimann qui eurent à affronter des critiques virulentes et des remarques dures autant que méritées qui ne les ont pas rassurés sur le soutien des invités à leur cause.

Selon le récit qui nous a été fait de cette étrange soirée, on peut donc tirer comme première conclusion que, au moins dans ce cas précis, les personnes participantes étaient là pour autre chose qu'une réunion avec les époux Aeschlimann, et que cette manière de faire, assez cavalière, les a beaucoup choqués.

Mais, nous en tirons une autre conclusion, toute aussi édifiante : cette information sur cette réunion-piège, si on nous passe l'expression imagée, démontre bien que les époux Aeschlimann ne peuvent plus compter dans la ville sur un vrai réseau militant capable de mobiliser des citoyens volontairement pour écouter leur parole.

Nous ne savons pas si toutes les réunions dont ils parlent peu du contenu et du nombre de participants, autre signe indicatif de leur isolement croissant, ont toutes ou en partie été organisées de la même manière.

Mais, ce qui est sûr, est que le peu de sympathie populaire à l'égard des époux Aeschlimann les a obligés, dans ce cas, à jouer aux coucous qui s'invitent dans une soirée prévue et privée entre amis.

Morale de cette histoire: l'hôte invitant a pu vérifier que les époux Aeschlimann n'avaient plus beaucoup de partisans. Il ne lancera pas d'autres invitations de ce style. Encore un soutien en moins pour les époux Aeschlimann....

Les signes précurseurs de la chute finale sont ici bien nets.



Marylise Dipusu

Chapitre 493 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008