lundi 18 octobre 2010

Asnières sur Seine: histoires de fous en série


  

Ci-dessus, une iconographie qui se rapporte aux histoires de fous asnièroises, malheureusement bien réelles, et que nous relatons à la fois pour l'information et le rire de dérision salutaire des citoyens sensés et raisonnables.

Tout d'abord,  une plaque indicative des impasses vers lesquelles mènent ce qu'on appelle les "hautes folies". Nous n'aurons pas à indiquer de quels milieux "en hauteur" vient cette "folie" particulière, chacun se fera son opinion propre.

Ensuite, une couverture d'un livre sur "ces fous qui nous gouvernent": ce titre ne s'applique évidemment pas à Asnières sur Seine où l'intelligence des choses et des gens domine, chacun le constate, l'administration de la commune, que ce soit l'humanisme dans le dossier des riverains du stade Magenta, le sens de la concertation sincère sur le stationnement urbain ou le respect de l'argent public dans divers dossiers de la ville.

Enfin, la "nef des fous" ne vise bien entendu aucune bateau asnièrois un peu ivre, voire flottant à la dérive, comme celui de l'UMP locale ou celui des ambitions qui s'étouffent les unes les autres en s'annulant tandis que les habitants sont concentrés sur les problèmes essentiels du devenir des retraites, de leurs emplois et de leur survie matérielle pour plus de 8 millions de personnes en France.

Toute histoire de fous dans le monde ne saurait s'appliquer donc à Asnières: ce que nous vous contons plus bas est donc le fruit de réalités malheureuses et de coïncidences regrettables, existantes à l'insu du plein gré de leurs auteurs et réalisateurs.
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Première histoire de fous: quand Sébastien Pietrasanta veut imiter les pires fautes de Frantz Taittinger......


Sébastien Pietrasanta dit défendre les plus pauvres et aimer la justice sociale, déclarations orales qui ne l'engagent à rien.

Par contre, ses actes sont plus instructifs de ses projets réels et de ses convictions profondes.

Ainsi, il invite, en toute discrétion, les habitants des quartiers Bac-Bécon-Flachat à une réunion publique qui aura lieu le 20 octobre 2010 à 20 heures à l'école publique Flachat, non pas en soutien aux 75% de citoyens qui défendent leur droit à des retraites dignes à un âge acceptable, mais pour étendre le stationnement payant en zones résidentielles!!!

En pleine crise sociale, financière, politique, économique, Sébastien Pietrasanta affiche clairement ses priorités: TAXER les habitants de certains quartiers au profit de cette bonne société URBIS PARK qui a tant d'amis élus au PS.....

Et comme l'imagination créatrice n'est pas au pouvoir avec ce maire, il reprend à son compte, lui qui avait combattu cette mesure avec ses amis PS alors dans l'opposition municipale en 1997-1998-1999, 2000, les mêmes prétextes éculés que Frantz Taittinger avait osé servir aux mêmes habitants des mêmes quartiers, ce qui lui coûta son siège de maire, puis de député: pseudo voitures-ventouses, pseudo stationnement gênant, etc......

Madame CARADEC a bien préparé et miné le terrain auparavant par la diminution drastique, voulue, active, des places de stationnement dans la commune.

Voilà une équipe municipale d'une honnêteté morale indiscutable et d'une rare intelligence qui crée la pénurie de places de stationnement afin, non pas de résoudre un problème par des mesures intelligentes et concertées, mais en faisant PAYER CETTE PENURIE DE PLACES AUX HABITANTS, ce qui va générer des tensions dans les quartiers concernés.

Un résident indique ce qu'il en pense et fournit une explication:

« Le maire va essayer de faire payer le stationnement dans certaines rues, mais en devant laisser le stationnement gratuit dans les voies privées, nombreuses dans ces zones d'Asnières. Le résultat va être de pousser les habitants à envahir les voies privées, ce qui pourrait pousser les riverains à les fermer à la circulation publique. Sébastien Pietrasanta prépare une guerre du stationnement, qui risque de créer de nombreuses tensions entre résidents. C'est aussi peut-être un des objectifs en arrière-plan de son projet fou et irresponsable ».

On le disait bien: ce projet est une nouvelle histoire de fous à Asnières sur Seine.



Seconde histoire de fous: Manuel Aeschlimann s'auto-dénonce comme ancien maire pratiquant le passe-droit et le favoritisme amical aux frais de la Ville



C'est à ne pas y croire et à se demander si une épidémie de folie n'a pas frappé des élus asnièrois ces derniers temps, après le projet insensé de Sébastien Pietrasanta sur le stationnment payant.

Or donc, Manuel Aeschlimann, député en sursis, avocat à mi-temps, dénonce CONTRE LUI-MEME plusieurs délits graves et répréhensibles, poussé probablement par une colère qui lui est très mauvaise conseillère.

Ainsi, il fait filmer à l'insu de son plein gré des habitants dans les rues d'Asnières, en l'occurrence Monsieur Dechenoix, père du Conseiller Général UMP (donc, de son propre parti), Cyrille Dechenoix. Non content d'enfreindre ainsi le droit à l'image et au respect de la vie privée de ce citoyen asnièrois, il met en ligne la vidéo et la diffuse sur Internet (sic!!!)

Les preuves matérielles de ces délits successifs sont ici:

Le texte qui l'accompagne établit, TOUJOURS CONTRE LUI-MEME, divers autres délits pénaux: notament favoritisme à l'embauche en mairie en faveur de Mme Anna Dechenoix et favoritisme à l'attribution de logements de la commune en faveur des parents de Cyrille Dechenoix.

Les faits sont dénoncés publiquement, sans pression aucune, par l'auteur de ces infractions graves pour un élu, Manuel Aeschlimann. Voici les preuves copiées sur son blog et dont l'image a été préalablement capturée aux fins de transmission éventuelle au Parquet de Nanterre (laissons de côté les horribles fautes de français):

« Il faut dire que lorsque j’étais Maire, j’ai donné au fiston un poste d’adjoint, puis un poste de conseiller général. Aux parents, je leur ai donné un logement, alors qu’ils étaient à la rue. A la mère, je lui ai donné un emploi alors qu’elle n’avait plus rien ».

Il semble avéré par cette vidéo et ce texte que Manuel Aeschlimann a perdu la tête car il ne comprend pas que son propre blog collationne contre lui-même des délits les plus ennuyeux pour un élu.

Une histoire de fous asnièroise de plus?


Troisième histoire de fous à Asnières sur Seine et nulle part ailleurs


Cette histoire de fous ne s'inventerait pas, même avec le cerveau imaginatif d'un Jules Verne ou d'un frère Bogdanov. La réalité asnièroise dépasse parfois les fictions, même sur des mondes possibles lointains...

Le héros de cette dernière histoire de fous est l'inénarrable Francis Raminé Pourbagher, à qui rien de ce qui est mensonger n'est étranger, comme nous allons le voir.

Voici un échange ahurissant capté sur le blog de l'ancien directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann entre un de ses rares lecteurs, visiblement facétieux, et le sérieux propriétaire du blog:


« 17 octobre 2010 à 15 h 49 min
patrick écrit :

Cher Francis,


Otez-moi d’un doute : votre prochain billet va traiter de Laurent Martin-Saint-Léon le faux traitre à qui Manuel Aeschlimann a rendu sa délégation après l’avoir mis en difficulté sur le parking de l’Hotel de Ville, et qui, à l’instar de Cyrille Dechenoix va (se) présenter contre Aeschlimann aux élections du délégué de circonscription ?

Ainsi vous voilà à nouveau supporter et ami intime de M. Aeschlimann, après avoir été violemment éjecté de la mairie d’Asnières ? Pouvez-vous nous éclairer sur le renouvellement de cette amitié ?
Merci d’avance




18 octobre 2010 à 9 h 02 min
Francis Pourbagher écrit :


merci mon cher patrick pour ces quelques lignes « acidulées » qui ont le méritent de lancer le débat.
S’agissant de Monsieur Laurent Martin Saint Léon, j’ai déjà eu l’occasion de raconter son histoire dans un article parru sur ce même blog…

Vous avez parfaitement raison de rappeler qu’il a été évincé puis réintégré par Monsieur Aeschlimann lorsque j’ai quitté mes fonctions en mairie. (mensonge de l'auteur qui a été licencié de son poste en septembre 2006 par Manuel Aeschlimann- NDLR)

Pour autant, ne croyez pas que je ne l’ai pas à l’oeil.(sic...!!!-NDLR)

Pour l’heure, j’ai voulu attiré l’attention sur l’attitude d’un élu de l’UMP toujours en poste qui semble déterminé à écarter l’ancien maire du jeu politique alors qu’il lui doit tout et ce contre l’avis de l’UMP départementale qui appelle à l’UNION et au Rassemblement.

Laurent Martin Saint Léon ne pense pas être une alternative au couple Aeschlimann il cherche juste à se positionner pour mieux négocier.( l'intéressé dément cette allégation-NDLR)

C’est une différence majeur et qui explique l’intérêt que j’exprime pour la candidature de Cyrille.
ça passe ou ça casse!
C’est la question.

Est ce que manuel réussira à se maintenir à la tête de la section ou est ce que un cyrille réussira à le coiffer au poteau…
Rien n’est moins sûr.( On ne comprend pas ce qui est moins sûr que rien-NDLR)

Enfin concernant l’amitié qui me lie ou non à monsieur Aeschlimann sachez que j’ai toujours su garder mon intégrité allant jusqu’au conflit qui nous a opposé.
Rien ne changera et personne ne saurait mettre en doute mon indépendance.
Je continuerai à m’exprimer avec la même liberté de parole qui me caractérise mais je ne me laisserai pas plus entrainer dans un sens que dans l’autre.
Vous jugerez par vous même si j’ose dire.
Amicalement


Nous avons lu et relu la prose de Francis Raminé Pourbagher, notamment sa conclusion quelque peu confuse, voire très dialectique, mais nous n'avons pas compris le sens de ses phrases.

Mais, ne pas comprendre des paroles insensées, n'est-ce pas ce là la définition scientifique commune d'une « histoire de fous »? Une de plus à Asnières.....



Marylise Dipusu


Chapitre 350 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008