Asnières sur Seine: les rois de la duplicité hypocrite et cynique

Notre iconographie du jour sera liée à la précarité sociale et au cynisme révoltant de certains employeurs comme le maire d'Asnières, par exemple.

Afin de nourrir la réflexion collective sur ces sujets, nous avons retenu d'abord une photo de manifestation de divers syndicats soutenue par le PS (Parti Socialiste) , parmi lesquels le syndicat auquel adhérait naguère un certain SEBASTIEN PIETRASANTA, la FSU (Fédération Syndicale Unitaire). 

Ses revendications pour et dans la fonction publique ne semblent plus être entendues, voire promues par Sébastien Pietrasanta devenu maire d'Asnières comme employeur, sauf pour ses amis du PS. Cette photo lui rappellera son passé et le présent terrible des gens qu'il jette dans la précarité la plus totale alors que lui et ses amis profitent de hauts salaires parfois cumulés!

En-dessous, une pancarte contre la précarité et pour le respect des droits humains, droits humains qui ne sont pas respectés tout le temps et pour tous en mairie d'Asnières depuis mars 2008 comme avant. Loin de là, comme en témoigne les CDD et le licenciement de Nora Tebbi par le maire Sébastien Pietrasanta qui vient ensuite, lors de l'assassinat de son fils, se faire photographier par les médias à côté de la travailleuse précaire en deuil qu'il avait jeté dehors! Tonte honte bue....

Pour Sébastien Pietrasanta et son cabinet qui ne souffrent pas des problèmes de précarité, mais vivent dans la sérénité des ventres bien repus, un livre que nous lui conseillons de lire " Le Dictionnaire du cynisme social". Comme maire employeur de femmes seules avec enfants qu'il jette à la rue sans un regard de compassion, voilà un texte instructif pour sa "conscience socialiste".

Enfin, en complément pour une morale plus humaniste et moins cynique, voire pathétique et ridicule face aux caméras de télévision, nous offrons au maire et à son cabinet le petit texte sur "la thérapie cynique", ceci afin de soigner le cynisme indécent dont ils ont fait preuve récemment vis à vis de Nora Tebbi, une femme digne, un être humain qui avait plus le droit de travailler en mairie que les amis du PS qui n'apportent rien aux habitants, sauf plus de misère sociale, de précarité financière et d'impôts.

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«  Ce n'est plus un cabinet de maire, c'est une entreprise de communication cynique » (un jeune habitant des Mourinoux).

Nous revenons aujourd'hui sur un passé très récent, ce passé qui a suivi l'assassinat du jeune citoyen Samy Tebbi, 15 ans et demi, à coups de poignard

Tout d'abord, puisque d'autres ne formulent pas vraiment clairement ce vœu et n'affichent pas leur détermination à le réaliser, nous affirmons avec force que les auteurs de cet acte criminel et abject doivent vite être identifiés et remis à la Justice afin de payer pour leur crime. Il s'agit là d'un premier pas qui permette de savoir toute la vérité sur les faits tragiques qui ont conduit à ce décès.

Ceci dit car il est essentiel que l'assassinat de ce jeune citoyen ne reste pas impuni, il nous semble aussi important de faire toute la lumière sur ce qui s'est passé concernant la famille du jeune homme avant cet événement mortel et après, car ces faits éclairent et avèrent ce que nous avons écrit et répété sur le mépris de l'humain, le cynisme veule et l'art de la manipulation sordide de certains politiques à Asnières.

Aux fins de clarté, reprenons les faits par ordre chronologique:

La maman de Samy Tebbi est une citoyenne d'un courage admirable qui élevait seule ses deux enfants, et ce dans des conditions sociales très difficiles car elle faisait partie de ces travailleuses précaires au lendemain toujours incertain.

Malgré cette situation difficile, elle assurait avec dignité et humanité l'éducation de ses enfants.

Il est cependant très instructif de dévoiler ici l'identité exacte de l'employeur qui a laissé en CDD (Contrat à Durée Déterminée) de DROIT PRIVE cette mère courageuse avant...... de la jeter au chômage brutalement alors que ce même employeur embauchait à grands frais en CDI des amis politiques venus d'autres villes.

Cet employeur est connu et il représente une collectivité PUBLIQUE dont une des missions est de protéger et promouvoir le bien-être et la sécurité sociale matérielle des habitants de SA ville. Son nom est: Sébastien PIETRASANTA!

Admirons ici la formidable duplicité de celui qui, en tant qu'employeur, n'a pas hésité une seule seconde à jeter au chômage cette mère seule avec deux enfants afin de consacrer les ressources affaiblies de la commune à se doter d'un cabinet de maire bien payé et nombreux!!!

Comme aurait dit le chanteur Francis Cabrel: « question de priorité ».....Peu après, lors du meurtre de Samy, fils de cette salariée mis au chômage par sa décision, ce maire-employeur se mettait en valeur devant les caméras et les médias auprès de cette même citoyenne comme un presque « ami de la famille »!!! Un sommet de duplicité cynique est ici atteint.

Dans le genre abject, odieux et révoltant, le cabinet du maire et son employeur direct ont agi ainsi. Qu'on se le dise dans toute la ville.

La citoyenne Nora Tebbi a donc travaillé en mairie d'Asnières pendant deux CDD de 6 mois chacun selon nos informations.

Elle était rattachée aux services dirigées par la première adjointe du maire, Madame Josiane Fischer.

Selon nos sources, lorsque le second CDD de Nora Tebbi a expiré, la première adjointe précitée a été plaider la cause de cette maman seule avec deux enfants auprès du DGS de la ville et du cabinet du maire.

Résultat: le DGS et ce cabinet bien rémunérée sur le dos des habitants ont décidé de maintenir leur cruelle décision antisociale et de chasser de son gagne-pain en mairie cette femme seule chargée de famille!!!

Voilà un acte hautement « social » qui déshonore des gens qui osent ensuite se proclamer « socialistes » et parler de leur amour pour les habitants d'Asnières, et plus particulièrement pour ceux des quartiers pauvres où misère et précarité se conjuguent pour générer des drames humains quotidiens.

Nous partageons, en évoquant ces faits avérés; le sentiment de révolte, de dégout et de mépris des jeunes citoyens qui ont écrit à notre rédaction pour nous apporter, preuves à la main, toutes ces informations.

L'un d'eux commentait son geste ainsi:

«  ce qu'ont fait Pietrasanta et son cabinet à Nora Tebbi est monstrueux et ignoble. Ils ont jeté la mère de Samy à la rue comme un mouchoir-kleenex, et, après la mort de Samy, ils viennent se montrer avec elle comme s'ils avaient toujours été de proches soutiens en profitant de son désarroi pour se pavaner devant les caméras. Ce sont des menteurs manipulateurs. Ils devraient avoir honte et présenter leurs excuses. Ils n'ont aucun respect de rien ».

Le sort que le maire et son entourage ont réservé en fin de CDD à Nora Tebbi est effectivement abject. Nul ne saurait dire autre chose.

Ce qui est arrivé à cette mère de famille démontre bien au passage le mépris des employés municipaux qui est la règle du maire et de ses proches.

Ils précarisent le personnel à outrance, ils utilisent les CDD au lieu de fonctionnaires réguliers, ils détruisent ainsi pas à pas la stabilité sociale et morale des employés de la commune.

Et ces gens-là osent encore se dire « socialistes »? Voire « humanistes »?

Question citoyenne: avec les salaires et charges associées des membres du cabinet du maire, des amis du PS venus de Clichy et d'ailleurs, combien de Nora Tebbi, combien d'habitants d'Asnières en difficulté sociale grave, pourraient être embauchés de manière définitive afin de pouvoir assurer une existence digne à leurs familles, à leurs enfants?

Oui, à combien de drames sociaux dans la population asnièroise correspond la politique d'embauche sélective, discriminatoire donc, de gens du PS venus d'ailleurs en mairie d'Asnières et grassement rétribués?

Voilà une excellente question adressée au PS d'Asnières, à son candidat et à ses militants.

Aux dernières nouvelles, APRES la mort du jeune Samy Tebbi, la mairie aurait proposé un poste en mairie à la maman du défunt, et cela après avoir à l'époque de son licenciement pur et simple invoquer « les contraintes budgétaires »!!!

Nous osons espérer que la mairie a proposé un poste pérenne à la jeune maman endeuillée qui a aussi une fille encore à élever. Et pas un simple CDD de circonstance permettant de la jeter dehors de nouveau quand le souvenir du drame de cette famille se sera estompé dans les mémoires.....

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Du côté de chez les Aeschlimann....

Du côté de chez les Aeschlimann, dont la gestion de la commune a été sévèrement attaquée par la Chambre Régionale des Comptes d'Ile de France, dont des marchés publics ont été truqués pour favoritisme ou "corruption passive" selon la Justice, les attitudes en mairie que nous avons décrites sont une habitude, voire une tradition.

Pendant que Manuel Aeschlimann réfléchit toujours à comment gérer sa récente condamnation en Appel pour délit de favoritisme et attend le jugement du TGI de Nanterre qui sera rendu le 29 avril 2011 en première instance, donnons quelques nouvelles de cette Loge maçonnique dont il affirmait naguère à beaucoup qu'il en était un membre éminent, la GLNF.

Cette obédience maçonnique est en crise grave et on peut même dire que ses secrets s'étalent sur le voie publique, comme des déchets abandonnés ou comme des déjections canines non ramassées.

Pour en savoir plus sur ce sujet, cette crise au sein de cette association 1901 dont Manuel Aeschlimann criait partout qu'il était un des protégés du fait de son adhésion, lire les divers articles de haut en bas sur ce lien, c'est très instructif de certaines dérives de plus en plus exposées à la lumière publique. 

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/

D'aucuns murmurent ici et là qu'après les comptes sortis de la pénombre, les listes de noms des membres pourraient aussi arriver en plein jour.

Il serait en effet souhaitable que les membres de cette association de loi 1901 soient connus de toute la population, notamment les élus politiques et les magistrats judiciaires, voire  les hauts fonctionnaires.

La transparence de la chose publique en serait bien améliorée...... 

Marylise Dipusu

Chapitre 431 des chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008