Asnières: crise mondiale, processus nationaux et faits locaux

Ci-dessus, un dessin satirique de Julien Dray, ami de Sébastien Pietrasanta et amateur de montres de luxe.

Il est vrai que Sébastien Pietrasanta, maire d'Asnières, ne fait plus grand cas public de sa proximité avec Julien Dray, surtout depuis que son dossier judiciaire rend ce dernier de plus en plus sulfureux.

Il n'en reste pas moins que son cabinet est toujours EXCLUSIVEMENT composé de proches de Julien Dray, dont certains risquent fort bientôt d'être emportés par la tourmente judiciaire en cours.

Sébastien Pietrasanta, maire d'Asnières, figure de proue d'une majorité plurielle, devrait penser à recomposer au plus vite son cabinet, dans son intérêt et celui de l'image apaisée qu'il entend donner d'Asnières sur Seine.

Nous lui conseillons de ne plus s'entourer de proches d'un élu PS aux abois et qui est sur le déclin irréversible, mais, au contraire, d'utiliser cette occasion afin de s'entourer d'un cabinet aux couleurs diverses du grand rassemblement pour Asnières, de gens capables vraiment de s'attaquer efficacement aux grands dossiers de la commune, sans esprit partisan, ni parfum de soufre dans leur sillage.

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Un membre du cabinet du maire d'Asnières en danger

C'est le quotidien « Le Monde » du 24 juillet 2009 qui le révèle brutalement, alors que la mairie se taisait depuis des mois sur les liens entre la sulfureuse affaire Julien Dray et certains membres du cabinet du maire d'Asnières.

Au détour d'un article de ce journal sur la gestion opaque des associations proches de Julien Dray, on apprend qu'une des principales personnes mises en cause dans l'affaire qui touche de plein fouet Julien Dray, Nathalie FORTIS, est aussi, dans la vie réelle, la compagne d'un ancien haut responsable de SOS-Racisme, Assane FALL.

Rappelons que Nathalie FORTIS est soupçonnée par la Justice d'avoir abondé avec des fonds associatifs importants les comptes bancaires personnels du député PS, grand ami de son compagnon. Décidément, le monde de Julien Dray est petit, mais financièrement actif à son profit!

Comme le disait une citoyenne de notre ville, cette affaire Dray est une mauvaise copie déformée du film "Le Parrain", mais sans humour et sans finesse.

Selon les informations du journal en question, Assane FALL aurait été remercié par ses amis -potes- de SOS-Racisme le 12 septembre 2008 - la date est instructive et à retenir-. Il a retrouvé, par un pur hasard ou par une chance incroyable, un nouveau poste …. au cabinet du maire d'Asnières, Sébastien Pietrasanta!!!

C'est ainsi, si l'on comprend bien l'enchaînement des faits, que Sébastien Pietrasanta, maire d'Asnières, utilise son mandat électoral afin de recaser les amis et relations de Julien Dray, un élu qui sent plus qu'une forte odeur de soufre financier. Le maire d'Asnières manquerait-il singulièrement d'odorat quant aux affaires scabreuses, voire carrément délictueuses?

La question qui peut légitimement se poser pour les citoyens d'Asnières, surtout ceux qui ont combattu les dérives du système des époux Aeschlimann et refusent de les voir se reproduire sous un autre maire, est la suivante: en quoi les habitants d'Asnières gagnent-ils avec des recrutements qui ne peuvent qu'apporter, tôt ou tard, une image de soufre renouvelée sur la ville et ses élus?

C'est une bonne question, et nous la posons au maire, qui semble de plus en plus déconnecté des réalités du terrain, ce que ses choix pour constituer son cabinet démontrent.

Mais, que les époux Aeschlimann ne crient pas trop fort: car si Julien Dray et ses amis sentent le soufre, les époux Aeschlimann sentent fortement la même odeur entêtante et peu ragoutante!

Les citoyens ne veulent ni revenir au passé où Marie-Dominique Aeschlimann abusait de l'argent public avec sa voiture de fonction illégale, ni voir la mairie devenir un centre de reclassement des amis politiques déchus de Julien Dray et compagnons de ses proches collaboratrices.

Ils veulent une ville propre, bien gérée, transparente, en somme l'application concrète de la Charte ANTICOR signée par Sébastien Pietrasanta en 2008, au nom de la commune. Et, là, il y a urgence.....

Les citoyens déçus de Sébastien Pietrasanta devront-ils créer un SOS- Asnières contre les pratiques contraires aux plus évidents intérêts de la ville et de ses habitants?

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Interactivité entre processus nationaux et faits locaux

L'été 2009 est animé à Asnières, en France et dans le monde. Cela est une évidence.

Les plans sociaux, les suicides de salariés stressés et pressurés jusqu'aux limites de l'inhumanité, la montée du chômage hantent les citoyens, mais pas les politiques qui sont toujours aussi éloignés des problèmes et préoccupations des simples gens. Sur le plan local comme au niveau national!

Mais, les politiques ont aussi leurs problèmes.

Ainsi, l'ami de longue date de Sébastien Pietrasanta, Julien DRAY, s'enfonce chaque jour un peu plus dans un véritable gouffre judiciaire qui met à jour des pratiques financières de plus en plus condamnables, et ce au détriment des associations proches du député PS en grande difficulté.

De l'autre côté, même si les dirigeants de l'UMP asnièroise- y compris les époux Aeschlimann- ne semblent pas pressés de souhaiter prompt rétablissement à Nicolas Sarkozy, victime d'un NOUVEAU malaise cardiaque qui inquiète toute la sphère des politiques de tous bords, la santé en danger du chef de l'Etat a créé une large angoisse!

Bien sûr, les citoyens ont leurs propres soucis, réels et urgents, et cela génère une indifférence relative sur les aléas de la santé du chef de l'Etat ou les agissements coupables de la galaxie Julien Dray.

Cependant, pour le maire d'Asnières, l'affaire Julien Dray est une bombe à retardement car elle menace, comme tous le savent, certains membres du cabinet et peut-être Sébastien Pietrasanta lui-même, en sa qualité d'ancien responsable de SOS-Racisme dont la comptabilité est d'une troublante opacité, pour ne pas dire plus.

Plus encore, l'avenir de Sébastien Pietrasanta et de son cabinet composé de proches amis de Julien Dray est aussi mis en danger par la crise de dislocation en cours au Parti Socialiste, qui a ses effets destructeurs dans la section PS d'Asnières, y compris au sein des élus PS du Conseil Municipal.

De l'autre côté, pour les époux Aeschlimann, les ennuis de santé de Nicolas Sarkozy inquiètent. La maladie qui affecte Nicolas Sarkozy peut aussi avoir prochainement des effets majeurs dévastateurs sur l'unité de l'UMP.

Dans le 92, l'unité de l'UMP est déjà minée par le conflit de plus en plus aigu entre Patrick Devedjian et Jean Sarkozy. Les époux Aeschlimann sont hésitants, pour le moment, dans ce conflit. Ce qui ne présage rien de bon pour eux!

Au niveau national, l'unité de l'UMP est aussi menacée.

Les partisans de Dominique de Villepin, de Jean-François Copé et de quelques autres personnages ambitieux, commencent à se compter et l'autorité du chef de l'Etat ou du Président de l'UMP n'est plus ce qu'elle fut jadis! Les ennuis de santé du Président de la République ravivent les ambitions et donc les divisions.....

En résumé, le monde des politiques d'Asnières vit au rythme de la crise mondiale qui s'aggrave, de la dislocation des partis UMP et PS et des affaires qui explosent de tous côtés en corrélation avec ces processus.

Cependant, pour les citoyens, l'essentiel est que leurs intérêts soient défendus et pris en compte (on est loin de cet objectif), que les finances de la ville soient bien gérées (ce qui n'est pas vraiment le cas pour le moment) et qu'une politique de développement de l'emploi soit mis en place concrètement (cela reste un souhait pour le futur).

Marylise Dipusu

Chapitre 175 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

Asnières: gestion de l'argent public à la californienne?

Ci-dessus, une photo d'Arnold Schwarznegger, gouverneur de l'Etat américain de Californie, Etat au bord de la banqueroute. A force de lourdes dépenses inutiles d'apparat, de marchés publics trop onéreux, de relations parfois douteuses entre entreprises privées et Etat, la Californie est au bord de la faillite.

A Asnières, avec les embauches coûteuses d'amis, les dossiers mal ficelés et mal gérés, la méconnaissance du droit du travail, le mépris des intérêts publics au profit de sociétés privées, la Ville suit le même chemin depuis des années.

Le scrutin du 16 mars 2008 aurait dû arrêter ce processus dépensier inutile et dangereux: si des progrès ont été enregistrés, la rupture avec le processus pré-existant ne s'est pas faite!

C'est bien pourquoi Asnières continue sa glissade financière dangereuse, sans que, par ailleurs, les sommes dépensées soient mieux et plus utilisées pour les citoyens.

Asnières Nouvelles Citoyennes en apporte quelques preuves cinglantes.

Amis de Clichy et de Julien Dray: bienvenue à Asnières !

Les habitants d'Asnières le savent désormais, bien que nombre de blogs asnièrois ne veuillent ou ne puissent le dire tout haut: les relations des membres du PS de l'équipe actuel, relations venues surtout de Clichy, et les amis du sulfureux Julien Dray ont embauche ouverte en mairie d'Asnières.

En soi, cela pourrait ne pas être critiquable si ce mouvement de personnel embauché s'accompagnait d'un développement et d'une amélioration notable des services aux citoyens, de dépenses publiques mieux maîtrisées et plus efficientes, de salaires plus raisonnables eu égard aux possibilités financières de la commune par les temps de crise qui courent et donc d'une gestion plus rigoureuse des fonds publics.

Malheureusement, tel n'est pas encore le cas à Asnières!

Si ici et là, de notables progrès ont été effectués dans la gestion des moyens municipaux et dans la transparence de certains actes, Asnières est encore loin de répondre aux critères précis définis par l'association ANTICOR en matière de gestion financière.

La question de la qualification professionnelle avérée de certaines embauches depuis le 22 mars 2008 pose notamment problème quand on s'intéresse au passé professionnel de certaines personnes recrutées en mairie d'Asnières.

A l'évidence, le maire et son équipe devraient faire très attention à ne pas sombrer à leur tour dans le clientélisme et le favoritisme envers des amis politiques.

L'intérêt public commande de recruter des personnels en fonction de leurs réelles capacités à servir au mieux les intérêts collectifs des habitants d'Asnières.

Car, à ne pas rompre avec les mauvaises pratiques passées, le maire actuel s'expose de plus en plus à des retours de bâton ennuyeux et à une situation financière à la californienne.

Avec ses conséquences dramatiques pour la collectivité des citoyens alors que le parti du maire est entré dans une phase active de dislocation rampante!

Un exemple de gaspillage pur de l'argent public

Asnières Nouvelles Citoyennes a ainsi découvert une affaire relative à la gestion du personnel par la Ville depuis de longues années, actuellement en passe de finir devant le Conseil de Prud'hommes de Nanterre (affaire n° RG : F 09/01966), faute que l'actuelle municipalité ait accepté le droit du travail en vigueur en France.

Le dossier démontre bien que la politique d'embauche d'amis politiques du PS, considérés y compris dans leur parti comme peu qualifiés dans le domaine d'activités qu'ils investissent à Asnières, mène aussi parfois à des dépenses accrues, d'un côté pour assurer ces recrutements et, de l'autre, pour indemniser les personnes remerciées, parfois sans aucune attention aux droits de ces personnes et aux lois applicables.

Ainsi, la Ville est aujourd'hui exposée à perdre plus de 300.000 euros de fonds publics par la continuité de pratiques illicites qui devraient être bannies depuis le 16 mars 2008, mais qui perdurent avec, comme seule modification visible, les attaches politiques partisanes des nouveaux bénéficiaires, pardon des récents recrutés.

Et pourtant, un maire devrait en principe être le garant de l'équité républicaine, de l'égalité des droits aux accès aux emplois publics et du bon usage des ressources publiques......

Va-ton avoir à suivre une nouvelle affaire Alix Chavanon?

La réponse à cette question dépend du maire et de son équipe! Affaire à suivre......

14 juillet 2009: un contexte national pour les violences, une action locale positive pour les festivités

Les époux Aeschlimann ont dû chausser de bien défectueuses lunettes, tachées par la buée de la mauvaise foi, pour commenter les évènements violents survenus ici et là dans Asnières lors du 220ème anniversaire de la Révolution française.

Au plan local, les festivités populaires ont été calmes et pacifiques, du fait des mesures préventives prises par le maire et son équipe. Cela est à mettre à leur crédit collectif.

Au plan national, la recrudescence des incendies de voitures en France et de l'insécurité ainsi générée a été un phénomène national qui a battu cette année un record, montrant bien ici dans la réalité l'échec total des discours sécuritaires du Président Nicolas Sarkozy et des partisans, sincères ou non.

Pendant que le Président ne cesse de discourir et noie les médias sous un flot de paroles creuses, la vérité des chiffres frappe: la violence a fortement augmenté en France.

Et à l'évidence, la montée de la crise avec toutes ses conséquences de désagrégation sociale et économique n'y est pas étrangère....

C'est la raison pour laquelle les attaques des époux Aeschlimann contre l'équipe municipale SUR CE SUJET (celui de la sécurité ) sont vraiment malhonnêtes, ridicules et ineptes.

Dossier des parkings fantômes: des documents et des chiffres qui se contredisent

La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes s'est procurée de nombreux documents relatifs aux divers projets de parking public payant en centre ville.

Une première évidence frappe nos correspondants attentifs, qui analysent et étudient ces pièces, ce dont nous les remercions au nom de tous les habitants d'Asnières dont ils défendent ainsi les intérêts: plusieurs de ces documents sont CONTRADICTOIRES aux données officielles annoncées via des documents publics et/ou administratifs sous la gestion de Manuel Aeschlimann!

Cela semble notamment être le cas pour le premier projet de parking public payant lancé par Manuel Aeschlimann en 2002....Visiblement, de nouveaux lièvres sont en voie d'être levés pour des suites judiciaires qui sont déjà programmées.

Par ailleurs, un de nos lecteurs, très méticuleux, signale à juste titre une aberration administrative qui continue: alors que le Conseil Municipal a voté un projet nouveau de parking public payant en centre ville, l'ANCIEN PERMIS DE CONSTRUIRE EST TOUJOURS EN VIGUEUR et n'a pas été annulé.

A l'évidence, dans ce dossier de parking, le maire et son équipe ne sont pas inspirés pour leur choix géographiques, leurs projets en surface et leurs décisions administratives!

Marylise Dipusu

Chapitre 174 des chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

Asnières: l'affaire Opinion Way et les époux Aeschlimann

Ci-dessus, une photo du temps de la grande proximité entre Marie-Dominique Aeschlimann, Patrick Karam et Nicolas Sarkozy, photo prise aux Antilles, en 2007, tous souriant sous le soleil.

Cette photo démontre aussi la proximité entre Patrick Karam et Marie-Dominique Aeschlimann, alors que Patrick Karam exerce des fonctions publiques dans lesquelles il a eu à intervenir sur des débats locaux asnièrois, se faisant juge et partie, notamment dans un dossier contre un blog asnièrois.

Elle prouve aussi que Nicolas Sarkozy et Marie-Dominique Aeschlimann furent assez familiers à cette époque aux Antilles, comme leur sourire complice paraît le suggérer ici.

Mais, maintenant, après les succès de Valérie Pécresse au sein de l'UMP en Ile de France, les difficultés croissantes de la présidence de Nicolas Sarkozy, les échecs de l'UMP dans les DOM-TOM, la déroute de mars 2008 à Asnières des époux Aeschlimann et la crise qui s'aiguise chaque jour, sans oublier l'affaire du Festival International, les amitiés passées ne sont plus de mise.

Seules restent les photos qui sont des jolis souvenirs d'un passé révolu! Révolu à jamais!!!

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L'affaire Opinion Way et l'ancien Conseiller de Nicolas Sarkozy en stratégie électorale et en suivi de l'opinion publique, Manuel Aeschlimann

L'affaire Opinion Way- du nom de cet étrange institut de sondage sans véritable siège social publiquement contactable, dirigé par un ancien journaliste du journal « Minute », Patrick Buisson, chargé de sondages bizarres par l'Elysée sur des sujets variés, le tout aux frais des contribuables- renvoie naturellement aux personnes qui ont structuré ces bien curieuses dérives au nom de ce qui est appelé « stratégie électorale » et « suivi de l'opinion ».

Voici quelques liens pour appréhender les faits et ce dossier:

http://fr.news.yahoo.com/76/20090718/tpl-les-sondages-trs-controverss-du-cons-894f5eb.html

http://fr.news.yahoo.com/63/20090717/tpl-scandale-la-cour-des-comptes-veut-fa-5cc6428.html

http://fr.news.yahoo.com/76/20090717/tpl-la-cour-des-comptes-invite-l-elyse-r-894f5eb.html

http://fr.news.yahoo.com/63/20090717/tpl-nicolas-sarkozy-a-pay-les-sondages-o-5cc6428.html

http://fr.news.yahoo.com/63/20090717/tpl-nicolas-sarkozy-a-t-il-voulu-manipul-5cc6428.html

http://fr.news.yahoo.com/69/20090716/tpl-dplacements-privs-sondages-garden-pa-86098b9.html

Parmi les anciens « conseillers » de Nicolas Sarkozy figure un homme que les citoyens d'Asnières connaissent bien pour sa désastreuse gestion de la commune et sa vacuité comme député: Manuel Aeschlimann.

La parution du Rapport de la Cour des Comptes sur les dépenses de l'Elysée a profondément choqué l'opinion publique et a obligé les responsables de l'Elysée à réagir avec promptitude tandis que le dirigeant de la fumeuse société Opinion Way, Patrick Buisson, ne manifestait pas un zèle actif afin de faire preuve de transparence sur ses sondages et leur usage.

Derrière le rapport de la Cour des Comptes, une autre question se pose: a-t-on créé depuis des années autour de Nicolas Sarkozy une « cellule » chargé de manipuler l'opinion publique au profit de l'actuel Président de la République? Et cette « cellule » a -t-elle compris dans ses membres ou proches relations Manuel Aeschlimann?

Asnières Nouvelles Citoyennes a mené une enquête discrète, mais très instructive sur cette « cellule » qui travailla pour Nicolas Sarkozy, au sein de l'UMP d'abord et ensuite à l'Elysée, cette fois avec des moyens financiers publics dont on aurait pu faire un meilleur usage en cette période de crise où le chômage touche presque 10% officiellement de la population active!

Notre rédaction a ainsi recueilli des confidences venues de sources très proches de l'Elysée qui, bien qu'invérifiables, pourraient éclairer des faits passés et des amitiés qui aujourd'hui ont disparu. Nous les indiquons ici avec le conditionnel de prudence nécessaire car, si certains éléments donnés ici sont avérés, d'autres détails ne le sont pas officiellement.

Selon ces sources, effectivement, Manuel Aeschlimann aurait participé dès 2002-2003 à la stratégie électorale du futur candidat, à l'époque, Nicolas Sarkozy. Il aurait apporté des analyses et des conseils que les chargés de la communication et de l'image du futur Président de la République auraient diversement appréciés. Ceci est attesté par plusieurs sources concordantes, crédibles et sérieuses.

Cependant, dès 2005, Nicolas Sarkozy aurait jugé que tout ce que disait ou écrivait Manuel Aeschlimann n'était pas toujours applicable ou simplement utilisable. Il aurait pris ses distances alors avec l'intéressé, d'autant que les « affaires » commençaient à rendre Manuel Aeschlimann sulfureux, comme on dit en termes polis de presse.

Il semblerait, selon certaines sources interrogées, qu'il y aurait eu en 2007 un court moment de réchauffement des rapports entre les deux hommes. Selon ces sources, ce réchauffement aurait été surtout dû à une très brève relation intime entre Marie-Dominique Aeschlimann et Nicolas Sarkozy.

Cette courte liaison aurait été notée par des proches de Nicolas Sarkozy et de Cécilia Sarkozy notamment lors d'un voyage de Nicolas Sarkozy aux Antilles en compagnie de l'élue régionale UMP d'Asnières. Il semblerait même, selon des sources diverses médiatiques, qu'un vidéo tournée lors d'un petit déjeuner aux Antilles entre les deux intéressés en apporterait la preuve visuelle. Pour notre part, nous n'avons pas visionné ce document, donc nous ne pouvons pas nous prononcer sur le sujet.

Mais, que cela soit vrai ou non, force est de constater que, très vite, et des sites en attestent par leurs articles, Marie-Dominique Aeschlimann fut jugée par Nicolas Sarkozy comme une « mauvaise oratrice » doublée d'une incapable politique évidente.

Ce n'est pas ni Rama Yade, ni Marie-Luce Penchard qui nous contrediront sur les faibles qualités politiques de Marie-Dominique Aeschlimann: les résultats de l'UMP lors des scrutins en Guadeloupe et dans les DOM-TOM sont des faits publics indéniables!

Quant à Manuel Aeschlimann, ses liens avec Nicolas Sarkozy se sont distendus, d'autant que le contenu du Jugement du 13 mars 2009 en première instance (Appel en cours) a bien montré en quelle piètre estime le Président de la République tenait le personnage, ses pratiques et son bilan.

En tout cas, la « cellule » chargée de la stratégie électorale et de l'image de Nicolas Sarkozy est maintenant dans la tempête. Et ce tandis que la crise ravage le pays, génère des dizaines de milliers de chômeurs par mois et rend l'opinion publique, comme ces communicants appellent la population française, très imprévisible, même à court terme!

Il est vrai qu'à force de manipuler les mots dans les sondages, on obtient des résultats que la réalité dément sans cesse.

Ainsi, comment l'équipe de communicants de l'Elysée peut-elle croire que la population soutiendrait la politique de Nicolas Sarkozy quand la question n'est jamais posée clairement, mais remplacée par cette brumeuse question : « avez-vous une bonne ou mauvaise opinion de Nicolas Sarkozy »?

Une réponse en grandeur nature a été donnée le 7 juin 2009 par le vote des citoyens: un électeur inscrit sur 8 a voté pour le parti du Président, l'UMP, qui a subi là un terrible camouflet populaire! Tout est dit par ces chiffres.

Parfois, autour de Nicolas Sarkozy, la communication et la stratégie électorale frisent ou flirtent dangereusement avec des méthodes de manipulation aux retours de bâton dangereuses en période de crise globale: sociale, politique, financière, économique.

Ce qui se passe avec le rapport de la Cour des Comptes exprime bien les processus en action et le cours de la crise politique qui se noue aussi au sommet de l'Etat.

Il est de ce point de vue positif que Manuel Aeschlimann- dont on a vu à Asnières le résultat pitoyable des méthodes surannées et liberticides- ne soit plus dans cette équipe et ne l'induise plus dans des fautes et errements dont il a le secret!

Bientôt dans les colonnes d'Asnières Nouvelles Citoyennes:

• Un 14 juillet 2009 agité dans toute la France, pas seulement à Asnières

• une intéressante et onéreuse affaire perdue d'avance par la Ville en Conseil de Prud'hommes de Nanterre,

• le dossier parking: des documents contradictoires apparaissent!

Chapitre 173 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

Marylise Dipusu

Asnières: nouvelles et scoops citoyens

Ci-dessus, la photo de Josiane Fischer, première adjointe au maire d'Asnières, qui a depuis des années cherché à apporter aux habitants d'Asnières un projet de parking public clair, cohérent, d'un prix honnête et de capacité accrue qui serait à bâtir sous le parc du Château d'Asnières.

Certes, Sébastien Pietrasanta, sans que personne ne puisse comprendre sa logique propre, a préféré s'enferrer dans le projet initial de Manuel Aeschlimann, remanié par ses soins avec un plan de financement plus adéquat pour la Ville.


La question que beaucoup se posent est maintenant: Asnières va-t-elle enfin avoir un nouveau parking en Centre Ville alors que déjà les recours pleuvent et les problèmes s'accumulent déjà?


Ne serait-il pas plus sage pour le maire actuel de commencer par le parking qui peut être construit sous le parc du Château, cela pour une action municipale efficace, des résultats rapides pour les habitants et un coût final moindre?

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Quand le square Leclerc a bien failli disparaître....

Plusieurs lectrices et lecteurs nous ont fait part de leur surprise, voire de leur émotion après notre article précédent qui indiquait une disparition ou une réduction possible du square Leclerc.

Il convient donc de nous expliquer plus clairement et concrètement.

Pour la fête de la musique, en juin, déjà, sur ordre du cabinet du maire, les jardiniers municipaux avaient dû, la mort dans l'âme, arraché les massifs de fleurs qu'ils avaient érigé et soigné avec amour sur le square Leclerc. Puis, après la fête, les mêmes employés avaient dû récréer ces mêmes massifs de fleurs!!!.

Du coup, chacun avait constaté en quelle haute estime le maire et son cabinet tenaient les fleurs, la sérénité et l'esthétique des squares publics, sans parler même du respect du labeur des agents municipaux et de l'attention à l'argent public ainsi gâché en pure perte....car cette fête populaire et bon enfant aurait pu être réalisée, sans ces dépenses inutiles, sur le site du parc Robinson!

Afin de nous faire bien comprendre, précisons que le projet proposé pour l'aménagement du square Leclerc est partie INTEGRANTE, INDISSOLUBLE pour l'heure, du projet global de parking qui est prévu SOUS LA PLACE ARISTIDE BRIAND...

Mais, ce que beaucoup ignorent encore à ce jour et qu'Asnières Nouvelles Citoyennes révèle en SCOOP PUBLIC, c'est que, longtemps le maire, son cabinet et de nombreux élus PS de la majorité ont souhaité que le projet de parking public soit réalisé SOUS le square Leclerc, ce qui aurait entraîné sa fermeture au moins pendant DEUX ANS et d'irrémédiables dégâts pour cet espace vert public!

Ce choix bien peu environnemental a été stoppé, non par amour des espaces verts, mais par des nécessités réglementaires qui auraient considérablement retardé la réalisation du parking, à savoir la modification du PLU (Plan Local d'Urbanisme).

Square Leclerc et Place Aristide Briand: quel avenir?

Or, si le square Leclerc a donc échappé- par la grâce des règlements administratifs- à un triste destin, c'est bien dans le document qui concerne la construction du fameux parking SOUS la Place Aristide Briand qu'est prévu AUSSI un réaménagement considérable du square Leclerc comme de l'espace en surface de ladite Place Aristide Briand. C'est en tout cas ce qui ressort du document téléchargeable sur le site de la mairie d'Asnières sur Seine appelant à donner son opinion citoyenne sur ce sujet......D'où notre inquiétude pour le devenir réel de ce square asnièrois ancien.

Certes, le projet présenté semble attractif et surtout très vert.

Mais, là aussi, laissons de côté l'apparence des bonnes intentions de principe affichées et posons les questions de fond qui intéressent les citoyens de tous âges: le square Leclerc va-t-il rester un espace de calme, de détente et de jeu, tant pour les familles avec enfants que pour les personnes retraitées? Et si oui, sur quelle surface définitive utilisable par ces publics très différents?

Quid des pistes de jeu de boules? Quid des espaces de jeux pour les enfants? Quid des espaces aménagées pour la détente des usagers du square? Quid de la sécurité si le square n'est pas clos et que des bosquets permettront d'abriter de possibles préparations de délits divers?

Quant à la Place Aristide Briand, il importe qu'elle soit un lieu où la Ville affiche avec éclat sa politique de reconquête du territoire communal en faveur des espaces verts.

Pour aller dans ce sens, Asnières Nouvelles Citoyennes appelle les habitants d'Asnières, et particulièrement ceux du quartier de la mairie, à participer massivement à la concertation proposée par la Ville afin que la Place Aristide Briand, avec son monument replacé, redevienne un lieu de verdure, d'arbres et de fleurs, un site agréable, reposant et convivial pour les habitants.

Dans ce sens, ils devraient avoir le soutien du maire qui annonce aimer l'écologie et la nature, et, avec lui, au moins de son élu Vert. Ce choix vert pourrait aussi être appuyé par les amis et partisans de Laurent Martin Saint Léon et d'autres.

Avec de tels soutiens, d'opinions différentes, mais unis pour qu'Asnières devienne une ville verte où il fait bon vivre, nul ne doute que les souhaits des habitants seront entendus et satisfaits.

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Le député Manuel Aeschlimann condamné pour dénonciation calomnieuse d'un citoyen asnièrois

C'est une chose si rare qu'Asnières Nouvelles Citoyennes ne pouvait pas ne pas le signaler: c'est Manuel Aeschlimann qui a annoncé de lui-même, sur son blog personnel, sa condamnation récente en première instance pour dénonciation calomnieuse d'un citoyen asnièrois par la 14ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre.

Lui qui n'avait pas évoqué le contenu de sa condamnation dans l'affaire du Festival du Folklore International a changé de tactique depuis qu'il est devenu avocat au cabinet Olivier Schnerb: maintenant, c'est lui-même qui informe de ses condamnations.

Voilà donc le cabinet Olivier Schnerb honoré urbi et orbi: un de ses membres crie partout qu'il est condamné pour dénonciation calomnieuse. Belle publicité pour ce cabinet!

Curieuse façon de vanter ses qualités et sa morale professionnelles que celle choisie par Manuel Aeschlimann! Mais, c'est la sienne....

Un troisième projet de parking public existait: plus adapté, moins cher, plus efficace, plus rapide à construire!

Asnières Nouvelles Citoyennes apporte un NOUVEAU SCOOP aux citoyens d'Asnières sur le projet de parking public Centre-Ville: un troisième projet, moins complexe, moins onéreux, pouvant accueillir plus de véhicules, plus pratique, avait été proposé aux élus d'Asnières.

Ce projet, qui aurait pu éviter la situation surréaliste qui voit Sébastien Pietrasanta reprendre, d'une manière certes différente, celui de Manuel Aeschlimann initié en 2002, avec tous les problèmes que chacun connaît, était porté avec ténacité par la première adjointe, Josiane Fischer.

C'est cette élue qui depuis des années tente de promouvoir ce projet, qui, évidemment, n'exclut pas celui sous la Place Aristide Briand, mais qui pouvait utilement le précéder, eu égard à l'état des finances communales et au passé juridique et technique du projet initial de 2002..

Ce projet devait être réalisé sous le parc du Château d'Asnières.

Malheureusement, courant après le ridicule politique, les difficultés juridiques et les dépenses publiques les plus élevées, Sébastien Pietrasanta et les élus PS ont préféré se lancer d'abord dans le projet Aristide Briand, après avoir voulu creuser l'ouvrage sous le square Leclerc!

C'est leur choix. Mais, il n'est pas sûr que ce choix soit le meilleur et le plus adéquat pour les intérêts des habitants d'Asnières car il n'est pas acquis que le projet retenu puisse ne pas connaître les mêmes ennuis que son premier avatar sous Manuel Aeschlimann!.....

Questions citoyennes sur un dossier de parking bien étrange

Me Xavier DELCROS, ancien avocat de la Ville d'Asnières, est officiellement un éminent spécialiste du droit administratif français. Il a forcément suivi, comme avocat de la Ville, les dossiers de parkings publics que Manuel Aeschlimann voulait faire construire sur Asnières. Il était rémunéré sous convention pour cela.

Or, Manuel Aeschlimann a fait montre d'une curieuse attitude administrative et juridique, avec son Directeur Général des Services, Bernard Loth, en engageant le deuxième projet de parking Aristide Briand alors que la Justice devait encore rendre sa décision définitive sur le premier projet.

On imagine mal Me Xavier DELCROS avoir pu commettre une telle erreur professionnelle. Jamais, il n'aurait pu conseiller à Manuel Aeschlimann de lancer une seconde procédure de marché public sans avoir attendu que la Justice ait définitivement tranché le premier dossier, pourtant rejeté par le Préfet. A se demander si ce dossier initial n'a pas été saboté volontairement par ses auteurs ou si l'avocat a vraiment travaillé à sa naissance et son suivi......

Si donc Me Xavier DELCROS a fait son travail de Conseil juridique de la Ville dans ces dossiers- ce que nul ne peut mettre en doute sauf à faire l'hypothèse que son travail payé par les fonds publics aurait été purement factice- cela signifie que Manuel Aeschlimann et Bernard Loth ont engagé le second projet CONTRE ou MALGRE un avis juridique autorisé.

En d'autres termes, ce second projet ne pouvait être engagé par un maire responsable des deniers publics et respectueux de la Justice.

Or, il est avéré par les documents publics remis, entre autres, à l'ADECA que Manuel Aeschlimann et Bernard Loth ont lancé TROP TOT et sans tenir compte des avis autorisés rendus le second projet.

Il est temps que les questions de fond sur les vraies raisons de cette décision incroyable et irresponsable de Manuel Aeschlimann et son Directeur Général des Services soient posées PUBLIQUEMENT.

Car la Justice ne peut maintenant éviter de se pencher sur les curiosités et étrangetés de ces dossiers de parkings mal gérés, mal ficelés, mal partis, mal arrivés et emplis d'irrégularités.

Marylise Dipusu

Chapitre 172 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

Asnières: nouvelles, débats et interrogations

Ci-dessus, une photo du jardin public qui, si le projet actuel de parking payant souterrain voyait le jour, pourrait disparaître, voire être fortement réduit.

En tout état de cause, visiblement, la défense des espaces verts, pourtant inscrit dans le plan de relance de l'Etat dans les Hauts de Seine, plan signé par Sébastien Pietrasanta au nom de la Ville, n'est pas au centre du projet retenu pour l'heure, pas plus que le souci d'économies financières.

Il est vrai que sur l'emplacement actuel du jardin public qui donne sur la mairie pourrait alors être aménagé un bel espace pour les spectacles de SOS-Racisme et/ou des groupes liés à la radio Skyrock, des structures qui, depuis mars 2008, ont l'appui actif du maire d'Asnières pour accroître leurs activités dans la commune.

Car, à bien y regarder, ce projet de parking souterrain intègre aussi des modifications substantielles en surface qui, cela est intéressant à noter, correspondent aux souhaits discrets du maire de faire d'Asnières à terme une ville qui attirerait des évènements musicaux, culturels et artistiques de plein air.

Si cela coïncide avec les intérêts des amis du maire et de son Directeur de Cabinet qui dirigent Skyrock et SOS-Racisme, c'est bien sûr par le plus parfait hasard.....

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Projets urbains: interrogations et critiques fusent....

Le Conseil municipal du 7 juillet 2009 a été encore l'occasion d'échanges amènes entre élus, mais, curieusement, les sujets qui intéressent le niveau et la qualité de vie des habitants d'Asnières n'ont pas été les plus touchés par les échanges contradictoires.

Ainsi en est-il du projet d'une nouvelle ZAC visant à encore densifier Asnières, une ville déjà surpeuplée, et ce de l'avis de toutes et tous, urbanistes et statisticiens inclus!

L'idée d'une ZAC de plus est d'autant plus absurde qu'elle va à l'encontre directe des critiques passées (très justes au surplus) des élus aujourd'hui au pouvoir en mairie: manque d'espaces verts, sur-densification du territoire communal, perte de la qualité de vie, difficultés de circulation, de transport et de stationnement, etc....

Il est en effet aussi curieux que ce thème du manque criant d'espaces verts à Asnières ne soit pas abordé par ces élus qui semblaient naguère s'en préoccuper avec sincérité. Le projet de parking sous le parc public situé derrière l'Hôtel de Ville risque bien d'aboutir à des pertes accrues- dramatiques à terme surtout pour les familles avec jeunes enfants- d'espaces verts sur Asnières.

L'élu vert de la majorité municipale, déjà bien silencieux sur les antennes de téléphonie mobile, est aussi muet sur ce sujet pourtant « vert » par essence! Voilà un élu Vert qui n'a pas encore compris le sens du vote « vert » du 7 juin, 2009 lequel traduit pourtant de vraies inquiétudes écologiques et environnementales chez les citoyens-électeurs.

Le dernier Conseil Municipal, comme le précédent, a montré- il est vrai- un maire qui est à l'évidence de plus en plus incapable de « maîtriser » les dossiers qu'il devrait préparer, initier, valoriser et suivre.

Ses réponses et explications manquent souvent, pour le moins, de clarté et de précision. Les citoyens internautes ont même l'impression qu'il réagit plus aux attaques de ses opposants qu'il anime un débat véridique sur la gestion de la ville. Quand il n'étouffe pas des questions ennuyeuses- y compris soulevées par certains de ses adjoints- par des non-réponses ou en entrant dans des polémiques sans intérêt pour personne

Il en est ainsi du dossier- explosif et volatile financièrement- du NOUVEAU PROJET de parking dit de l'Hôtel de Ville, subdivisé en 3 projets techniques.

Parking Centre-Ville version 3: le dossier de tous les dangers

Outre la possible disparition d'espaces verts déjà insuffisants sur la commune, le projet, proposé par Sébastien Pietrasanta, avec ses à-côtés urbanistiques, va dépasser, sur le papier, les 10,1 millions d'euros!!!

Nul ne discute le fait qu'Asnières ait un besoin criant de places de stationnement, mais ce parking est-il en soi la BONNE, et surtout la SEULE réponse aux problèmes de stationnement?

Les critiques fusent déjà et se concentrent sur son coût financier pour la commune ( pour une ville très endettée, la dépense finale sera en effet très lourde), l'insuffisance du nombre de places offertes ( la densification de la population à Asnières rend cette critique plus que recevable), les raisons du refus du maire actuel de reprendre les études antérieures acquises à la Ville (et qui ont coûté au total plus d'1,4 million d'euros aux habitants sans aucun résultat), le sort définitif du jardin public. Bref, les inquiétudes légitimes sont nombreuses et multiples.

De plus, des interrogations apparaissent au grand jour sur les aspects légaux du projet, notamment sur le sort administratif et juridique du dernier Permis de Construire délivré sous le maire précédent.

Par ailleurs, quel que soit le projet retenu- les citoyens doivent comprendre que le nombre de places de stationnement payant créées par ce parking sera à diminuer de près de 50 places en surface que la réalisation de l'ouvrage fera disparaître. C'est là un argument à retenir pour les élus et les habitants, quand il faudra établir l'intérêt global public du projet.

Autre observation de bon sens citoyen: ne pourrait-on pas intégrer ce projet dans un cadre plus large, le lier à une vision de politique urbaine globale et cohérente, rétablissant et créant des places gratuites en surface, abaissant les tarifs des zones commerçantes payantes et aménageant les ZAC nouvelles en tenant compte du besoin crucial d'espaces verts et de stationnement?

L'ancien élu de Manuel Aeschlimann, Laurent Martin Saint Léon, a raison de pointer certains aspects du dossier ( il en laisse beaucoup d'autres de côté) dans son Communiqué que nous publions in extenso pour information, malgré ses omissions.

Notre rédaction a seulement corrigé quelques fautes de français et de ponctuation ( sous sa propre responsabilité)

Communiqué de presse,

"Parking centre-ville, 1,4 millions d'euros dilapidés, les Asnièrois paieront deux fois"

Asnières-sur-Seine, le 8 Juillet 2009

"Laurent Martin Saint Léon, ancien adjoint au Maire d'Asnières-sur-Seine (UMP) a déposé le 6 Juillet 2009 un recours devant le Tribunal Administratif de Versailles afin d'obtenir l'annulation de la délibération du 7 Mai 2009 ayant pour objet le versement d'une indemnité transactionnel de 551 000 euros par la commune d'Asnières auprès (en faveur-NDLR) de la société GISPARCS.

Pour l'ancien élu, rien ne justifie le versement de ces sommes, la place Aristide Briand étant demeurée intacte. De plus, les études évoquées par GISPARCS et rachetées auprès de la société GESPACE ont comme source d'autres études effectuées pour un premier projet en 2002 et annulé par le Tribunal Administratif, saisi par le Préfet des Hauts de Seine.

La ville avait alors versé 620 000 euros pour indemniser( régler ou payer-NDLR) ces études.

En indemnisant GISPARCS sur la base de ces études, les contribuables asnièrois sont donc lésés et se voient contraints de payer à nouveau alors que rien dans le contrat de concession ne l'imposait et que la ville disposait d'un droit à l'usage de ces études.

Laurent Martin Saint Léon souhaite qu'un parking soit rapidement construit et engage l'équipe municipale du"Grand Rassemblement" a (à) faire très vite toute la lumière sur le versement de cette indemnité de 551 000 euros qui intervient au moment ou (où) les Asnièrois se voient imposer une hausse de 17 % de leurs impôts locaux."

Damien Vallot: blessé en juillet 2008, honoré en 2009

La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes félicite le Commissaire Damien Vallot, de la police nationale, qui a reçu la médaille de l'Ordre National du Mérite, lors d'une cérémonie qui a eu lieu le 12 juin 2009.

Il a en effet été décoré et honoré pour son courage personnel et civique par Monsieur Patrick Devedjian. Damien Vallot est désormais en poste à La Défense.

Ce jeune fonctionnaire de police avait été gravement blessé à l'oeil lors de violents affrontements entre des personnes non-identifiées et la police nationale à Asnières le 13 juillet 2008. Ces violences avaient servi à l'époque de prétexte et de point de départ à une campagne des époux Aeschlimann contre la municipalité sur le thème de la sécurité.

Cependant, si nous nous réjouissons du retour en fonction avec promotion méritée de Damien Vallot, il reste que nous souhaiterions bien connaître les résultats de l'enquête du Parquet de Nanterre sur les origines de ces violences et les identités des personnes impliquées.

Surtout AVANT l'anniversaire de ces affrontements, ces informations en provenance du Parquet de Nanterre seraient les bienvenues.

Encore plus que la médaille accordée et remise à Damien Vallot pour sa bravoure, celui-ci souhaiterait aussi avec légitimité que les auteurs de sa blessure soient tous identifiés et sanctionnés.

C'est en tout cas aussi le souhait sincère et citoyen d'Asnières Nouvelles Citoyennes.

Marylise Dipusu

Chapitre 171 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008