mercredi 28 octobre 2009

Asnières: un quartier se rebiffe contre le mépris et la vérité sur les CCQ manipulés!



Un citoyen asnièrois, récent lecteur d'Asnières Nouvelles Citoyennes, habitant du quartier Flachat exprime bien la situation sur la pseudo-concertation dont les fils manipulateurs apparaissent de plus en plus au grand jour:

« Les politiques sont en général des manipulateurs professionnels, mais à Asnières, nous avons affaire à des amateurs complets, à des « caves de la concertation ». Ils nous prennent, eux, pour des « caves », mais les caves asnièrois se rebiffent ».


L'article ci-dessous met bien en lumière ce sentiment largement répandu dans la ville sur cette concertation trompeuse et truquée. Les CCQ et les commissions diverses ne sont que les diverses facettes ou fils de marionnettes d'une seule et même manipulation qu'il importe de dénoncer tant elle est teintée d'un mépris absolu des habitants.


Dans le quartier Magenta, particulièrement, cette vérité est maintenant bien rentrée dans tous les esprits. Du coup, les manipulateurs perdent leurs repères et font face à la colère que leurs pratiques honteuses ont générée....


______________________________________________________________


Scoop d'Asnières Nouvelles Citoyennes sur la crise autour du stade Magenta



Finalement, après quelques péripéties qui ont manifesté l'échec total de quelques pitoyables tentatives d'opposer parents d'élèves de l'école Simone Veil et riverains du stade Magenta, le maire d'Asnières, Sébastien Pietrasanta, essaie de reprendre la main sur le dossier de plus en plus explosif des nuisances sonores générées par un stade Magenta rapetissé sous la précédente mandature et sur-utilisé à l'initiative non-concertée de la nouvelle municipalité.


Il a chargé son 4ème maire-adjoint, Luc Bérard de Malavas, en charge des sports, de « déminer » ce dossier très ennuyeux pour lui et qui accentue son rejet dans l'électorat des quartiers résidentiels d'Asnières, bien au-delà du seul quartier Magenta....


Celui-ci a donc fixé une réunion, demandée depuis plus DE 6 MOIS par les riverains excédés, entre élus municipaux et riverains, avec des responsables techniques municipaux, le 2 novembre 2009 à 19h30, soit EXACTEMENT 4 MOIS APRES l'information du maire de la colère des résidents, le 2 juillet 2009, en son bureau!!!


Il semble- sous toutes réserves- que le temps du mépris des citoyens soit dorénavant terminé en mairie: il convient de s'en féliciter.


Comme le démontre le calendrier, Sébastien Pietrasanta est lent à agir quand il s'agit de régler des problèmes simples et précis POUR les citoyens.


La réunion programmée et annoncée semble par contre faire du remue-ménage en mairie où la discussion serait vive sur l'identité des élus qui y participeront.


Selon nos sources, il semble acquis que Mme Annie Lafaye ne sera pas partie prenante à cette rencontre, les citoyens du quartier en colère ne voulant plus du tout avoir affaire avec elle!


Par contre, la présence de la 1ère adjointe au maire, Mme Josiane Fischer- Luc Bérard de Malavas n'étant que 4ème adjoint au maire- paraît ne pas être encore acquise alors qu'en l'absence du maire, cette élue serait, tant par ses fonctions municipales diverses que son mandat de première adjointe, pourtant la plus qualifiée afin d'ouvrir des discussions fructueuses entre mairie et riverains, ceci au nom du maire.


Sébastien Pietrasanta serait en effet assez mal inspiré, après des MOIS DE MEPRIS, d'envoyer aux habitants du quartier très actifs et mobilisés, seulement un 4ème adjoint sans déléguer sa première adjointe en signe de main tendue honnête et attentive de sa part aux vrais problèmes des riverains du stade Magenta, d'autant qu'il s'agit au surplus souvent d'électeurs supposés être proches des positions de la 1ère adjointe.....


Mais, cela n'est que le petit aspect du dossier qui doit être abordé le 2 novembre 2009.


Asnières Nouvelles Citoyennes a eu l'écho d'une autre nouvelle, qui risque de faire du bruit- c'est le cas de le dire- si des progrès sensibles et concrets ne sont pas enregistrés le 2 novembre prochain: excédés de n'être jusqu'ici et depuis 4 mois, ni écoutés, ni entendus, ni respectés, des citoyens du quartier ont décidé l'achat de très efficaces et puissants mégaphones de haute technologie avec bruit de sirène hurlante incorporé.


Selon nos correspondants, leur but serait limpide: « si la mairie ne veut pas nous écouter, elle va alors nous entendre »!


Pour notre part, à Asnières Nouvelles Citoyennes, nous estimons la démarche constructive et légitime, surtout après les nuisances sonores subies depuis des mois par les riverains sans que la mairie ne dresse le plus petit bout d'oreille attentive.


A l'évidence, la réunion du 2 novembre 2009 est une date majeure et décisive pour le règlement ou l'aggravation du conflit existant.


La balle, si l'on peut dire, est dans le camp de la mairie: Sébastien Pietrasanta a tout à gagner à résoudre ce dossier avec soin, finesse et écoute des citoyens.


S'il ne le fait pas, il aurait alors beaucoup à perdre sur tous les plans et générerait un très grave différend avec les habitants des quartiers résidentiels qui comprennent et soutiennent, dans leur immense majorité, les exigences légitimes et naturelles des riverains du stade Magenta.


Concluons sur l'ineffable couple Lafaye, dont le mari est à la fois Président du CCQ Bécon-Bac-Flachat -un CCQ sans logique tant ces divers quartiers ont des caractéristiques propres différentes- et Président de la Commission « Stationnement »!!! Beau cumul pour un mari d'élu qui accumule aussi erreurs et provocations contre la population.....


Aux dernières nouvelles, son « rapport » préconisant l'extension du stationnement payant dans les quartiers résidentiels qui le refusent depuis toujours, aurait été classé sans suite par le maire. C'est en tout cas ce que laissent entendre des citoyens qui ont des liens en mairie.....


Si cela est la vérité, cela prouverait que Sébastien Pietrasanta, ancien Professeur d'Histoire, se souvient du passé, des combat et du vote en novembre 1998 des habitants des quartiers concernés contre l'extension du stationnement payant (un vote clair et massif)... et qu'il en tiendrait compte.


Pour le coup, ce serait vraiment une sage, apaisante et bonne décision de sa part!



La concertation-bidon et le mépris des citoyens continue dans les CCQ


Cyril Charbit est en mairie chargé de la concertation, qui, aujourd'hui, relève pour cet homme sympathique d'une forme de mission impossible: faire croire- sans rire aux éclats ou sans rougir de honte- aux citoyens que les CCQ et Commissions thématiques représentent les souhaits des habitants concernés!


Les époux Lafaye- le mari étant en déplacement ou présent, selon les cas- sont un couple qui est à la démocratie locale ce que le mensonge est à la vérité.


Ils sont à l'évidence candidats à la destruction électorale accélérée de leur parti, le PS, à Asnières. Si tel n'est pas le but du PS à Asnières, le maire devrait les « recadrer » car même les militants des époux Aeschlimann frétillent d'une joie intense et sincère à leurs bourdes et erreurs à répétition!!!


Ce n'est pas Patricia Chavinier, souvent abstentionniste dans ces organismes opaques aux complexités étranges, qui va nous contredire, elle qui a souvent le don de remonter le moral faible des époux Aeschlimann par le récit des bévues, fautes et attitudes risibles des élus PS dans ces structures de pure camouflage d'orientations définies ailleurs!


Dans la catégorie " mépris total des citoyens", Annie Lafaye est en passe- ex-aequo avec son conjoint non-élu- de passer à la postérité pour ses méthodes et son langage.


La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a lu le rapport préconisant- en petit comité- l'extension du stationnement payant en zones résidentielles, au motif aussi stupide que ridicule.....que la ville est trop densément peuplée et qu'il existe une insuffisance de places de stationnement (!!!)


En résumé, les politiques densifient la ville, ne planifient rien en termes d'équipements publics et d'aménagement pour les habitants, paient des indemnités confortables inutiles au groupe privé VINCI pour un parking public jamais réalisé en centre ville, et les citoyens devraient « trinquer » dans leur vie quotidienne, payer plus d'impôts sans avoir une place de stationnement de plus, mais des places payantes!!!


C'est le groupe VINCI qui dirige la Commission stationnement à Asnières ou a-t-il infiltré des "amis" dedans pour y faire valoir de nouveaux projets sur Asnières?


Telle est la réflexion-réaction citoyenne qui surgit spontanément en lisant le fameux rapport que plusieurs de nos correspondants jugent « à vomir » dans la forme et le fond.


Un lecteur va encore plus loin et indique: « l'insistance ahurissante des élus PS à réclamer, SANS L'AVIS DES CITOYENS, une extension du stationnement payant dans des quartiers résidentiels serait-elle due à une clause secrète passée entre le maire et VINCI lors du fameux paiement des 551.000 euros d'indemnités indues ? Auquel cas, de l'incompétence surréaliste des époux Aeschlimann qui ont fait perdre à la Ville 1,8 million d'euros, on passerait à la malhonnêteté pure et simple!!! »


Nous ne poserons que deux questions à Madame Annie Lafaye, car plus serait trop cruel pour son esprit si attentif aux vraies demandes des citoyens:


1- Pourquoi son rapport est toujours écrit de manière anonymisée, sans citer les noms et fonctions de qui décide de quoi, les identités exactes de qui a jugé bon ou mauvais tel ou tel projet, de qui a décidé de voter ou de NE PAS SOUMETTRE AU VOTE (!!!)? Peut-elle expliquer pourquoi des citoyens vraiment représentatifs des habitants des quartiers concernés, MEMBRES DES CCQ, ne sont invités qu'à certaines réunions et pas à d'autres, ce dont nous avons les preuves écrites? Serait-ce la faute à Internet, à la Poste ou à une volonté délibérée de cacher des choses peu claires aux habitants concernés?


2- Madame Lafaye aurait-elle l'insigne bonté d'indiquer aux citoyens pourquoi des réunions dûment convoquées ont disparu des compte-rendus publiés par la mairie ( comme celle du 26 août 2009!), qui décide des possibilités ou impossibilités techniques énoncées comme incontournables dans les CCQ, et surtout, COMMENT UN NOMBRE DE PLACES INSUFFISANT DE STATIONNEMENT DE SURFACE VA DEVENIR SUFFISANT PAR LE MIRACLE DU PAIEMENT IMPOSE PAR LA MAIRIE AU BENEFICE PREMIER DU GROUPE VINCI?


Nous souhaitons vivement que la mairie et l'élue citée répondent à nos questions.


Car les citoyens d'Asnières en ont plus qu'assez que les élus de la mairie les prennent pour des idiots, des demeurés ou des personnes incapables de penser intelligemment, de raisonner avec logique et même de compter.....


A force de semer le vent de la manipulation cynique, on récolte la tempête de la colère citoyenne!


Si la mairie s'entête dans cette politique du mépris des citoyens, nous aurons plaisir à répercuter largement et publiquement les pseudo-prodiges hypocrites et malhonnêtes propres à la mairie d'Asnières sur le sujet du stationnement. Sans parler des incohérences et des manipulations en tous genres dont nous avons reçu quelques exemples fort instructifs sur les CCQ!.


Nous le ferons afin de montrer PUBLIQUEMENT ce que nous estimons être des actes et des pratiques totalement malhonnêtes et indignes de vrais élus démocrates.


Nous publierons intégralement les procès-verbaux en notre possession des organismes de cette pseudo-concertation, afin que TOUS LES HABITANTS D'ASNIERES SACHENT QUE LA CONCERTATION ANNONCEE PAR LA MAIRIE N'EST POUR L'INSTANT QU'UNE VASTE ET CYNIQUE MANIPULATION.




Marylise Dipusu



Chapitre 210 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008





mardi 27 octobre 2009

Asnières: dette de la Ville, Dexia et les commenteuses du maire




Ci-dessus, le sigle de la banque DEXIA, nom dorénavant symbole des emprunts "toxiques" pour les communes, départements et régions de France, mais aussi d'autres pays européens.


Alors que Sébastien Pietrasanta se contente encore pour le moment de pérorer sans agir sur les 88% de la dette communale composés de ces "emprunts toxiques", d'autres élus de toutes couleurs politiques agissent, dénoncent publiquement et clairement ( nous en donnons des exemples plus bas) et attaquent en Justice.


Sébastien Pietrasanta va-t-il enfin suivre les exemples de ses collègues qui refusent l'inacceptable, à savoir ce que certains d'entre eux dénoncent comme des "arnaques" de certaines banques qui ont prêté aux collectivités locales et territoriales?


Si cela était le cas, cela permettrait d'identifier avec précision les responsables réels de cet état de fait dangereux pour l'avenir d'Asnières.


Asnières Nouvelles Citoyennes informe les citoyens et vogue sur l'actualité qui touche leurs intérêts, en toute indépendance et toute objectivité.

____________________________________________________________________


DEXIA: les dettes toxiques dans le collimateur des élus de toutes couleurs



Incompétents époux Aeschlimann qui ne comprendraient rien aux emprunts bancaires, accablés de plus par un Directeur Général des Services aveugle qui leur aurait fait- seul et de sa propre initiative bien sûr (!)- monter le pourcentage de taux des dettes dites « toxiques » à 88% de la dette de la Ville, le tout sous la douce proposition négociée avec la direction de DEXIA, les voilà ramenés sous le feu d'une actualité brûlante à l'insu de leur plein gré.


Rappelons-nous les nombreux mensonges de la communication passée des époux Aeschlimann qui vantaient leurs formidables capacités gestionnaires, surtout en matière financière. Le chiffre 88 met ici la vérité crue face à leurs faux effets d'annonce.


A chaque fois donc que les époux Aeschlimann annonçaient avoir abaissé les annuités de la dette municipale en négociant avec DEXIA, la vérité- celle des faits connus aujourd'hui et reconnus par des élus locaux de toutes couleurs politiques- était que la dette enflait et que le remboursement serait plus lourd pour la Ville et ses contribuables!


Depuis quelques jours, face aux dangers financiers qui pèsent sur les communes, les départements et les régions, les élus locaux, qu'ils aient été floués, complices ou arrivent aux affaires, se répandent en annonces d'actions judiciaires contre la banque DEXIA! Certains sont passés des paroles aux actes!


A première vue, pour les élus qui ont été trompés ou qui ont trouvé une dette toxique gigantesque en prenant les rênes d'une collectivité régionale, départementale ou communale, la démarche est saine et les citoyens peuvent aisément y adhérer, voire la soutenir.


A Asnières, le problème est que, si le maire actuel, Sébastien Pietrasanta, s'est beaucoup répandu, pas toujours avec bon sens pour ses propres intérêts, dans les médias sur ce sujet, il n'a toujours pas esté en Justice contre DEXIA.


La raison de cette inaction (pour l'heure), alors que d'autres élus de toutes couleurs attaquent DEXIA sans état d'âme, serait-elle à rechercher dans le fait qu'une plainte de la Ville ouvrirait la boîte à Pandore de la gestion catastrophique d'Asnières par les époux Aeschlimann, voire mettrait à jour le contenu exact des négociations passées entre DEXIA et Manuel Aeschlimann?


On s'interroge: la majorité actuelle, toutes tendances confondues, a, à l'évidence, tout à gagner à rendre public les processus et discussions qui ont abouti à ces 88% de dettes toxiques avec un montant global d'endettement en forte hausse.


Le député PS et Président du Conseil Général de Seine Saint Denis, Claude Bartolone, dit tout haut que cela va coûter une dette de 30% plus élevée pour les collectivités publiques et qu'il estime que DEXIA a commis une arnaque contre les contribuables.


Il a raison.

lien:

http://www.lexpress.fr/actualites/1/credits-toxiques-bartolone-ps-accuse-dexia-d-arnaque_824347.html


Défendre les intérêts des habitants d'Asnières qui vous ont élu pour résoudre LEURS problèmes et améliorer LEUR vie, Monsieur Pietrasanta, ce n'est pas « judiciariser » la vie municipale, c'est établir la vérité des faits et la clarté des vraies responsabilités.


Des villes le font sans hésiter, comme Saint Etienne (42), contre la Deutsche Bank dont les prêts toxiques asphyxient les finances de la commune:

Lien

http://www.lesechos.fr/info/france/020190891852-emprunts-toxiques-saint-etienne-assigne-deutsche-bank.htm


Si Sébastien Pietrasanta n'este pas en Justice contre DEXIA, il sera urgent que les citoyens se posent des questions de fond sur les raisons de cette absence de recherche en paternité des dettes toxiques qui menacent Asnières.....



Ecole Française de Journalisme à Asnières et calamiteuses commenteuses du blog du maire


Donc, le maire annonce avec satisfaction l'installation sur Asnières de quelques 30 emplois, selon lui.


A l'évidence, nul ne saurait contester le fait que l'information est une bonne nouvelle pour la Ville et son économie en recul profond.


Cependant, si la nouvelle est en soi positive, il faut aussi raison garder.


Car, sur le blog de Sébastien Pietrasanta, certains commentaires deviennent d'une obséquiosité hilarante, tant ils sont visiblement « orientés » de manière excessive, donc comique, comme sous le système Aeschlimann. Surtout celles de certaines commenteuses- comme Sabrina, Djamila ou les deux prénoms en même temps- qui ne cessent de rédiger des louanges insipides et répétitives à la gloire du maire.


Pourtant, Sébastien Pietrasanta n'est pas la reine décrite dans le conte de Blanche Neige et les sept nains, cette reine qui demandait sans cesse à son miroir magique de lui détailler ses grâces et ses qualités, malheureusement toujours surpassés par celles de Blanche Neige....


Le chômage et la précarité augmentent à Asnières et ces 30 emplois indiqués ne sont que des emplois qui existaient déjà, transférés de Levallois.... sur notre commune.


Or, ce qui importe est la CREATION D'EMPLOIS PERENNES sur la ville!


Pour l'heure, la stratégie de la municipalité sur le sujet du développement économique est toujours aussi invisible, incompréhensible ou illisible qu'avant le 16 mars 2008.


Certes, on a nommé des gens afin de s'occuper de ce dossier essentiel, on a dépensé des fonds publics, mais quels sont les résultats acquis en termes d'EMPLOIS CREES?


Quels liens ont été initiés et développés? Avec quels objectifs et pour quels résultats? Quels projets et avec combien d'emplois CREES pour les citoyens asnièrois sont en cours de réalisation?


Plutôt que de communiquer sur ce qui est bon en soi, mais ici sans aucun effet concret sur le chômage dans la commune, Sébastien Pietrasanta ferait mieux de mettre au point et développer une vraie stratégie d'expansion économique, avec des idées nouvelles et des axes originaux.


Le dynamisme d'Asnières- dont il parle beaucoup- ne se mesurera pas par des transferts d'emplois existants, mais bien par la CREATION de postes de travail durables.


C'est cela qui intéresse les habitants et sera placé dans le bilan de Sébastien Pietrasanta et de la majorité pluraliste qu'il a mission d'animer et de conduire au succès pour le bien de la population.


Une suggestion: pourquoi Asnières ne se tourne pas vers l'international, les technologies de pointe et la recherche avancée, en lieu et place de commenteuses calamiteuses?



Marylise Dipusu



Chapitre 209 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008




samedi 24 octobre 2009

Asnières: les subventions publiques à l'ACEA, le système Aeschlimann, les « Frères Musulmans » et l'association VITAVIL





Ci-dessus, une photo de Sayed Qotb, un des dirigeants en Egypte des « Frères Musulmans », une organisation religieuse fanatique prônant des sociétés dont la seule loi collective imposée serait la charia islamique. En accompagnement, son livre le plus lu et controversé- véritable appel à la guerre civile- qui lui valut de finir pendu par le régime de Gamal Abd-El Nasser en 1966 pour ce motif, entre quelques autres.


Sayed Qotb, penseur et promoteur de la violence la plus déterminée pour des objectifs d'établissement de théocraties déshumanisées, est aujourd'hui l'objet de nombreuses critiques, mais il est le père spirituel des courants religieux prônant la violence contre tout être humain en désaccord avec une religion donnée.


Curieusement, à Asnières, 10.000 exemplaires de son livre, cachés par des « Frères Musulmans » dans la mosquée de la ville, ont disparu soudain...


Mais, depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, ce livre apologétique de la violence entre citoyens– et qui en a produit dans la réalité historique-, est largement diffusée, y compris via Internet. Il suffit de taper « à l'ombre du Coran » sur Google pour constater ce fait....


Il est donc pour le moins étrange de voir l'Etat français parler de sécurité des citoyens et de paix civile d'un côté et laisser de l'autre en vente libre des ouvrages qui appellent au meurtre de citoyens en fonction de leur religion ou non, au renversement par la violence de la République et à la dictature théocratique!!!


Asnières aurait-elle été aussi de ce point de vue le « laboratoire de la France de Nicolas Sarkozy », une tentative expérimentale en grandeur nature de manipulation des religions et de leurs fanatiques au service d'intérêts politiques très partisans et matériels?


Asnières Nouvelles Citoyennes pose la question au maire actuel d'Asnières, à ses élus et aux médias- comme l'Express- qui s'intéressent aux faits survenus dans notre ville de 2001 à 2008.


Et si à Asnières des subventions publiques MUNICIPALES avaient servi à ces objectifs anti-républicains, dislocateurs de la concorde civile et très dangereux pour la République?


C'est là une grave question auxquels les élus asnièrois de 2009 devraient répondre au nom et en défense des fondements même de la République et de ses valeurs essentielles qu'ils ont vocation à représenter dans la commune.


____________________________________________________________________


La question de l'utilisation des subventions publiques à l'ACEA jusqu'en 2006 est posée. Qu'en pensent les élus actuels d'Asnières?



Deux correspondants d'Asnières Nouvelles Citoyennes nous ont adressé plusieurs courriers électroniques afin de nous faire part de leurs doutes de citoyens, mais aussi de croyants musulmans sur la destination finale d'une partie importante des subventions municipales versées par Manuel Aeschlimann, alors maire d'Asnières, à l'ACEA, association de loi 1901 qui gère la mosquée d'Asnières.


Nos correspondants sont des fidèles du lieu de culte musulman d'Asnières. Ils sont aussi attachés à des principes très importants pour eux, en tant que croyants musulmans, dont l'honnêteté morale et la séparation entre la politique et leur religion.


Ils avaient dans le passé déjà fait part de leur étonnement, lors de cérémonies cultuelles, de la proximité, voire du militantisme peu discret de responsables de l'ACEA et de la mosquée d'Asnières en faveur de l'UMP et des époux Aeschlimann!


C'était avant le 16 mars 2008!


Cette fois, ce ne sont pas ces confusions inquiétantes, quelque peu anormales, qu'ils dénoncent, mais ils souhaitent que des interrogations qui agitent les rangs des fidèles musulmans d'Asnières puissent recevoir un écho public, afin d'aider à apporter les réponses que leur attachement sincère à leur foi appelle à leurs yeux.


Selon ces citoyens, il se murmure, parmi les fidèles de la mosquée d'Asnières, que des sommes importantes d'argent public accordé à l'ACEA pour ses activités, « culturelles » selon la mairie d'avant le 16 mars 2008, auraient été « réorientées » vers le financement de l'Association « VITAVIL », ses épisodiques journaux très luxueux et ennuyeux, les frais d'impression de ceux-ci et, tout au moins officiellement, vers la création de fichiers « associatifs » permettant l'expédition des dites publications à beaucoup d'électeurs asnièrois, notamment ceux qui pourraient être de confession musulmane.


Soulignons ici, pour l'avocat de la mairie partie civile contre Bernard LOTH dans deux affaires de « corruption passive » que les sociétés AVENANCE et DERICHEBOURG POLYURBAINE ont aussi acheté à l'époque des ENCARTS PUBLICITAIRES dans la revue « VITAVIL » dont Bernard LOTH fut le directeur de publication très éphémère!!!


Toujours selon ces sources, une partie des sommes versées aurait servi à « acheter », c'est le mot utilisé par nos correspondants, des « relations » au sein des croyants musulmans d'Asnières pour la mairie et l'UMP locale, notamment des jeunes proches de la mosquée..... afin de servir la politique du maire de cette époque, Manuel Aeschlimann.


Les mêmes personnes nous ont fourni des noms précis, mais insistent surtout sur le fait que les liens mairie- mosquée auraient été, selon eux, assurés jusqu'en septembre 2006 par..... Francis Raminé Pourbagher, actuel employé de l'Ambassade d'Iran à Paris!!!


Si l'on en croit nos lecteurs, l'attitude de Monsieur Pourbagher, qui se réclamait du chiisme iranien alors que la quasi-totalité des fidèles de la mosquée d'Asnières est de tendance sunnite et respectueuse des lois républicaines, a souvent « heurté » les profonds sentiments religieux des fidèles de ce lieu de culte....


Nos correspondants établissent un rapport direct entre l'arrêt des demandes de subventions publiques municipales par l'ACEA après 2006 et l'éviction de son poste en mairie, en septembre 2006 justement, de Monsieur Pourbagher, licencié par le maire de l'époque, Manuel Aeschlimann.


La remarque sur la corrélation des dates est intéressante, il est vrai, et mérite, selon nous, attention, notamment de la part des élus municipaux actuels.


Nos interlocuteurs précisent aussi que l'association VITAVIL comptait dans ses rangs des dirigeants de la mosquée qui fréquentaient assidument la mairie et.... des réunions DISCRETES de l'UMP dans le quartier nord de la ville!


Cela, nous le savions aussi de par la liste publique des membres fondateurs de VITAVIL que nous détenons.


Cette association « VITAVIL » disparut aussi vite qu'elle était apparue, probablement du fait que Manuel Aeschlimann avait accepté le principe de prendre sur sa future liste municipale Bernard Loth et quelques membres de ladite association, sachant que les promesses qu'il faisait n'engageaient- comme il l'a si souvent dit- que ceux qui les avaient entendues.


Par ailleurs, nos lecteurs apportent une lecture, intéressante à plus d'un titre, de l'affaire, vite étouffée par le Ministère de l'Intérieur de l'époque, des 10.000 exemplaires du livre d'apologie à la violence entre citoyens intitulé: « à l'ombre du Coran ».


Selon eux, ces 10.000 livres, qu'ils désavouent et condamnent, ont été placés dans les locaux de la mosquée d'Asnières par des proches des « Frères Musulmans », un groupe religieux musulman fanatique.


Les responsables de l'ACEA auraient été informés de ce « stockage » et l'auraient accepté, bien que de mauvais gré selon nos correspondants.


Lors de la découverte accidentelle du stock de ce livre explosif, selon nos informateurs, Manuel Aeschlimann serait intervenu auprès du Ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy, afin que les choses soient calmées, pour ne pas dire « étouffées »!


En échange de cette intervention protectrice et salvatrice, car un vaste scandale public aurait pu avoir des retombées importantes négatives sur la direction de l'ACEA, l'ancien maire aurait « convaincu » les dirigeants de l'ACEA de lui faire allégeance....


En résumé, il semblerait que les subventions municipales accordées par les époux Aeschlimann à l'ACEA aient eu un objectif politique partisan, et non culturel comme il fut annoncé à l'époque.


Il semblerait que les relations avec les responsables de l'ACEA et de la mosquée d'Asnières aient été pour le système Aeschlimann un outil de mainmise sur un électorat particulier, visé comme tel, et nommé par des militants UMP locaux, « l'électorat musulman ».


Il apparaîtrait donc, si on suit le raisonnement fort pertinent de nos correspondants, que ces subventions publiques s'intégraient dans un plan d'ensemble de contrôle POLITIQUE par le système Aeschlimann des électeurs de confession musulmane (ou supposés tels) d'Asnières sur Seine, via les dirigeants officiels de la mosquée, ainsi « tenus » matériellement pour le développement de leurs activités par ces apports d'argent public...


Une hypothèse, qui, vu ce qu'était le système Aeschlimann et les accusations portées par la Justice contre Bernard Loth en 2009, mérite largement que les élus actuels d'Asnières sur Seine constituent une Commission d'enquête municipale sur l'usage exact des sommes d'argent public versées à l'ACEA.


Pour information et réflexion à l'attention des élus d'Asnières, un lien qui offre quelque intérêt sur le sujet dans son contexte de l'époque:

http://www.betapolitique.fr/Comment-Nicolas-Sarkozy-achete-ses-00432.html




Marylise Dipusu



Chapitre 208 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008




jeudi 22 octobre 2009

Asnières: des progrès dans le dossier Magenta et deux élus obséquieux ridiculisés



Ci-dessus une publicité de film dans lequel joue notre concitoyen Nicolas Marié, qui vient d'adresser un courrier à la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes que nous publions avec joie tant il contient des nouvelles positives.


Nous avons retenu cette photo pour accompagner cet article car le titre du film semble avoir été écrit pour les riverains du stade Magenta, victimes directes de la gestion désastreuse et sans attention aux citoyens du quartier des époux Aeschlimann entre 2001 et 2008 (construction d'une école de quartier inadaptée en surface et en volume par rapport aux besoins scolaires connus et prévus, diminution de 30% du stade Magenta, densification de la population de la commune, insuffisance des équipements sportifs à Asnières).


Par ailleurs, la petite phrase en haut de l'affiche nous a paru un clin d'oeil humoristique à notre concitoyen, qui, sur l'affiche, semble bien entravé. Cette phrase est en elle-même un petit programme pour les simples citoyens: "Quand les petits s'attaquent aux grands".


La phrase prend encore plus de saveur après l'échec retentissant des prétentions irréalistes de Jean Sarkozy sur l'EPAD du fait de l'immense mobilisation citoyenne, celle des petits, des sans-grade, contre cette candidature d'un fils de Président qui n'avait rien d'autre que sa filiation à faire valoir!


Voici la lettre de Nicolas Marié à Asnières Nouvelles Citoyennes.


__________________________________________________________________


Chers amis,


Suite à la parution du message aux élus de de notre association dans vos colonnes, permettez-moi d'apporter les précisions suivantes:


Chacun aura compris le désarroi des riverains devant l’incapacité, principalement de Madame Lafaye, à gérer le dossier des nuisances du stade Magenta.


Chacun, je l’espère, aura aussi compris à travers notre lettre à Monsieur Pietrasanta, que ni les enfants du centre aéré, ni ceux de l’école ne sont responsables de cette situation.


Les responsables, nous les connaissons tous.


Il est en effet bon de rappeler que cette école a été construite sur ce stade par la précédente municipalité, autiste à l’époque, à toutes les mises en garde.


Mise en garde des utilisateurs qui voyaient leur stade diminué de plus du tiers alors que les espaces sportifs des enfants sont notoirement insuffisants à Asnières.


Mise en garde des riverains qui, déjà, alertaient- en vain- le maire et les élus de l’époque sur les conséquences (nuisances sonores) que génèreraient cette implantation sur le stade.


Les choix faits à l’époque par le maire précédent et son équipe n’ont pas été les bons et, une fois de plus, ce sont les Asniérois qui en subissent les conséquences.


Un stade réduit en peau de chagrin avec le même nombre d’utilisateurs, voire davantage.


Une école qui le jouxte avec 350 élèves.


Pas de séparation phonique entres les deux établissements. Une gestion catastrophique du planning d’occupation de ce stade devenu trop petit.


Et c’est l’explosion des mécontentements…!!!


Et on voudrait faire croire à ceux qui regardent ça de loin qu’il s’agit d’une querelle entre utilisateurs du stade et riverains ronchons…


Assez de lâchetés et d’esquives.


La précédente municipalité porte une très lourde responsabilité quant à la situation de tension qui règne aujourd’hui sur le stade Magenta et aux alentours.


Que les nouveaux responsables ne cherchent pas à faire porter le chapeau de cette tension aux utilisateurs et riverains. Les uns comme les autres en sont victimes.


Suite à notre message à Sébastien Pietrasanta, Luc Bérard de Malavas, Maire-adjoint, nous a informés qu'il entend organiser une réunion sur le stade avec les riverains et les responsables de la mairie.


Souhaitons qu’il s’agisse là, enfin, de la mise en place d’une vraie structure de travail, dont l’objectif sera le « mieux vivre ensemble dans le respect de chacun ».


Bien cordialement à vous


Nicolas Marié

Président de l’association Environnementale Magenta


________________________________________________________________________________


Commentaires de la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes sur le dossier du stade Magenta



Nous prenons acte avec plaisir des informations que nous communique le Président de l'Association Environnementale Magenta, Nicolas Marié.


Si les engagements annoncés par Luc Bérard de Malavas au nom de la mairie sont tenus, alors, il s'agit d'une excellente nouvelle pour la démocratie dont chaque citoyen asnièrois peut se réjouir.


Tout élu qui respecte les habitants et manifeste son souci de concourir activement et honnêtement à la solution des nuisances sonores subies par les riverains du stade Magenta agit selon des principes sains et républicains.


Les élus qui corrigent leurs fautes et lenteurs passés s'honorent de vouloir ensuite rattraper ces erreurs et retards.


Certes, nous observons que la mairie a eu besoin de plus de 6 mois pour enfin réunir riverains et responsables municipaux. Mais, comme dit un dicton, il n'est jamais trop tard pour bien faire.


Nicolas Marié souligne que les nuisances sonores dont souffrent les riverains du stade Magenta ont pour origine première les décisions de Manuel Aeschlimann et son équipe. Cela est exact.


C'est pour cela que la lenteur des réactions de la mairie actuelle est encore plus incompréhensible.


Une équipe nouvelle, qui a fait campagne auprès des citoyens, contre, justement, les pratiques désastreuses et méprisantes de l'ancienne municipalité aurait dû réagir bien plus vite, d'autant qu'elle avait ainsi beau jeu de montrer encore une fois l'incurie avérée de l'ancien maire.


Mais, quoi qu'il en soit, Asnières Nouvelles Citoyennes est heureuse de ces nouvelles et ne peut que souhaiter que les riverains puissent enfin voir leurs nuisances sonores traitées avec efficacité.


Nous nous honorons d'avoir (un peu) contribué au déblocage de la situation car une crise- dans une ville comme Asnières sur Seine- n'est profitable à personne.


Bien évidemment, nous suivrons avec attention le traitement de ce dossier et les résultats concrets des discussions entre riverains et mairie.


________________________________________________________________________________


Marie-Dominique Aeschlimann et Cyrille Dechenoix face à « l'ami » qui abandonne ses ambitions sur l'EPAD



Les temps sont durs pour Nicolas Sarkozy, son fils Jean et les « suivistes » UMP du département des Hauts de Seine.


Après les excuses de Nicolas Sarkozy quant à ses déclarations outrancières sur le procès Clearstream qui a tourné à l'avantage évident de son adversaire intime au sein de l'UMP, Dominique de Villepin, après les reculs sur les fronts sociaux, de France-Télécom à la SNCF, après le retour des affaires judiciaires sensibles sur le devant de la scène médiatique mondiale, voilà que Jean Sarkozy annonce sur France 2 qu'il RENONCE à ses ambitions concernant la présidence de l'EPAD.


Il faut dire qu'y compris parmi ses amis politiques, mais aussi au sein des directions des grandes entreprises multinationales qui siègent à la Défense, sa candidature était pour le moins diversement appréciée, voire franchement rejetée!


Il reste à Asnières deux élus qui ont essayé de jouer les laquais les plus obséquieux en soutien surréaliste aux prétentions du fils peu studieux de Nicolas Sarkozy: Marie-Dominique Aeschlimann et Cyrille Dechenoix.


Les sondages ont pourtant montré que ces deux élus avaient commis une grossière erreur politique: l'opinion publique nationale était massivement vent debout, y compris la majorité de l'électorat de l'UMP, contre cette candidature ridicule et insensée!


Maintenant, les deux élus asnièrois, qui chacun pour leurs petits intérêts électoraux, avaient cru pertinent de soutenir sans aucune dignité les ambitions démesurées et saugrenues de Jean Sarkozy, passent pour ce qu'ils ont montré d'eux-mêmes: des élus serviles insouciants de l'intérêt public.


A force d'avoir voulu coller aux basques peu fiables de Jean Sarkozy qui veut beaucoup, mais peut très peu, voilà deux élus ridiculisés publiquement.


Ils ont bien mérité cette gifle publique! Puisse-t-elle leur servir de leçon pour l'avenir.....



Marylise Dipusu



Chapitre 207 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008