dimanche 14 décembre 2008

Asnières: Sébastien Pietrasanta assure la renaissance politique des époux Aeschlimann!


"Les Revenants sont de retour", tel pourrait être le titre de la mauvaise histoire qui se joue à Asnières depuis quelques mois, "les Revenants" étant les époux Aeschlimann chassés de la mairie et de tout avenir public le 16 mars 2008. Pourtant, leurs spectres rancuniers hantent Asnières et menacent son avenir et celle de ses 90.000 habitants. Pour Asnières Nouvelles Citoyennes, les "revenants" Aeschlimann doivent rester dans les limbes spectraux du passé des 7 années de plomb. Asnières doit laisser ses fantômes, ses "mauvais esprits" au passé. Aucun avenir positif n'est possible pour tous les citoyens d'Asnières avec les "revenants" Aeschlimann.


Battus et isolés en mars, « ils « renaissent en décembre: à qui la faute?


« Ils », ce sont les époux Aeschlimann.


Leur renaissance publique depuis quelque semaines, leur réintégration brillante dans la vie politique locale et nationale, leur retour manifeste même sur les « radars » de l'UMP dont ils avaient progressivement disparu suite au combat citoyen acharné depuis 2003, tout cela signe et souligne la déroute totale, définitive de la pitoyable et pathétique stratégie suivie depuis le 16 mars 2008 par Sébastien Pietrasanta et sa garde rapprochée PS.


Cette politique de « conciliation » avec le passé du système Aeschlimann, avec ses pratiques douteuses, ses fautes désastreuses a été décidée et poursuivie malgré, voire contre les conseils, avis, remarques et critiques tant de citoyens, d'associations et d'élus qui ont permis l'accession au siège de maire d'Asnières de Sébastien Pietrasanta.


Le résultat spectaculaire de cette politique, 9 mois après le 16 mars 2008, est digne d'un récit d'horreur ou d'un cauchemar éveillé.


Qu'on se rappelle le 15 avril 2008: ce jour-là, les époux Aeschlimann sont désemparés par la publication du Rapport de la Chambre Régionale des Comptes et la trahison en plein Conseil Municipal de leur « ami », Cyrille Dechenoix. Les deux époux sont entourés par les « affaires », lâchés par leurs « amis politiques ». « Ils » sont considérés comme « finis » par l'immense majorité des observateurs de la vie locale asnièroise et de la vie politique nationale.


Et maintenant, en décembre 2008,


après le refus acharné, têtu, répété de faire payer les 40.000 euros de l'envoi illégal- selon même le Président de la Chambre Régionale des Comptes- à Manuel Aeschlimann;


après les refus acharnés, têtus, répétés, d'ester en Justice publiquement, clairement, au nom de la Ville et de ses 90.000 citoyens, après son audit qui n'apporte rien de fondamental pour les habitants et le futur de la commune;


après les refus réitérés, têtus, acharnés de communiquer même le contenu du mémoire de constitution de partie civile de la Ville dans l'affaire du Festival aux citoyens d'Asnières;


après le refus persistant et incompréhensible de s'assurer des connaissances des « spécialistes » du dossier du Festival International de juin 1998 qui pourraient assurer la défense victorieuse des intérêts de la Ville dont il a la charge dans ce dossier;


après le refus répétés et anormaux de mener une VRAIE politique de renouveau pour la cité, de démocratie citoyenne, avec les habitants des quartiers d'Asnières, de dynamisation économique de la ville, de mettre un coup d'arrêt aux ZAC, au bétonnage et à la surpopulation;


Après tous ces refus qui sont autant d'actes concrets de reniement de son mandat public donné le 16 mars 2008, Sébastien Pietrasanta affronte la REALITE de sa politique, qui, de compromis en compromissions avec l'ancien système, a bâti, constitué, structuré le retour des époux Aeschlimann sur la scène publique et politique.


Car, nul ne peut s'y tromper ou se tromper soi-même: le retour des époux Aeschlimann est le FRUIT NUISIBLE et MALSAIN de la politique « conciliatrice » de Sébastien Pietrasanta et de sa garde rapprochée avec le système Aeschlimann et ses représentants.


Personne ne saurait s'y tromper sauf à vouloir abuser les citoyens d'Asnières: Sébastien Pietrasanta et sa garde rapprochée n'ont pas rompu sur L'ESSENTIEL avec le système Aeschlimann, ni ses objectifs politiques. Ce faisant, ils ont légitimé le système, ils l'ont sauvé, ils l'ont préservé. Et maintenant, ils le font renaître de ses cendres de mars 2008.


Les époux Aeschlimann n'ont AUCUN MERITE D'AUCUNE SORTE dans leur résurrection publique qui est toute entière l'oeuvre du maire actuel, qui de reculs en abandons, de reniements en trahisons, a trahi, renié et détruit tous les espoirs nés en mars 2008, espoirs placés en lui et son équipe.


Même les victimes des calomnies, procès et campagnes de diffamation du système Aeschlimann ont été trahis, abandonnés, laissés de côté par le Premier Magistrat de la commune!


Sans un mot de condamnation du passé, sans un regret pour leurs souffrances, sans même un geste pour les réhabiliter moralement, sans un soutien dans leurs actuelles procédures judiciaires!!!....


Qui oserait serrer la main des époux Aeschlimann et leur accorder le moindre soutien si la Ville avait agi en Justice contre tous les délits et anomalies financiers constatés par la Chambre Régionale des Comptes?


Qui leur accorderait le moindre crédit si tous les délits ou infractions dont ils sont comptables devant la loi avaient été poursuivis sans état d'âme par la Ville?


Qui aurait osé venir soutenir à l'Espace Concorde les époux Aeschlimann, qui aurait pu écrire des mots de soutien et leur redonner du crédit politique au nom de l'UMP si la municipalité issue du vote du 16 mars 2008 avait fait son travail de nettoyage des « écuries d'Augias » à Asnières en poursuivant TOUS LES DELITS CONNUS DE TOUS, des élus locaux, départementaux, régionaux, nationaux, du Procureur de la République, du Président de la République, de Ministres, de responsables de l'UMP, pourtant tous au courant des dispositions de l'article 40 du Code de Procèdure Pénale ?


La réponse est évidente: PERSONNE!!!


Le bilan, concentré dans cette réunion publique UMP à l'Espace Concorde, est accablant pour les choix politiques de Sébstien Pietrasanta et de sa garde rapprochée.


En 9 mois de gestation, Sébastien Pietrasanta et ses proches ont REUSSI L'EXPLOIT de RESSUSCITER POLITIQUEMENT LES EPOUX AESCHLUMANN tout en accumulant erreurs graves et aveuglements gestionnaires lourds de conséquences négatives – notamment en termes de fiscalité etde surpopulation- face à la crise actuelle.


D'une occasion unique, rarissime, durement acquise par les citoyens libres d'Asnières de donner à notre cité un destin d'avenir digne, serein et rassurant, ils ont fait le lit, au sens propre du mot, du retour public des époux Aeschlimann.


Et ILS CONTINUENT.....


Il importe maintenant que les citoyens et élus libres d'Asnières redressent la situation.


Nombreux sont déjà celles et ceux qui s'engagent sur ce chemin afin de préserver notre cité du spectre du retour des époux Aeschlimann en ouvrant une issue positive, démocratique, citoyenne à tous les citoyens. Asnières Nouvelles Citoyennes se fera aussi l'écho et l'agent organisateur de ces forces qui s'organisent.


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Bétonnage, population surdensifiée, ZAC coûteuses, on continue comme avant!


Manuel Aeschlimann et son épouse ne peuvent que se féliciter et remercier la municipalité actuelle issue du vote du 16 mars 2008.


Les errements, les faiblesses, les zigzags, les lâchetés, voire les échecs parfois prévisibles de cette municipalité nourrissent la renaissance publique des époux Aeschlimann, que nous avons tous pu constater récemment à l'Espace Concorde.


D'abord pour sa douce mansuétude, son onéreuse (pour les contribuables) clémence envers eux. Ensuite, pour leur avoir redonné ainsi espoir, force et confiance en eux pour l'avenir. Et ils ont bien raison d'apprécier ces cadeaux inespérés, les époux Aeschlimann, ce qu'ils font chaque jour sur leurs blogs, sites et tracts qui ridiculisent et moquent la majorité actuelle.


Nous avons eu, vu et lu l'audit-tartuffe, véritable aveu d'impuissance et d'absence de courage politique, qui se refuse à accuser ouvertement et publiquement les époux Aeschlimann, des délits manifestes que leurs principaux collaborateurs Bernard Loth et Cédric Sirugue notamment ne pouvaient pas ignorer vu leurs fonctions, délits dénoncés par le Rapport de la Chambre Régionale des Comptes et non-poursuivis par la majorité municipale actuelle.....


Comme tous les citoyens l'ont bien compris, cet audit-tartuffe revient au final à « couvrir », à accepter, donc à faire payer par les contribuables asnièrois, les innombrables anomalies commises sous le système Aeschlimann.


Tous ont bien compris que la Municipalité actuelle a décidé de ne pas vouloir récupérer les millions d'euros ainsi évaporés, cela est une aveuglante évidence, mais que de plus, elle met tous ses pas dans les traces du bilan désastreux de l'équipe Aeschlimann!


Et continuer cette politique a de bien REELLES CONSEQUENCES, toutes négatives, pour tous les citoyens.


Ainsi, tous les citoyens asnièrois qui circulent, stationnent et marchent dans la ville constatent avec colère et angoisse que les conditions sur ces plans continuent à se dégrader.


Ceux qui en douteraient n'ont qu'à s'intégrer quelques jours dans les embouteillages matinaux et de soirée qui asphyxient la commune, notamment vers le Pont d'Asnières, la Place Voltaire, et les voies publiques essentielles de la cité!


Ces problèmes accrus et croissants vont aussi être nourris par la poursuite acharnée de la sur-densification et du bétonnage. Asnières continue à marcher vers les 100.000 habitants. Et cette marche forcée passe par des ZAC nouvelles, comme les 3000 habitants nouveaux possibles, mais nullement certains de la ZAC dite « Bords de Seine » et la rénovation urbaine!


La Ville fonce vers des difficultés dont la gestion va devenir quasi-impossible, en termes de circulation, de stationnement et de transport sur un territoire limité avec une population excessive aboutissant à une véritable surpopulation incontrôlée.


En clair, la qualité de vie des habitants d'Asnières est promise à une dégradation accélérée!


Pire encore, et le passé des ZAC à Asnières aurait dû pourtant alerter les élus actuels et les conduire à changer radicalement d'orientation, la ZAC Bords de Seine pourrait bien générer de nouveaux problèmes financiers pour les finances municipales. Le mot de déficit possible abyssal est déjà énoncé par certains!


Il est vrai que poursuivre une ZAC dont le dossier initial avait été sévèrement critiqué par les élus actuels alors dans l'opposition et dont la clarté avait aussi été étrillée par la Chambre Régionale des Comptes, le tout en pleine crise qui touche maintenant l'immobilier, est une forme de gageure éloignée du bon sens.


La Municipalité s'est ici lancée sans hésiter dans la poursuite à contre-temps de cette ZAC au coût encore mal défini pour la Ville!


A vouloir trop densifier la commune, avançant ainsi dans le processus insensé lancé par les époux Aeschlimann au détriment de la qualité de vie quotidienne des habitants d'Asnières, les élus actuels se préparent à devoir affronter des situations de plus en plus critiques qu'ils auront eux-mêmes fabriquées afin de poursuivre la politique suicidaire pour notre ville de la précédente équipe.


Pendant ce temps, rassurés sur le peu d'empressement- pour être aimable- de la Ville à poursuivre leurs délits personnels fautifs, ce qui les renverrait immédiatement au néant politique, les époux Aeschlimann jubilent ouvertement, se refont une virginité politique et fourbissent ostensiblement les arguments-chocs qui concourront à frapper durement la majorité actuelle, à la disloquer et à l'abattre.


La majorité actuelle semble atteinte d'incompréhension totale des réalités vivantes et s'isole de plus en plus de son électorat multiple, tout à sa recherche d'une continuité réelle entre les mandatures passée et présente.


Une citoyenne commente ainsi cette orientation de la majorité de grand rassemblement: « ils ont cherché à apaiser Asnières, ils ne font qu'affaisser Asnières ».

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Policiers Municipaux: la grogne monte.....et le maire se rassure tout seul.


La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes, comme d'autres blogs et sites, a reçu des informations précises sur le mécontentement grandissant des policiers municipaux dont la presse s'est faite avec ironie l'écho.


La gestion et la direction « politiques » des policiers municipaux à Asnières laissent à désirer, c'est le moins que toute personne sensée peut constater.


Au Cabinet du maire, il semble que loin de prendre la vraie mesure des problèmes qui s'exacerbent -et que certains amis de l'ancien maire aiguisent depuis des mois- (n'est-ce pas, Monsieur Dias, élu municipal?), on fait semblant de ne rien savoir, ne rien comprendre et ne rien voir.


Là aussi, les orientations « conciliatrices » du maire, ajoutées aux bourdes de certains de ses élus, loin de rassurer et d'apaiser les inquiétudes des agents de la police municipale, n'ont fait qu'accroître le malaise existant.


Ce qui se passe avec les policiers municipaux est révélateur du problème général: le maire apparaît aux citoyens et à ses propres fonctionnaires comme éloigné des réalités, indécis par peur d'agir avec résolution et incapable de compréhension des dossiers dont il a l'héritage et la charge.


Pourtant, chacun comprendra que ce n'est pas par des mots creux, des déclarations absconses et des postures artificielles de circonstance que le maire échappera aux problèmes urgents qui montent ici et ailleurs, en fait de tous les côtés.


Nul n'ignore de plus que son cabinet essaie de gérer les affaires de la Ville sans en avoir même la connaissance approfondie du fait que les personnes en charge, indépendamment de leurs compétences propres, n'ont pas acquis une connaissance « suffisante » des dossiers asnièrois, de leur « historique », de leurs spécificités, voire des pièges et/ou manipulations que certains faits peuvent dissimuler.


Marylise Dipusu


Chapitre 66 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

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