La photo de Manuel Aeschlimann que nous présentons le montre dans sa campagne de diffamation publique contre la Fondation Ostad Elahi, une fondation parisienne reconnue d'utilité publique.
Récemment, Manuel Aeschlimann a eu une discussion avec l'avocat représentant juridique de cette Fondation. Cette initiative a été un échec cuisant pour lui. Comme le fut le déjeuner auquel il avait invité Sébastien Pietrasanta!
Dorénavant, sa tactique habituelle de "dénoyautage" des possibles oppositions se heurte partout à des échecs répétés.
Les époux Aeschlimann sont aux abois.
Leurs manoeuvres de plus en plus désespérées le prouvent. Et plus les 29 et 30 janvier 2009 se rapprochent avec la menace d'une lourde condamnation exemplaire, plus Manuel Aeschlimann s'agite en pure perte dans tous les sens, ne parvenant qu'à s'isoler et s'enfoncer encore plus dans les difficultés.
Pendant ce temps, l'ADECA saisit PUBLIQUEMENT et OFFICIELLEMENT le maire d'Asnières et tous les élus municipaux sur les délits constatés par la Chambre Régionale des Comptes.
Et Asnières Nouvelles Citoyennes publie les faits- obtenus aux meilleures sources puisque les deux élus concernés se taisent toujours,-sur le déjeuner entre Manuel Aeschlimann et Sébastien Pietrasanta.
C'est éloquent!!!
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Asnières Nouvelles Citoyennes révèle tout sur le déjeuner secret Aeschlimann-Pietrasanta
Puisque Sébastien Pietrasanta et Manuel Aeschlimann n'ont pas souhaité, en toute transparence publique, donné leurs versions personnelles de leurs discussions lors du désormais fameux « déjeuner secret » près de l'Assemblée Nationale – ce que nous regrettons car ils ont perdu là une occasion réelle de manifester leur sincère respect des citoyens d'Asnières- Asnières Nouvelles Citoyennes tient son engagement public et révèle tout sur ce repas qui devait rester secret, en se fondant sur nos multiples sources concordantes..
Si des erreurs ou imprécisions leur apparaissaient dans notre récit, les deux élus politiques ont la faculté de produire un droit de réponse ou d'apporter des correctifs par des messages à envoyer via les commentaires à notre rédaction.
Asnières Nouvelles Citoyennes leur ouvre, en toute transparence, ses colonnes, si tel est leur souhait, à l'un comme à l'autre.
Comme nous l'avons déjà dit, le déjeuner offert à Sébastien Pietrasanta par Manuel Aeschlimann est une initiative de ce dernier, qui a conscience que l'étau des « affaires », des procès et des frais importants que cela occasionne pour son budget privé se resserre.
Autant Manuel Aeschlimann était généreux en termes de procès intentés aux autres quand ils étaient payés avec l'argent public (l'argent des Asnièrois), autant il est beaucoup moins « généreux » dans des procédures lorsque celles-ci nécessitent que son argent personnel soit ainsi dépensé!!!
Le déjeuner, passé les formules de courtoisie préliminaires entre politiques élus, se concentra pour Manuel Aeschlimann sur son souhait- totalement illégitime et infondé- de solliciter l'aide financière publique de la Ville dans les ennuis judiciaires qui l'accablent, à commencer par le procès qui s'ouvrira le 29 janvier 2009 devant la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre concernant un possible délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public ( un cas parallèle est en instruction concernant le marché public des cantines scolaires publiques avec la société AVENANCE).
Selon nos sources, Manuel Aeschlimann a demandé la protection fonctionnelle de la Ville dans les dossiers qui le menacent, soit environ un coût financier potentiel pour la Ville, selon nos correspondants, ..... de 55000 euros!!!
A cette demande totalement ahurissante et d'une rare indécence morale de Manuel Aeschlimann, Sébastien Pietrasanta a justement opposé un refus total motivé par le fait que l'ancien maire est poursuivi pour de possibles délits pénaux par le Ministère Public, et que cela ne peut être couvert par aucune protection fonctionnelle. Ce qui est exact!
On ose espérer que ce refus clair lors du déjeuner ne se trouvera pas nié ou contredit plus tard par des dépenses budgétaires de « protection fonctionnelle » qui n'ont aucunement besoin d'être soumises au vote des élus municipaux.....
Lors de la présentation de cette « demande » surréaliste de faire payer par les citoyens contribuables les frais de défense juridique de l'ancien maire poursuivi pour « complicité de favoritisme » contre justement les intérêts des citoyens contribuables asnièrois, Manuel Aeschlimann a clairement fait comprendre à son invité qu'il avait de gros soucis d'ordre pécuniaire du fait des « affaires » qui l'entourent maintenant.
Face au refus réitéré de Sébastien Pietrasanta de tomber dans le piège à trappes multiples évidentes que lui tendait avec un certain mépris Manuel Aeschlimann, ce dernier a ensuite essayé de négocier une telle possibilité contre des « possibles accords politiques électoraux » pour le futur.
En clair, si l'on sort de la langue de bois habituelle des « politiques », Manuel Aeschlimann voulait montrer à son hôte qu'il était prêt à de larges concessions sur le terrain politique au détriment de ses amis et collègues élus pour peu que Sébastien Pietrasanta manifeste de la « compassion » envers ses problèmes financiers personnels, donc sur les « affaires » qui lui causent tant de soucis.
Selon nos sources, Sébastien Pietrasanta est resté ferme sur sa position, tout en écoutant avec attention les propositions, parfois fort surprenantes, de Manuel Aeschlimann, propositions trahissant une panique et une angoisse qui se maîtrisent de moins en moins.
Sébastien Pietrasanta a dû, en écoutant les propos de l'ancien maire et encore député, se rappeler toutes les promesses et engagements trahis de son vis à vis au cours des 20 dernières années.....
Nous sommes certains que la célèbre maxime cynique que Manuel Aeschlimann aime à citer: « les promesses n'engagent que les idiots qui les entendent et les croient » lui trottait dans la tête lors de ce déjeuner.
De tout cela, il ressort une double conclusion:
1- les époux Aeschlimann sont à un tel point aux abois que Manuel Aeschimann s'est cru obligé de faire cette démarche époustouflante à l'égard de Sébastien Pietrasanta, assortie de propositions d'accords politiques possibles.
2- Sébastien Pietrasanta- si ses positions claires et intègres officielles sont ensuite avérées par aucune trace budgétaire indue de « protection fonctionnelle » accordée à Manuel Aeschlimann, n'a rien fait dont il aurait à avoir honte de le dire à tous les citoyens. Son silence troublant est donc plus une arme contre lui-même que la seule vérité des faits. Son attitude actuelle de silence est donc, dans ce contexte, assez incompréhensible et contre-productive pour lui.
En tout état de cause, la seule information d'un certain intérêt citoyen que l'on peut tirer de ce déjeuner est que Manuel Aeschlimann est vraiment dans une situation politique et financière inextricable.
A cette situation, il ne voyait comme seul issue de sortie que l'aide possible de Sébastien Pietrasanta, aide qui lui a apparemment été refusée, malgré des propositions dont le cynisme moral indigne et le mépris manifeste à l'égard de ses propres électeurs et militants ont tout à gagner à être divulgués à la population asnièroise, qui saura ainsi mieux qui est vraiment son ancien maire et encore député.
Ce que fait donc Asnières Nouvelles Citoyennes, le blog asnièrois qui dit la vérité sans la cacher ou la farder.
Nous souhaitons que d'autres blogs asnièrois aient aussi ce courage et cette volonté morale civique car un tel déjeuner et ses implications pour l'avenir de la commune ne peuvent être tus sans risquer de faire perdre toute crédibilité publique pour les blogs en question.....
Une stratégie de Manuel Aeschlimann en échec patent: la technique du contact personnel pour disloquer les adversités organisées
Asnières Nouvelles Citoyennes entend dévoiler la stratégie de Manuel Aeschlimann dont font partie, entre autres essais de contact, le déjeuner avec Sébastien Pietrasanta et la rencontre avec François Améli, avocat représentant les intérêts de la Fondation Ostad Elahi, longtemps cible de calomnies PUBLIQUES invraisemblables de la part de Manuel Aeschlimann et de ses élus tandis qu'il recevait par ailleurs avec ostentation l'Ambassadeur du régime sanglant de Téhéran en mairie avec tous les honneurs le 21 janvier 2005.
Manuel Aeschlimann a toujours, dans son parcours, escompté utiliser certaines faiblesses bien humaines afin de disloquer de l'intérieur ou, si l'on préfère de dissocier et diviser, les adversités organisées. C'est un adepte tenace de la théorie du « coucou qui va pondre dans le nid des autres ».
Concrètement, Manuel Aeschlimann identifie dans un groupe qui s'oppose, selon son opinion, à lui et à ses ambitions, celles et ceux qui seraient susceptibles, au cours de discussions privées empreintes d'une atmosphère amicale et assorties de promesses éventuelles alléchantes, de quitter le groupe adverse, voire de lui servir de « courroie de transmission-manipulation » dans ledit groupe.
Les exemples de l'usage répétée, sous diverses formes adaptées aux circonstances, de cette tactique abondent dans son parcours politique.
De manière connexe, les trahisons de ces personnes et/ou groupes qui s'en sont OBLIGATOIREMENT suivies jalonnent sa vie politique, à l'égard tant de collègues et supposés amis élus de son propre camp politique ( ADEQUAT, Frantz Taittinger, Josiane Fischer, Gérard Fili, le Collectif contre le stationnement payant en zones résidentielles, etc....).
La liste complète de ces trahisons et reniements formerait un volume imposant.
L'échec de Manuel Aeschlimann avec Sébastien Pietrasanta et Maître François Améli a donc deux racines très profondes:
1- Personne de sensé et quelque peu au courant de l'histoire récente d'Asnières ne peut accorder- avec un minimum de sens commun- la moindre crédibilité aux tactiques maintenant connues par tous de Manuel Aeschlimann, tactiques qui ne pourraient tromper maintenant que des crédules naïfs. Par contre, en agissant de la sorte, il manifeste dorénavant ses faiblesses et ses difficultés, dévoilant par là-même tous les défauts qui peuvent au contraire servir à ses adversaires.
2- Son aura publique de trahisons à foison est telle que sa stratégie aujourd'hui ne peut que se retourner à chaque pas et chaque mouvement contre lui et ses intérêts. Trop de trahisons tue la trahison. Sa stratégie préférée- qu'il n'a jamais su renouveler ou modifier- le dessert maintenant et ne fait que favoriser sa chute.
Voilà pourquoi ce déjeuner avec Sébastien Pietrasanta, puis cette rencontre avec Maître François Améli, sont à la fois de cuisants échecs pour Manuel Aeschlimann, mais aussi le signal public évident de son irrémédiable déclin politique.
Déclin que la plus que probable condamnation pour le délit de favoritisme, condamnation attendue après le procès des 29 et 30 janvier 2009 va encore amplifier et accélérer de son côté.
Où qu'il se tourne maintenant, Manuel Aeschlimann ne rencontre plus que des citoyens et élus qui ne se laissent plus manipuler, ni influencer, ni appâter par ses beaux mots vides et ses promesses emplies de pensées de trahison ultérieure, le tout au profit exclusif de lui-même.
Il se heurte à ce qu'il a LUI-MEME créé, façonné, construit pas à pas: un immense cercle de dédain général, de mépris collectif et de rejet convaincu de ses pratiques, actes et méfaits.
Ce résultat ultime est SON OEUVRE, elle lui appartient en propre: à lui de l'assumer maintenant complètement, seul, de plus en plus seul.....
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Le Président de l'ADECA (Association de Défense des Contribuables Asnièrois), Nicolas Marié, a adressé une lettre à Sébastien Pietrasanta et à tous les élus municipaux que nous vous invitons à lire et à faire lire autour de vous en cliquant sur le lien suivant:
http://adeca-info.blogspot.com/2009/01/lettre-de-ladeca-au-maire-dasnires.html
A l'évidence, voilà une excellente nouvelle pour les citoyens contribuables asnièrois.
Il appartient maintenant à Sébastien Pietrasanta de s'expliquer clairement et publiquement sur les délits constatés par la Chambre Régionale des Comptes entre 2001 et 2007 et sur la position de la Ville- donc de SON CONSEIL MUNICIPAL- quant aux sanctions nécessaires contre ces délits. Sachanbt que nombre de ses élus sont des Officiers de Police Judiciaire en qualité de maires-adjoints!
A l'heure où le maire envisage d'augmenter les impôts locaux de 17% sans oublier les hausses d'autres tarifs publics, sa réponse et celle chaque élu de sa majorité à la lettre de l'ADECA va intéresser au plus haut point les habitants d'Asnières que la majorité municipale compte ponctionner plus encore, ceci sans poursuivre aucun délit manifeste connu de ces élus.
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CORRECTIF
Nous corrigeons notre erreur sur le blog "Mon Asnières" , qui n'est pas proche de Cyrille Dechenoix comme une mauvaise information initiale nous l'avait indiqué.
C'est en fait un nouveau blog indépendant et citoyen d'informations très pertinentes et intéressantes que nous recommandons aux lecteurs qui veulent encore plus s'informer sur la vie publique à Asnières.
Il convient de saluer son scoop sur la visite à Asnières de Jean Sarkozy SANS LES EPOUX AESCHLIMANN, scoop que nous avons cité dans notre précédent article.
http://mon-asnieres.over-blog.com/
Bienvenue donc à ce blog dynamique et soucieux d'informer les citoyens d'Asnières.
Marylise Dipusu
Chapitre 83 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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