samedi 28 février 2009

Asnières: 1942, un pan du passé d'Asnières qui se soulève!





Plusieurs hectares de bois, prés et bâtiments historiques, générant des revenus importants, dotés des agréments les plus officiels, l'Abbaye de Notre Dame du Pin achetée en 1942 par la paroisse catholique d'Asnières sur Seine dans des conditions et pour des objectifs à ce jour non-élucidés est un joyau immobilier de rapport dont la propriétaire est toujours en 2009 une Association asnièroise (l'USSAC de la paroisse Sainte Geneviève d'Asnières).

La chapelle souterraine, pour mystérieuse et cachée qu'elle soit, n'est pas évidemment un repaire de sectes comme Manuel Aeschlimann et ses élus d'hier et d'aujourd'hui ont cru en voir sur Asnières. Elle est classée Monument historique, avec tous les avantages financiers et fiscaux afférents à ce statut.

Par contre, certains des bâtiments, beaux, entretenus (aux frais de qui exactement?), spacieux montrent que l'association a hérité d'un joli héritage de grande valeur financière et foncière.

Il serait intéressant que les motifs exacts de cet achat en pleine guerre, l'origine des fonds qui y ont servi et les buts à l'époque de cette acquisition soient éclaircis, car ils laissent un étrange arrière-goût en une telle sanglante période pour Asnières et le pays.

C'est un pan de l'histoire asnièroise qu'il convient d'éclairer publiquement.

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1942: qui a donc fourni les fonds à la paroisse d'Asnières pour acheter une Abbaye poitevine afin d'en faire un "Centre de Vacances pour des jeunes" en pleine guerre mondiale?


En 1942, Asnières est une ville soumise au régime vichyste de collaboration avec les autorités nazies.

C'est une ville occupée par l'armée nazie depuis juin 1940, appuyée par sa sanglante Gestapo, la Milice pétainiste et toutes les forces de la Collaboration. On y traque les Résistants, on y recherche les citoyens juifs, syndicalistes et francs-maçons y sont pourchassés. Asnières vit ses pires moments d'horreur, d'oppression et de répression.

En 2008, 66 ans après, Sébastien Pietrasanta a fait état, avec son équipe, de son attachement sincère aux valeurs de la République et de son hostilité irréductible, au nazisme et à la barbarie que ce régime a incarnée pour toute l'Europe.

Nous partageons naturellement et totalement ces opinions.

Mais, si Asnières a été le lieu en 1943 de la célèbre réunion de Conseil National de la Résistance, d'autres, dans notre commune, ont eu des attitudes plus discutables, voire parfois curieuses.

Tous les citoyens d'Asnières, tous ses élus, dont Sébastien Pietrasanta, seront donc très intéressés par ce qu'Asnières Nouvelles Citoyennes a découvert, preuves à l'appui, sur un pan caché de l'histoire de notre cité entre 1939-1945.

Rappelons d'abord quelques faits historiques publics connus afin de replacer les informations que nous portons au grand jour dans leur contexte du moment que tous ne connaissent pas.

Fernand de Brinon est à ce moment un pro-nazi français acharné qui s'occupait, entre autres choses, de transférer les biens juifs saisis aux déportés juifs français et étrangers au régime de Vichy, lequel les remettait, au moins en partie ensuite, au régime hitlérien. Il a beaucoup contribué à l'effort de guerre nazi ( la France a dû fournir 75% des produits non-allemands de toute l'Europe utilisés à des fins militaires par le régime nazi).

Cet homme, premier Français à avoir obtenu une interview exclusive d'Adolf Hitler en novembre 1933, est l'ascendant de la colistière de Manuel Aeschlimann, Madame Bernadette Rauscher, Asnièroise de longue date et dénonciatrice en 2003 de la Fondation Ostad Elahi comme secte parce qu'un de ses fondateurs avait...un interphone (sic!!!- fait noté en Cour d'Appel de Versailles).

Fernand de Brinon sera pour cela, et pour d'autres motifs graves liés à son activité pro-hitlérienne entre 1939 et 1945, condamné à mort et fusillé le 15 avril 1947 au Fort de Montrouge ( dans les Hauts de Seine).

Il importe ici de rappeler que Fernand de Brinon était marié lui-même- chose très étrange- à une citoyenne d'origine juive, Jeanne Louise Rachel (surnommée Lisette) FRANCK, qui avait été nommée en 1942 « Aryenne d'honneur ».

Ce statut privilégié- agréé par les autorités nazies sur intercession personnelle de Hitler- preuve de sa confiance et de son amitié ancienne envers Fernand de Brinon- avait ainsi permis à cette femme d'échapper au sort affreux de plus de 95.000 Juifs français et étrangers déportés, puis assassinés dans les camps de la mort nazis.

Pour être complet et afin situer de possibles liens indirects, mais instructifs, avec l'information que nous avons mise à jour, il faut aussi savoir que, malgré ce mariage et sa liaison officielle avec sa secrétaire, Simone MITTRE, Fernand de Brinon ne reconnut jamais aucune paternité légalement!!!

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fernand_de_Brinon

Passons maintenant aux faits avérés qui concernent le passé d'Asnières en 1942.

Asnières Nouvelles Citoyennes a découvert sur un site internet qui relate l'histoire de l'Abbaye Notre Dame du Pin (en Poitou, sur la commune de Béruges) que la paroisse catholique d'Asnières a été en 1942 l'heureuse acquéresse de cette abbaye et de ses monuments historiques afin d'en faire, selon ce site,..... un "Centre de Vacances pour les jeunes" de l'époque.

Pour qui en douterait, nous invitons à suivre ce lien et à lire la conclusion de l'histoire de l'Abbaye où ce fait est indiqué on ne peut plus clairement:

http://abbayedupin.free.fr/index.php?file=history

Le prix, pour ceux que cela intéresse, est consultable sur place sur des documents en archives dont ce lien dit comment et où il est possible d'y accéder:

http://www.archives-vienne.cg86.fr/article.php3?id_article=378

Après la guerre, l'Abbaye est classée par l'Etat Monument historique.

Cependant, des historiens ont cherché à comprendre comment, en pleine guerre- alors que la France est pillée pour approvisionner l'effort de guerre nazi, que l'alimentation des citoyens ne cesse de se détériorer et que la population asnièroise est appauvrie-, la paroisse d'Asnières a subitement pu trouver les fonds pour acheter ce lieu isolé, assez éloigné de la région parisienne (350 km), afin officiellement de le transformer.... en "centre de vacances" pour des jeunes!

Cette acquisition soudaine d'un tel bien d'origine religieuse et ses objectifs précis interrogent donc la mémoire citoyenne et historique asnièroise. D'autant que le bien acheté devait être fort onéreux!

Peut-être les archives paroissiales catholiques d'Asnières pourraient éclairer cet achat si surprenant dans un tel contexte et une telle période troublée. Et surtout l'origine de l'argent utilisé et les motifs de cette acquisition foncière si particulière!

Des hypothèses diverses sont avancées:
- certains estiment que le budget aurait pu être abondé par le Service vichyste en charge des « Chantiers de Jeunesse »;
- d'autres indiquent que l'origine des fonds serait à trouver dans une affectation à cette acquisition de certains biens juifs saisis par le régime de Vichy et reversés alors dans ce but à la paroisse d'Asnières;
- quelques-uns pensent enfin que le but de cette acquisition par la paroisse d'Asnières- mais peut-être à l'initiative d'autres personnes et/ou structures- était de fournir un asile discret et calme à certains enfants asnièrois.

La recherche de l'origine exacte des fonds utilisés en 1942 par cette paroisse continue. Comme les études sur l'usage précis de ce lieu entre 1942 et 1944 par l'acquéresse!

Pour le moment, nul n'a pu expliquer l'origine avérée des fonds qui ont permis à la paroisse d'Asnières de procéder en cette période troublée, sous le régime vichyste, à cet achat. Car, à cette époque de plus, la paroisse d'Asnières paraissait, aux yeux de tous, assez pauvre et dénuée de moyens.

Asnières était en effet en 1942 une ville industrielle avec une importante population ouvrière.

De plus, les dons et apports des paroissiens- surtout en temps de guerre, avec nombre d'hommes absents car prisonniers, combattants clandestins de la Résistance, soldats des Forces Françaises Libres du Général de Gaulle ou au travail obligatoire STO en Allemagne- étaient plus que réduits!

Il se serait donc produit une sorte de miracle, pour l'heure inexpliqué, d'afflux brutal de fonds au profit de la paroisse d'Asnières dont celle-ci se serait servi pour acheter- à l'initiative de qui et pourquoi?- ces monuments de ladite abbaye poitevine.

Asnières Nouvelles Citoyennes a aussi son hypothèse propre sur l'origine des fonds alors utilisés par la paroisse d'Asnières en 1942 pour cet achat curieux au cœur du Poitou. Comme sur sa raison d'être.

Mais elle attend les documents d'archives publiques avant d'en dire plus, ne pouvant se fonder que sur les archives et documents indiscutables.

Ceci étant, si des citoyennes et citoyens d'Asnières, y compris d'anciens élus(es) de la commune, jeunes à l'époque, ont été envoyés dans ce « centre de vacances pour les jeunes » sur la commune rurale de Béruges, notre rédaction sollicite leurs témoignages car ils pourraient éclairer les vraies raisons de cet achat en plein conflit par une paroisse officiellement pauvre d'un monument historique en pleine campagne.

Si aucun enfant de la paroisse d'Asnières n'avait été envoyé à cet endroit depuis 1942, alors, d'autres questions se poseraient inévitablement.

Bien évidemment, si les Archives de la Mairie peuvent aussi concourir à éclairer ce pan d'histoire asnièroise, nous restons aussi attentifs à ses informations documentaires.

A suivre bientôt sur Asnières Nouvelles Citoyennes....


NB: pour information sur le propriétaire actuel en 2009.

l'Abbaye Notre Dame du Pin est aujourd'hui propriété de l'Union Sociale et Sportive d'Asnières Centre (USSAC),
association paroissiale de l'Eglise Sainte Geneviève d'Asnières sur Seine.

  • Agrément Jeunesse et Sports des Hauts de Seine n° 92/JEP/042
  • Agrément Jeunesse et Sports de la Vienne n° 86 024 448
  • Agrément Inspection académique de la Vienne IA 86 024 0133


Source:

http://www.archives-vienne.cg86.fr/article.php3?id_article=378





Marylise Dipusu

Chapitre 112 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

jeudi 26 février 2009

Asnières: une nuisette pour un déclin et « Animer Asnières » qui s'anémie



Voici Marie-Dominique Aeschlimann qui, après la militante UMP Dupuis qui put s'exhiber très dévoilée sur une chaîne de télévision nationale, offre au public ses nuisettes privées. Au prochain article, l'élue UMP asnièroise va-t-elle enlever le haut?


Visiblement, à l'UMP d'Asnières, les tenues sont de plus en plus légères, comme apparemment la pensée. Ce qui est plus ennuyeux et grave.


Il semble que nous assistions à un remake d'un film fameux dont le titre aurait été ainsi modifié: "l'insoutenable légèreté de l'UMP d'Asnières".


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Marie-Dominique Aeschlimann ne sait plus quoi dire pour exister alors que son mari a son siège de député très convoité


A l'évidence, Marie-Dominique Aeschlimann, dont le destin est sur le déclin, prise en tenailles entre les ambitions de Rama Yade soutenues par l'Elysée et les ennuis judiciaires qui accablent son mari, sans oublier les abandons des amis qui se multiplient comme le Groupe EIFFAGE, essaie de détourner les regards de sa chute.

Pour ce faire, elle a commis un texte qui passera à la postérité avec sa photo en petite nuisette légère et que le maire-adjoint, Julien Richard, par ailleurs excellent journaliste, a moqué avec un véritable talent satirique très justifié.

http://julienrichard.over-blog.com/article-28335707.htmlhttp://

Comme les époux Tibéri font rire sur eux depuis leur chute avec les faux électeurs et tous leurs dossiers sulfureux, les époux Aeschlimann deviennent la risée de la population par leurs écrits, photos et même leurs reportages vidéo sur les chaussures anonymes qui leur apportent un soutien peu réconfortant au final, mais en tout cas au ras du sol (au sens propre).

Il faut dire que les époux Aeschlimann ont apparemment perdu toute connexion avec la réalité vécue par les citoyens: au moment où le pays est angoissé par la crise mondiale et ses conséquences matérielles sur la vie quotidienne de chacun, l'un glose sur les champions de tennis passés, l'autre se montre en photo en petite tenue de nuit afin de raconter ses propres états d'âme vacanciers!

Décidément, la communication publique du couple Aeschlimann suit la pente descendante de celle du couple Tibéri, mais en accéléré, comme un vieux film des débuts du cinéma.

Perdus dans leur monde qui s'écroule autour d'eux, ils ne savent plus que dire d'intéressant pour les citoyens.

Il semble que la conclusion négociée du conflit des tarifs de crèches- conflit qui a été résolu positivement plus rapidement et franchement que celui qui se poursuit dans les DOM-TOM avec le gouvernement- ait totalement tari le peu de créativité littéraire des époux Aeschlimann.

En parlant des DOM-TOM, il semble que Marie-Dominique Aeschlimann se soit faite en Guadeloupe une solide réputation: celle d'une femme qui, alors que le peuple de la Guadeloupe souffre de multiples problèmes et se révolte, tient son petit cahier intime PENDANT que la Guadeloupe est socialement en feu!.

Il y a en Marie-Dominique Aeschlimann 2009 un côté Marie-Antoinette 1789 qui ne sommeille pas. En fait, une vraie ressemblance de caractère apparaît entre les deux femmes..

A sa manière, au peuple de la Guadeloupe qui se plaint, comme celui de Paris en 1789 de la vie chère, Marie-Dominique Aeschlimann ne répond rien d'autre que par le mépris de ses photos et textes qui reflètent ses pensées centrées exclusivement sur son destin personnel. Pour une élue, voilà qui est plutôt destructeur!!!

Il est vrai que Marie-Antoinette avait été plus cynique avec son célèbre: « S'ils n'ont pas de pain, qu'on leur donne de la brioche ».

Mais, les deux femmes ont une similitude dans le mépris affiché que traduit leur attitude face aux problèmes urgents et graves de leur époque respective, à 220 ans de distance dans le temps.

A coup sûr, Rama Yade aura compris les avantages qu'elle peut retirer de l'attitude d'auto-isolation suicidaire des époux Aeschlimann, un couple sans projet, sans programme, sans idée, sans intérêt pour les citoyens, sans vision, en un mot sans avenir.

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« Animer Asnières »: des accusations qui se précisent sur son rôle possible de source occulte de financement politique


Autour du couple Aeschlimann, comme à Versailles en 1789 pour le couple royal de l'époque, la trahison, signe de l'abandon de la cause du couple déchu, règne.

Asnières Nouvelles Citoyennes a reçu de militants UMP asnièrois des informations selon lesquelles l'association « Animer Asnières » aurait pour objectif réel de ramener des financements indirectes aux campagnes électorales que les époux Aeschlimann envisagent encore possibles pour eux!!!.....

En effet, isolé à l'UMP, privé des possibilités politiques que la mairie pouvait offrir en temps de campagne électorale, appauvri en soutiens financiers publics et clairs, entouré par les affaires sulfureuses, le couple Aeschlimann a perdu la quasi-totalité de « ses anciens amis » et donc de ses ressources financières électorales passées.

De plus, les époux Aeschlimann s'attendent à payer à terme des amendes, indemnités réparatrices et/ou des condamnations pénales qui vont frapper leurs finances personnelles, déjà affaiblies par la perte de la mairie et des revenus en termes d'indemnités que cela leur rapportait à tous les deux.

Bref, pour eux, il faudrait ramener des ressources financières pour essayer de survivre politiquement.

Pire, les époux Aeschlimann ont noté que leurs anciens soutiens n'ont plus aucune illusion sur eux et leur devenir. Un de leurs anciens « sponsors » financiers, militant UMP de longue date, confie à notre rédaction:
« Manuel Aeschlimann n'a plus aucun avenir. Sa femme aussi. Ils sont finis. Le procès du Festival International leur a porté le coup de grâce. Pourquoi les soutenir dès lors qu'ils ne sont plus que des morts-vivants politiques, entourés de plus par les ennuis judiciaires »?

La vérité est parfois dure à accepter pour eux et leurs derniers partisans, mais c'est la vérité.

Alors, en désespoir de cause, les époux Aeschlimann ont nommé à la tête de cette association de loi 1901 un de leurs derniers proches, Nicolas Cellupica, attaché parlementaire de Manuel Aeschlimann, ce qui en soi ne peut qu'intriguer les personnes attentives aux buts réels de l'association « Animer Asnières ».

Chose étrange: depuis que celui-ci a pris la tête de l'association, non seulement, nombre de militants UMP se répandent dans la ville sur le fait que cette association serait une source de financements politiques occultes illégaux, mais de plus, certains se lâchent ouvertement et relatent des faits connus d'eux. D'ici à ce que cela remonte au Parquet de Nanterre.....

Une chose est sûre: le poste pris par l'attaché parlementaire Nicolas Cellupica est brûlant.

Et il n'est pas sûr que, si les anciens amis des époux Aeschlimann considèrent ceux-ci comme « finis », il n'y ait pas en parallèle de « fuite » ennuyeuse sur les activités de l'association « Animer Asnières ».

Autant en mairie que chez Rama Yade et Cyrille Dechenoix, des yeux attentifs suivent les activités de l'association. La gestion de cette dernière par son Président se devrait donc d'être irréprochable sur le plan financier si Nicolas Cellupica veut éviter les ennuis que d'autres loyaux zélés amis (Charles Caillet, Francis Pourbagher, Mohamed Bentebra, etc...) des époux Aeschlimann ont connu par leur passé.

Ce qui pourrait alors concourir, certes sans le vouloir, à laisser en état d'assèchement les finances des époux Aeschlimann.

Il est vrai qu'un député menacé d'inéligibilité après avoir perdu Asnières pour l'UMP, et une femme élue régionale qui s'exhibe en nuisette sur Internet, cela ne favorise pas les soutiens transparents, mais peut encourager les trahisons désintéressées ...par les époux Aeschlimann!


Marylise Dipusu


Chapitre 111 des Chroniques asnièroises de l'après 16 mars 2008

mardi 24 février 2009

Asnières: les leçons d'une situation




Sur cette photo, Rama Yade semble envoyer un signal d'adieu au député Manuel Aeschlimann dont, nous disent les journaux de plus en plus nombreux, elle lorgnerait le siège à l'Assemblée Nationale.


A moins que cela soit un signe de bonjour à la circonscription d'Asnières-Colombes Sud en vue de venir y installer ses ambitions électorales propres. A chacun sa libre interprétation...


Selon nos correspondants, un profond murmure public tend à indiquer que Rama Yade ne serait pas contrariée par un jugement d'inéligibilité de Manuel Aeschlimann le 13 mars 2009, d'autant que, depuis peu, il se dit que l'Elysée suit avec sympathie ses désirs d'avenir politique sur...Asnières.


Il semble que le bonheur de Rama Yade passe donc par le malheur de l'actuel député, Manuel Aeschlimann. Comme celui-ci aimait à le dire en 1999: "on ne fait pas d'omelette sans casser les oeufs". Ce qui n'est pas faux!


A l'époque, les "oeufs" étaient d'autres citoyens. Aujourd'hui, l'oeuf, c'est lui! Les temps changent, les positions des oeufs aussi, et les omelettes sont différentes. Leur goût devient probablement amer à l'ancien conseiller en stratégie électorale, député menacé de tous côtés.


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Crèches collectives: les leçons à tirer de l'absence de représentation collective des parents qu'il faudrait maintenant mettre en œuvre



Dans le dossier récent qui a opposé la mairie et un Collectif de parents d'enfants en crèches collectives, Sébastien Pietrasanta a pointé du doigt avec raisons l'absence de représentation collectives des parents dans les crèches collectives, ce qui effectivement, ne permet pas à la Ville d'avoir en face d'elle des interlocuteurs permanents à la fois vraiment représentatifs et indépendants.


Il serait en effet temps que les parents d'élèves des crèches collectives publiques, qu'elles soient municipales ou départementales- à l'instar des écoles, collèges et lycées- se dotent de représentants élus et d'associations fédérées permettant ainsi que l'information mutuelle circule entre les citoyens parents et les diverses autorités publiques, que les problèmes soient discutés de manière concertée et que les parents puissent ainsi faire valoir clairement leurs légitimes aspirations et/ou revendications..


La leçon que tire Sébastien Pietrasanta à juste titre a par ailleurs un autre avantage: une structuration de représentants élus appuyés par et sur des associations constituées permettrait aussi d'éviter la manipulation politique cynique que l'on a vu à l'œuvre à Asnières avec les époux Aeschlimann d'un côté et le manque de concertation et d'information qui a dû être surmontée par la Municipalité par une négociation qui vaut ce qu'elle vaut en l'état, mais vaudrait plus si elle était acquise dans ses conclusions par des vrais représentants dûment élus par des voies démocratiques par les citoyens-parents eux-mêmes.


Ces mesures devraient donc être maintenant promues par la Municipalité puisque le maire a publiquement et avec justesse tiré de lui-même les enseignements de la situation passée qu'il importe de corriger.


Encore un dossier à suivre afin de voir si les leçons énoncées sur le blog du maire seront tirées sur le terrain des réalités....



Action des citoyens: une « troisième voie » au choix OU la seule voie démocratique



Le blog asnierois.org vient de mettre en ligne un article d'un intérêt certain, fruit de réflexions et des expériences passées, sur l'action des citoyens qui est ici assimilée à une troisième voie!!!


Cet article nous semble mériter une discussion fraternelle aux fins d'éclairer les enjeux qu'il énonce.


L'auteur annonce lui-même dans son texte, chose curieuse, que, selon lui, les deux autres voies ( selon lui, la voie capitaliste et la voie marxiste) ont échoué.


Donc, en toute logique, si deux voies antérieures ont cessé d'être (des voies, bien entendu !), la voie qu'il propose, l'action citoyenne indépendante, est la seule qui reste en lice en 2009 et ne peut s'analyser de fait comme une troisième voie puisqu'elle serait seule à concourir au devenir des sociétés humaines et à l'avenir d'Asnières.


Mais, cela n'est pas l'essentiel.


Il entend critiquer par là- avec raison- bien que le rapport ne soit pas direct entre les deux processus- un « bipartisme » qui, en France et dans le monde, s'écroule de lui-même devant la réalité des faits et des évènements.


Il étend son analyse immédiatement, non aux activités indépendantes purement citoyennes, mais aux crises qui agitent selon lui les partis politiques français principaux, l'UMP et le PS.


A l'évidence, l'auteur a noté- comme tout un chacun- que depuis quelques mois, de tous les côtés politiques, le nombre de partis augmente fortement tandis que les deux partis qui se sont partagé le pouvoir depuis 1981 ( UDR-RPR-UMP et PS) souffrent d'une crise formidable interne et externe, ce qui est indéniable.


Par exemple, nul n'ignore que les deux partis « officiels » en France, l'UMP et le PS, ne sont plus majoritaires dans l'opinion en termes de soutien, de sympathie ou de votes futurs annoncés.


Ce n'est pas un scoop. Par ailleurs, la crise mondiale et ses conséquences attisent les contradictions pendant que les ambitions dislocatrices au sein de deux partis eux-mêmes de plus en plus « extérieurs » aux préoccupations réelles et immédiates des citoyens sont une évidence.


Si l'auteur entend parler de « troisième voie » politique, il se trompe: maintenant, en France et dans une multitude de pays, les voies proposées aux citoyens sont plus que trois. S'il estime que l'exemple d'Asnières a montré la voie à cette situation nouvelle, il convient de relativiser les choses avec une plus douce modestie et de les préciser afin d'être exacts.


La défaite de Manuel Aeschlimann le 16 mars 2008 (qui n'est pas d'ailleurs au sens strict une victoire pour ses vainqueurspolitiques, ceci soit dit en passant, mais un vote-sanction contre le système Aeschlimann) est indiscutablement en large partie le fruit de l'action citoyenne indépendante, celle-ci s'inscrivant dans une situation politique qui, en mars 2008, était déjà marquée par l'érosion forte des deux partis officiels, UMP et PS.


Il n'en reste pas moins que ce qui s'est passé à Asnières aurait pu rester limité ou anecdotique si la crise mondiale et ses conséquences, jointes à l'incapacité de réponse réelle efficiente des deux partis, UMP et PS, n'avaient pas « ouvert » de nouveau fortement les choix politiques possibles,.


Cette crise mondiale a accru les actions citoyennes de manière massive en les généralisant (RESF, DAL, sites d'informations nationaux libres, Collectifs dans les DOM-TOM, initiatives citoyennes larges, etc....pour rester dans un cadre français). Et ce mouvement spontané croissant touche particulièrement les deux partis officiels de plein fouet, mais aussi les partis de nature similaire ou intermédiaire entre les deux ex-principaux.


En mai 2007, par exemple, le Modem avait rassemblé nombre de mécontents du système bipartite et fait croire un instant qu'une troisième force ou voie apparaissait.


Le Modem a été, depuis lors, complètement silencieux sur tous les sujets ou presque, notamment sur les propositions de réponse appropriée à la crise mondiale, ce qui lui vaut aujourd'hui un abandon massif que récupèrent, de tous côtés, les partis nouvellement apparus. Aujourd'hui, les voies potentielles se sont multipliées et le Modem fait bien pâle figure dans ce tourbillon.


Exprimer à un moment donné un sentiment assez partagé dans la population ne fait ni un parti, ni un programme, ni une troisième voie, ni une action citoyenne. Les temps changent, les aspirations évoluent, ce qui était hier n'est plus aujourd'hui et demain peut encore être différent.


Pour en revenir à Asnières, l'action citoyenne vit et existe.


Elle a aujourd'hui des priorités claires: garantir la ville et ses citoyens contre tout retour possible du système Aeschlimann en développant les initiatives citoyennes libres, indépendantes et positives pour les habitants.


L'action citoyenne indépendante passe par la lutte contre des augmentations d'impôts et de taxes indues sur le dos des citoyens alors que la municipalité élue par les citoyens se refuse toujours à poursuivre les dérives financières passées, s'en faisant alors le relais contre les habitants par ses mesures fiscales, donc la complice objective contre les contribuables asnièrois.


Car, il ne faudrait pas qu'un juste débat citoyen serve à cacher, au final, ces choix très politiques de silence et d'inaction de la municipalité qui ne peuvent représenter une voie citoyenne pour personne.


Il aurait été ainsi plus que souhaitable que l'auteur et ce blog prennent position concrètement et clairement pour que la Ville demande via la Justice des comptes aux responsables du système Aeschlimann et du désastre financier qui s'est abattu sur Asnières.


Là est l'action citoyenne indépendante qui est valorisée avec justesse par l'article, mais non suivie en réalité par une voix forte qui porterait loin et juste sur le fond des choses pour les citoyens.


Car personne ne pourra- passé le vote du budget 2009 qui entend faire payer aux citoyens d'Asnières les dérives non sanctionnées du système Aeschlimann- écrire sur une troisième voie quelconque, celle qui consisterait alors en réalité ici à faire payer aux Asnièrois deux fois la note de l'ancien système.


Ceux qui accepteront de voter ce budget sans avoir au préalable et au minimum exiger et obtenu des poursuites judiciaires fermes contre les auteurs des dérives qui ont amené la Ville dans l'impasse actuelle ROMPRONT avec l'action citoyenne indépendante et le mouvement citoyen indépendant qui a conduit au 16 mars 2008.


Il va falloir que tous choisissent:

soit avec les citoyens pour que les vrais responsables soient poursuivis et sanctionnés financièrement,

soit voter les hausses en assurant la continuité de la gestion des Aeschlimann contre les citoyens.


Et là, il n'y a pas de troisième voie possible! La seule voie, c'est celle des citoyens....ou contre eux!!!



Quand le site des élus UMP ridiculise Marie-Dominique Aeschlimann et ses dires.



Il est vrai que Rama Yade a confirmé via plusieurs sources ses vues sur le siège de député que détient Manuel Aeschlimann. Voilà une information qu'il faudra donc prendre en compte maintenant dans la vie locale asnièroise.


C'est le moment que choisit opportunément et habilement le site des élus présidés par Marie-Dominique Aeschlimann pour ridiculiser les proses antérieures de cette dernière en faisant de la publicité pour le groupe EIFFAGE, groupe qui promeut la ZAC Bords de Seine, sise sur une ancienne zone industrielle, à peu de distance de la déchetterie de Saint Ouen, qui, comme chacun sait, ne produit que pureté de l'air et odeur rafraîchissante.


Cette publicité pour EIFFAGE – un groupe qui a eu de nombreux contrats avec la Ville sous le système Aeschlimann- serait déjà curieuse pour des élus municipaux UMP et assimilés, mais là où elle devient franchement hilarante, c'est quand le site indique en commentaire ironique pour Mme Aeschlimann qu'EIFFAGE ignore l'insécurité, la pollution, la mauvais gestion de la ville, et autres points négatifs reprochés par elle à la majorité actuelle!!!


En clair, EIFFAGE n'ajoute publiquement aucune foi, afin de vendre ses appartements, aux élucubrations de Marie-Dominique Aeschlimann sur tous les maux qui accablent Asnières. Pire, elle met en avant la "communication" de la mairie. Et dire que le groupe EIFFAGE avait été jusqu'à installer des bureaux sur Asnières au temps de la gestion des époux Aeschlimann. Le voilà qui renie les amis d'hier: les époux Aeschlimann.


A lire ce site, on ne comprend pas clairement si son texte accompagnant la publicité pour la campagne publicitaire d'EIFFAGE est un canular satirique monté contre les récents écrits anxiogènes de Marie-Dominique Aeschlimann sur l'insécurité, les impôts, les tarifs des crèches et la propreté ou si son auteur a réellement voulu ridiculiser la présidente du groupe municipal UMP en montrant qu'EIFFAGE.... la contredisait systématiquement!!!


Quoi qu'il en soit, il convient de saluer son auteur: il n'a pas son pareil pour ridiculiser Marie-Dominique Aeschlimann, ses articles insipides et ses mensonges réitérés, avec la complicité active et invoontaire du groupe EIFFAGE.


Chapeau bas à l'artiste de ce site, à l'évidence un ami de Rama Yade et/ou une taupe de la majorité municipale camouflé en zélé partisan du départ des époux Aeschlimann de la scène politique locale....


A l'évidence, il faut peut-être y voir les premiers signes de l'effet Rama Yade comme il y eut aux Etats-Unis un « effet Obama ».


Un effet qui frappe fort ironiquement les époux Aeschlimann, à l'insu- c'est une évidence- du plein gré du rédacteur et du webmestre du site ci-dessous indiqué!!!


http://www.unionpourasnieres.com/article-28314420.html




Marylise Dipusu


Chapître 110 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008


dimanche 22 février 2009

Asnières: « le monde se transforme, certains croient qu'il est immobile »




Cette mappemonde des chutes des cours boursiers à une certaine date montre bien, pour les esprits les plus récalcitrants aux réalités vivantes, que la crise mondiale touche bien la France et donc Asnières.


Il est non moins évident qu'elles appellent des changements de cap dans la gestion de la commune, comme cela commence, sous la pression de la rue, à se passer au niveau du pays pour l'Etat.


La majorité municipale ne peut préparer et valider un budget qui ne serait pas en adéquation minimale avec les besoins identifiés et constatés. Elle ne peut, sans risquer la perte totale de crédibilité, à établir des plans fiables sur des réalités mouvantes.


Il y a urgence à reconsidérer l'ensemble du dispositif financier de la Ville sous peine de devoir le faire plus tard, sous la pression conjointe des évènements et des citoyens.


C'est maintenant que Sébastien Pietrasanta doit vraiment agir avec sagesse et prévoyance au bénéfice des habitants d'Asnières ou se placer lui-même avec ses élus dans la situation inextricable - et à terme dramatique- que connaît maintenant le gouvernement au niveau national, par son aveuglement devant les faits et leurs conséquences prévisibles.


Une période se termine et les choses ne seront plus jamais comme avant. Chacun le sait et le sent, mais il appartient aux élus de la Ville de préparer les chocs qui arrivent et de protéger de ceux-ci les habitants d'Asnières.


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Le mentor politique PS de Sébastien Pietrasanta en fin de parcours ressemblait beaucoup à Manuel Aeschlimann



Dans l'Histoire du monde, certains ont construit des empires, d'autres ont bâti des nations, plusieurs ont modifié le destin du monde, et quelques-uns ont seulement édifié de petits systèmes sans futur aucun, sur le vide de paroles creuses et les sables mouvants de pratiques sulfureuses.


Ainsi par exemple en est-il des « systèmes politiques locaux » que le mentor politique Sébastien Pietrasanta, Julien Dray, a essayé de se construire dans l'Essonne, comme Manuel Aeschlimann le fit de son côté à Asnières. Avec les succès finaux que l'on sait pour les deux précités.....


Concernant Julien Dray, ce lien est instructif par son titre, même pour ceux qui ne sont pas clients payants de Médiapart:

http://www.mediapart.fr/journal/france/200209/julien-dray-ou-l-epuisement-d-un-systeme-politique-en-essonne


Les similitudes entre les deux hommes publics qui sont sur la pente du déclin irréversible ne s'arrêtent pas à leurs conceptions limitées dans le temps et l'espace: même en politique internationale, ils se ressemblent beaucoup...


Tandis que l'un a assis sa carrière extérieure de député PS sur ses voyages et ses contacts en Asie du Sud-Est (avec en toile de fond quelques affaires qui peuvent aussi apparaître comme des bombes politiques à scandales retardés), le deuxième, député UMP, affichait ses liens plus qu'étroits avec le régime dictatorial de Téhéran.


Comme le dit le dicton populaire en Afrique francophone: "on choisit ses amis sans tamis".


On observera que leurs fréquentations internationales respectives étaient parfois quelque peu douteuses!


Comme on dit dans les romans historiques, c'est lors de la chute des personnes un moment illustres que les scandales du passé tendent à remonter à la connaissance publique, ou, c'est selon, que la face cachée, obscure, des personnalités publiques qui sombrent arrive à la lumière vive devant l'opinion publique.


Julien Dray, avec ses montres et stylos de luxe, comme Manuel Aeschlimann achetant ses très coûteux stylos avec l'argent public, ont des goûts très communs.


Cela les rapproche moralement, mais c'est aussi par ces caractéristiques partagées qu'ils sont maintenant tous les deux sur la pente de la fin de leurs carrières respectives.


Ceux qui ont appris auprès d'eux ou cru apprendre d'eux- au PS comme à l'UMP- des choses importantes devraient donc se mettre à réfléchir sur les leçons avérées que le présent leur apporte et en tirer les sages conclusions rapides.


Comme dit le proverbe ancien: « qui se ressemble s'assemble et chute ensemble ».


A quoi répond en écho la phrase d'un cacique connu du PS: « on peut choisir dans un héritage ce que l'on veut garder et ce que l'on doit jeter ».


Cette remarque de bon sens peut être féconde pour Sébastien Pietrasanta et ses amis, mais aussi pour les autres partis à Asnières car certains héritages sont d'une lourdeur insoutenable....



Sébastien Pietrasanta face à la crise mondiale déferlant sur Asnières: « et pourtant, la crise est bien là »



Il est de plus en plus évident, même pour les personnes les moins averties, que la crise mondiale frappe avec une violence croissante la France, donc aussi Asnières.


La banqueroute menace plusieurs pays d'Europe de l'Est, notamment la Hongrie; la Suisse est en danger de perdre avec la fin programmée de son fameux « secret bancaire » historique inscrit dans...la Constitution (sic!!!) sa principale source de richesse; plus de 1300 milliards de dettes d'Europe orientale et de Russie sont menacés de devenir des créances « pourries » -en clair une nouvelle crise de type subprimes-, les nationalisations ( de fait) de banques se multiplient en Europe et aux Etats-Unis (malgré leur interdiction par les Traités européens!); la Chine est devenue la banque de crédit des Etats-Unis (son créancier principal).


Le monde change et évolue. Mais à Asnières, quelle évolution et quels changements?


Le maire, Sébastien Pietrasanta, n'a évidemment aucune responsabilité dans la crise mondiale, tous en conviennent, mais il lui appartient de prendre les mesures qu'il a le pouvoir de mettre en oeuvre à son niveau afin de protéger au mieux les citoyens d'Asnières des effets terribles de cette crise.


Comme le gouvernement a cette même responsabilité au niveau national!


Tant Sébastien Pietrasanta à Asnières que le gouvernement au niveau du pays seront jugés en dernière analyse par les citoyens sur leur capacité ou leur impuissance à assurer la protection sociale et économique collective de la population dont le mécontentement monte par vagues successives.


Dans ce cadre, il ne sert à rien au maire de farder la réalité explosive par des données économiques sans intérêt pour l'immense majorité des habitants de la commune.


Ce qui est déterminant pour les citoyens, ce n'est pas la balance provisoire du nombre de commerçants à Asnières, ce sont les licenciements qui pleuvent de tous côtés, la fermeture de l'usine PSA, ce sont les emplois qui n'existent pas pour leurs enfants, ce sont les soldes de leurs comptes en banque qui tendent vers le rouge vif dès le début du mois, ce sont les inquiétudes pour l'avenir et l'angoisse quotidienne du présent!


C'est là, et nullement dans des affichages de données partielles non pérennes, que réside l'avenir de la majorité municipale et de ses diverses composantes.


Dans son budget annoncé pour 2009, Sébastien Pietrasanta et sa majorité continuent à faire comme si la crise mondiale n'existait pas et comme si elle ne déterminait pas, ne nécessitait pas, n'appelait pas des changements de priorités urgentes.


Pourtant, la crise dans les DOM-TOM dont Sébastien Pietrasanta a parlé à juste titre, elle existe aussi à....Asnières.


Elle s'aggrave jour après jour, sans que lui ne modifie pour autant ses priorités budgétaires et donc les choix qui les accompagnent!!!


Il lui faudrait donc anticiper ses effets concrets sur les citoyens d'Asnières s'il ne veut pas se retrouver à son tour dans une situation qui lui échapperait, comme dans les DOM-TOM, car les processus généraux sont les mêmes en métropole, donc aussi à Asnières, comme tous les observateurs le disent.


Sébastien Pietrasanta aurait bonne mine de dénoncer les erreurs évidentes du gouvernement dans les DOM-TOM s'il ne tire pas pour sa gestion de la crise sur Asnières toutes les conclusions justement de ce qui se passe dans les DOM-TOM afin d'anticiper les évènements au profit des citoyens asnièrois!


« Gouverner, c'est prévoir ». Certes, dans les DOM-TOM, les gouvernements de toutes couleurs ont fait les aveugles durant des décennies et la facture s'annonce salée sur tous les plans.


Mais, Sébastien Pietrasanta et sa majorité seraient bien avisés de ne pas seulement regarder la paille qui obscurcit la vue gouvernementale alors qu'ils auraient une poutre dans leurs yeux quand ils regardent la situation à Asnières et en parlent sur leurs blogs.


Les fautes de l'Etat n'excusent pas les erreurs possibles sur Asnières!


Alors que l'on célèbre l'anniversaire du supplice du grand scientifique Giordano Bruno qui avait affirmé contre les dogmes en cours à son époque que la Terre était ronde et qu'elle tournait avec d'autres planètes autour du soleil (et non que notre monde était plat et que le soleil lui tournait autour!), Sébastien Pietrasanta devrait méditer- en la rapportant à la situation mondiale dans laquelle est inscrite Asnières- cette phrase de Darwin, celui qui énonça la théorie générale de l'évolution:

« le monde naturel se transforme sans arrêt, certains croient qu'il est immobile pour l'éternité ».


Le grand naturaliste anglais ajoutait avec un sourire flegmatique très anglais: « ceux-là ont tort, ce sont les faits et la nature qui ont raison ».


Cette vérité est aussi valable pour la situation qui évolue vite sur Asnières.


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Un élu UMP condamné pour outrage à magistrat: un exemple pour la lettre de demande de mise en examen de Manuel Aeschlimann?


On apprend qu'un élu UMP vient d'être sanctionné par la Justice de la République pour "outrage à magistrat".


C'est une information intéressante car on se rappelle que Manuel Aeschlimann, dans sa lettre de demande de mise en examen adressée au magistrat instructeur

http://www.asnierois.org/fw/html/modules.php?name=News&file=article&sid=629


avait fortement attaqué en termes offensants, voire gravement diffamatoires, le travail et l'honnêteté et l'intégrité du magistrat Richard Pallain.


On se demande pourquoi le Parquet de Nanterre n'a d'ailleurs pas porté plainte contre les termes injurieux et outrageants à ce moment.


Pourtant, un autre Parquet de la République l'a fait contre un autre élu UMP qui, lui aussi, avait quand même, de plus devant un policier national, eu des propos à la fois injurieux et outrageants contre un magistrat de la République:

http://libestrasbourg.blogs.liberation.fr/actu/2009/02/un-dput-ump-de.html


Notons toutefois que les propos de Manuel Aeschlimann se sont, lors du scrutin du 16 mars 2008, retournés contre lui et que le jugement du 13 mars 2009 à venir risque aussi de porter en son for intérieur le sceau du mépris de l'ancien maire, potentiel député inéligible, pour la Justice de la République.



Marylise Dipusu


Chapitre 109 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008


vendredi 20 février 2009

Asnières: et si Rama Yade était comptée contre les Aeschlimann?


Rama Yade (en photo ci-dessus) serait donc intéressée, selon le journal le Parisien ( cliquer sur l'image de l'article pour l'agrandir), par le siège de député d'Asnières et Colombes-Sud.

Si tel était vraiment le cas, et qu'elle ait reçu l'appui de dirigeants de l'UMP tels Charles Pasqua pour atteindre ce but, cela signifie que les jours du mandat de député de Manuel Aeschlimann seraient bien comptés.

Il est vrai que le député actuel pourrait vite devenir inéligible et que, de plus, de nouveaux dossiers bien ennuyeux pour lui apparaissent bientôt, pouvant autoriser des pressions amicales afin qu'il abandonne son mandat au plus vite.

Décidément, la vie politique asnièroise est plus impitoyable encore que la vie des pétroliers à Dallas, surtout quand on s'appelle Manuel et Marie-Dominique Aeschlimann.

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Pour Manuel Aeschlimann, c'est: « devine qui veut prendre ton siège de député? ».



Les époux Aeschlimann vont de déboires en ennuis: et ce n'est pas fini!


Alors même que les citoyens de Guadeloupe se tordent encore de rire après la prise de position incompréhensible de Marie-Dominique Aeschlimann sur leurs graves et urgents problèmes- plus de 4 semaines après le début d'une crise sans précédent et vu comme une touriste qui se plaint, la pauvre Cosette d'Asnières, des prix qu'elle doit payer pendant ses vacances (sic!!!)- son époux connaît les affres de l'angoisse de la trahison par son propre parti qui se manifeste au grand jour.


Selon le Parisien édition nationale de ce jour, Rama Yade, domiciliée à Colombes sur le plan électoral, par ailleurs Ministre en charge des Droits de l'Homme assez bien informée depuis 2007 des affaires asnièroises, aurait l'intention de se présenter comme candidate au mandat de député, au nom, bien sûr, de l'UMP sur la 2ème circonscription des Hauts de Seine, celle qui comporte Asnières et Colombes-Sud!


Or, comme nul ne saurait l'ignorer, il n'y a qu'un siège de député à pourvoir et son actuel titulaire, certes dans les plus fâcheux ennuis judiciaires, est Manuel Aeschlimann. Si Rama Yade se présente, il y a forcément un candidat de trop!!! Oui, mais lequel?


Donc, si les mots ont un sens, et si Rama Yade confirmait le souhait qui lui est prêté par le quotidien populaire du matin, cela signifierait de facto que Manuel Aeschlimann devrait, soit abandonner son siège de député, de gré ou de force, par exemple via une condamnation d'inégibilité, ou encore suite à des tracas judiciaires si nombreux et fâcheux qu'ils conduiraient son parti à faire pression pour qu'il quitte son mandat en cours de route.


Notre rédaction n'est pas, bien sûr, dans le secret des projets de Rama Yade, mais nous souhaitons cependant tirer quelques conclusions instructives du seul fait que cette hypothèse soit ainsi divulguée par la presse.


Première conclusion: la publication d'une telle pensée prêtée à Rama Yade est à l'évidence ce qu'on appelle en politique officielle, un test.


Il s'agit de vérifier les réactions des uns et des autres à une telle possibilité.


De ce point de vue, il est clair que, si le principal visé, Manuel Aeschlimann, est celui qui a le plus à craindre, des élus asnièrois actuels de diverses couleurs ont aussi du souci à se faire quand à leurs ambitions, affichées ou cachées.


En effet, certaines ambitions affichées pour ce poste de député, à droite et à gauche, risqueraient bien, pour le coup, de devoir en rabattre. Quitte à devoir se rallier, pour certaines, à la nouvelle venue pour survivre publiquement dans l'avenir prévisible....


Cela vise au premier chef Cyrille Dechenoix et Sébastien Pietrasanta, mais aussi d'autres personnalités ici et là qui rêvaient de postuler à ce scrutin, comme Marie-Dominique Aeschlimann, un candidat du Modem ou divers candidats dits divers droite.


Par ailleurs, si la chose se confirmait du côté de Rama Yade, maintenant ou plus tard du fait des problèmes croissants des époux Aeschlimann, cela pourrait ouvrir aussi la voie à une recomposition profonde des rapports de forces politiques à Asnières, au sein de l'UMP d'abord, mais aussi ailleurs, au PS et au Modem notamment.


Il est intéressant de noter que, selon le Parisien, Charles Pasqua aurait adoubé d'une certaine manière la candidature au poste de député d'Asnières de Rama Yade, ce qui signifierait en clair un total abandon de Manuel Aeschlimann et de son épouse par l'UMP, au moins départementale, mais aussi et très vraisemblalement au niveau national.


Cette information-test est donc à l'évidence une preuve que l'UMP, bien qu'en chute libre dans le soutien populaire, essaie de dégager une stratégie de reconquête d'Asnières par une personnalité non mouillée avec le passé du système Aeschlimann et donc à ce titre jugée capable de reprendre Asnières au compte de ce parti.


Il semble done acquis que, dans les sphères dirigeantes de l'UMP, se prépare une orientation qui, quelle que soit sa nature, sa durée et sa forme, ne pourra que mener à la sortie définitive des époux Aeschlimann de l'échiquier politique asnièrois.


Manuel Aeschlimann est bien conscient de la situation et de ses dangers, mais il est dorénavant impuissant à empêcher quoi que ce soit pour échapper à la chute définitive que d'aucuns lui préparent.


La trahison, il connaît bien. Il en a souvent usé et même abusé.


Maintenant, son tour est venu de subir trahison après trahison de la part de ses amis politiques qui ne lui pardonnent pas la perte de la mairie d'Asnières et savent bien que les époux Aeschlimann n'ont pas la plus petite chance sur la ville tant ils sont « brûlés » par leur passé et les affaires sulfureuses qui les entourent, sans oublier tous ceux qui, dans leur propre camp politique, désirent profondément les voir disparaître de la scène politique asnièroise.... Et il y en a beaucoup!!!


La solitude accable Manuel Aeschlimann (ses rares textes ésotériques en attestent) . Chacun sait que la trahison organisée en haut lieu signifie tôt ou tard la trahison des amis proches du premier cercle qui n'auront pas envie de sombrer avec ceux qui sont condamnés à n'avoir plus aucun avenir public.


L'heure est à ce qu'on appelle, en haut lieu, une « exfiltration en douceur » des époux Aeschlimann.


En clair, ile doivent perdre leurs mandats, le plus vite serait ici le mieux. Les mêmes forces qui ont servi à leur ascension sont maintenant à l'oeuvre pour leur expulsion de la vie politique. La roche tarpéienne est pour les époux Aeschlimann très proches du Capitole perdu par leurs fautes innombrables et répétées.


A coup sûr, le jugement du 13 mars 2009 dans l'affaire du Festival International va servir de point de départ à ce processus d'éviction politique progressif, mais qui doit aller vite ensuite.


Le test de l'annonce des ambitions de Rama Yade est, quelle que soit la suite, un signe fort: c'est le « Vae Victis » des anciens Romains, traduit en langage moderne: « malheur aux perdants ».


C'est donc un « malheur aux époux Aeschlimann » que le Parisien vient de faire sonner dans tout Asnières. Et ce mot d'ordre venu d'en haut va vite circuler partout....



Marylise Dipusu


Chapitre 108 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008

jeudi 19 février 2009

Asnières: crise sociale: « on nous donne et on nous reprend »




Certes, dans la vie virtuelle de la bande dessinée, SNOOPY peut demander à son Inspecteur des Impôts de ne plus le compter comme contribuable.

Dans la vie réelle, malheureusement, les citoyens contribuables asnièrois ne peuvent faire comme le chien SNOOPY et ils ne peuvent échapper aux décisions des élus municipaux asnièrois d'augmenter leurs impôts, taxes et tarifs publics pour ne pas demander cet argent nécessaire au futur de la Ville aux vrais responsables de la situation financière actuelle de la commune, ceux qui ont plombé les finances communales de 1999 à 2008.

Il appartient aux citoyens et à leur association en charge de cette question des finances municipales, l'ADECA, de faire en sorte que les citoyens asnièrois puissent avoir le droit d'échapper à un sort qu'ils n'ont jamais mérité, comme l'aurait voulu SNOOPY dans le dessin marqué ci-dessus.

Une nouvelle fois, il est du devoir de tout citoyen de le dire haut et fort: la dette d'Asnières n'est pas celle des habitants, c'est celle des responsables de la Ville. Cette dette appartient à ceux qui l'ont creusée, bâtie et développée.

C'est à eux et à eux seuls de la régler et de protéger les citoyens d'Asnières de ses conséquences funestes et injustes. Comme c'est à la majorité actuelle d'assumer vraiment et honnêtement son obligation de faire rendre aux Asnièrois ce qui leur appartient, et non de les spolier une deuxième fois.

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Les impôts et les revenus des citoyens: le dossier des impôts locaux devient politique, social et explosif dans tout le pays!


Voilà Sébastien Pietrasanta et sa majorité pris de manière définitive dans la nasse de leurs erreurs accumulés depuis 11 mois maintenant.

Ces erreurs ont leur racine commune dans la peur lancinante de la majorité municipale de faire toute la lumière sur les dérives financières du système Aeschlimann

En pleine crise sociale et économique mondiale, alors que les mécontentements montent en flèche, alors que le gouvernement est contraint de distribuer- lui aussi avec retard- des fonds afin d'éviter une explosion sociale générale, la question des impôts locaux, départementaux et régionaux devient une question hautement politique, socialement explosive et économiquement délicate.

Partout dans les manifestations qui se multiplient dans tout le pays, et auxquelles participent des milliers de citoyens asnièrois, notamment des jeunes, un constat se fait jour qui revient dans les rapports de presse et les interviews:
« On nous donne de l'argent d'un côté, on nous le reprend avec les impôts locaux de toutes sortes »!

Car, chacun le comprend de plus en plus clairement: l'Etat est dorénavant en quasi-faillite, ayant largement dépassé tous les records de déficits publics. Les seules ressources PUBLIQUES qui sont mobilisables en 2009 sont celles des....collectivités locales, départementales et régionales!

Ce sont donc les moyens de ces collectivités qui sont appelés à remplacer de manière croissante les manques de finances de l'Etat. En clair, les contribuables de ces collectivités sont appelés à payer plus d'impôts et taxes.

Et les élus locaux de toutes couleurs sont condamnés à se transformer - sauf à se révolter contre cette orientation- en supplétifs-remplaçants des déficits abyssaux de l'Etat, ceci accroissant sans cesse les impôts, taxes et tarifs publics qui relèvent de leurs compétences: la logique de la décentralisation « centraliséé » écrase ainsi les élus locaux!

C'est le cas à Asnières, avec en plus la prise en charge de fait du gouffre de la gestion passée des époux Aeschlimann puisque Sébastien Pietrasanta s'est refusé jusqu'ici à poursuivre en Justice les anomalies qui lui ont été signalées par le Rapport de la CRC-IDF et deux audits, un interne et un autre externe.

Conclusion inévitable: la majorité municipale d'Asnières va conjuguer les hausses des charges d'Etat transférées vers le budget de la Ville ET l'accroissement du poids des dérives des époux Aeschlimann, mais aussi les contribuables asnièrois devront payer pour les taxes et impôts départementaux et régionaux.

Il n'est pas sûr que les langages mal assurés qui veulent « assumer » cette marche à la surimposition des citoyens soient une voie sensée. Comme disait naguère avec justesse Jacques Chirac: « Trop d'impôts tue l'impôt »! Surtout s'il est doublé d'une injustice manifeste.....

Résultat: que la majorité municipale l'assume ou non, elle est en voie de provoquer, dans le contexte mondial, national et local, une vague de puissant mécontentement populaire, d'autant que le chômage à Asnières va encore exploser dans les prochains mois.

Sans oublier que ces impôts et taxes vont, tous le savent,- que les élus l'assument ou non- affaiblir à Asnières la consommation au moment où la nécessité croît en France et dans le monde..... de la relancer avec force.

Sébastien Pietrasanta et sa majorité sont ici placés entre le marteau de la réalité fiscale et économique et l'enclume de leur impuissance volontaire à agir réellement pour redonner à la Ville l'argent disparu en vain entre 2001 et 2008!!!

Quoi qu'ils fassent, leur situation va devenir de plus en plus difficile et instable. Et ceci d'autant plus qu'ils se refusent la porte de sortie ou, comme on voudra, l'issue possible de demander aux responsables des dérives financières de la Ville entre 2001 et 2008.

A l'opposé de cette juste démarche nécessaire, la municipalité préfère prendre l'argent dans la poche vide des citoyens asnièrois.

Les faits montrent pourtant qu'elle fonce ainsi dans le mur des réalités!

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Marie-Dominique Aeschlimann et le supplice terminé de la crise dans les DOM-TOM


Nicolas Sarkozy vient de permettre à Marie-Dominique Aeschlimann de sortir, si elle le peut encore après plus de 4 semaines de crise dans les DOM-TOM, de son supplice du silence: il entend donner satisfaction à une partie des revendications des habitants et des populations de la Guadeloupe.

Ceci souligne à quel point Marie-Dominique Aeschlimann est une femme qui a des convictions PERSONNELLES solides, claires et précises!

Certains estiment que Marie-Dominique Aeschlimann va pouvoir, après que Nicolas Sarkozy ait donné la ligne à suivre,...avoir sa propre opinion sur la question. La gestation fut longue, mais Nicolas Sarkozy accomplit des miracles.

L'opinion propre de Marie-Dominique Aeschlimann, selon tous les avis, devrait se rapprocher, voire être similaire de celle que Nicolas Sarkozy aura exprimée. Encore un prodige!

Mais la question demeure au sein de l'UMP: Marie-Dominique Aeschlimann a-t-elle encore un avenir politique quelconque?

Pour sa crédibilité publique, la réponse est connue depuis longtemps: elle est égale à zéro.

Comme la crédibilité gouvernementale et de l'UMP dans les DOM-TOM parmi la population non-liée au système néo-colonial que même Yves Jégo dénonce maintenant....

Pourvu que maintenant personne ne vienne parler des fichiers dits ethniques, des pleins d'essence avec chauffeur personnel illégaux depuis 2004 et du financement de certaines manifestations dont l'intérêt pour les citoyens asnièrois et l'économie de la Ville est discutable.

La Justice a cependant parfois le sens inné des poursuites opportunes dans l'intérêt public.


Marylise Dipusu

Chapitre 107 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008