Bernard Squarcini- photo ci-dessus- est le Directeur de la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur). Curieusement, depuis des années, les organismes qui ont fusionné afin de constituer cette DCRI (la DCRG et la DST) n'ont jamais abordé et suivi PUBLIQUEMENT les relations étroites, cordiales et fort inquiétantes, entre les époux Aeschlimann et le régime dictatorial corrompu et théocratique de Téhéran....
Tout comme ils ont été d'un silence long et pesant sur la découverte en mosquée d'Asnières de 10.000 exemplaires d'un livre intitulé« A l'ombre du Coran » qui appelait au meurtre et au massacre de la majorité des citoyens de la République tout en prônant la destruction de la République laïque, des institutions démocratiques et à haine raciale et religieuse entre habitants. Des délits pourtant prévus et réprimés par la loi, comme disent les Juges d'Instruction!
En effet, le délit était ici clairement constitué et surtout répétitif à satiété, contrairement à la fumeuse plainte déposée naguère par Philippe Val, un de ses amis journaliste et la LICRA contre le dessinateur et humoriste Siné....!!! Lequel fut naturellement relaxé sans difficulté.
Il semble pourtant que ces services de l'Etat avaient comme objectif, défini par les législateurs que sont les députés, la protection des citoyens contre de telles menaces mortelles.
Aujourd'hui, après l'agression d'une citoyenne asnièroise par un partisan zélé et fanatique du régime de Téhéran vivant à Asnières dans un hôtel de luxe- malgré sa demande frauduleuse passée de recevoir le RMI du Conseil Général des Hauts de Seine (sic!!!) et des Aides Juridictionnelles du TGI de Nanterre (re-sic!!!)-, la DCRI semble encore aphone et inactive.
Pourtant, sur Asnières, elle a vraiment du travail qui rentre directement dans le cadre de ses missions légales et officielles. Alors? Pourquoi ces années de silence sur les liens bien étranges entre certains élus d'Asnières et l'Ambassade d'Iran à Paris?
Nous saisissons donc maintenant BERNARD SQUARCINI, dans le cadre de ses fonctions publiques officielles, afin qu'il veille enfin et dorénavant vraiment à la sécurité publique à Asnières, qu'il mette une fin définitive sur notre commune aux discours et écrits appelant à la haine et au meurtre d'habitants en fonction de leur origine ethnique et/ou religieuse.
Il importe que, dans ce processus, il fasse toute la lumière sur les liens spécifiques entre CERTAINS ELUS ASNIEROIS et les DIRIGEANTS DE LA DICTATURE EN IRAN ainsi que sur les complicités objectives qui ont conduit à pouvoir entreposer en secret, sur le territoire de la République, 10.000 exemplaires d'un ouvrage appelant à la haine entre citoyens et visant à générer la violence sur le territoire national dont il est comptable de la sécurité.
Il serait impensable que ses services aient pu ignorer l'impression, le transport et le stockage de 10.000 livres de cette nature. Ou alors, la DCRI couvrirait par son long silence de graves fautes et manquements internes passés dans ses services! Mais, même dans cette hypothèse, un fautif manquement antérieur de vigilance ne doit pas servir de motif ou de faux prétexte à couvrir d'un voile nuisible d'autres fautes encore plus dommageables pour la collectivité....
Nul, élu ou citoyen, n'accepterait que Bernard Squarcini et ses services continuent à se taire et à ne rien faire, comme depuis 2003.
Il arrive un moment où se taire et ne pas agir face à ces faits s'analyse alors comme de la complicité réelle, objective- inacceptable par tous les citoyens et élus- avec les partisans de la haine fanatique et de la violence aveugle entre citoyens (voir le dernier article de ces chroniques)
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Christine CAM aurait-elle commis un faux administratif afin de chasser un citoyen d'Asnières au profit d'un ami de Clichy?
Madame Christine CAM est maire-adjointe aux finances. Elle n'est pas maire d'Asnières.
Or, elle avait voici peu signé au nom de la Ville une lettre de fin de convention d'emploi au service de la commune. Problème juridique majeur pour elle: elle a oublié le vieux principe de droit latin, transféré en droit français, selon lequel une convention passée entre deux personnes dénommées précisément ne peut être annulée que par une de CES DEUX PERSONNES!
Pour avoir perdu de vue ce point de droit, Christine CAM risque d'avoir commis et utilisé à tort un faux, c'est à dire d'avoir usurpé la place, la fonction et l'identité du maire, Sébastien Pietrasanta, tout ceci afin de favoriser, de plus, le remplacement d'un travailleur hautement qualifié et grand connaisseur d'Asnières car Asnièrois de longue date par.........un ami clichois de ses relations!!!
Apparemment, on se demande ce que cette élue a retenu du droit administratif en mairie de Clichy ou si cette Ville, sous sa direction générale des services, était vraiment aussi mal gérée que ce dossier asnièrois, quoique à dominante clichoise maintenant!
Asnières Nouvelles Citoyennes suivra aussi cette affaire afin d'en informer les citoyens en toute liberté car les erreurs ou errements qui furent possibles en mairie de Clichy ne doivent être importés en mairie d'Asnières.
Stationnement gratuit, commerce, économie et écologie: un tout cohérent!
Des lecteurs du quartier Bac-Magenta ont rencontré un élu de la majorité municipale dont les projets relèvent à l'évidence de la pyromanie politique aggravée et de la volonté de destruction radicale de l'économie asnièroise.
Nous tairons pour l'heure l'identité de cet élu qui semble mélanger la légitime protection de l'environnement avec une volonté politique personnelle incendiaire, pour ne pas le ridiculiser en public tant ses propos sont dénués de tout sens commun.
Ainsi, cet élu expliquait récemment que la Ville, donc le maire et sa majorité municipale, voulaient à terme étendre le stationnement payant dans toute la ville d'Asnières!!!.... Idée qui ne peut, à l'évidence, et ceci est dit sans ironie aucune, bien sûr, qu'apaiser les tensions dans Asnières, soutenir l'économie locale moribonde et réjouir en pleine crise économique et sociale tous les citoyens de la commune, avec en premier les commerçants, qui seraient ainsi plus ponctionnés et appauvris après la hausse en cours des taxes et tarifs publics!!!
Asnières Nouvelles Citoyennes conseille à ce jeune élu de calmer son appétit d'ambition en expression orale malheureuse pour sa cause et son mandat, de commencer à raisonner sereinement, de se former d'abord au dialogue et à la concertation avec les habitants, d'étudier le passé de la commune et de bien tourner au minimum à l'avenir 7 fois sa langue dans sa bouche avant de faire état de « projets municipaux » que d'autres élus- que nous avons joints- ont vigoureusement démentis!
Ce sont là de judicieux et précieux avis de notre Commission « stationnement, circulation et transport ». Et c'est donné à titre gracieux et généreux....
Par contre, cet élu peut s'emparer, avec un sens utile de l'intérêt public, du dossier explosif à Asnières des puissantes antennes-relais de téléphonie mobile, notamment à proximité des écoles: il y gagnera en notoriété sérieuse et en véritable défense de la santé publique tout en protégeant le cadre de vie des habitants.
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Jumelages: des orientations fécondes pour l'économie locale issues d'Asnières Nouvelles Citoyennes
La Commission « Expansion économique communale » d'Asnières Nouvelles Citoyennes a formulé des propositions constructives en vue de faire renouer Asnières avec le développement économique et le retour à l'emploi des citoyens de notre commune.
La première recommandation est d'orienter les souhaits et contacts de jumelages vers les pays disposant, selon les cas, de solides réserves financières d'investissement, tant privées que publiques, ainsi que d'un dynamisme économique et technologique de longue haleine.
La Commission classe dans ce groupe les pays suivants, après étude de leur potentiel d'investissement extérieur: Brésil, Canada, Corée du Sud, Emirats Arabes Unis, Etats-Unis, Japon, Qatar, Taïwan, Vénézuela.
Seconde recommandation: que la municipalité d'Asnières englobe clairement dans les négociations de jumelage éventuel avec une cité étrangère un accord de développement économique et de partenariat industriel et d'investissement préférentiel mutuel.
A partir de ces réflexions, une politique de jumelage tant utile sur le plan culturel que nécessaire pour l'expansion d'Asnières pourrait enfin voir le jour après des décennies d'immobilisme dont la ville paie aujourd'hui largement les frais en termes de chômage massif et de déclin économique rapide.
Antennes-relais: AXA assurances reconnaît de facto le danger sanitaire pour le futur et....refuse de l'assurer maintenant dans ses contrats
Les citoyens d'Asnières, particuliers et parents d'élèves, luttant contre les antennes-relais de téléphonie mobile viennent de recevoir, indirectement, un appui utile et de taille: le groupe des assurances AXA refuse désormais d'assurer pour le futur les risques dus aux conséquences des ondes électro-magnétiques émises par les antennes-relais précitées.
Plus d'informations et une lecture saine sur ce que les prévisionnistes du groupe AXA annoncent, sans le dire, comme un nouveau et gigantesque scandale sanitaire, comme le furent l'amiante et la peinture ainsi que les tuyaux d'eau potable au plomb:
Lien: http://www.bakchich.info/Les-mauvaises-ondes-des-compagnies,07394.html
Selon les autorités et les compagnies de téléphonie mobile, il n'y aurait pas de risque.
Pour les assureurs et leurs experts en charge des risques sanitaires, le risque est trop important pour être assuré.....!!!
On attend toujours sur le sujet la position de la mairie et notamment de son élu Vert qui est censé défendre l'écologie et la santé publique, mais semble aphone sur le dossier des antennes-relais depuis le 22 mars 2008 alors qu'Asnières Nouvelles Citoyennes l'a suivi avec soin et rigueur.
Son silence et celui du maire ont pris, avec cette information, du plomb dans l'aile. Le maire n'est-il pas en charge de protéger sur le territoire communal la santé publique?
Et un élu Vert n'est-il pas là pour conseiller utilement le maire sur ce plan?
Monsieur Squarcini, la DCRI, les 10.000 exemplaires du livre « A l'ombre du Coran » et les liens entre les époux Aeschlimann et le régime iranien
Disons-le clairement: le chapitre 134 de nos chroniques paru dans nos colonnes a attiré un large lectorat, provoqué de vives réactions, reçu un large écho, même international, et généré des réactions diverses parvenues à notre rédaction.
L'une des plus instructives provient d'un lecteur qui se présente lui-même comme « fonctionnaire républicain » de la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) placée sous l'autorité de Monsieur Squarcini, haut fonctionnaire proche du Président Nicolas Sarkozy. Un autre message est envoyé de la part d'un lecteur francophone travaillant, selon lui, à un poste élevé au Secrétariat d'Etat ( équivalent américain des Affaires Etrangères) aux Etats-Unis.
En résumé, le premier lecteur nous explique sa surprise personnelle que, à l'époque, ni la DCRG, ni la DST, qui ont ensemble donné naissance à la DCRI, n'aient réagi par une enquête approfondie à la découverte des 10.000 exemplaires du livre « A l'ombre du Coran », un ouvrage qui appelait au meurtre de presque les 95% de l'humanité, en clair tous ceux qui n'étaient pas, pour l'auteur, de « vrais musulmans »!
Ce lecteur note que le contenu de ce livre, faisant l'apologie du meurtre et de la haine contre des êtres humains, en fonction de leur appartenance religieuse et/ou ethnique, aurait dû faire l'objet, selon la loi en vigueur, de plaintes judiciaires des associations en charge de la lutte contre les appels à la haine et au massacre contre des citoyens.
Il est exact que cela n'a pas été le cas! Il est toujours temps de réparer cet oubli.
Ce commentateur estime que la DCRI et, le cas échéant, la DGSE devraient de suite, même tardivement, agir afin de rechercher et sanctionner les auteurs de l'impression en France de ce livre et de sa garde dans un lieu cultuel public sur le territoire de la République. Qui ne partagerait pas à Asnières cette position républicaine qui mènerait probablement à découvrir les vrais auteurs et tous leurs complices d'appels à la violence, au meurtre et au terrorisme individuel pour des motifs soi-disant religieux, cela sur le sol de la République laïque, puis à les punir en application des lois en vigueur?
Notre rédaction a retenu, pour sa valeur exemplaire, le courrier d'un deuxième lecteur, lui aussi stupéfait devant les faits relatés par Asnières Nouvelles Citoyennes, dont il dit qu'il a reçu le texte de l'article par un ami blogueur et journaliste américain basé à New York.
L'essentiel de son commentaire est centré sur les liens possibles entre les époux Aeschlimann, notamment le député UMP Manuel Aeschlimann et le régime iranien. Il exprime de vives inquiétudes sur ces relations potentielles et indique qu'il transmettra la traduction de l'article à sa hiérarchie administrative pour plus amples recherches sur les points abordés. Son analyse est que de telles relations, si elles étaient prouvées, entre un député UMP et le régime de Téhéran, devraient être sanctionnées sans faiblesse par les autorités françaises et le parti politique du député d'Asnières, l'UMP!
Comme l'UMP d'Asnières et sa direction nationale lisent avec attention ce blog, voilà le message transmis directement aux intéressés.
De notre côté, tout en prenant note de ces éléments qui nous sont communiqués, nous restons attentifs à ce qu'il va advenir- avec la mairie d'Asnières- pour notre concitoyenne asnièroise, agressée le 10 avril 2009, par l'ancien « témoin »- au demeurant jamais cru un seul instant par aucun juge en France- de.... Manuel Aeschlimann.
La Justice et la Police Nationale sont bien en charge de la protection des citoyens. L'agresseur est identifié, connu et déjà condamné. Alors, qu'attendent ces structures de l'Etat pour intervenir avec efficacité dans l'intérêt réel de la sécurité à Asnières contre cet agresseur plus que connu d'elles?
C'est la question que nous posons et que la mairie devrait aussi poser- clairement et nettement- au Procureur de la République, au Préfet des Hauts de Seine et aux Ministères concernés par cette affaire relative à un multirécidiviste.
Marylise Dipusu
Chapitre 135 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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