Ci-dessus, la photo d'Angelina Charef, surnommée affectueusement par certains élus "Angelina Jolie" en référence à la célèbre et charmante actrice américaine que tous connaissent.
Récemment, le 7 mai 2009, Angelina Charef, que Manuel Aeschlimann avait été chercher pour (re)trouver des liens perdus dans et par l'éviction de Mohamed Bentebra avec les habitants originaires du Maghreb, a voté en rupture avec le groupe UPA auquel elle appartient encore à ce jour selon nos sources.
Autour d'elle, on murmure avec une certaine force que les récits des mésaventures de Mohamed Bentebra, puis les ennuis d'une commerçante asnièroise aussi d'origine maghrébine anciennement proche de Manuel Aeschlimann, puis l'histoire des fichiers électoraux ethniques, l'avaient passablement ennuyée. Certains vont jusqu'à évoquer que l'élue pourrait rompre avec le groupe UPA en découvrant au fur et à mesure que les époux Aeschlimann, et notamment Manuel Aeschlimann, ne sont pas vraiment ce qu'ils disaient être.
Il se dit aussi très clairement parmi ses proches qu'Angelina souhaite avoir un avenir public, mais que celui-ci ne peut plus passer, à l'évidence, par un ancien maire toujours perdant et futur député inéligible.
Si Angelina Charef est probablement sur la voie de la rupture d'avec Manuel Aeschlimann, et ce pour des motifs sérieux et respectables, cela ne doit pas cacher que d'autres élus du groupe UPA ont aussi pris leur distance d'avec les époux Aeschlimann. Ainsi, selon des citoyens très informés, il est indiqué que Bernadette Rauscher ne tient pas à se voir mouillée dan des affaires judiciaires nouvelles ou récurrentes, que Monsieur Boutiffard est en bons termes avec Cyrille Dechenoix et que même Charles Caillet ne se sent plus "l'âme militante" pour les époux Aeschlimann.
Bref, la crise frappe fort aussi autour des époux Aeschlimann. C'est d'ailleurs peut-être le motif de leurs écrits de plus en plus déphasés de la réalité et totalement faux. D'aucuns prévoient qu'un groupe UMP et apparentés pourrait se reconstituer bientôt autour de Cyrille Dechenoix, qui soigne son amitié avec un certain Jean Sarkozy, tandis que Manuel Aeschlimann, déconnecté du terrain et des faits, se réclame du soutien de Nicolas Sarkozy en qui plus de 65% des habitants de France n'ont aucune confiance (!!!), sous réserve de l'avis non-donné du prénommé.
Visiblement, Manuel Aeschlimann se crut un grand stratège. Il n'est plus aujourd'hui qu'une ombre de lui-même en voie de devenir une ombre tout court sur la ville. Sa fin politique devient une humiliation constante pour lui, abandonné par les uns(es), trahi par les autres. S'il quittait de lui-même la vie publique, il s'éviterait à l'évidence d'autres cruels revers et de bien ennuyeuses difficultés.
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Quand Sébastien Pietrasanta paie ses rencontres secrètes et son jeu politique partisan
La vérité, nous l'avons souvent dit et répété à Asnières Nouvelles Citoyennes, se fraie toujours son chemin vers la lumière publique.
Il en est ainsi des rencontres et déjeuners secrets de Sébastien Pietrasanta et les membres de son cabinet qui ont essayé, dans le dos des citoyens d'Asnières et de nombreux élus, de mettre en place une intercommunalité qui ferait perdre toute souveraineté aux habitants de la ville sur la gestion de cette dernière, en désaisissant les élus asnièrois de leurs prérogatives démocratiques communales.
Le vote de Véronique Chapuis le 7 mai 2009 contre le projet soumis par le maire et concocté par le cabinet PS de celui-ci sur l'intercommunalité s'explique plus nettement maintenant. D'autant qu'elle est rejointe, si on peut dire, par Josiane Fischer qui a bien expliqué les enjeux du débat aux citoyens sur son blog, preuves des rencontres secrètes entre élus PS à l'appui, rencontres dont ces maires avaient omis d'informer leurs Conseils Municipaux de leur existence et de leur contenu.
Deux positions s'affrontent ici:
d'un côté, les partisans de l'intercommunalité obligatoire, imposée, qui amènerait Asnières à se fondre dans une communauté de communes dont les objectifs et moyens ne sont pas forcément en adéquation avec les besoins et aspirations des citoyens. En une phrase, cette intercommunalité ne laisse aucune place à la vie démocratique;
de l'autre, les partisans d'une intercommunalité libre, ouverte, souple où chaque ville peut définir, selon le choix de ses habitants-électeurs, ses orientations propres, ses choix et les moyens de les réaliser. Cette intercommunalité respecte la vie démocratique!
A l'évidence, les négociations secrètes entre des mairies uniquement PS, dans le dos des habitants et des élus de toutes couleurs politiques, ne passent pas et Serge Danlos signe là un échec marquant qui retombe avec lourdeur sur Sébastien Pietrasanta et le PS de tout le département.
Il sera noté ici que Serge Danlos est aussi l'ami personnel de Nicolas Sarkozy qui, de son côté, souhaite avec son fils Jean une intercommunalité fondée sur la zone d'activités de la Défense. Donc, l'échec de l'intercommunalité sur la boucle nord, dossier suivie pour Asnières, ne pourrait objectivement que servir le projet soutenu par Nicolas et Jean Sarkozy, et l'UMP 92!
Josiane Fischer, actuelle première maire adjointe, souligne avec clarté sur son blog la douteuse méthodologie des maires PS de certaines communes de la boucle nord de la Seine dans ce dossier. Il semble que des maires et élus de toutes couleurs politiques partagent son analyse et ses exigences fortes de transparence et d'honnêteté dans les relations inter-communales. Il en est ainsi, selon nos sources, de la mairie de Gennevilliers- dirigée par le PCF- qui ne voit pas, elle aussi, le projet intercommunal INTEGRE de la boucle nord d'un oeil positif.
Asnières Nouvelles Citoyennes partage pleinement l'indignation générale des élus et des citoyens contre ces rencontres secrètes (et donc suspectes d'un grand manque de transparence publique et démocratique), mais est surtout indignée que l'on puisse demander à un bureau d'études, payé avec l'argent des citoyens- contribuables, d'étudier un projet d'intercommunalité qui relève du travail des élus et de leurs services municipaux, PAYES entre autres raisons pour élaborer des perspectives de ce type!!!
Cette indignation est d'autant plus légitime que nul n'ignore le rôle souvent douteux de certains bureaux d'études depuis que des scandales nationaux touchant des partis politiques connus ont souligné les buts cachés de ces pratiques étranges.
Sébastien Pietrasanta, souvent surnommé « le bébé Dray du 92 » devrait prendre garde à ce qui se passe et en tirer les conclusions nécessaires. D'autant que sa proximité revendiquée avec Julien Dray- visé par une information judiciaire sur Paris- et Harlem Désir- député PS condamné pour détournements de fonds en 1998- ne plaide pas vraiment en faveur de sa naïveté..
Résumons les choses: Sébastien Pietrasanta est membre du PS, mais le PS n'est pas majoritaire dans le Conseil Municipal issu du vote du 16 mars 2008. Donc, la mairie d'Asnières n'est pas acquise au PS.
Le maire d'Asnières se doit aussi d'être le maire de tous les Asnièrois, et non d'un clan ou d'un parti.
Nul ne reproche au PS d'avoir ses opinions, ses objectifs et priorités propres, toutes choses normales en démocratie, mais Sébastien Pietrasanta est le maire de tous les courants constitutifs du grand rassemblement, le maire de tous les habitants d'Asnières au-dessus, et non le maire du seul PS!
La différence est essentielle, et elle est encore plus importante après le 7 mai 2009.
Si Sébastien Pietrasanta se comporte en élu partisan, il saborde son mandat et perd sa légitimité.
S'il veut rester maire et garder sa légitimité, il urge qu'il retrouve sa place de maire de tous les citoyens, de représentant réel de la diversité du grand rassemblement, donc qu'il cesse de penser qu'il serait le maire PS d'une ville PS. Il ne l'est pas et aujourd'hui encore moins qu'hier, cela est le noeud de la situation dans la ville et de son propre avenir public.
La crise qui se développe aujourd'hui à grande vitesse dans Asnières démontre que Sébastien Pietrasanta et son cabinet ont fait depuis des mois de nombreux mauvais choix -que nous avons indiqués et soulignés.
Il importe maintenant de les corriger, sinon la situation du maire et de son cabinet sera vite instable, voire même critique.
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La crise municipale et les époux Aeschlimann dépassés
Les époux Aeschlimann sont totalement dépassés par la crise municipale qu'ils n'ont ni voulue, ni souhaitée, mais que le déjeuner secret de Manuel Aeschlimann avec Sébastien Pietrasanta a quelque peu aidé à surgir, à l'insu de leur plein gré.
Pendant qu'ils bavardent sur des sujets sans intérêt, parfois même incompréhensibles, se prenant parfois même pour des procureurs ou des juges, les époux Aeschlimann montrent que la situation actuelle leur est totalement imposée et qu'ils ne sont pas partie prenante du débat public qui se développe.
Depuis le 7 mai 2009, on aurait pu s'attendre à une vive mise en cause des négociations secrètes menées par Sébastien Pietrasanta et son cabinet sur l'intercommunalité forcée, mais le sujet, pour essentiel qu'il soit pour des élus attachés à la démocratie communale, ne semble pas intéresser les époux Aeschlimann.
Doit-on comprendre que dès que sont révélés des négociations secrètes avec Sébastien Pietrasanta, les époux Aeschlimann se sentent gênés? Ou sont-ils totalement extérieurs aux intérêts publics en discussion?
Nous constatons, en tout état de cause, que les votes éclatés du 9 mai 2009 au sein du groupe des élus des époux Aeschlimann ne témoignent pas d'une grande confiance dans l'avenir commun des époux Aeschlimann de la part de leurs colistiers.
Ces votes éclatés au sein du groupe UMP et apparentés indiquent aussi que la crise se développe vite et fort au sein de ce groupe. Là est peut-être la raison pour laquelle les époux Aeschlimann parlent de sujets sans lien avec la réalité. La réalité, ils la connaissent bien et elle leur est de plus en plus ouvertement défavorable.
Mais, cela n'empêche pas Manuel Aeschlimann de se ridiculiser dans des tentatives puériles et stériles d'intox en faisant croire de manière pathétique que des acteurs importants de la vie municipale le contactent. Le futur député inéligible croit encore exister: mais sa chute et son isolement sont des faits que tous constatent chaque jour de leurs yeux!
Pour détruire les inventions issues de l'imagination désoeuvrée de Manuel Aeschliman, il suffit de poser une simple question: quel élu du grand rassemblement ou d'ailleurs aurait l'idée de se confier à Manuel Aeschlimann, perdant permanent en chute libre, condamné pénal en première instance et futur député inéligible? Réponse: personne de sensé. D'ailleurs, le mensonge pathétique de Manuel Aeschlimann est prouvé par le fait qu'il ne cite aucun nom, ayant trop peur de se voir tout de suite démenti par les intéressés, faits à l'appui!
Si son téléphone « pleure », comme il le dit lui-même sur son blog ( la phrase ne s'invente pas!), c'est bien parce que toutes et tous abandonnent son navire qui coule et que sa solitude le ronge. Mais Manuel Aeschlimann doit s'habituer à la solitude, c'est désormais son destin..
Un de ceux qui rit le plus à gorge déployée des écrits pathétiques de Manuel Aeschlimann est Cyrille Dechenoix qui compte les ralliements au sein de l'UMP d'Asnières pendant que l'ancien maire fait semblant d'avoir encore une quelconque influence sur des évènements dont il ne parle même pas tant il y est extérieur.....
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Au vu de ses derniers déboires, il serait plus que judicieux que le maire ouvre de nouveau le dialogue tant avec l'ADECA qu'avec les habitants en colère du quartier Bac-Magenta.
Le mépris des citoyens n'est pas une solution pour une municipalité. Surtout à Asnières!
Asnières Nouvelles Citoyennes suit cette affaire qui révolte des citoyens de notre ville. Nous rendrons compte publiquement des réponses du maire tant à l'ADECA qu'aux habitants du quartier Bac-Magenta qui ont aussi des droits civiques que la mairie doit respecter.
Marylise Dipusu
Chapitre 148 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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