samedi 28 novembre 2009

Asnières sur Seine: ne rien faire contre la corruption, c'est être complice!




La corruption est un mal profond que toute la société paie.


A Asnières Nouvelles Citoyennes, nous lui disons clairement : STOP!


Dans les affaires qui touchent les marchés publics d'Asnières (avec Avenance, Derichebourg-Polyurbaine et GOM Propreté), affaires qui ne montrent probablement que la partie émergée de l'iceberg, il n'est pas de connivence possible, ni de position de silence qui reviendrait à accepter, valider, soutenir la corruption qui a coûté si cher aux contribuables asnièrois.


Les 3 et 4 décembre 2009, la Ville d'Asnières sur Seine étant partie civile, la Justice va examiner les faits de corruption dont se serait rendu, SEUL, sans complice, sans relation, sans moyen d'agir, Monsieur Bernard LOTH.


A cette heure, Sébastien Pietrasanta et la majorité issue du vote libérateur du système Aeschlimann du 16 mars 2008, ne disent rien, n'annoncent aucune demande de la Ville, n'évoquent pas les articles de presse sur le sujet et semblent refuser de demander la convocation de témoins qui, SEULS, permettraient à la Justice de faire toute la lumière sur les faits éventuels délictueux et de sanctionner avec sévérité les vrais coupables.

Ce silence est inquiétant car Sébastien Pietrasanta est signataire de la Charte ANTICOR qui vise à défendre les citoyens de cette plaie infectieuse qu'est la corruption, à quelque niveau qu'elle soit. Il a ici une très lourde responsabilité, politique, morale et même à terme pénale comme maire en charge des finances de la Ville.

Si la majorité municipale se tait et ne fait rien pour aider à la vérité afin de savoir qui a organisé un système visant à s'enrichir tout en appauvrissant les habitants d'Asnières sur Seine, alors, la honte sera sur elle dans l'histoire de la commune.

Le silence de la Ville dans les audiences des 3 et 4 décembre 2009 serait une marque évidente de complicité avec les corrompus potentiels et le signe que le système peut alors reprendre avec d'autres bénéficiaires, contre les intérêts des habitants d'Asnières.

La corruption, soit on la combat avec les citoyens, soit on l'accepte dans un SILENCE COMPLICE!

Ce dont Asnières a besoin, bien plus que d'une charte sur la dette municipale, c'est d'un réel engagement de la majorité municipale de grand rassemblement CONTRE LA CORRUPTION.

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Sébastien Pietrasanta: une Charte sur la dette et un lourd silence sur la corruption dans les marchés publics entre 2001 et 2008


Sébastien Pietrasanta est de l'avis général, même de ses plus chauds partisans, un orateur très moyen. Par contre, c'est un grand amateur de mots creux pour ne rien faire de concret.


Ainsi, alors que le site d'informations Rue89 évoque en détail la corruption dans l'attribution de marchés publics sous le mandat de son prédécesseur Manuel Aeschlimann, Sébastien Pietrasanta invente certes une Charte sur la dette municipale (dont le sens est assez abscons), mais réussit le prodige de ne pas écrire ou dire un mot sur les scandales qui ont frappé les finances de la Ville!


Ses principaux collègues du PS ont apparemment fait vœu de silence profond sur ces affaires de corruption que les médias révèlent. Cela est vraiment très curieux!!!


De plus, aucune information aux élus et à la population sur les dossiers des procès des 3 et 4 décembre 2009 n'a été diffusée, procès dans lesquels la Ville est PARTIE CIVILE INACTIVE et SILENCIEUSE.


Certains- de plus en plus nombreux- se demandent si Sébastien Pietrasanta défend vraiment les intérêts des finances publiques asnièroises, autrement que par des textes longs et creux.


Ses lourds et longs silences sur les dérives passées lors de la passation de marchés publics de la Ville ne peuvent que générer de graves inquiétudes pour les citoyens-contribuables.


Le proverbe ne dit-il pas: « qui ne dit mot consent »?



Valérie Hortefeux de nouveau sous les feux de l'actualité


Récemment, Rue89 révélait dans un article que nous avons mis en lien un repas que Manuel Aeschlimann osait qualifier de « professionnel » auquel participait, sans que personne ne sache à quel titre, Madame Valérie Hortefeux, épouse du Ministre de l'Intérieur.


Ce repas avait eu la particularité d'être réglé- bien que « professionnel » selon Manuel Aeschlimann- non par Brice Hortefeux ou l'encore député d'Asnières de plus en plus menacé dans son poste, mais par la société privée AVENANCE!!!


Valérie Hortefeux manque singulièrement de chance ces derniers jours. Depuis que Rue89 a révélé le fameux repas payé par AVENANCE, lequel a été dénoncé en audition à la BRDE par Manuel Aeschlimann, sa vie de consommatrice devient un sujet de risée publique.


Ainsi, le site d'information Bakchich- décidément bien informé sur Madame Hortefeux- relate les comportement étranges que Valérie Hortefeux a eus lors de certains achats, comportements déplacés assurément, voire méprisants, qui expliquent en partie la montée de l'impopularité de la classe dirigeante française actuelle, y compris dans son électorat traditionnel, notamment les couches aisées et très aisées de la population.


Lien:

http://www.bakchich.info/Les-courses-folles-de-Madame,09401.html


On ose espérer que l'information ne provient pas d'une source asnièroise.....



Marie-Dominique Aeschlimann n'est pas dans le carré d'as féminin de l'UMP


Cette information ne concerne bien sûr pas les joueurs de poker, voire de belote.


La presse nationale évoque dorénavant un carré d'as féminin à l'UMP, et force est de constater que Marie-Dominique Aeschlimann ne compte pas parmi ces 4 femmes d'as.


Le journal Le Figaro nous explique tout sur ce carré d'as féminin de l'UMP en Ile de France.


Lien

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/11/28/01002-20091128ARTFIG00198--le-carre-de-dames-de-sarkozy-.php


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Typologie d'un discours consensuel ou d'un discours marqueur de dérives?


Julien Richard est en général un élu municipal inspiré, souvent plus courageux que d'autres de ses collègues, et brillant écrivain de textes sur son blog.


Depuis quelques temps, il semble être en panne d'inspiration: en panne de clavier sur les dérives de la Ville sous Manuel Aeschlimann (à moins qu'il ne lise pas les articles sur Internet dont il passe pourtant pour un fervent partisan), en panne d'art oratoire sur les exigences de justice pour les contribuables asnièrois au Conseil Municipal en vue des procès des 3 et 4 décembre 2009.


Dommage car son humour incisif et son ironie acérée avaient fait de lui un élu PS un peu atypique, moins consensuel que d'autres au langage formaté de politiques convenus.


Un processus soudain remplace cette verve et ce franc-parler qui avaient assuré sa relative popularité: le discours consensuel mou et sans saveur.


Voilà qu'à l'instar d'un banal journaliste de TF1 ou d'un eurocrate technocrate patenté, il nous sert du « centre droit » (terme désignant les élus divers droite de Madame Josiane Fischer), du « centre » (terme définissant les élus du Modem de Christian Leblond) et du « centre gauche » (terme visant ici le PS et ses satellites), ces trois positionnements politiques paraissant être devenus pour lui l'alpha et l'oméga de la vie publique asnièroise, sinon nationale.


Evidemment, il n'explique pas la survenance brutale de ce discours consensuel mou de gens qui, au final, auraient des divergences légères sur tous le sujets essentiels.


A lire cette prose insipide, cette novlangue politicienne sans réalité, il est possible de se demander si cette réécriture des positionnements politiques au sein du « grand rassemblement pour Asnières » ne trahiraient pas une nette volonté, voire un souhait de monolithisme politique bien encadré.


Doit-on voir, nous écrit un lecteur très instruit qui nous a alerté sur ces changements doucereux de vocabulaire, un processus de « recentrage » du PS sur une politique qui serait vue comme proche des valeurs du Modem et des divers droite?


Ou doit-on y voir une manœuvre grossière de captage d'électorat au profit de candidat(e)s PS futurs (les élections cantonales pour le nord d'Asnières ont aussi lieu en mars 2010) qui viendraient coller aux programmes, idées et orientations du Modem et des divers droite, afin de leur « prendre »(« voler » serait plus approprié ici) en douceur les électeurs qui votent généralement pour ces forces?


La question mérite d'être posée publiquement car Julien Richard est un des spécialistes en communication du PS asnièrois et il serait naïf de voir dans son discours nouveau genre une décision personnelle, tombée du ciel d'automne.


D'autant que, comme Manuel Aeschlimann et aussi à tort que lui, comme le prouvent surabondamment les élections depuis quelques années (cf: vote du 16 mars 2008 à Asnières notamment), son discours « recentré » évoque des électorats fixés qui n'existent plus que dans le cerveau de politiques qui sont en rupture avec la réalité du pays, et surtout d'Asnières.


On comprend que le PS veuille « ratisser » électoralement large pour mars 2010. C'est légitime.


Suggérons cependant à Julien Richard de regarder un peu les sondages d'opinions et d'essayer d'en tirer quelques leçons majeures avant de jouer le « dévoreur d'électeurs » des autres..


Au sein du Conseil Municipal, unité ne signifie pas unicité, et les principes démocratiques sont contraires aux souhaits monolithiques!


Dans les élections, il arrive que la tentation de « gober » quelques voix à d'autres forces politiques coûte au final plus de voix perdues aux chasseurs électoralistes, lesquels chasseurs perdent alors leurs places...



Marylise Dipusu



Chapitre 224 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008




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