Asnières sur Seine: Nouvelles asnièroises

Ci-dessus, une représentation artistique et esthétique du dialogue entre des personnes. Le dialogue est source de paix entre les peuples, de concorde civile, de respect mutuel, de fraternité, de liberté, de développement harmonieux et d'expansion de la démocratie, entre autres qualités fort nombreuses et positives.

Ce qui s'est passé entre élus municipaux, riverains du stade Magenta, parents d'élèves et responsables scolaires lundi 7 décembre 2009 est une excellente chose pour les parties concernées, un exemple fécond pour la gestion moderne et dynamique de la commune et une direction à suivre pour le futur d'Asnières.

En sens inverse, la crise qui ravage le Modem asnièrois- avec les arguments d'autorité venant des appareils politiques, les rappels stériles au règlement et aux statuts, stériles dès lors que la DEMOCRATIE VIVANTE N'EST PAS PLACEE AU CENTRE DE TOUTE CHOSE- démontre bien la voie sans issue que représentent le refus de la démocratie la plus large ainsi que l'éloignement par rapport aux citoyens et à leurs aspirations profondes.

Encore une fois, à Asnières comme ailleurs, deux voies se font face: celle du dialogue franc et fructueux pour l'intérêt public d'un côté; celle des luttes vaines d'egos loin, très loin des citoyens et de leurs réalités de l'autre.

A Asnières Nouvelles Citoyennes, nous sommes encore et toujours partisans du dialogue honnête et direct comme moyen le plus sûr de promouvoir et défendre l'intérêt public.

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Quand élus et citoyens dialoguent, la démocratie progresse et les problèmes peuvent se résoudre

Lundi 12 décembre 2009, dans les locaux de l'école publique Simone Veil, a eu lieu une réunion multipartite (élus, riverains du stade Magenta, directrice de l'école et une responsable des parents d'élèves de l'établissement.

Au menu de cette réunion, animée entre autres pour la mairie par Luc Bérard de Malavas (PS) et Josiane Fischer (divers droite), maires-adjoints la discussion des problèmes soulevés par les riverains du stade Magenta sur les nuisances sonores qu'ils subissent et les solutions à y apporter au plus vite.

Fait positif à souligner: le cadre de cette réunion à l'initiative des élus municipaux était centré sur les nuisances sonores et le souci de dialoguer positivement avec les riverains concernés par les nuisances sonores.

Selon les informations venues de plusieurs sources qui concordent sur le déroulement de la réunion, il en résulte qu'un accord général a pu être dégagé par les diverses parties au dialogue serein et constructif sur la suppression de la pause méridienne (source de nuisances sonores durables et intenses) et sur les activités du centre aéré lié à l'école quand celle-ci ne fonctionne pas.

Les rapports qui nous sont parvenus pointent tous une discussion riche, ouverte et de qualité entre les participants, à la notable exception de l'élue en charge de la petite enfance, Marie-Christine Baillet -réputée très proche des célèbres époux Lafaye, chantres solitaires fameux de l'extension massive du stationnement payant en zones résidentielles et de....la concertation en famille SANS LES HABITANTS, voire CONTRE EUX! En effet, Marie-Christine Baillet a cru bon- lors des débats- de devenir agressive tant envers des riverains que contre sa collègue, Josiane Fischer, à tel point qu'elle a quitté la réunion en claquant la porte, comme une enfant capricieuse, après une mise au point polie, mais ferme des citoyens-riverains sur sa manière étrange de dialoguer..... en version exclusivement monologue!!!

Bien évidemment, la mairie doit maintenant valider et homologuer les résultats de cette réunion afin qu'ils passent dans la réalité. Asnières Nouvelles Citoyens sera attentif aux suites que la mairie va apporter à cette réunion.

Mais, ce qui en ressort à nos yeux et à ceux des riverains du quartier Bac-Magenta est que la mairie a fait preuve de sens positif du dialogue et a réellement cherché à dégager des solutions viables et acceptables par toutes les parties. Il convient de souligner ce point avec le souci de l'objectivité et de l'intérêt public.

Autre enseignement de cette rencontre: les parties ont salué aussi la calme détermination et la volonté claire de Josiane Fischer et Luc Bérard de Malavas de faire sortir le dossier de l'impasse où il était.Il convient de féliciter ces deux élus pour leur écoute et leur sens du dialogue dans ce dossier.

Ceci démontre une fois de plus que, dès lors que les élus du grand rassemblement pour Asnières, avec leurs différences légitimes de positions et de convictions, s'expriment en toute liberté et sont soucieux des intérêts des citoyens, la démocratie progresse et les problèmes peuvent trouver des solutions.

Un exemple à suivre.....par toutes et tous!

Le Modem d'Asnières sur Seine: le mouvement des anathèmes!

A lire les échanges amènes de courriers au sein du Modem d'Asnières sur Seine, force est de constater que la section locale du Modem fait une crise de « sénilité bureaucratique », ou, c'est selon, devient un parfait exemple de formalisme rigide à tendance dogmatique totalitaire.

Il est vrai qu'il est difficile de comprendre où, quand et en quoi le Modem d'Asnières sur Seine a un rapport avec la démocratie dont il se réclame, entre les « putschs » contradictoires et initiatives contraires qui lui font un tort tueur.

Voici peu, l'ancienne Présidente de cette section agitée du Modem démissionnait en dénonçant « un coup de force ». Madame Blanche Mühlmann et Monsieur Serge Danlos rédigeaient un communiqué vengeur, sans suite aucune connue. Au Modem, on parle beaucoup, mais personne n'entend l'autre. Modem: mouvement des mots inutiles?

La nouvelle Présidente, Mme Lacaille est issue du dernier des coups tordus internes, coups tordus tous pratiqués..... sous le sigle Modem. La démocratie au Modem est-elle copiée sur celle de l'ancien PCF? On pourrait le croire.

Comme dans un ancien parti communiste caporalisé, les adhérents et militants sont toujours soigneusement tenus à l'écart de ces règlements de comptes pathétiques au Modem local. Bref, les chefs locaux se disputent un électorat qui fond, des militants qui fuient et un mouvement sans vraie démocratie qui vire à la caricature pitoyable de lui-même!

Pour les analystes « modemologues » asnièrois, Madame Lacaille n'est que la créature (la marionnette selon d'aucuns) de Pierre-Nicolas Burel, lequel, en arrière-plan, rêve toujours et encore de conquérir un mandat quelconque afin d'exister dans la ville. Pierre-Nicolas Burel est un militant ex-UDF, devenu Modem, qui revient à chaque élection se présenter sans succès devant les électeurs, avec un vide abyssal de convictions définies et de projet cohérent.

Des observateurs amusés comptent les coups et scrutent, comme les kremlinologues le faisaient au temps du Kremlin bréjnévien, les lettres de l'appareil du Modem, comme des indicateurs de tendances de ce parti qui semble avoir comme devise: « l'absence (ou la mollesse) de convictions claires et la rigidité bureaucratique sont nos deux mamelles ».

Pour l'heure, au Modem d'Asnières, point de débat collectif de fond, point de démocratie entre adhérents, pas de position d'ailleurs sur aucun sujet local qui pourrait fâcher tel ou tel, mais des courriers rappelant les statuts et les règlements du Modem, des anathèmes et des réunions contradictoires!!!

Voilà qui rappelle à certains esprits ironiques les divisions au sein de l'UMP asnièroise entre les « derniers Mohicans » amis des époux Aeschlimann et les fervents de Cyrille Dechenoix.

Heureusement, le Modem s'appelle « Mouvement démocratique »!!! C'est incroyable au vu des faits, mais vrai!

Mise au point sur le rôle précis de Manuel Aeschlimann auprès de Jean-Pierre Bemba

Plusieurs lectrices et lecteurs nous ont contactés afin de nous indiquer que l'article sur le rôle exact de Manuel Aeschlimann auprès de Jean-Pierre Bemba, accusé de crimes de masse, viols collectifs et pillages au Congo n'était pas clair.

Don acte, car à Asnières Nouvelles Citoyennes, les critiques, les remarques et les observations positives des citoyens sont essentielles à notre fonctionnement comme blog d'informations citoyennes.

Clarifions donc le sens des informations reprises par divers médias.

Manuel Aeschlimann est effectivement, c'est un fait, député et aussi avocat.

Il n'est PAS l'avocat en défense-droit légitime dans tout pays civilisé- de Jean-Pierre Bemba devant la Cour Pénale Internationale. Il ne peut d'ailleurs pas l'être devant cette juridiction.

Bien qu'avocat et député, ou peut-être à cause de cette double fonction, le cabinet Schnerb a choisi Manuel Aeschlimann afin de s'occuper...... de la défense de l'IMAGE de MARQUE PUBLIQUE de Jean-Pierre Bemba, présumé criminel de masse en Afrique!

En résumé, Manuel Aeschlimann est chargé- au moins sur le plan théorique- de poursuivre, le cas échéant, les médias, organisations et personnes qui attenteraient à la présomption d'innocence de Jean-Pierre Bemba ou qui affirmeraient des faits contraires aux intérêts de l'immense humaniste, incompris, que serait l'accusé Jean-Pierre Bemba par la Cour Pénale Internationale.

Des langues vipérines dans Paris- notamment parmi les avocats- murmurent que ce mandat de « protection de l'image publique » de Jean-Pierre Memba donné à son collaborateur Manuel Aeschlimann par le Cabinet Schnerb serait une manière déguisée de « carboniser » l'avocat-député.....

Marylise Dipusu

Chapitre 230 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008