jeudi 18 novembre 2010

Asnières sur Seine: le « Mal » et intérêt public

















































Notre iconographie du jour sera au plus proche de l'actualité asnièroise et aura trait au "Mal", dans toutes ses diverses variantes.

D'abord, deux couvertures, une de bandes dessinées, l'autre d'un roman à rebondissements, qui mettent en avant ce concept large de "Mal", que Manuel Aeschlimann et ses principaux co-accusés n'ont jamais vu dans les délits qui leur sont reprochés par la Justice.

Comme disait un humoriste, parodiant des textes religieux: " Heureux ceux qui ne voient pas le mal, ils ne savent donc pas où est le bien".

Enfin, une belle photo de deux compères qui ont frayé connaissance dans les remugles du système Aeschlimann, et aiment bien être pris en photo ensemble. Il s'agit (à gauche) de l'ancien candidat pro-Aeschlimann camouflé en 2004, Mohamed Bentebra et (à droite) du faux-vrai opposant à Manuel Aeschlimann, sortant et rentrant au Conseil Municipal selon des accords de principe de morale élevée. Sachant que le premier est aussi un des proches de l'inénarrable et sulfureux Francis Raminé Pourbagher, lequel n'a pas eu un mot sur les diplomates français frappés à Téhéran dans les locaux de l'ambassade de France par les sbires du régime dictatorial qu'il soutient avec une ferveur intacte.



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L'erreur est humaine, la corriger aussi


Notre spécialiste judiciaire s'est trompé dans les dates des divers procès de Manuel Aeschlimann: le 15 novembre 2010 a vu une audience en Cour d'Appel de Versailles relative à une dénonciation calomnieuse de citoyens par Manuel Aeschlimann, condamné en première instance dans ce dossier.

Le dossier des marchés publics asnièrois truqués est audiencé pour le 9 décembre 2010, selon notre spécialiste qui a été « condamné » à payer une tournée de boissons chaudes à toute la rédaction du blog.

Nous serons bien sûr aussi là pour vous informer.

Quant au jugement dans l'affaire de dénonciation calomnieuse, le jugement est mis en délibéré et devrait être rendu en janvier 2011.

Nous présentons nos excuses à nos lecteurs pour cette erreur d'information bien involontaire


Mopao: un client qui ne se sent pas très innocent


Une lectrice nous adresse ce lien vers un journal africain qui relate un peu plus précisément les faits dont le chanteur Mopao, le client de Manuel Aeschlimann avocat, est accusé d'acoir commis à Asnières: viols avec violences et séquestrations avec des complices armés.

Manuel Aeschlimann, avocat, est aussi l'homme, qui, selon une dépêche de l'AFP du 17 novembre 2010, datée de 21h22, «  ne voit pas le mal » dans le dossier du Festival International du Folklore de 1998!

Lien:

A l'évidence, cet homme a un comportement qui manifeste sa totale innocence, un peu comme Manuel Aeschlimann qui a raconté partout qu'il était impatient d'affronter la justice avant d'être condamné, tout en faisant tout pour retarder les audiences et gagner du temps....


Une réunion très instructive sur un projet municipal


Le 15 novembre 2010 s'est tenue en mairie d'Asnières, salle des mariages, une réunion publique qui a tourné à la grande déconfiture pour l'ancien maire, présent au fond de la salle, et de sa gestion du dossier du parking centre ville.

Certes, Laurent Martin Saint Léon avait amené avec lui des amis afin de faire opposition au projet global de la mairie, ce qui est son droit le plus strict. Il n'en reste pas moins que, si la discussion a porté sur le parking et les aménagements en surface, la bataille des chiffres a tourné au désavantage commun de MM. Martin Saint Léon et Aeschlimann.

Alors qu'un partisan des deux hommes contestait les chiffres donnés sur le coût que la Ville, donc que les citoyens, auraient dû payer si Manuel Aeschlimann était resté maire et avait persévéré dans ses projets au détriment des finances de la commune, il lui a été apporté et proposé par la première adjointe au maire de recevoir et pouvoir lire tous les documents des dossiers précédents relatifs aux aspects financiers!

Il fallut bien que ce partisan de l'ancien système admette que le projet actuel, pour critiquable qu'il soit sur divers plans, était quand même 4 fois moins onéreux que celui de l'ancienne municipalité qui unissait Manuel Aeschlimann et Laurent Martin Saint Léon ( 16 millions d'euros prévus au total en 2007..... contre 4 millions d'euros en 2010)!!!

Au moins, cette réunion a permis de constater que de vieilles amitiés héritées du système Aeschlimann subsistaient et que les habitants du quartier mairie pouvaient, à juste titre, s'interroger sur les mobiles profonds de certains politiques dans leur engagement sur ce dossier du parking....


Manuel Aeschlimann face à la Justice: « je ne vois pas le mal »


Ainsi donc, les médias de toutes tendances politiques ont évoqué le procès en Appel dit du Festival Folklorique d'Asnières qui eut lieu en juin 1998, qui s'est ouvert hier devant la Cour d'Appel de Versailles.

Ce procès s'ouvre dans un contexte très mauvais pour le principal prévenu investi d'un mandat public, du fait des rebondissements forts dans les scandales sur l'attentat de Karachi et l'affaire Woerth à Chantilly!!!

A la barre, les 3 principaux prévenus, Manuel Aeschlimann, Dominique Carbonnier et Fabienne Van Aal (née Bary) ont tous indiqué, la bouche en forme de coeur qu'ils ne voyaient pas le mal ou n'avaient pas eu d'intentions malicieuses....

Cela s'appelle vraiment se moquer de l'intelligence des juges et des habitants.

Il est vrai qu'ils ont refusé sciemment de respecter la loi qu'ils connaissaient tous très bien sur le passage des marchés publics, qu'ils méprisé totalement un avis autorisé et légal du Préfet des Hauts de Seine, qu'ils rejeté sans égard pour personne une décision MOTIVEE du Trésorier Principal d'Asnières, mais ces trois amis n'auraient pas vu qu'ils agissaient « mal ».

Ils ont même créé une structure para-municipale pour essayer de contourner la loi, mais, à coup sûr, ils n'y voyaient pas « le mal »!!! Leur bien peut-être......?

Le député ne se rappelle pas non plus avoir « mal agi » lorsqu'il évoquait à la BRDE un repas sur la Tour Eiffel avec un avocat, Me Eric Tubiana, lequel était obligé de le démentir par la suite.Que cherchait-il à cacher par ce piteux mensonge?

Il est vrai que Manuel Aeschlimann ne fête aussi aucun anniversaire, affirmation qui fait éclater de rire ses anciens proches amis......Qui verrait malice à de telles déclarations que nulle personne sensée ne croira un seul instant?

Ce qu'on retient de cette première journée de procès qui retentit en France, c'est bien que Manuel Aeschlimann n'est toujours pas capable d'assumer la responsabilité de ses fautes, mais qu'il continue à prendre les juges de la Cour d'Appel de Versailles, et les citoyens, pour des ânes naïfs.

Il est aussi vrai que, naguère, en 2006, ilm envoyait des lettres d'insultes diffamatoires au magistrat-juge Richard Pallain, l'accusant de tous les pires maux de la terre. Depuis, ce qui était faux sous la plume de Manuel Aeschlimann est devenu vrai et connu de tous les médias du pays!

A continuer à prendre autrui et tout le monde pour des idiots sans cervelle, Manuel Aeschlimann paraît jouer avec le feu.

Cela risque bien de ne pas lui porter chance......


Marylise Dipusu



Chapitre 375 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008


1 commentaire:

Anonyme a dit…

On en vient à se demander, si pour Mr Martin Saint-Léon, le fait de s'agiter et gesticuler n'est pas seulement une manière d'attirer l'attention sur lui.

Car mis à part un vieux galon d'ancien maire-adjoint à la Sécurité qu'il brandit par manie à chacune de ses interventions, est-ce qu'il apporte les éléments pour un débat de fond sur le parking et les aménagements annexes?

Trop loin sur la liste de Manuel Aeschlimann, il n'existe plus au conseil municipal. Ces réunions publiques sont pour lui la seule opportunité pour donner aux Asniérois l'illusion qu'il pourrait exister politiquement.
Ce qui explique pourquoi il remercie le maire actuel d'avoir convoqué une 3ème réunion de concertation qu'il aimerait détourner en tribune politique.