Asnières sur Seine: manipulations et jeux de dupes

Notre iconographie du jour sera liée aux étranges amis de Manuel Aeschlimann qui disent aussi être ceux de la communauté musulmane d'Asnières, ce qui semble ne pas faire l'unanimité dans les rangs de cette dernière....

Par ordre, nous vous présentons une photo d'affiches de Mohamed Bentebra sur lesquelles des mains anonymes visiblement en colère ont peint le mot "Juda", comme si l'intéressé avait trahi quelqu'un de ses amis. 

Ensuite vient un rapport de Police Municipale sur les bizarres activités de "faux policiers" des deux hommes dans Asnières, s'opposant avec morgue et mépris aux fonctionnaires de la police municipale.

Ci-dessous, pour que tous, élus, citoyens, autorités judiciaires, police nationale, responsables politiques sachent à quel point MM Francis Raminé Pourbagher et Zouhaïr Ech Chetouani sont des amoureux de la démocratie et ennemis des basses méthodes de police politique, le lien vers les  deux pages du rapport établi par la police municipale sur leur intrusion ILLEGALE dans la salle de vidéo-surveillance de cette police municipale en date du 2 mars 2004.

Pour lire le rapport complet de la Police Municipale sur cette infraction commune aux deux hommes précités:


http://regioninf.comlu.com/img2/07-lien-01.pdf

La note évoque bien des CONTREVENANTS à la loi, les deux intrus n'ayant pas la qualité d'Officier de Police Judiciaire. 

Quelques liens encore plus explicites sur les deux "faux OPJ" qui jouent aux policiers sans en avoir les qualités (ce qui est aussi un délit sanctionné par la loi):

http://bigbrotherawards.eu.org/article229.html 

http://www.liberation.fr/societe/0101484465-campagne-sous-surveillance-a-asnieres

A ce jour, curieusement, comme le relève notre interviewé du jour, aucun de ces deux hommes pris en infraction à une loi d'ordre publique n'a été sanctionné pour ce délit constaté. I

Il n'est peut-être pas trop tard pour que les élus asnièrois unanimes exigent de Monsieur Philippe Courroye et du Ministère de l'Intérieur des explications sur cette passivité étrange face à un acte de délinquance avérée, cette délinquance que les époux Aeschlimann disent combattre de toutes leurs petites forces....

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La DCRI, la mosquée d'Asnières et quelques amis du député Manuel Aeschlimann vus par un membre de l'UOIF locale.

Une étrangeté se poursuit sous nos yeux: depuis que nous avons pointé du doigt le fait que les objectifs énoncés de l'association « Najma », présidée par l'ami de Manuel Aeschlimann, Zouhaïr Ech Chetouani, pouvaient toucher Nicolas Sarkozy et Manuel Aeschlimann en jetant une lumière crue sur leurs opérations au sein de la communauté musulmane en France et à Asnières,

http://asnieroislibere.blogspot.com/2011/01/asnieres-sur-seine-400-articles-et-une.html

cette association s'est soudain tue et le lien vers son blog est vide de tout contenu!!!

Encore une fois, une initiative propulsée par Manuel Aeschlimann capote lamentablement, quoiqu'un peu tardivement pour éviter les lumières de revenir vers le passé.

Notre rédaction a donc réalisé une longue interview d'un membre (militant?) de l'UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) sur Asnières. Afin de protéger son anonymat comme il l'a requis, nous le nommerons « Amédée ».

Ce qu'il nous relate est très intéressant, et même si nous ne pouvons vérifier en l'état tout ce qu'il nous dit, il nous a semblé important de synthétiser pour l'information des citoyens d'Asnières, des élus de la commune, des députés et des partis politiques nationaux l'essentiel de ses déclarations. 

Il est évident que nous n'assurons aucunement la véracité de ses dires, et que nous nous contentons de les faire connaître au nom de la libre expression citoyenne.

Ce qui suit est donc une synthèse rédigée par nos soins, relue et acceptée par Amédée comme reflétant honnêtement et fidèlement ses déclarations et leur sens.

« Je suis membre actif de l'UOIF sur Asnières et assume totalement mes convictions dans le cadre de la démocratie existant en France. Je suis citoyen français et musulman pratiquant, respectueux des lois de la République.

Comme membre de l'UOIF, je tiens à dire clairement que je ne cautionne aucune faute financière ou acte malhonnête contraires à mes croyances et principes de vie. Cependant, je tiens à donner mes sentiments sur divers sujets via votre blog, un des plus lus sur la vie locale, et de loin, parmi mes coreligionnaires et l'ensemble des habitants d'Asnières.

A titre personnel, je suis révolté depuis des années par l'immixtion des politiques de toutes couleurs dans nos affaires religieuses. Je m'oppose à la confusion entre l'Islam et la politique, à Asnières et ailleurs.

Cela n'est pas le cas de tout le monde dans notre communauté, malheureusement.

Ainsi, pour moi, Francis Pourbagher n'est pas membre de notre communauté religieuse, mais à la fois un politicien et un possible agent de la DCRI française lié aussi au régime iranien.

Ses liens avec la DCRI me semblent avérées par les épisodes de son intrusion dans le local de vidéo-surveillance de la police municipale (infraction restée étrangement sans suite judiciaire) et ses nombreuses informations anciennes, connues des seuls services de sécurité intérieure sur des membres de notre communauté (délits légers, arrestations, difficultés de titre de séjour, prison pour certains actes, etc....

J'ai noté que Francis Pourbagher avait eu souvent accès à des documents confidentiels dans le passé, émanant de la DST et des RG. La presse en a d'ailleurs parlé.

Comme la Justice n'a pas réalisé d'investigations sur le sujet, ni sanctionné l'usage de ces pièces confidentielles, j'estime que son utilisateur est au moins un proche, ou alors, un agent des services secrets français. A ces services de démentir, et, si tel est la cas, d'expliquer pourquoi ils n'ont pas diligenté immédiatement une action judiciaire contre Francis Pourbagher pour divulgation de documents internes à ces services et classés confidentiels.

Par ailleurs, il est évident, depuis l'affaire du fameux DVD le montrant à la télévision iranienne, que Francis Pourbagher est aussi un proche du régime iranien, cette double activité ne pouvant que surprendre et poser de troublantes questions.

Je suis d'autant plus convaincu des attaches policières de Francis Pourbagher qu'il ne cesse depuis des années de fliquer les gens, notamment de religion musulmane, de les interroger, de se mêler de tout et de faire croire qu'il est l'ami des musulmans pour surveiller ce qui se dit et se fait au sein de nos structures associatives.

De même que je me méfie de Francis Pourbagher comme d'un serpent, je n'ai pas plus confiance dans ses deux âmes damnées, Mohamed Bentebra, qui ne se cache pas de ses ambitions de politicien et qui veut utiliser pour cela les votes de nos frères et sœurs, et Zouhaïr Ech Chetouani qui est un homme d'une extrême vulgarité pour qui la religion est une manière de se faire connaître comme un acteur politique dans la communauté, les profondeurs vraies de l'Islam lui étant étrangères.

Je rappelle qu'Ech Chetouani était aussi dans les locaux de la police municipale avec Francis Pourbagher quand un rapport a été rédigé sur leur immixtion interdite par la loi. Lui non plus, simple employé municipal, n'a pas été inquiété ensuite par la Justice. Pourquoi? Est-il aussi lié à des services secrets français ou d'un autre pays pour bénéficier d'une telle tolérance judiciaire?Je m'interroge.

NDLR: voir lien:  http://regioninf.comlu.com/img2/07-lien-01.pdf

Ces gens ne sont pas à mes yeux de vrais musulmans, dévoués aux préceptes du Coran, simplement des politiciens jouant aux « surveillants»  » des musulmans et qui veulent fonder leurs carrières politiciennes sur le dos de la communauté des croyants.

Sur le livre « A l'ombre du Coran », soyons clairs: beaucoup de gens étaient au courant, y compris en mairie en octobre 2004 quand Sarkozy est venu poser sa pierre devant les caméras.

Par exemple, je sais que Mabrouk Belayadi, qui a été très proche de Manuel Aeschlimann et Bernard Loth, en avait parlé à ces deux personnes, en indiquant que le livre était un ouvrage religieux, sans plus. Personne n'a cherché plus loin. Pas même la police.

A ce sujet, je conteste votre analyse et point de vue sur ce livre que vous présentez comme une apologie de la haine des non-musulmans. A mon avis, il s'agit d'un recueil de pensées et de réflexions sur la religion musulmane, mais vu de l'extérieur, je peux concevoir que des parties de son contenu puissent être ressenties de manière différente.

Je tiens à dire clairement que mes propos n'engagent que moi et non l'UOIF, et je remercie Asnières Nouvelles Citoyennes de m'avoir accordé un droit d'expression pour dire ce que je sais, pense et comprends sur les points abordés.

Pour la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes, certification faite de l'interview

Marylise Dipusu

Chapitre 405 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008