Notre iconographie du jour tranchera avec les écrits des sites internet et blog asnièrois qui tournent tous autour de querelles stériles d'égos et d'ambitions devenues vides de sens commun.
En premier, une manifestation de la révolution qui se poursuit en Tunisie avec des revendications que l'on entend sourdre dans le monde entier comme "Oui, nous pouvons (sous-entendu: changer le cours actuel des choses)" ou " le pouvoir au peuple".
La colère populaire gronde dans de nombreux pays, y compris en Europe. Ce qui se passe en Tunisie, en Libye, au Maroc, en Algérie, en Egypte, dans les Etats arabes du Golfe arabo-persique, est vivement et positivement ressenti en France et en Europe. Cela a déjà eu lieu en France comme le montre notre seconde image: toutes les Bastilles peuvent tomber!
Certains veulent encore croire en leur pouvoir qui s'écroule - Khadaffi en Libye ou Gbagbo en Côte d'Ivoire- mais ils sont déjà condamnés par l'histoire et les peuples.
Pendant que ces évènements mondiaux se déroulent, à Asnières, certains tentent piteusement de défendre leur petit ego personnel offensé par l'exposé des faits. Le décalage entre ces gens et la réalité est si énorme qu'on se demande dans quel monde clos ils vivent encore.
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Citoyens et politiques: deux mondes si différents!
Il est un fait curieux que chacun peut noter: alors que toutes les enquêtes d'opinion réalisées par tous les organismes de sondage concluent que les citoyens mettent au centre de leurs préoccupations l'emploi, le niveau de vie, la sécurité sociale au quotidien et l'avenir de leurs enfants, dans les élections, cantonales ou autres, les politiques ne font que s'affronter et concourir leur seuls egos.
Asnières n'échappe pas à la règle commune, avec sa pléthore de candidats qui passent le plus clair de leur temps à régler des querelles mesquines entre eux, sans jamais évoquer le fond réel des choses qui intéressent les habitants et électeurs: la crise mondiale, l'emploi, la vie quotidienne, la santé publique, tout ce qui est aujourd'hui la PRIORITE ABSOLUE URGENTE DES CITOYENS.
Certes, il est du plus haut comique de noter que ce microcosme imbu de son éloignement sidéral d'avec les réalités citoyennes évoque notre blog en feignant de croire qu'il pourrait faire une seconde partie de son marigot insensé, véritable panier de crabes où tous se détestent mutuellement tout en dialoguant ensemble dans leur propre vide.
Les citoyens comprennent bien, eux, que, dans Asnières, nous avons des blogs et sites internet qui sont tous des expressions politiques et UN SEUL qui exprime les problèmes réels vécus au jour le jour par la population.
Pour celles et ceux qui auraient des doutes, qu'ils reviennent aux premières pages de ce blog pour rafraîchir leur mémoire fatiguée ou se dessiller les yeux aveuglés par leurs propres habitudes ou turpitudes.....
Ce qui gêne ce microcosme qui forme une petite mare en voie d'assèchement rapide est qu'un blog ose leur dire, à TOUS, que seuls les citoyens, les habitants, leurs vrais intérêts concrets et collectifs sont TOUT pour nous (et rien pour ce groupuscule isolé)
Quant aux ambitions personnelles, pour légitimes qu'elles soient aux yeux de leurs promoteurs, nous n'en avons que faire.
Seule compte pour nous l'ambition COLLECTIVE des habitants à vivre bien, à posséder un emploi stable, un logement vivable, une qualité de vie digne, un revenu décent, un droit réel à une santé publique moderne et égale pour tous sur tout le territoire, des services publics rétablis, une énergie bon marché, une école publique de qualité dotée pour cela des moyens nécessaires.
Tel est un concentré de notre programme citoyen qu'aucun candidat n'évoque ou ne promeut!
Tout est ainsi dit!
Ceci éclairci pour les derniers « canards » de la mare asnièroise microcosmique, nous remercions tous les candidats qui, à l'insu de leur plein gré ou par pure colère de ne pas être honorés par Asnières Nouvelles Citoyennes, montrent qu'ils sont parmi nos lecteurs attentifs.
Rassurons-les aussi sur leur affection mutuelle respective: nombre de ceux qui nous médisent ici et là sont, discrètement, cela va de soi, nos discrets informateurs sur les méfaits de leurs "amis"!!!......Ainsi est fait ce microcosme asnièrois.
Par exemple, le candidat le plus ridicule et affligeant de ce scrutin cantonal, le dénommé Ralph Bohbot qui est le candidat le plus fat de cette lamentable et triste campagne qui n'a pas encore officiellement commencé, compte de vrais amis sincères autour de lui, des amis qui ne le trahissent que dès qu'il a le dos tourné.
Exemple pour sa culture: Ralph Bohbot a choisi un directeur de campagne officieux digne de lui et de son ego pantagruélique en la personne de l'ancien militant Front National, puis MNR de Bruno Mégret, puis ex-proche de Laurent Martin Saint Léon dans un Collectif aujourd'hui enterré sous les trahisons, nous avons nommé Henri Massol.
Henri Massol est ce qu'il est, mais c'est un homme qui sait écrire. Comme un autre qui est un peu dans son cas technique à l'Elysée: Henri Guaino.
Mais, dans les deux cas, la vraie question est: à quoi peut servir une plume cultivée si elle est au service d'un candidat promis au néant public par son vide politique absolu?
Avant de laisser Monsieur Bohbot retourner jouer dans sa mare qui devient un marécage, nous souhaitons contribuer à lui apporter un peu de culture du 21ème siècle: il importe, pour ne pas se ridiculiser, de ne pas confondre..... un site internet avec un blog!!!
Et, si notre futur déçu à l'esprit confus de mars 2011 sait lire et comprendre, il essaiera de CONCEVOIR- chose difficile dans son univers mental égotiste- que notre action se situe en-dehors de son monde microcosmique puisque dévouée au seul intérêt collectif public!
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L'ère des révolutions: "politiques" en perdition....
Depuis 1989, l'immense majorité de ce que la France appelait son « intelligentsia », un microcosme avide de reconnaissance des puissants du moment, avait décrété la « fin de l'histoire », une thèse absurde et incohérente qui visait surtout à faire croire aux populations de plus en plus révoltées par leur situation matérielle et morale que la société actuelle était la seule voie possible pour l'humanité.
Alors que l'Afrique connaissait guerres civiles et génocides de masse au nom de solides intérêts commerciaux et financiers européens et/ou américains, alors que les Balkans voyaient des conflits atroces déchirer des peuples entiers, alors que les rapports de force économique changeaient radicalement dans le monde, béatement, en France, il était répété sur tous les tons que les révolutions appartenaient à un passé révolu comme si leurs causes fondamentales avaient disparu avec des mots.
En 2011, le monde se trouve soudain plongé dans la réalité crue: nous traversons bien une ère de crises mondiales terribles, scandée de guerres civiles et de révolutions!
Alors que le sud de l'Europe, notamment la Grèce, glisse progressivement vers des situations insurrectionnelles, en France, peu de voix se font entendre pour annoncer que le chômage de masse, la précarité généralisée, le recul du niveau de vie, la destruction du système de santé publique, sont des facteurs qui peuvent, à tout moment, embraser le pays.
Ce que les politiques de tous bords ne comprennent pas est que l'époque des discours vides, déconnectés des faits réels, est finie.
Les citoyens exigent avec raison et exigeront de plus en plus des SOLUTIONS CONCRETES, DES ACTES REELS, qui mettent un terme à la REGRESSION SOCIALE GENERALE.
Ce n'est pas sans raison sérieuse que ce que les commentateurs officiels qualifient avec mépris de « courants populistes »ne cessent de progresser de tous côtés.
En effet, à l'ére des révolutions, des guerres civiles et des crises mondiales de toutes natures, les « politiques » bavards et creux de l'ancien monde « pacifique » deviennent inutiles, obsolètes, dépassés.
Ce que les peuples veulent avec une force croissante, ce sont des gens qui apportent des solutions concrètes, collectives, durables, claires et indispensables.
C'est aussi une des raisons qui nous amènent à penser que lors des élections cantonales, les votes dits « protestataires » ou « contestataires », plus l'abstention massive, vont être au centre de l'attention générale.
A Asnières, il va aussi en être ainsi.
Dans un certain sens, on peut poser comme thèse qu'à l'ère des révolutions et des guerres civiles, les « politiques » traditionnels et leurs égos démesurés déconnectés des réalités vivantes sont voués à disparaître, comme les dinosaures naguère, par défaut d'adaptation au contexte nouveau.
Affaire à suivre......
Marylise Dipusu
Chapitre 422 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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