mercredi 21 décembre 2011

Récession générale en Europe : les faits

























Ci-dessus, une iconographie qui vise d'abord la récession qui s'abat sur les peuples d'Europe sans que les médias en parlent en France, signe de l'aveuglement évident des dirigeants face aux désastreuses conséquences de leurs choix passés et actes actuel, mais se poursuit par une panneau qui symbolise la chute sans fin de Manuel Aeschlimann qui accumule erreurs, échecs et rejets. Heureusement pour le député en sursis, en juin 2012, cette chute connaîtra sa conclusion quand il sera chassé de son siège par la démocratie citoyenne.

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Pendant que certains ne s'occupent que de leurs mandats bien payés


Il est à Asnières des élus (et des gens voulant le devenir) qui ne s'intéressent qu'à leurs mandats bien rémunérés par le peuple (ou à obtenir ces mandats lucratifs).

Ce blog, lui, comme blog citoyen libre, ne se préoccupe que des citoyens, de leurs enfants et aînés, de leur présent et de leur avenir.

Constatant avec étonnement que nombre de médias en France font tout pour ne pas évoquer la récession qui s'abat sur les peuples d'Europe, et plus particulièrement de la zone euro, nous sommes allés chercher les faits, les avons collectés et nous les présentons à nos lecteurs pour QU'ILS SACHENT.

Ces faits son en français, d'accès public libre et très précisément sourcés. Chacun peut donc les trouver aisément et sans effort, à condition de s'intéresser à ce sujet qui touche au destin de 380 millions de personnes.

La récession arrive en Hollande appelée aussi Pays-Bas :


La récession est prête à frapper l'Italie :


En Espagne, Le spectre de la récession apparaît au détour d'un article consacré au Premier Ministre espagnol :


En Belgique, c'est déjà un fait que certains essaient de considérer comme peu important : :


Même la Suisse semble toucher par la maladie collective, qui, comme dans la fable de Jean de la Fontaine, attaque tout le monde, mais n'a pas encore infecté tous les pays:


Signe de panique et d'impuissance conjuguées : l'Union européenne en est réduite à la mendicité à l'égard du reste du monde, à qui elle demande de payer ses erreurs passées et la crise de l'euro. Un acte de désespoir qui achève de ruiner « le crédit » de la zone euro :


Chacun sait que la BCE (Banque Centrale Européenne) ne prête pas aux Etats en difficulté pour tenter de les aider dans la crise actuelle et qu'elle ne cherche pas à protéger les peuples d'Europe en difficulté, mais, par contre, elle peut sortir de ses tiroirs 489 MILLIARDS D'EUROS pour financer....les banques pour la deuxième fois depuis 2008 :


La situation est donc claire : si on excepte, pour le moment, l'Allemagne et l'Autriche, la récession est partout à l'ordre du jour en Europe, avec ses terribles conséquences sociales et économiques.

Ainsi, la Hongrie avance vers la banqueroute avec une dégradation de sa note financière dont les motifs sont ici d'une clarté limpide :


Une conclusion provisoire est donnée par le magazine « Le Point » qui fait le bilan de l'année 2011 pour la zone euro :


Le Titanic euro coule, mais il semble importer aux officiers du navire de ne pas en informer les passagers car, de plus, les canots de sauvetage nationaux sont percés.

Ces mêmes gens se préparent, sans vergogne, à souhaiter aux citoyens de très joyeuses fêtes et une année heureuse 2012......

Ah, les braves et honnêtes gens !


Intercommunalité : plus on est, plus chacun paie après avoir perdu la démocratie communale au point de péage



Récemment, le « Canard Enchaîné » a publié un article très instructif sur les méfaits de l'intercommunalité tels qu'ils apparaissent après quelque années.

Chacun jugera des faits rapportés par l'hebdomadaire satirique dont le fond est très souvent juste :

Le titre est indicatif :

« Quand les communes se marient, les élus font la noce ».

« …... ces structures sont faites pour réaliser des économies d’échelle en mutualisant les activités et les services (…), c’est tout le contraire qui se passe. L’appartenance à l’intercommunalité tend à accroître de manière générale, les impôts directs locaux. C’est le Conseil des prélèvements obligatoires (rapport 2009) qui arrive à cette conclusion. La mutualisation des moyens tourne au partage du butin par l’armée mexicaine… Les indemnités versées aux responsables de ces nouvelles structures, la multiplication des postes de vice-présidents sont dénoncées. Au total, c’est le contribuable qui paie la note .

(….) De telles structures renforcent le cumul des mandats et sont même génératrices de nouveaux écrêtements d’indemnités ! Le système qui permet à ces structures intercommunales d’avoir d’autant plus de subventions de l’Etat qu’elles dépensent davantage, renforce ces dérives. (….) Dépenser plus pour gagner plus ».

Que voilà une analyse résumée qui mérite l'attention des citoyens à qui on demande de payer toujours plus pour recevoir toujours moins ! Alors que les rapports cités pointent la multiplication des dépenses pour des élus au titre des mandats diversifiés, ce qui pèse autant sur la fiscalité locale que sur le budget de l'Etat.

Dit autrement, l'intercommunalité a fait exploser les coûts qu'elle était censée réduire, et les citoyens y perdent argent, services publics et le contrôle de la gestion par les élus, qui sont pour certains les seuls à profiter, au final, de cette structure.

Au passage, la démocratie communale, niveau de base de la démocratie en République, est détruite.

Heureusement, à Asnières, le militant le plus en pointe de cette intercommunalité ici dénoncée pour ses nombreux maux est un ami à la fois de Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss-Kahn, le maire-adjoint Serge Danlos, dont le parcours politique donnerait le tournis vertigineux même à un derviche-tourneur.

Un nom qui risque de rester dans la mémoire collective asnièroise comme le destructeur de la démocratie locale et l'initiateur de nouvelles hausses d'impôts, taxes et tarifs publics afin de financer les maux et dérives de l'intercommunalité qu'il ne peut ignorer......

A chacun ses amis, à chacun ses titres de gloire !

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Conflit Rama Yade-Manuel Aeschlimann : le calme revient-il ?


Aux dernières nouvelles, Manuel Aeschlimann essaierait de calmer le conflit qu'il a créé contre Rama Yade.

Il est vrai que le fait que l'intéressée soit donc bien inscrite sur les listes électorales de Colombes a placé le député en sursis dans un grand embarras.

Pour l'heure, le résultat du conflit est limpide : en Afrique où il s'investissait beaucoup comme avocat du cabinet Olivier Schnerb, Manuel Aeschlimann est en voie de devenir « personna non grata ». Les électeurs asnièrois originaires des DOM-TOM, des pays d'Afrique et du Maghreb le rejettent encore plus qu'en mars 2008 et il est devenu pour l'UMP un poids de plus en plus pesant avec le rappel de ses ennuis judiciaires.

Comme le soulignait pour notre blog un militant qui se revendique sur Asnières de la cause de Rama Yade :

«  Manuel Aeschlimann a beaucoup perdu dans cette affaire. Celui qui se pensait un stratège en 2001 ou en 2005 apparaît pour ce qu'il est : un homme désespéré qui s'accroche bec et ongles à son siège de député sans plus aucune vision politique. Du « Sarko-boy » passé, il ne reste plus qu'un « Sarko-looser » .






Marylise Dipusu

Chapitre 471 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008


1 commentaire:

Anonyme a dit…

Calmé le baron Aeschlimann?
Pas si sûr à lire sur son sa page facebook ses (premières) attaques de caniveau contre Lara Parrenin, déléguée du Parti Radical à Asnières.
Au fait la source sur laquelle il s'appuie (un blog anglo-saxon avec version française), www.politicsinside.fr, est très lacunaire en matière d'information sur l'ancien maire et actuel député UMP condamné en appel à l'inéligibilité.
ANC ne pourrait-il pas les éclairer?
Merci.