Ci-dessus deux images sur la confusion en hommage à Manuel Aeschlimann, l'avocat, ex-député et maire battu, condamné définitif pour favoritisme qui a essayé de faire poursuivre en France un blog étranger, provoquant des difficultés dont le TGI de Paris se serait bien passé. Et ce n'est pas une histoire suisse.
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Les habitants d'Asnières
le savent, au moins une bonne partie d'entre eux: Manuel
Aeschlimann, en plus d'être un ex-maire, un ex-député, un
ex-Conseiller Municipal et un condamné définitif pour favoritisme
suite à sa décision de se désister de son recours en Cour de
Cassation, est un amateur passionné des échecs, le jeu certes, mais
aussi des échecs dans ses entreprises.
Asnières Nouvelles
Citoyennes est fière de faire savoir, en scoop exclusif, que le
battu répétitif par le suffrage universel qu'est Manuel Aeschlimnn
est aussi un avocat malchanceux, qui, apparemment, ne porte pas une
attention suffisante à ses plaintes.
Car, même sans mandat
public, même réduit à n'être plus rien dans la vie de la commune,
Manuel Aeschlimann essaie encore de pratiquer son sport favori, à
ses frais : le dépôt de plaintes.
C'est ainsi que nous
avons appris par des correspondants hilares que Manuel Aeschlimann,
avocat parce qu'il fut député, est en voie de se ridiculiser de
nouveau largement : il a en effet porté DES plaintes contre un
blog privé pour diffamation.
Ses plaintes ont
OUBLIE DE PRECISER A LA JUSTICE QUE CE BLOG PERSONNEL EST UN BLOG
ETRANGER, situé en territoire étranger, identifiable comme tel,
donc non soumis aux lois françaises et hors du champ de
compétence de la Justice parisienne!
Ainsi, les élus et habitants d'Asnères apprendront avec
stupéfaction et intérêt que Manuel Aeschlimann avait déposé
plusieurs plaintes, sous couvert de son patron, Me Olivier SCHNERB,
plaintes qui avaient été instruites par la juge d'instruction de
Paris, Mme Sabine KHERIS.
Celle-ci n'avait pas jugé nécessaire de vérifier les allégations
de l'ancien député et maire sur l'identité réelle, la
localisation géographique et l'appartenance nationale du blog en
question.
Elle vient de découvrir incidemment que l'avocat Manuel
Aeschlimann l'avait fait travailler des mois sur un blog étranger,
dont le titulaire, ressortissant de ce pays lointain , ne
pouvait lui être dévoilé par l'hébergeur, car relevant des lois
du pays étranger en question !
Nous ignorons à cette heure comment Manuel Aeschlimann a pu omettre
de préciser à une magistrate de la République que ce blog,
identifié par ses initiales nationales bien visibles en ligne
(TW), ne pouvait pas relever des lois françaises.
Cette omission, connue, a jeté un froid au TGI de Paris, où les
magistrats-instructeurs, surchargés de travail, ne peuvent tout
vérifier eux-mêmes.
On pourra retenir les hypothèses, au choix, de l'ignorance de
l'avocat qu'est Manuel Aeschimann sur le sujet des nouvelles
technologies, ou bien, c'est selon, une « plaintomanie »
qui le dessert et risque de le ridiculiser tout en le
décrédibilisant un peu plus.
Mieux encore, la magistrate-instructrice Sabine KHERIS devrait être
bientôt très fâchée :
la Justice du pays dont ce blogueur étranger dépend- et qu'elle ne
pouvait rechercher sans excéder son champ de compétence judiciaire,
contactée par nos soins via son Ambassade, a laissé entendre
clairement qu'elle adresserait, si nécessaire était, une lettre
« de mise au point ferme » à Mme Sabine KHERIS
sur l'atteinte manifeste à sa souveraineté nationale sur ces
affaires.
Le responsable contacté par nos soins a jugé « invraisemblable »
qu'un avocat puisse oser déposer des plaintes à Paris contre un
blogueur de son pays et que nul en France, police et Justice,
n'ait noté que le blog visé n'était pas français, comme son
éditeur étranger.
A notre connaissance, la magistrate aurait rendu à ce jour deux
Ordonnances dans lesquelles, selon nos informations, le
titulaire-éditeur de ce blog étranger n'est pas cité, puisqu'il
ne pouvait légalement être recherché dans le pays étranger.
Comme nous ne possédons pas copie de ces Ordonnances, nous pensons
que Mme Sabine KHERIS a dû, au choix, rendre un avis de non-lieu ou
d'incompétence juridique, n'ayant de plus pu obtenir l'identité de
l'éditeur étranger de ce blog étranger.
Selon des sources proches de Manuel Aeschlimann, ces Ordonnances
auraient « identifié » un citoyen français comme
« Directeur de publication »(sic!!) d'un blog
personnel étranger.
Si la Justice française avait identifié un « Directeur de
Publication », alors, elle a dû pouvoir lire
l'identité du blog en question et découvrir que ce blog est de
droit étranger !
Or, voici ce que dit Wikipedia sur le sujet- voir la responsabilité
de l'éditeur du blog personnel :
Nous parlons bien des blogs en France, pas dans un pays étranger.
Interrogé, le magistrat étranger explique :
« s'il apparaissait que la police ou un magistrat français
a effectué des recherches sur un blog de notre pays, y compris sur ses contributeurs, ce qui sort de
leurs compétences et porte atteinte à notre souveraineté, nous
ferons savoir à Mme Chrstiane TAUBIRA notre courroux, nous réservant
le droit de déposer plainte contre les responsables de ces
violations inacceptables de la vie privée de nos concitoyens, ce
blog étant clairement identifiable comme relevant de notre droit
national exclusif ».
Conclusion : alors qu'il vient de reconnaître enfin son délit
commis de favoritisme dans l'affaire du Festival Folklorique
d'Asnières, Manuel Aeschlimann s'est lancé de façon irréfléchie
dans des actions, alors qu'avocat, affaires qui ne peuvent que le
ridiculiser publiquement et créer des difficultés à des magistrats
français avec leurs homologues étrangers !
On vous le disait : l'ancien élu chassé de la mairie et
l'Assemblée Nationale aime collectionner les échecs et continuer à
accumuler les ennuis.
Pour rire enfin des malheurs de Manuel Aeschlimann qui ne sait pas
identifier et différencier « blogs français » et
« blogs étrangers », une
dernière information :
Dans les deux plaintes que nous
avons pu connaître sans les détails, mais de manière générale,
Manuel Aeschlimann y expose des textes évoquant ses liens passés
avec le régime iranien et son activité de défenseur de Koffi
Olomidé.
Voilà qui va encore faire beaucoup
pour sa bonne renommée et sa juste notoriété, nationale et
internationale. Et dire que Manuel Aeschlimann entend ainsi briguer
de nouveau la confiance des citoyens.
Marylise Dipusu
Chapitre 528 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2012