Carlos Diaz, un élu très manuel
Carlos Diaz est un élu du groupe politique municipal d'élus animé et dirigé par les époux Aeschlimann. Cependant, cet élu se distingue, non pas certes par des discours agressifs ou haineux, mais par ses mains besogneuses qui permettent de distribuer, tant sur les marchés d'Asnières qu'en Conseil Municipal, des textes pouvant exposer leur diffuseur à de très ennuyeuses conséquences judiciaires.
En effet, le système Aeschlimann a habitué les Asniérois à ce type d'action: des hommes aimant le labeur manuel diffusent des tracts ou des communiqués, fabriqués au coeur du système par des auteurs anonymes. Ils sont ensuite souvent condamnés en lieu et place des vrais instigateurs de ces écrits, qu'ils ne connaisent bien sûr pas.
L'affaire dite « des corbeaux » avait été de ce point de vue riche en enseignements sur les petits secrets de fonctionnement interne du système Aeschlimann. Plus aucun magistrat aujourd'hui n'est dupe de ces méthodes déplorables et contraires au plus élémentaire esprit civique..
Ainsi donc, lors du Conseil Municipal du 23 juin 2008, Carlos Diaz, dévoué militant des époux Aeschlimann, a accepté l'injonction de l'ancien maire de diffuser un texte dans l'enceinte du Conseil Municipal, texte qui depuis longtemps, a perdu tout crédit public, désignant de nouveau à la vindicte publique une Fondation parisienne et une association citoyenne asniéroise.
La scène a eu lieu dans un lieu public, la salle du Conseil Municipal, après le 16 mars 2008, et elle éclaire bien les contradictions que vit notre ville depuis plus de 3 mois maintenant, sur lesquelles nous reviendrons un peu plus bas.
Force est de constater: Carlos Diaz, avec d'autres, est très actif pour essayer de déstabiliser la municipalité actuelle, au profit, croit-il, de ses dirigeants de groupe municipal. Pour ce faire, il a noué des liens personnels avec certains policiers municipaux avec l'objectif de se faire fournir par eux des informations qui pourraient, selon lui, être de nature à nuire aux élus de la majorité issue du vote citoyen du 16 mars 2008.
Certains citoyens généralement bien informés lui imputent les mensonges éhontées, repris par certains médias un peu vite ou de manière assez crédule, sur les élus actuels, par exemple suite à l'incendie qui a frappé un immeuble asniérois récemment. On ne prête qu'aux riches.....
De même, nous avons de très précises informations émanant de citoyens asniérois qui indiquent qu'il est aussi un de ceux qui propagent des rumeurs mensongères et de fausses informations afin de salir la majorité actuelle dans la population, particulièrement dans le quartier de la Station.
Notre confrère, le site www.asnierois.org, vient d'ailleurs sur ce sujet de prendre le site de l'ancien maire en flagrant délit de désinformation sur une affaire de « tirs de mortiers » (sic!!!) sur un local de police, « une information » transmise par un lecteur du blog de l'ex-maire battu, mise en ligne sans aucune vérification du fait allégué, puis retirée sans bruit, et surtout sans explication, ni excuse.
Selon certaines sources internes à l'UMP, sources qui ne se sentent pas proches de cet homme, sous le pseudonyme « casa9a » ou d'autres de même acabit, ce serait cet élu qui courrait sur le Net pour dénigrer partout l'équipe en place, ses élus et ses actes.
Pour notre part, nous ne donnerons qu'un conseil citoyen salutaire à l'élu municipal Carlos Diaz: qu'il étudie le sort judiciaire, personnel et politique de ses devanciers en distribution publique de tracts et en actes au service des époux Aeschlimann, que ce soit Charles Caillet ou Francis Raminé Pourbagher.
Il devrait y trouver de vraies informations propres à nourrir une saine réflexion sur son possible avenir.
Problème non réglé, problème aggravé avec falsification possible d'un Rapport officiel
Il avait été demandé, par l'équipe de rédaction de ce blog et par Nicolas Marié en entrevue privée avec le maire, que la nouvelle municipalité lave publiquement de toutes les accusations diffamatoires et mensongères passées les citoyens asniérois et l'association visés par les époux Aeschlimann quand ils dirigeaient la mairie.
Ceci n'a pas été fait. Ce que les époux Aeschlimann ont jugé comme une peur de la nouvelle majorité leur a donné l'audace de recommencer, comme en 2003, comme au temps où ils détenaient la mairie, leurs attaques ignobles contre de paisibles citoyens de notre ville.
On a vu lors du Conseil Municipal du 23 juin 2008 les conséquences négatives et plus que malsaines de ce refus de positionnement clair, transparent et public par la nouvelle équipe.
S'appuyant en cela sur des « Notes » sans fondement aucun de services du Ministère de l'Intérieur dont tout laisse à penser qu'ils ont été ici « instrumentalisés », voire « désinformés », et sur un Rapport de la MIVILUDES que le site de cette dernière n'a jamais publié, les nauséeuses accusations du système Aeschlimann portées contre une Fondation parisienne et une association de quartier asniéroise ont repris du service lors du dernier Conseil Municipal.
Il semblerait, en comparant les documents présentés sur les sites de la mairie d'Asnières (étrangement toujours en ligne après le 16 mars 2008) et celui du groupe des époux Aeschlimann, que, sue ce dernier, une page ait été rajoutée au document INITIAL connu de la Ville et des médias, comme on le verra en comparant les textes en ligne sur ces deux liens:
http://www.ville-asnieressurseine.fr/upload/gestion_fichier/document/pdf/Rapport_Miviludes.pdf
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/93/26/31/miviludes-elahi.pdf
Curieusement, la MIVILUDES n'assume pas vraiemnt ce Rapport: elle n'a pas souhaité le publier sur son site public d'accès. Voir ce lien pour constater les faits:
http://www.miviludes.gouv.fr/
Y aurait-il eu, avec cette page ajoutée, une falsification sur le site des élus municipaux asniérois du groupe « Asnières en marche », par un rajout illicite d'un Rapport qui, lui-même, serait si discutable dans ses faits et conclusions que ses auteurs refusent de le publier sur leur propre site?
Si tel était le cas, ces élus encourraient de lourdes sanctions judiciaires, aggravées par leur statut d'élus locaux. Nous disons bien « si tel était le cas » car tous les médias qui ont reçu ce « Rapport » ont tous dénombré 8 pages alors que la page enregistrée du site du groupe des époux Aeschlimann en présente bien 9!!!
En tout état de cause, le silence antérieur et inexplicable de la Municipalité en défense des citoyens a conduit à de nouvelles dérives anti-républicaines qu'il urge maintenant de combattre et stopper.
Nous l'avons dit et le répéterons ici: il est de la plus haute importance, dans l'intérêt public le plus large et le plus manifeste, que la Ville f'Asnières sur Seine, par ses élus et ses moyens de communication propres, dénonce CLAIREMENT et PUBLIQUEMENT, toutes les accusations diffamatoires autant que fausses lancées naguère par le système Aeschlimann contre des citioyens d'Asnières. Et qui renaissent en cet été 2008, comme si rien n'était arrivé le 16 mars dernier!
Il s'agit là d'une nécessité citoyenne absolue.
La Municipalité actuelle a la responsabilité de la protection de la sécurité des biens et des citoyens, mais aussi de leur sérénité morale et de leur cadre de vie: dans ce contexte, il est indispensable que la Ville d'Asnières sur Seine défende publiquement les citoyens et associations ignoblement attaquées en Conseil Municipal, ceci afin de concourir à leur sécurité et à leur sérénité, donc au maintien de la concorde civile entre citoyens et à l'apaisement des souffrances passées.
Les attaques nauséabondes, délétères, infâmes des époux Aeschlimann qui ont eu lieu au Conseil Municipal du 23 juin 2008 doivent être dénoncées comme telles par tous les élus responsables et conscients, par toutes les forces politiques républicaines dans la ville.
Les appels à la haine contre des citoyens de notre ville, les dénonciations publiques de citoyens, les amalgames indignes et indécents des époux Aeschlimann doivent être combattues par toutes et tous, avec un engagement véritable des moyens publics de la Ville.
L'enjeu véritable est la paix civile dans notre ville.
La majorité issue du 16 mars 2008 doit être à la hauteur de la situation et agir dorénavant avec fermeté et dignité.
Il est évident que SON objectif, nécessaire, d'apaisement de la vie publique de notre ville ne peut être atteint que par un coup d'arrêt définitif à ce type d'agissements nuisibles qui ont justement conduit aux problèmes actuels.
Nous invitons donc solennellement tous les élus municipaux, de tous groupes politiques, à condamner publiquement les attaques haineuses, contraires aux principes républicains les plus fondamentaux, des époux Aeschlimann et à exiger des sanctions exemplaires contre leurs auteurs, filmés au cours du Conseil Municipal en leurs oeuvres malsaines.
Nous demandons aux élus de la majorité issue du vote du 16 mars 2008 de diligenter une enquête publique, dans le cadre des attributions du Conseil Municipal, afin que soit éclairée l'origine exacte de la 9ème page du Rapport de la Miviludes, inconnue de tous jusqu'ici, et de veiller à ce que les sanctions les plus sévères soient appliquées au cas où il s'agirait d'une falsification volontaire d'un document émanant d'une autorité administrative.
Asnières doit dès maintenant revenir dans la République. Il est plus que temps, et cette 9ème page de Rapport publiée sur un site indique que tel n'est malheureusement pas encore le cas.
Pour l'équipe de rédaction,
Marylise Dipusu (en collaboration avec toute l'équipe du blog)
mercredi 2 juillet 2008
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