mardi 5 mai 2009

Asnières: un nouveau mensonge de Manuel Aeschlimann s'écroule!



Cette photo de couverture de l'Express montre Manuel Aeschlimann regardant sans grand intérêt les pions d'un jeu d'échecs en mairie en 2006.


Nous avons choisi cette photographie car elle nous semble manifester exactement l'estime et l'intérêt véritables de Manuel Aeschlimann envers celles et ceux qui lui ont servi et qu'il abandonne ensuite sans un regard et sans remord à leur triste sort dès lors qu'ils ne lui sont plus d'aucune utilité pour ses propres objectifs.


Il en fut ainsi de beaucoup de ses anciens amis et/ou compagnons. Mais, le cas de Francis Delage est probablement le plus révoltant parmi ces pratiques habituelles de Manuel Aeschlimann. L'ancien maire et encore député a utilisé un malade, un mourant, pour des fins de diffamation publique, puis a laissé tomber sa famille ensuite comme on abandonne de simples pions vus sans intérêt dans une partie de jeu d'échecs.


Mais, ici, la famille DELAGE, ce sont des êtres humains et non des pions. Ce sont des êtres humains qui ont perdu de plus un de leurs d'une maladie horrible et que Manuel Aeschlimann a laissés seuls face à la Justice comme si leur destin n'avait aucune importance à ses yeux!


Oui, le chapeau est bien trop gros pour la famille DELAGE! Car ces diffamations ont été possibles par la seule volonté de l'ancien maire, qui a utilisé, dans un "abus de faiblesse" honteux, un élu de son équipe pour diffamer des citoyens asnièrois avec l'argent public.


Aujourd'hui, par la lettre que nous rendons publique, c'est la dignité même de Manuel Aeschlimann qui est frappée et détruite. Seule une personne sans dignité, sans humanité et sans sincérité peut ainsi abandonner ses soi-disant amis dans la peine et la douleur, avec en plus la charge financière de ses actes publics à payer de leurs poches!


Oui, le chapeau est trop grand pour les innocents!

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L'élu malade et invalide que Manuel Aeschlimann laissa être condamné afin que sa veuve paie les frais de Justice.....



Nous publions en EXCLUSIVITE une déclaration rédigée par Madame Mireille DELAGE, veuve de Francis DELAGE, ancien maire-adjoint de Manuel Aeschlimann.


Francis DELAGE est décédé d'une atroce maladie dite « orpheline »- maladie dont les traitements techniquement possibles n'intéressent pas les groupes pharmaceutiques privées car le nombre der patients potentiels ne serait pas « rentable ».


Ainsi, au nom de la rentabilité de groupes industriels privés, le système public de soins abandonne chaque année des centaines de personnes à une mort lente horrible alors que des recherches scientifiques menées sans but lucratif, seulement humain, pourraient permettre de soigner, voire guérir celles et ceux qui sont atteints de ces pathologies rares.


Francis DELAGE, alors invalide et très affaibli, fut l'élu que Manuel Aeschlimann laissa être condamné civilement et pénalement pour des documents signés par la Mairie et/ou la majorité municipale d'avant le 16 mars 2008, documents regardés par la Justice comme diffamatoires contre des citoyens, des élus et des associations.


Ce que dit par son courrier Madame DELAGE, dont chacun ne pourra que respecter la douleur sincère et comprendre son souhait légitime de protéger la mémoire de son époux est que Francis DELAGE a effectivement été condamné pour des écrits qui ne POUVAIENT pas être de sa main, ni voulus par lui alors qu'il était très affecté et handicapé par sa maladie.



Mais qui était donc celui qui organisait l'action des services de la Ville?


Madame DELAGE montre indirectement que l'ancienne majorité municipale et/ou la mairie d'Asnières- comprendre ici le maire de l'époque: Manuel Aeschlimann- ont laissé consciemment Francis DELAGE être poursuivi et condamné pour des faits qui ne pouvaient être reprochés à son époux alors mourant. Quitte à ce que sa veuve ait ensuite à payer elle-même des frais qui ne sont pas de son fait.....Les signataires des tracts ne sont donc pas les payeurs!


Cette « majorité municipale » ou la « mairie » de l'époque ont non seulement laissé Francis DELAGE être condamné, mais pire encore, ils n'ont rien fait pour défendre son honneur et sa mémoire, même par un simple geste financier!!!


Certes, le nom de Francis DELAGE a été accolé à l'Espace Concorde, sur décision personnelle de Manuel Aeschlimann, comme certains politiques tendent à honorer avec l'argent public celles et ceux qui les ont servis, mais qu'aujourd'hui, ils ne tiennent pas à trop défendre devant la Justice à titre privé avec leurs fonds propres.


Un juriste réputé note au passage que les faits relatés par Madame DELAGE posent le problème d'un délit pénal caractérisé contre son mari, celui de « l'abus de faiblesse » dont le Procureur de Nanterre peut s'emparer pour d'éventuelles poursuites contre leurs auteurs, même sans plainte.


De même, ce juriste note avec intérêt que la signature « majorité municipale » est un FAUX GROSSIER, digne du faux commis contre Dominique Riera en 2001 avec un faux tract USA- Union Socialiste Asnièroise- attaquant de manière malhonnête le candidat PS de ce moment, tract dont le coût financier fut intégré dans les comptes de campagne de Manuel Aeschlimann, sans que le Parquet de Nanterre n'ait rien à dire sur cette pratique pour le moins condamnable....


Le document diffamatoire diffusé le 13 novembre 2003 est en effet un FAUX GROSSIER! La preuve en est qu'un des supposés signataires, l'élu de l'époque Olivier Chazoule, maire-adjoint à la culture, ne l'avait jamais signé! Plus encore, il a lui-même assigné le torchon en question en Justice, même si le procès ne put avoir lieu du fait d'un vice de forme réalisé par un avocat pourtant réputé habile et célèbre, Me Yves LE BORGNE, qui défendit ensuite sans succès aussi les époux TIBERI sur Paris!


Cependant, chacun constatera en quel véritable « estime » Manuel Aeschlimann a tenu dans les faits Francis DELAGE et sa famille, les abandonnant seuls face aux tracas judiciaires et aux frais lourds qui en découlent, leur refusant plusieurs fois toute aide morale et matérielle.


Manuel Aeschlimann a poussé le cynisme jusqu'à donner le nom d'un homme mort qu'il a laissé seul face aux juges à une salle municipale, alors qu'il se refusait à lui apporter toute aide publique, tout soutien politique et personnel.


Manuel Aeschlimann a laissé cet élu être condamné pour des écrits dont la signature était celle de la majorité municipale qu'il dirigeait ou de la Mairie dont il était le maire en exercice.


Une telle attitude d'abandon d'un élu qu'il décrivait devant tous comme un ami ne mérite que le mépris public, comme les écrits diffamatoires qui ont été sanctionnés par la Justice


Manuel Aeschlimann n'a même pas eu ce geste minimal de compassion comme député d'intervenir devant ses collègues législateurs afin d'attirer l'attention de l'Assemblée Nationale sur la nécessité urgente, humaine, éthique, de dégager des fonds publics pour de véritables recherches scientifiques PUBLIQUES, sans critère de rentabilité, sur les maladies dites « orphelines »!


Ce que révèle en filigrane la lettre de Madame DELAGE est un ancien maire - Manuel Aeschlimann-égoiste, ne pensant qu'à lui-même et incapable d'un véritable et sincère esprit d'équipe, ce que démontre l'abandon total de Francis DELAGE par Manuel Aeschlimann à son sort judiciaire dont Francis DELAGE n'était pas le vrai coupable, ni le réel responsable.


Comme d'autres citoyens de notre ville, Francis DELAGE restera dans l'histoire de notre ville comme une victime, à plusieurs titres, du système Aeschlimann, un système bâti sur le cynisme et le mépris d'autrui.


Asnières Nouvelles Citoyennes propose donc qu'une plaque nouvelle soit posée en l'Espace Concorde Francis DELAGE avec cette inscription: « A Francis DELAGE, ancien élu d'Asnières, victime judiciaire expiatoire d'un système sans pitié"


Une telle plaque avec un tel texte ne serait que justice et oeuvre de vérité en mémoire du vrai Francis DELAGE dont le seul tort fut d'avoir eu un jour confiance dans la parole d'un maire, chef de son équipe municipale: Manuel Aeschlimann.


Manuel Aeschlimann, avec cette lettre que nous publions, vient de perdre définitivement tout droit moral à revendiquer une seule once de la mémoire de Francis DELAGE. Seule demeure la trahison honteuse de Francis DELAGE par Manuel Aeschlimann, une trahison de plus qui se rajoute à la longue liste des trahisons de Manuel Aeschlimann.


La lettre de Madame Mireille DELAGE (Exclusivité)


Déclaration de Mme Delage relative à la condamnation définitive de son défunt mari pour diffamation envers l'association de la ZAC Métro


Par jugement en date du 5 avril 2005, aujourd'hui définitif, le Tribunal de Grande instance de Nanterre a déclaré mon défunt mari, Francis DELAGE, coupable du délit de diffamation envers l'association ZAC METRO.


Cette condamnation a été la conséquence du contenu d'un tract distribue à tous les Asnièrois, le13 novembre 2003, intitulé « Communiqué de la Mairie d'Asnières sur Seine » et signé de « la majorité municipale ».


Aux termes de ce communiqué, la « Mairie d'Asnières », administrée par la précédente équipe municipale, avait notamment présenté l'association ZAC METRO comme étant le « paravent d'une secte » cherchant a « infiltrer » les instances municipales.


Le Tribunal de grande instance de Nanterre a considéré que cette allégation était injustifiée et qu'elle portait atteinte à l'honneur et à la considération de la ZAC METRO.


Parce qu' il était alors adjoint au Maire en charge de la communication, et parce qu'il avait estimé devoir reconnaître devant la justice « avoir donné le projet de tract à ses services pour qu'il fut mis en forme définitive et distribué par envoi postal à l'ensemble des inscrits sur les listes électorales », mon mari a, SEUL, été condamné pénalement et civilement pour cette diffamation.


A mon tour, je supporte aujourd'hui SEULE, en ma qualité de veuve, le poids de ce jugement qu'il m'appartient d'exécuter pour réparer le préjudice subi par l'association ZAC METRO.


Le chapeau est décidément lourd a porter...


J'espère que ces quelques lignes, soulageront un peu les membres de la ZAC METRO mis en cause à tort et permettront, dans le même temps, à mon défunt mari de reposer en paix.


Fait a Asnières sur Seine,


Le 09-04-09



Marylise Dipusu


Chapitre 145 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008



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