Ci-dessus, la couverture du livre sur Nicolas Sarkozy et ses relations aux femmes.
C'est dans ce travail d'écriture que l'on retrouve des témoignages - d'un intérêt puéril, donc limité- de Serge Danlos sur ce sujet si particulier, à savoir les attitudes diverses de son ami d'enfance Nicolas Sarkozy avec la gente féminine.
A l'évidence, sur ce sujet, Serge Danlos a été intarissable, même si la vie privée de Nicolas Sarkozy n'a qu'un bien lointain rapport avec son mandat de maire-adjoint en charge de l'intercommunalité à Asnières.
Il n'en demeure pas moins que Serge Danlos a apporté plus au monde médiatique sur la question des relations aux femmes de Nicolas Sarkozy (adolescent, puis adulte) qu'aux intérêts des citoyens asnièrois sur le plan des relations entre les communes de Clichy, Levallois et Asnières.
Il aurait été fort souhaitable pour l'intérêt public et la fluidité de la circulation automobile dans le nord des Hauts de Seine que l'inverse eût été la réalité.
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Les héros de l'intercommunalité ou pendant la guerre des maires, les citoyens usent leurs nerfs
La comédie tragi-comique qui vient de se produire entre le maire PS de Clichy, appuyé- avec modération- par le maire d'Asnières, le tout contre le maire de Levallois-Perret a énervé légitimement les habitants concernés victimes de ces querelles clochemerlesques, mais a surtout mis en relief le travail extraordinaire de maire-adjoint d'Asnières en charge de l'intercommunalité.
Ce dernier est Serge Danlos dont les discours homériques sont de réputation publique.
Serge Danlos, outre ce poste, se réclame être un proche ami de Nicolas Sarkozy, tout comme le maire de Levallois-Perret, Patrick Balkany. Il est aussi un ami de Sébastien Pietrasanta- de moins longue date il est vrai- et il s'occupe de l'intercommunalité dans la boucle nord de la Seine, dont font partie, entre autres, Asnières, Clichy et Levallois.
Au vu du poste occupé par Serge Danlos dans l'équipe municipale d'Asnières et de ses hautes relations revendiquées, les citoyens auraient pu penser que la guerre des sens de circulation qui a fortement mis en colère des milliers d'automobilistes et de motocyclistes lundi 31 août 2009 aurait pu être habilement évité par ses immenses talents relationnels de médiateur expérimenté.
Las, la concertation que Serge Danlos aurait pu initier et mener à bien, avec le concours possible de son vieil ami Nicolas Sarkozy, n'a pas eu lieu ou, en tout cas, n'a pas porté de fruits bien féconds.
Sébastien Pietrasanta et Serge Danlos se sont présentés naguère comme les héros et les hérauts de l'intercommunalité, vue comme un gage de vie meilleure pour les citoyens. Ils viennent de montrer, dans cette affaire ridicule de sens de circulation contradictoires, à la fois les limites de leurs capacités politiques à peser sur les faits, leur impuissance à œuvrer pour l'intérêt public sans esprit partisan obtus et à défendre efficacement les milliers d'habitants d'Asnières qui utilisent (ou utilisaient l'ex-route départementale qui traverse une partie de Clichy et de Levallois.
Car, si la guerre des maires a été pour l'heure stoppée par le Préfet, le problème de fond de l'intérêt public, celui des milliers d'usagers de cette voie PUBLIQUE de circulation, n'est pas résolu.
De ce point de vue, Patrick Balkany, maire de Levallois, montre par son attitude fermée aux intérêts des citoyens autres que ceux qui résident dans sa commune, les limites étroites de sa conception de l'intérêt collectif. Cela ne saurait trop étonner....
Il n'est d'ailleurs pas sûr que les conséquences de sa décision municipale ne soient pas - au final-très négatives pour lui, pour son parti et, derrière cela, pour son ami Nicolas Sarkozy.
Comme tout ce conflit démontre les limites (petites) de l'influence réelle de Serge Danlos sur Nicolas Sarkozy et Patrick Balkany. Et souligne son échec politique, visible ici, de l'intercommunalité qu'il prônait par de beaux discours un peu soporifiques.....
Pendant que l'on parle des rues encombrées de Levallois, le maire d'Asnières esquive la colère des contribuables asnièrois
Sébastien Pietrasanta, sur son blog, ne parle pas des feuilles d'imposition locale que les habitants d'Asnières reçoivent depuis quelques jours, afin de financer des embauches aussi inutiles qu'onéreuses, voire des dépenses qui auraient pu être évitées avec un peu de réflexion et de concertation.
Il préfère-on le comprend- que la colère des citoyens soit habilement orientée sur les maires en guerre qui gênent, par leurs décisions qui ne tiennent aucun compte des personnes, des milliers de résidents de notre ville.
La technique est éprouvée: trouver un sujet qui retient l'attention collective afin que les citoyens contribuables puissent oublier-ou penser moins- aux augmentations d'impôts et taxes qui les frappe.
D'autant que, comme Asnières Nouvelles Citoyennes l'avait prédit en toute logique, faute de ne pas avoir exigé des époux Aeschlimann l'argent qu'ils avaient illégalement utilisé, Sébastien Pietrasanta porte SEUL MAINTENANT la responsabilité de ces hausses massives très mal ressenties par la majorité écrasante des contribuables asnièrois!
L'actualité de 48 heures a fourni un dérivatif à la colère qui croît parmi les contribuables asnièrois, mais cette actualité est close alors que les hausses demeurent à être payées au Trésor Public.
Sébastien Pietrasanta va donc devoir subir de plein fouet l'effet négatif de ces décisions de hausses des impôts jointes à ces absences de décisions exemplaires visant à récupérer les sommes illégalement perdues par la Ville.
Et l'actualité financière, sociale, économique, voire judiciaire, risque dorénavant de ne pas lui permettre d'esquiver bien longtemps ses VRAIES RESPONSABILITES GESTIONNAIRES.
A quelques mois des élections régionales, voici qui risque de lui coûter son siège au Conseil Régional, surtout si la liste PS est fortement concurrencée sur sa gauche par d'autres listes.....
Marylise Dipusu
Chapitre 186 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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