mardi 1 septembre 2009

Asnières: SCOOPS ASNIERES NOUVELLES CITOYENNES



Deuxième à partir de la droite (ou troisième à partir de la gauche) de cette photo prise du temps de sa superbe, reconnaissable à son opulence corporelle célèbre à Asnières, Bernard LOTH, ancien Directeur Général des Services de la mairie d'Asnières sous l'autorité politique de l'ancien maire de la commune, Manuel Aeschlimann.


Accusé dans un dossier de contrat d'affermage passé avec AVENANCE ENTREPRISES de "trafic d'influence", Bernard LOTH va donc bientôt s'expliquer devant la Justice à Nanterre. Lui est poursuivi dans cette afaire plus qu'opaque, mais on s'interroge sur sa responsabilité réelle juridique puisque le signataire du marché public est Manuel Aeschlimann.


Il est donc fort probable que, au cours de l'audience prévue pour juger cette affaire, le nom de l'ancien maire et toujours député (comme il le dit lui-même) soit cité afin d'éclairer la Justice sur la vérité des faits. Peut-être même la défense de Bernard LOTH fera citer l'ancien maire comme témoin.....


Ceci étant dit, la mairie d'Asnières peut maintenant se porter PARTIE CIVILE dans ce dossier où les intérêts des contribuables asnièrois semblent avoir été méprisés et violés.


A suivre le 18 septembre 2009 au TGI de Nanterre, où les médias seront aussi présents!


____________________________________________________________________


Une vague d'affaires judiciaires !!!



Chose promise, chose due.


Contrairement à certains politiques pour lesquels les promesses ne concernent que ceux qui les ont entendues, Asnières Nouvelles Citoyennes tient ses engagements.


Nous avons donc le plaisir de voir à la fois nos sources être confirmées et d'annoncer aux citoyens d'Asnières ce que d'aucuns ne souhaitaient pas leur laisser savoir.


A tout seigneur, tout honneur!


Il est donc CONFIRME que la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre aura une audience passionnante le 18 septembre 2009 relative au contrat d'affermage passé entre AVENANCE ENTREPRISES et la Ville d'Asnières.


Parmi les prévenus dans ce dossier, l'ancien Directeur Général des Services de la mairie d'Asnières, Bernard LOTH, choisi et maintenu en poste par Manuel Aeschlimann, malgré les nombreuse demandes d'anciens élus de l'équipe définitivement battue le 16 mars 2008.


Parmi les délits présumés commis par cet ancien haut responsable de la Mairie d'Asnières sous l'autorité de Manuel Aeschlimann, celui de «trafic d'influence ».


De manière surprenante, l'ancien maire, Manuel Aeschlimann, ne figure pas parmi les prévenus cités à comparaître- alors qu'il fut le défenseur, l'organisateur et le signataire de ce contrat d'affermage qui aurait donc bien, si l'on en croit l'acte d'accusation, généré le délit de « trafic d'influence »!!! La chose est bien étrange, mais citoyens et médias en sauront plus le 18 septembre 2009 sur les motifs qui auraient écarté l'ancien maire de ses responsabilités pour ses actes dans cette affaire.


Mais, que cela ne soit pas mal interprété ici et que les époux Aeschlimann ne crient pas trop vite qu'ils sont laissés de côté par la Justice.


Selon nos sources totalement sûres, « une vague d'affaires » concerne Manuel Aeschlimann pour l'année judiciaire 2009-2010.


En résumé, Manuel Aeschlimann, le harceleur judiciaire record de France, l'ex maire procédurier qui envahissait les salles du TGI de Nanterre par ses plaintes aux frais des habitants, maintenant devenu avocat au Cabinet Olivier Schnerb, va se trouver dans la situation que nombre de citoyens, d'élus, d'associatifs d'Asnières ont connue sous son mandat de plomb.


Il y a là une situation de retour ironique des choses, mais, cette fois, les dossiers indiqués ne sont pas à l'origine de la Ville d'Asnières sur Seine, donc ne coûteront rien aux habitants-contribuables, mais pourraient rapporter des ressources à la commune.


Selon des indications orales transmises à notre rédaction, le couple Yade, dont l'épouse- ancienne secrétaire d'Etat UMP- brigue de plus en plus ouvertement le siège de député de Manuel Aeschlimann, ne serait pas atterré par ces nouvelles qui affligent les époux Aeschlimann....


Comme le dit le diction populaire: « parfois, les malheur des uns fait le bonheur des autres ».




Marylise Dipusu



Chapitre 187 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008




Aucun commentaire: